Une histoire de sexe avec la femme au corps parfait

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J’ai déjà écrit sur le salon de coiffure mixte où je vais.
Les coiffeuses se renouvellent à un rythme fréquent, sans doute à cause des mauvaises conditions de travail, et j’ai à peine le temps de m’en lever une, qu’elle s’en va.
Pour la dernière en date, je n’ai même pas eu le temps de me la faire, alors qu’il me semblait que c’était bien parti. Mon scénario est bien rodé, je demande toujours la même, elle s’habitue à moi, je la tutoie, on discute, des propos un peu plus coquins à chaque fois, et je teste la faisabilité. Elle n’est pas farouche, se prête au jeu, et je prends le temps avant d’espérer concrétiser, comme je l’ai déjà fait avec deux de mes précédentes coiffeuses éphémères.
Celle là l’est encore plus, et lors d’une visite j’ai la déception d’apprendre qu’elle n’est plus là. Je rage de colère, m’en veux de n’avoir pas été plus entreprenant, et arrivé chez moi je me tape une queue à son attention en la traitant de tous les noms.
Elle était jeune, dans les vingt-cinq ans, jolie, sympa, et j’ai du mal à me faire à son absence, jusqu’au jour où mon téléphone sonne.:
— Bonjour, vous êtes bien monsieur L………
— Je suis Anne-laure, votre coiffeuse.
— Oui, à part ma coiffeuse qui m’a largué sans un mot.
— C’est justement pour ça que je vous appelle. J’aurais voulu le faire plus tôt, mais je ne me souvenais plus de votre nom, et il vient de me revenir.
— Ca aurait été mieux que tu l’oublies à jamais.
— Vous n’êtes pas content que je vous appelle?
— Oui et non. Je commençais juste à faire mon deuil de toi, et voilà que tu reviens. Je vais à nouveau passer des nuits blanches à penser à toi. Mais tu t’en fous je suppose?
— Non, je pense à vous moi aussi, et vous me manquez.
— Des pensées coquines, comme les miennes?
Elle hésite à répondre et j’embraye pour rompre le silence. On discute et j’apprends que sa nouvelle clientèle est uniquement féminine, et que je ne pourrais donc plus la voir. Je lui propose que l’on reste en contact, que l’on s’écrive sur internet, et lui donne mon adresse. Deux jours plus tard elle m’écrit, et c’est parti. Je lui pose des questions indiscrètes sur son copain, leurs relations sexuelles. Elle me répond ouvertement pour me dire que ce n’est pas le top au lit, mais qu’il a bien d’autres qualités, qu’elle compense par la masturbation et en regardant des sites érotiques. Je lui propose alors des échanges chauds où on se mettrait en scène et où on pourrait fantasmer, et lui indique xstory pour qu’elle se fasse une idée de ce que l’on peut écrire.
Je n’ai plus de nouvelle pendant dix jours, et j’évite de la relancer, de la harceler. Elle me réécrit enfin pour me dire qu’elle a longtemps hésité, et qu’elle est d’accord avec ma proposition. Elle a lu d’un peu tout les thèmes et a tout aimé à sa surprise, Elle veut savoir ce que j’aime et ce que j’espère d’elle. Je lui avoue que j’écris moi aussi sur le site, lui donne des indices pour trouver mes textes, et lui conseille le récit sur le salon de coiffure que j’ai écrit en pensant à elle. Ce que j’aimerais c’est qu’on garde ce lieu, pour s’y retrouver tous les deux, et se faire plein de bonnes choses.
Elle m’a lu, et n’aurais jamais cru ça de moi. Elle est étonnée des sujets que j’aborde, de ma vulgarité, mais ça l’a beaucoup excitée, ça la faite mouiller en abondance. Elle est partante et on met les conditions: on écrit chacun son tour, elle me tutoie dans le récit même si elle ne veut pas le faire en dehors, elle doit être vulgaire elle aussi, si un plan ne convient à l’un ou à l’autre on passe à autre chose.
Tout se passe à merveille, elle joue le jeu au delà de mes espérances, j’ai gardé tous nos échanges et lui demande l’autorisation d’en faire un récit, en changeant juste son prénom. Elle est d’accord. Voici donc notre correspondance, allégée de certaines introductions et conclusions hors récits.
Tu me reçois après la fermeture pour me coiffer en toute intimité. Je suis dans le fauteuil et je te regarde dans la glace:
— J’aime quand tu es en jupe, même si elle n’est assez courte.
— Pas assez courte! Et il te la faut comment?
— Il n’y a pas de minimum; ras la culotte.
— Je n’ai pas dit ça, mais qui sait. Je te laisse deviner.
— Je ne suis pas très fort pour les devinettes, je préfère les certitudes.
Tu es contre moi à effectuer ta coupe, et je pose une main derrière ton genou. Tu ne réagis pas, et je me sens encouragé à continuer. Je remonte sur ta cuisse nue, et arrive sur tes fesses. Tu portes bien une culotte, et je caresse ton cul à travers, ton cul que je sais très joli pour l’avoir souvent mâté dans tes pantalons moulants. Je glisse maintenant entre tes cuisses et tu écartes les jambes pour me faciliter le passage. Je masse ta vulve et je sens rapidement ta culotte s’humidifier:
— Tu mouilles petite salope, ça te plait de te faire tripoter par un vieux.
— Oui, j’adore les vieux, ce sont tous des vicieux.
— Tu en fréquentes d’autres que moi?
— Oui, heureusement, je n’attends pas après toi. J’en connais des dizaines.
— Non, mais c’est normal puisque je suis une salope. C’est toi qui l’a dit.
— Ok, si tu veux, et puis je m’en fous. Ne bouge pas, il faut que je déballe ma queue, tu me fais trop bander.
Je passe mes mains sous la blouse, défait mon froc, le descend un peu ainsi que mon slip. Je prend ma bite à pleine main et me l’astique, tandis que mon autre main revient entre tes cuisses. Tu feins l’innocente:
— Tu le vois bien. Je me branle et je vais te branler. Enlève ta culotte, et donne me là.
Tu t’exécutes, je renifle ta cyprine, puis je glisse ton dessous sous la blouse. Tu t’inquiètes pour ton sous-vêtement, et je t’explique que je me suis recouvert le gland avec, pour y jouir dedans, et ne pas m’en mettre partout. Tu es prête à protester, mais j’ai déjà un doigt dans ta chatte, et tu penses à autre chose. Deux doigts, trois, je te fouille sans ménagement, tout comme je me masturbe. J’entends ton souffle court, tes gémissements, et tu entends mes grognements lorsque j’éjacule et te le fais savoir.
Je me calme, et je retire ta culotte en boule pour la mettre dans ta main.
……………à toi pour la suite……………….Bisous.
Ouah, ça démarre fort et ça me plait…………. Bon je me lance………….
Ma première idée est de passer ma culotte sous le robinet, mais j’ai peur de le regretter; j’aime trop le sperme. Je la déplie avec précaution, et découvre le fruit de votre jouissance. Il y a une bonne dose et je trempe le bout d’un doigt pour le porter à la bouche. Ce n’est pas mauvais du tout, je recommence et je trouve ça franchement bon. Je pose mes lèvres sur votre semence et j’aspire tout dans un ssluuup bruyant. Je garde votre sperme quelques instants pour le savourer avant d’avaler et exhiber ma bouche vide:
— Il est bon votre jus, et puis quand vous éjaculez ce n’est pas pour rien.
— Tu as l’air d’aimer ça petite salope. Ils ne jouissent pas autant les autres?
— Je ne crois pas, mais je ne sais pas. Aucun n’a jouis dans ma culotte, ils se vidangent directement dans ma bouche.
— Ta bouche de pute. Tu aurais préféré peut-être?
— Non, c’était bien. On verra la prochaine fois.
— Avec plaisir, tu me feras une bonne pipe, et tu pourras te servir direct à ma source.
— J’espère que vous aurez une aussi grande quantité qu’aujourd’hui à m’offrir.
On se donne rendez vous pour une autre séance.
……….c’est mon premier récit, j’espère que vous n’êtes pas déçu………………..Bises.
C’est parfait ma puce…… Une petite remarque, on avait dit que tu me tutoyais dans le récit!……….
Nous voici à nouveau au salon de coiffure. J’enfile la blouse, et je baisse le bas avant de m’asseoir. Tu es contre moi, et je passe ma main sans tarder entre tes cuisses:
— Mais tu n’a rien dessous, coquine! Tu veux te faire fouiller?
— Oui, et aussi te sucer, c’est ce que l’on a prévu.
— Mais pas de problème, ça tient toujours, dépêche toi de me coiffer, et tu auras ta récompense.
Tu t’’actives autour de moi, et je te tripote tant que je peux, je suce mes doigt liquoreux de ta mouille. Tu as fini, fait faire un demi tour au fauteuil, et enlève ma blouse pour dévoiler mon sexe en érection:
— Ouah, super, elle est trop belle ta bite!
— Oui elle n’est pas mal, mais elle n’a rien d’exceptionnel, tu as dû en voir d’autres.
— Oui, des plus grosses, ou des plus longues, mais un peu trop pour moi. Tu as un calibre de rêve pour mes jeunes orifices.
— Salaud, ce n’est pas gentil; Je te jure que c’est vrai.
— Excuse moi ma chérie, je te crois. Et mes couilles, elles te plaisent?
Tu les empoignes à pleine main et m’assure qu’aucun de tes partenaires ne les a aussi grosses, aussi lourdes, et tu l’espère aussi pleines. Je confirme que je n’ai pas joui depuis la dernière fois et qu’elles sont bien remplies. Tu continues à les caresser, elles te plaisent, et je te demande de me mes bouffer, me les brouter.
Tu voudrais bien, mais trouves que j’ai trop de poils, une forêt vierge. Tu me proposes de me raser entièrement le paquet.
……..je te laisse continuer…….essaie de me tutoyer, dans le récit, sinon tant pis………Bisous ma chérie.
Tu mes suis au lavabo, et tu te mets tout nu avant de t’asseoir. Tu as les cuisses bien ouvertes, dont une qui repose sur l’accoudoir. Je recouvre ton bas ventre et tes boules, puis je te lave avec tendresse. Je me régale à te peloter les couilles et je m’attarde dans un shampoing détente qui a un effet inverse sur ta queue. Tu as des poils partout, jusque dans la raie que je savonne aussi pour ton plus grand plaisir. Je prend enfin mon rasoir et je te débarrasse de toute ta pilosité. J’ai fini et j’admire mon travail:
— Humm, tu es trop mignon comme ça, je suis contente de moi. Ca met tes couilles encore plus en valeur, je n’en ai jamais vues d’aussi appétissantes.
— Sers toi, je t’en prie, bouffes les, et ensuite tu me fais une bonne pipe bien juteuse.
J’embrasse tes boules, je les lèche, je les gobe, je les mâchouille délicatement, avec mille précautions. Tu te branles, je louche sur ta queue, et j’abandonne ta paire pour m’en occuper. Je la prend toute, jusqu’à la racine, le gland au fond de ma bouche (le calibre idéal). Tout en te suçant je caresse tes couilles et je dérape entre tes fesses. Je touche ton petit trou et ça à l’air de te plaire:
— Oui, c’est bon, tâte moi la rondelle, fouille moi le cul, ça va me faire encore plus bander.
Je taquine ton petit cercle, puis je glisse un doigt et le fait aller et venir. Effectivement ta bite grossit et durcit dans ma bouche; tu me demandes de rajouter un deuxième doigt. Je te branle l’anus, et je te pompe comme une affamée, une assoiffée.
Tu vas jouir et me préviens. Je me déchaîne sur ton manche, sur ton gland, dans ton fion, et je te fais cracher tout ton jus. Je reçois plusieurs décharges épaisses que je garde en bouche jusqu’à la dernière. Je me redresse, retire mes doigts de ton trou, et les suce avec ma bouche remplie de ton foutre. Ils sont propres, et je vais pouvoir avaler ton sperme, avec gourmandise. Tu es satisfait de moi:
— Tu suces trop bien salope, cette pipe, c’était génial.
— Merci, et mes doigts dans ton cul?
— Très bon, il y a beaucoup de mecs qui aiment ça.
— Je sais, j’ai l’habitude avec mes autres vieux. Ils sont encore plus salauds que toi.
— C’est parce que tu ne me connais pas encore. Je peux tout faire. Dis moi un truc qu’ils font et que tu aimes.
— Ah non, tu en as trop dit, ou pas assez. Allez, je t’écoute.
— Il y en a un qui veut que je lui pisse dans la bouche, et il avale.
— Intéressant! et il te fait la même chose?
— Non pas lui, mais il y en a un autre qui me pisse dessus.
— Non il ne ma l’a jamais proposé, et je ne veux pas faire le premier pas. Il faudrait que ça vienne de lui.
— Salope. Je rêve ou tu me proposes un plan pisse bien chaud?
— Tu me sembles bien réveillé pour rêver.
…………………à vous pour la suite……………….J’ai vu dans vos récits que vous aimez ce sujet, …………alors lâchez vous……………………………grosses bises.
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Amoureuse de littérature érotique et croqueuse d’hommes invétérée, Angélique vous offre ses talents d’écriture et ses récits toujours emprunts de sensualité.

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Paris 8ème, dans une grosse boîte de pub. Le patron de la société était un requin de la pire espèce. Marié et coureur de jupons, ce n’était vraiment pas un cadeau pour sa femme. Nathan bossait pour lui depuis peu. 23 ans, tout droit sorti de l’université, huit heures par jour avec un connard pareil sur le dos, il pensait déjà à démissionner. Tous les vendredis, la femme de son boss passait pour déjeuner avec son con de mari. C’était une femme magnifique. A sa vue, les envies de partir de Nathan disparaissaient en un clin d’œil.

Il faut dire qu’il y avait de quoi : c’était une belle brune au visage
parfait, avec un corps de rêve et une chute de reins à faire damner un
saint. Elle était un véritable régale pour les yeux. Et pourtant, son
mari manifestait à son égard une grande indifférence. Nathan, quant à
lui, sentait carrément exploser son slip quand il croisait le chemin de
cette bombe sexuelle.

Elle avait tout ce qu’il faut où il faut : des seins qui semblaient avoir un galbe parfait et des fesses fermes et rebondies qui transparaissaient de son pantalon moulant. Nathan ne savait plus où donner de la tête quand elle passait devant son bureau avec ses yeux rieurs et son sourire enjôleur.
Comme d’habitude, elle attendait gentiment que son mari sorte de rendez-vous. Nathan, qui la matait depuis déjà quelques minutes se décida à lui parler. « Bonjour madame, je peux vous apporter quelque chose à boire ? », « Bonjour, oui, merci beaucoup. » Il lui amena alors un jus d’orange et lui tint compagnie.
Au même moment le patron sortit de son bureau et s’exclama « Chérie, je suis désolé mais je dois annuler notre déjeuner. Nathan, peux-tu raccompagner ma femme s’il te plait ? ». Il n’a pas eu à le dire deux fois ! Nathan se fit un immense plaisir d’accompagner l’objet de ses fantasmes. Étant conscient que l’occasion ne se présenterait peut être plus, il prit son courage à deux mains et invita la femme de son boss à manger. Agacée par le fait de se retrouver à nouveau seule, elle accepta volontiers.

Durant le déjeuner, les deux acolytes firent davantage connaissance.
Nathan se rendit très vite compte que la femme de son patron en avait
plus qu’assez d’être à ce point délaissée et qu’elle était en quête
d’aventure et de nouveauté. Elle n’hésita pas à faire comprendre
ouvertement à Nathan qu’elle avait prit l’habitude d’avoir elle aussi,
des aventures extraconjugales. Il fallait bien satisfaire des envies
aussi naturelles que légitimes…

Nathan comprit qu’il avait une carte à jouer. Il lui proposa de venir prendre un verre chez lui en guise de digestif. Il habitait un petit studio non loin du restaurant et de son lieu de travail. Tant pis pour le boulot, s’il avait du retard son alibi était déjà tout trouvé… A sa grande satisfaction elle accepta son invitation. Elle se leva d’un seul coup de sa chaise et se mit en chemin. Nathan fit de même. Il régla l’addition et quitta le restaurant en compagnie de la femme qui devait certainement avoir l’âge de sa mère.

Ils ne mirent pas longtemps à arriver à destination. Nathan était à
peine entré qu’il se fit pousser sur son lit par la femme qui entreprit
de le déshabiller. Il était tellement surpris et intimidé qu’il se
laissa faire sans mot dire. Elle était rapide et s’y prenait bien.

Elle commença par l’embrasser à pleine bouche. Elle descendit ensuite en lui léchant le torse et en s’attardant sur ses tétons. Elle arriva alors au niveau de son sexe et lui enleva son boxer avec les dents. Le pénis du jeune homme était en érection depuis fort longtemps. La coquine s’humecta les lèvres avec gourmandise. Lentement, elle prit le phallus dressé dans sa bouche. Elle se mit à aspirer de toutes ses forces, comme pour en faire sortir tout le jus.

Elle s’occupa également des bourses de Nathan qui étaient chaudes et
volumineuses. Chacun de ses coups de langue procuraient des spasmes de
plaisir au jeune homme qui soupirait à fendre l’âme. Nathan la saisit
ensuite par la taille et l’a fit s’asseoir sur son chibre tendu.

La femme se déchaîna sur lui comme une chienne. « Encule-moi » lui dit elle… Nathan s’exécuta. Il sortit de son vagin humide pour venir la prendre par derrière. Il lui écarta ses jolies petites fesses serrées et enfonça son gland dans son anus. Ce début de sodomie lui procura des sensations encore jamais ressenties. Voyant qu’elle prenait son pied, il décida de lui baiser le cul jusqu’à la garde. Il devenait de plus en plus bestial et cela ne semblait poser aucun problème à son amante qui hurlait de plaisir.
Elle sentit que le jeune homme allait jouir. Elle se retira et se mit à ses genoux en ouvrant grand la bouche. Nathan comprit ce qu’elle voulait. Il se finissa à la main et déchargea à grands jets au fond de la gorge de la femme qui ne pouvait tout contenir. Le sperme dégoulinait alors des commissures de ses lèvres pour finir sur sa poitrine gonflée…

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Récit érotique : Une bourgeoise gourmande Lue : 14063 fois Histoire ajoutée le 17/08/2018 par JeanMi
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