Une histoire lesbienne

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Une histoire lesbienne
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REJOIGNEZ-MOI SUR INSTAGRAM Elodie Garnier Officiel

MariĂ©e Ă  un homme depuis vingt ans, j’ai pris la dĂ©cision de divorcer en 2016. Je ne supportais plus la routine et j’avais un manque constant « d’éclat » et de surprise dans ma vie. Ce fut une dĂ©cision trĂšs difficile Ă  prendre, j’avais peur des consĂ©quences, peur de me retrouver seule et surtout peur que mes quatre enfants m’en veuillent. Finalement avec le recul, je sais que j’ai pris la bonne dĂ©cision.
Bien sĂ»r, la rupture a Ă©tĂ© compliquĂ©e. C’est toujours pesant de quitter une maison avec des souvenirs et de quitter quelqu’un aprĂšs autant d’annĂ©es de vie commune. Le divorce prononcĂ©, je me suis installĂ©e dans un appartement dans une jolie rĂ©sidence. C’est lĂ  que j’ai fait la connaissance de ma voisine du dessus, Sonia.
Sonia a perdu son mari dans un accident de moto et n’a jamais refait sa vie depuis. La solitude nous a rapprochĂ©. Nous avons vite pris l’habitude de se retrouver, chez l’une et l’autre pour prendre le cafĂ© ensemble. Elle Ă©tait mon plus grand soutien dans cette phase de ma vie.
Le soir de ses quarante ans, nous avons décidé de passer la soirée ensemble. On avait préparé des tapas maison et quelques bonnes bouteilles de vin. Nous nous sommes installées toutes deux sur le canapé du salon.
6h17, j’ouvre un Ɠil, j’aperçois depuis la chambre ouverte sur le sĂ©jour, une bouteille vide sur la table basse, la lampe du salon encore allumĂ©e, mes converses laissĂ©es Ă  l’abandon sur le parquet
 Je ne sais mĂȘme plus l’heure qu’il Ă©tait, quand ça a dĂ©rapĂ©, ni comment ça s’est passĂ©, ni qui a rĂ©ellement commencĂ©.
Je revois juste nos corps nus, fĂ©briles, ma bouche cherchant la sienne, ses mains s’agrippant aux miennes. Sonia et moi avons fait l’amour, toute la nuit. Aussi simplement et naturellement que ça. Aussi formidablement que ça. Pour la premiĂšre fois de ma vie, j’ai joui. Pendant des annĂ©es, j’ai cru que les joies du sexe Ă©taient rĂ©servĂ©es aux autres
 Ce matin-lĂ , troublĂ©e et heureuse de l’ĂȘtre, j’ai su que je m’étais trompĂ©e et que j’étais peut-ĂȘtre en train de tomber amoureuse de Sonia.
Jusqu’à ce jour, je me sentais complĂštement hĂ©tĂ©ro. Jamais je n’aurais imaginĂ© une seule seconde Ă©prouver du dĂ©sir pour une personne du mĂȘme sexe. Depuis cette nuit-lĂ , Sonia et moi sommes en couple et nous sommes trĂšs heureuses.
Vous ĂȘtes homo, bi, hĂ©tĂ©ro ? Vous avez dĂ©jĂ  eu une expĂ©rience avec une femme ?
Envoyez votre tĂ©moignage Ă  contact[@]elodiegarnier.com afin qu’il soit publiĂ© sur mon site !
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"JE M'ATTENDAIS À TOUT SAUF À NOUS" en librairie le 1er juin 2022 aux Ă©ditions Fayard .


"JUSTE UNE FOIS POUR ESSAYER" en librairie au format poche le 20 avril 2022
aux Ă©ditions Harper Collins.

Aprùs une rupture difficile, Élodie ne croit plus en l’amour.
Jusqu’au jour oĂč elle croise le chemin d’Emmanuelle, une jeune architecte de 35 ans, divorcĂ©e d’un homme d’affaires japonais et mĂšre d’un petit garçon de 10 ans qui habite avec son pĂšre.
Contre toute attente, l’alchimie est si forte que les deux femmes tombent amoureuses. Élodie veut reprendre sa vie Ă  zĂ©ro, essayer une nouvelle fois d’y croire, et Emmanuelle est prĂȘte Ă  tout pour lui prouver la rĂ©alitĂ© de ses sentiments. Mais c’est compter sans les obstacles qui viennent Ă©branler leur histoire aux apparences indestructibles.
Elles ont un jour tentĂ© l’expĂ©rience avec une femme. DĂ©couvrez leur histoire ! N’hĂ©sitez pas Ă  envoyer votre tĂ©moignage Ă  contact[@]elodiegarnier.com
© Élodie Garnier 2020 - Mentions lĂ©gales Illustrations : © Coraline Danthez

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Cette histoire s’est passĂ©e Ă  mon travail. Ça fait 2 ans que je suis secrĂ©taire de direction dans une petite sociĂ©tĂ© et j’ai un patron vraiment formidable. On peut pas dire que ce soit une grande beautĂ©, il est petit, plus ou moins les 110 kg, dĂ©garni mais il a un caractĂšre gĂ©nial et n’a jamais d’arriĂšre pensĂ©e. Un trĂšs grand sens de l’humour. Mais, voilĂ , il part pour une retraite dorĂ©e. Pour son dernier jour de travail parmi nous, on a fĂȘtĂ© ça comme il se doit.

Le lendemain, on savait qu’on devait avoir un nouveau patron. Quelle ne fut pas notre surprise lorsque au matin, on la vit rentrer. C’était une grande et belle femme d’une trentaine d’annĂ©es, des longs cheveux noirs lui tombant dans le milieu du dos, 58kg pour un bon mĂštre 75, un 90C de tour de poitrine et de trĂšs longues jambes. Elle Ă©tait habillĂ©e d’un tailleur classique de couleur bleu nuit et d’un petit chemisier blanc. Je me suis alors prĂ©sentĂ©e Ă  elle (on a plus ou moins le mĂȘme gabarit sauf que je suis un peu plus grande). Elle dĂ©gageait un charme incroyable et elle avait un sourire sublime. Je me sentais toute bizarre devant elle.
La journĂ©e se passa tout Ă  fait normalement jusqu’à ce que j’entre par habitude dans le bureau de mon ex-patron sans frapper et que je la dĂ©couvre assise sur la chaise de bureau, une jambe posĂ©e sur le bureau, sa jupe remontĂ©e trĂšs haut sur ses jambes. Elle ne me vit pas tout de suite car elle avait la tĂȘte renversĂ©e sur son siĂšge, la bouche ouverte et la respiration haletante. J’étais comme pĂ©trifiĂ©e devant ce que je voyais et en mĂȘme temps fascinĂ©e. Elle gĂ©missait lentement et c’est Ă  ce moment que le parquet de son bureau a craquĂ© sous moi. J’ai sursautĂ© et elle aussi. Elle a rougit quand elle m’a vu et moi aussi, faisant semblant que je venais Ă  peine de rentrer. Elle me demanda de fermer la porte et d’entrer. Je me dĂ©fendis rapidement en lui disant que je n’avais rien vu mais elle me regarda droit dans les yeux et me dit :
-« Ma petite Sophie, tu Ă©tais lĂ  depuis quelques minutes dĂ©jĂ  et j’ai sursautĂ© car je pensais que c’était une autre personne qui rentrait dans le bureau. »
Je savais plus ou me mettre. Alors, elle me dit :
-« Tu n’en parleras Ă  personne, hein ? »
Je rĂ©pondis que je resterais muette comme une tombe. Elle se rassit et me dit que ça lui arrivait frĂ©quemment ce genre de chose, que c’était pour se dĂ©tendre. Elle m’a remit un peu Ă  l’aise ; en fait, elle Ă©tait vraiment trĂšs gentille et on aurait mĂȘme dit qu’elle me faisait du charme. Le fait d’avoir vu une telle scĂšne faisait que mon ventre se rĂ©chauffait. Elle m’a alors demandĂ© si j’acceptais d’aller prendre le dĂ©jeuner en ville avec elle. J’opinai sans hĂ©sitation.
Nous sommes parties avec sa voiture et nous sommes sorties de la ville pour arriver dans la nature et dans un joli petit restaurant. Nous avons bu un apĂ©ritif maison puis un deuxiĂšme. La conversation a dĂ©butĂ© sur le travail et devint de plus en plus dĂ©tendue et amicale. Elle m’expliqua qu’elle Ă©tait seule depuis 6 mois, qu’elle n’avait pas envie de voir de mec pour l’instant car on l’avait fais souffrir. Moi, je lui disais que j’étais avec BenoĂźt depuis 4 ans et que j’étais trĂšs heureuse avec lui (elle ne pouvait pas savoir Ă  quel point depuis quelque temps). L’alcool faisant son effet, elle ĂŽta la veste de son tailleur pour me dĂ©voiler son chemisier blanc en soie. Elle Ă©tait vraiment charmante et magnifique avec ses cheveux qui tranchaient sur la couleur blanche du chemisier. J’étais vĂȘtue d’un tailleur gris clair, d’une jupe courte, de bas noirs Dim up et, bien entendu, je ne portais pas de slip. Nous mangions tout en conversant gaiement. Nous nous entendions vraiment bien. Le repas passa trĂšs vite.
Le serveur venait de dĂ©barrasser la table. Elle s’approcha une main des miennes. Elle les frĂŽla au dĂ©but tout en continuant Ă  me parler, puis vraiment les caressa tendrement tout en me fixant droit dans les yeux. Ses yeux bleus Ă©taient plongĂ©s dans les miens et je me sentais comme si j’étais dĂ©shabillĂ©e devant elle. Je me sentais toute bizarre et en mĂȘme temps, je sentais comme mon excitation monter. Elle paya rapidement l’addition mais pendant ce temps, 

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