Une injection anale pour une étudiante attachée
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Une injection anale pour une étudiante attachée
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13.03.19
Mise à jour le 18.08.20
Cet article fait partie du dossier:
"Avez-vous des astuces pratiques pour "enlever" rapidement une érection aussi bien gênante pour le patient que pour nous lors d'une toilette intime ?" Le problème peut paraitre trivial, mais apparemment il est assez fréquent. Preuve en est, les soignants ont été nombreux à réagir sur le forum suite à cette simple question postée par une étudiante en soins infirmiers. Certains en ont ri, beaucoup en ont plaisanté, d’autres ont essayé de se mettre à la place du patient et au final il en est ressorti quelques conseils à appliquer… ou pas.
Face à un moment vécu comme gênant par le soignant, il faut toujours essayer de se mettre à la place du patient.
Faire des soins, des pansements, des toilettes, le travail infirmier n’est pas toujours évident. Les soignants sont confrontés à la tristesse, à la maladie, à la mort. Mais il y a des difficultés à surmonter auxquelles on ne s’attend pas forcément lorsqu’on entre en IFSI. Une jeune étudiante en soins infirmiers s’est retrouvée ou craint de se retrouver dans une situation embarrassante. Elle demande donc conseils à ses pairs : Avez-vous des astuces pratiques pour enlever rapidement une érection aussi bien gênante pour le patient que pour nous lors d'une toilette intime ? Le moins que l’on puisse dire c’est que les réactions ont fusé, chacun ayant sa propre manière de gérer… ou pas ce moment embarrassant.
J'espère que cela ne m’arrivera pas car j'aurai vraiment l'air bête et le patient aussi , réagit Jubo. En première année, ce n’est pas facile, tu es toute rouge et après, en fin de formation, cela devient quelque chose de banal et tu n'y fais plus attention... , estime Kesyalol. Pour Typh-, il n’existe pas de solution miracle mais elle donne néanmoins quelques pistes : diversion, lui parler de tout et de rien, éclater de rire, faire tomber ses illusions sur le fantasme de l’infirmière, le laisser tranquille… La soignante se demande quand même si les infirmiers sont confrontés, eux aussi, à ce genre de problème et comment gèrent-ils cela ?
Enfin, vu que je suis un mec, je ne ferais peut-être pas cet effet...
Cela ne m'est encore jamais arrivé ! Peut-être parce que je suis un homme , ont souligné certains internautes. Mais les soignants aussi peuvent se retrouver face à ce genre de situation comme le rappelle Nurse35 : je précise que je suis un homme et cela m'est arrivé en psychiatrie. J'ai laissé le patient tranquille et je suis revenu 20min plus tard .
Pour d’autres, étrangement, ce type de problématique est plus simple à gérer lorsque l’on est une femme. Pour vous, les filles, il est plus facile de faire face à ce genre de situation qu'un homme (du moins, cela se débat, je sais !) . En effet, et les réactions de la gent féminine ne sont font pas attendre ! Ce n’est pas plus facile pour une nana !!!! Une femme comprend moins ce type de réactions car elle ne les vit pas ! Mais bon, c’est tout simplement gênant car on ne sait pas comment le patient se situe par rapport à cette situation, s'il est gêné, ou bien s'il s'en moque ! Or, c'est pourtant de cela dont peut dépendre le soin ! D'où la gêne de ne pas savoir quoi faire ni dire , s’agace flow2. Pour Touti, il est vrai que la première fois on voit le problème de manière différente selon si on est un homme ou une femme, mais avec l’expérience plus rien n’étonne. La première fois peut surprendre et c'est normal de se poser des questions. Mais, après 25 ans, on relativise et on a plus d'expérience de la vie. On replace les choses dans leur contexte. Il n'y a pas vraiment de trucs pour éviter l'érection, c'est quelque chose qui ne se commande pas. Je dirais simplement que : pour les hommes, réfléchissez à ce que vous ressentiriez et comment vous aimeriez que la toilette se finisse si vous étiez patient. Pour les femmes, ne vous focalisez pas sur cette érection, ne rougissez pas, ne tremblez pas. Continuez en bavardant de tout et de rien, ça se passe très bien (par expérience).
Poursuivre le soin coûte que coûte ? C’est un point de vue partagé par plusieurs forumeurs. Vous faites ce que vous avez à faire (c'est-à-dire sa toilette, je précise...) et tout ira bien. L'érection est normale chez l'homme, donc pourquoi être gêné par quelque chose de normal ? Dans un cas comme celui-ci, je pense qu’il faut continuer la toilette, sauf si le patient demande quelques minutes de répit .
D’autres, au contraire, sont plutôt d’avis de passer à autre chose et de revenir plus tard comme Tito : tu le laisses tranquille une petite demi-heure, et tu reviens le voir après... Une toilette, ce n'est pas à la seconde . Une opinion en partie partagée par Jo-bis. Personnellement, j'applique l'attitude suivante : premièrement, en laisser faire un maximum par le patient. Cela arrive le plus souvent à ceux en pleine "force de l'âge", donc à moins qu'ils soient dans le coma (dans ce cas pas de problème) ou amputés des deux bras (cela peut arriver...), je leur laisse faire leur toilette intime (ou rasage) seuls. Deuxièmement, si, à tout hasard, il faut faire le soin et que cela survient : je sors en leur disant que je reviens plus tard, et je vais m'occuper du patient suivant. En principe, à mon retour, tout va bien .
Une technique qui n’est pas du goût de tout le monde Faut-il tout stopper pour cinq minutes ? Cela peut être une solution, et on peut le proposer au patient. De là à le laisser en plan pendant une demi-heure... s’interroge Leopold Anasthase.
Il est vrai qu’entre ceux qui pensent qu’il est préférable de finir son travail et ceux qui supposent qu’il est judicieux de laisser de l’intimité au patient et par la même occasion de se protéger un peu soi-même par pudeur ( cela me choque , ont déclaré certains), il est difficile de savoir quoi faire… Le mieux serait-il de procéder au cas par cas ? Certains préfèrent que le soignant continue, d'autres préfèrent qu'il s'arrête. Le mieux est peut-être de demander à la personne ? questionne Leopold Anasthase. L’opinion la plus importante ne serait-elle pas celle du patient ?
On risque de marquer, voire de traumatiser. On reste de marbre, on ne rigole pas
Le patient est peut-être celui qui vit le plus difficilement la situation, or ce genre de cas arrive apparemment assez souvent. Les toilettes ayant lieu généralement le matin, il n'est pas étonnant de voir des pénis en érection. De plus, il y a lieu d'insister particulièrement sur les zones pouvant générer de sérieuses infections (gland, nombril, anus...) et cela peut induire une réaction. Le patient ne peut rien cacher et on doit tout voir, tout aseptiser. Après tu peux mettre une feuille de sopalin si tu sens que le patient n'est pas à l'aise. Ce qu'il peut y avoir de gênant ce sont les commentaires... Pour Kenny, en effet, il faut faire attention au ressenti du patient : pour une personne paraplégique par exemple, c'est purement mécanique et non contrôlé. Souvent d'ailleurs les gens sont hyper mal à l'aise donc en plus si une phrase ou un réaction malheureuse vient en rajouter bonjour le psychologique...
Certains forumeurs sont même aller jusqu’à raconter leur expérience de l’autre côté du miroir . Au moment où c’est soi-même qui se trouve au fond d’un lit d’hôpital ou en train de subir un examen, on perçoit les choses différemment. Je trouve certains messages un peu durs envers nous les hommes... Personnellement, ça m'est déjà arrivé d'avoir, en tant que patient, une échographie de "l'endroit" il y a quelques années. J'avais l'air con quand c'est arrivé...j'étais plus gêné que la docteure. Elle l'a vu et m'a dit : je vois que je n'ai plus besoin de la tenir !!! en souriant... Cette remarque m'a fait rire et c'est passé au bout de deux minutes... Croyez-moi que je n'avais pourtant pas du tout des choses frivoles en tête car l'examen était loin d'être anodin , se remémore Angelo50.
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