Une infirmière s'occupe de son sexe

Une infirmière s'occupe de son sexe




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Une infirmière s'occupe de son sexe
Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Médicaments
Maladies
Urgences
Bobos du quotidien
Société

Voir tout
Nutrition
Psycho
Sexo
Sport santé
Animaux

Voir tout
Grossesse
Enfant
Procréation

Voir tout
Accueil
Bien-être
Sexo
Sexualité

Alzheimer Raconte Le magazine de la santé Sport et santé Ejaculation précoce
Le fantasme de l'infirmière perdure... au grand dam de celle-ci, peu formée à gérer les manifestations débordantes de la sexualité de leurs patients. C'est la conclusion d'une étude menée en janvier 2013 par Alain Giami, directeur de recherche à l'Inserm.
Cette question, les infirmières y sont régulièrement confrontées lorsque des soins intimes entraînent d'inévitables réactions sexuelles ou que certains patients dépassent les bornes de la pudeur. Et elle a été l'objet de l'étude menée entre 2007 et 2008 sur 64 infirmières et soignants travaillant dans des services de cancérologie, et intitulée "La place de la sexualité dans le travail infirmier", l'érotisation de la relation de soins et publiée en janvier 2013 dans la revue Sociologie du travail .

La figure de l'infirmière demeure ambivalente, à la fois image emblématique du dévouement mais également fantasme sexuel largement relayé par la pornographie. Ce dernier point a longtemps freiné l'implication de cette profession dans la médecine sexuelle, parce qu'elle ne souhaitait pas prêter le flanc aux idées reçues. Mais aujourd'hui, les infirmières tentent d’inclure la sexualité dans leurs pratiques, en dépit de résistances d'ordre professionnel ou parfois personnel.

Alain Giami, devant le peu d'études existantes, a souhaité approfondir les connaissances en la matière. Ses investigations psychosociologiques ont permis d'étudier en quoi consistait la "sexualité" des patients dans le cadre des soins et comment les infirmières s'en arrangeaient.

Un premier paradoxe se dégage de l'analyse des entretiens que les chercheurs ont eus avec les 64 infirmières. Si elles décrivent globalement la sexualité comme positive et importante pour la qualité de vie, la sexualité devient parfois problématique dans le cadre professionnel. " La sexualité devient taboue, interdite, déplacée voire obscène, rendant la communication difficile entre patients et soignants ", commente Alain Giami dans l'étude. Elle peut alors entraver les soins prodigués.

Certaines infirmières décrivent des contextes où l'érotisation crée une complicité : elles évoquent des compliments, comme " ah, il n'y a que des top models dans l'équipe ", des mots qui détendent et qui font sourire... L'intimité physique qui se noue lorsqu'elles lavent leurs patients est rendue plus facile par cette connivence qui peut aller jusqu'à des marques de tendresse, notamment avec les patients jeunes ou âgés. C'est finalement le ressenti qui est essentiel : " le sexuel reste ce qui est considéré comme sexuel par les acteurs de la situation ".

Et la désexualisation des actes s'acquiert avec l'expérience, autorisant une plus grande proximité avec le patient. L'érotisation considérée de cette manière facilite la relation, allège la charge de travail et donne une part d'humanité supplémentaire à cette relation de soins. A la condition que certaines limites ne soient pas franchies et que la soignante conserve un recul professionnel.

Autre situation potentiellement plus gênante : la survenue d'une érection lors des soins. Elle est excusée lorsqu'elle est involontaire ou accidentelle.

Une infirmière cite ainsi une érection réflexe lors de la pose d'un étui pénien pour récupérer les urines, qu'elle avait excusée d'un sourire et d'un commentaire " ne vous inquiétez pas, prenez votre temps ". Le fait de replacer la survenue de ce réflexe sexuel lui ôte sa valeur érotique et le banalise. L'humour apporte une aide non négligeable : " C'est déjà arrivé, quand vous faites un rasage, qu'un homme ait une érection… Cela passe avec un truc "con" : il est en forme aujourd'hui ! ", raconte ainsi une infirmière.

Certains patients psychiatriques ont des délires érotiques et des patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou de cancers cérébraux les désinhibant peuvent avoir des mains baladeuses ou des propos déplacés.

Ces incidents sont pardonnés dès lorsqu'ils sont replacés dans le contexte médical.

Le harcèlement sexuel n'a rien à voir avec un dérapage. Il est impossible pour les infirmières d'excuser des gestes ou des mots s'ils ne sont pas volontaires ou expliqués par la maladie. " Il apparaît une équivalence entre érotisation involontaire/excusable et sexualisation volontaire/condamnable ", expliquent les auteurs de l’étude.

Par exemple, certains patients, quasi exclusivement des hommes, restent volontairement nus sur leur lit, dans leur chambre voire dans les couloirs hospitaliers.

D'autres se masturbent, dans leur lit ou au cours d'un soin. Une infirmière prend l'exemple d'un patient, surnommé le "gros cochon" : " Il s'est carrément branlé quand une collègue lui massait le dos... Plus personne ne voulait rentrer dans la chambre ! ".

" Ces deux types de conduite (exhibitionnisme et masturbation en public) sont considérés comme des déviations au regard des scenarios culturels de la sexualité normale ", analyse Alain Giami. Et la perversion n'est pas explicable par une maladie.

Les avances insistantes, les blagues vulgaires, les gestes déplacés et les demandes de service sexuel (masturbation ou fellation) heurtent également les infirmières. " Quand j'étais étudiante, il y en a un qui m'a carrément demandé de lui faire une petite gâterie ", illustre une infirmière. Une autre raconte qu'un de ses patients "pervers pépères" regardait un film porno durant les soins. Des situations vécues péniblement ou avec humiliation… auxquelles elles ne sont pas préparées. Elles cherchent toutefois à mieux les comprendre et à trouver leurs raisons d'être, comme le symptôme d'un manque, par le fait que ces malades veulent se prouver qu'ils sont encore des hommes malgré le cancer, qu'ils se prouvent qu'ils sont encore séduisants ou qu’'ils masquent ainsi leurs angoisses.

Pour faire face à ces situations, les infirmières tentent de rester ni trop éloignées afin de rester empathiques et attentives aux besoins du patient, ni trop proches pour rester maîtresses de leurs émotions. Elles adoptent également certaines règles : ne pas porter de tenues provocantes, utiliser des gants pour tout contact intime, porter un regard clinique sur le corps du patient, ne jamais parler de soi ou de sa vie privée, "recadrer" le patient s'il dérape en lui rappelant la place de chacun dans la relation de soin, l'éviter ou passer moins de temps avec lui, ne pas faire de soin seule, discuter des situations posant problème avec l'équipe.

" Les infirmières manquent de formation sur les questions de sexualité qui apparaissent dans la relation de soins ", concluent les auteurs. Si certaines situations peuvent faciliter la relation et les soins, d'autres plus gênantes demanderaient des recommandations professionnelles qui font à l'heure actuelle défaut. 

Pour ne manquer aucune info santé, abonnez-vous à notre newsletter !



Reference #18.6dfd733e.1661644059.b832a66





Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Je créé un compte pour recevoir mes newsletters et gérer mes données personnelles.


Je souhaite recevoir des offres du site et ses partenaires

























Je certifie ne pas envoyer d'e-mail indésirable

Qu’est-ce qui pousse certaines femmes à n’être attirées que par des partenaires blessés ou malheureux ? On fait le point sur ce que l’on nomme “le syndrome de l’infirmière”.























Je certifie ne pas envoyer d'e-mail indésirable

Comment aider les victimes de pervers narcissiques
Ce que j’aurais aimé savoir avant ma première fellation
Larguées pendant la grossesse : "Ça a été comme une gifle, j'étais enceinte de 5 mois"
Ils se détestaient, maintenant ils s'aiment profondément
Elles ont pris un amant (beaucoup) plus jeune
Pas peur de souffrir, elles ont renoncé à l'amour
Quelles sont les clés pour en finir avec la charge mentale ?
L'histoire de la fidélité (au sein du couple)
A partir de quel moment est-on réellement “en couple” ?
La force insoupçonnée de l'amitié dans le couple
Où vous situez-vous sur l’échelle de la passion amoureuse ?
Sept habitudes qu’ont les couples heureux
Le "cuffing" ou quand le froid influe sur nos sentiments amoureux
Nos partenaires et nous utilisons des données non sensibles comme des cookies ou des identifiants électroniques pour afficher des publicités personnalisées, mesurer le nombre de visiteurs ou encore adapter notre contenu.
Cliquez sur le bouton pour donner votre consentement à ces opérations et profiter d'une expérience personnalisée. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment en revenant sur ce site.
En matière de séduction et d’attirance, c’est un phénomène assez courant : on est souvent attiré par le même type de personnes . Ce n’est - a priori - ni un hasard, ni une fatalité. “Nous sommes en effet, toujours dirigés par notre inconscient et par ce que l’autre, celui que l’on choisit, va produire en nous”, explicite Aurore Le Moing 1 , psychopraticienne.
Alors, qu’est-ce qui peut pousser certaines femmes à tomber amoureuses inlassablement de partenaires déprimés, malheureux ou en échec professionnel ? Qu’est-ce qui se joue alors dans leur inconscient pour avoir envie de sauver ces personnes ? Comment expliquer ce que l’on nomme communément “le syndrome de l’infirmière” ?
Par définition, “la notion de “syndrome de l’infirmière” caractérise des femmes qui sont toujours attirées par des personnes qui vont mal ”, explique Aurore Le Moing. Avant d’ajouter, “au sens large, car aller mal , c’est une notion plus ou moins propre à chacun”. Dans les faits donc, certaines femmes vont être attirées uniquement par des partenaires en détresse, animées par un besoin irrépressible de leur venir en aide. Ainsi, le simple fait de s’occuper de l’autre avec bienveillance, va faire naître chez elles fascination et attirance.
Aurore Le Moing commence par expliquer que “le syndrome de l’infirmière est directement relié au syndrome du sauveur et qu’il fait référence à la mère. “A la bonne mère, celle qui s’occupe de son enfant malade, qui est là pour lui, qui l’aime et le soutient”, précise l’experte. On peut éventuellement imputer cette représentation de la femme, à celle que l’on a connu durant l’enfance, qui a choyé et protégé l’enfant que l’on a été. “Dans ce cas, on a affaire à une reproduction de ce qui nous a été inculqué”, décrypte ainsi la psychopraticienne.
Mais quand on a connu une mère persécutrice , on peut se trouver dans la situation contraire, celle de l’insécurité ou “du mauvais sein” selon les écrits de la psychanalyste Mélanie Klein. “Dans ce cas là, on va vouloir prendre le contrepied de ce que l’on a pu nous-mêmes recevoir”, explique Aurore Le Moing. Avant d’expliquer que “quand la femme va rencontrer cet autre qui semble aller mal, elle va se projeter en lui et peut effectuer un transfert sur son compagnon. C’est-à-dire qu’elle va comprendre ou croire qu’elle comprend ce qu’il ressent et ce dont il a besoin, car elle-même aurait eu besoin de ce traitement aimant”.
Pour Aurore Le Moing, quand une femme - qui a connu une mauvaise relation avec sa mère - souffre de ce syndrome, c’est que intrinsèquement elle essaye de se réparer elle-même , en campant enfin le rôle de cette bonne mère qui soigne son enfant. “Ce stratagème permet une seconde chose : celle de s’occuper des autres et non de soi, et donc ne pas regarder en face ses propres besoins”, complète Aurore Le Moing.
Il peut tout à fait en jouer, consciemment ou non, car c’est malgré tout une position qui peut s’avérer agréable
Et que se passe-t-il quand celui qu’il fallait sauver au début de la relation va de mieux en mieux ? Dans ces cas là, “il n’est pas rare de voir que la femme peut soit ne plus vouloir de cette relation ou bien même, à son tour, se sentir mal et que la situation s’inverse au sein du couple”, répond Aurore Le Moing. Toujours selon elle, il est difficile de détacher le syndrome de l’infirmière de ce qu’il se joue dans le triangle dramatique de Karpman . “Dans ce type de configuration, l’homme aura la place de la victime, la femme du sauveur et le bourreau peut être une multitude de choses, une personne, le travail, la famille etc … Ces rôles permettent à la fois de se positionner dans l’homéostasie du couple, et aussi de pouvoir alterner entre victime, bourreau et sauveur. Ils sont définis par le transfert que les deux personnes du couple mettent en place”, poursuit-elle.
Quand la femme revêt son costume d’infirmière, son partenaire s’installe très logiquement dans son rôle de victime. “Il peut tout à fait en jouer, consciemment ou non, car c’est malgré tout une position qui peut s’avérer agréable”, précise la psychopraticienne. Mais celle qui souffre du syndrome de l’infirmière trouve aussi un véritable intérêt : “c’est un rôle très gratifiant d’un point de vue narcissique mais il place l’autre en incapacité”, complète-t-elle.
Une fois que cette situation est identifiée, et que l’on comprend les mécanismes et automatismes qui se jouent dans ces situations, l’important est de savoir comment l’on se sent dans cette configuration, si l’on se sent épanouie ou non. Auquel cas, il faut s’interroger sur ce qui pousse à répéter cette situation.
Ce ne sera que grâce à un travail sur soi (éventuellement à l’aide d’un psychothérapeute) qu’on pourra comprendre ce qu’implique ce comportement, quelles sont ses origines, pour enfin pouvoir en sortir et assainir ses relations.
1 Aurore Le Moing, psychopraticienn e et conseillère en relations conjugales en région parisienne
Toute l'actu Marie Claire, directement dans votre boîte mail

Deux femmes tatouées mangent tout
Big breasted eve lawrence gets fucked by huge cock julian rios - Free xxx sex porn video streaming
Salope mûre grecque enculée dans la nature

Report Page