Une histoire de baise incroyable mais vraie

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Je vais vous raconter cette histoire qui s’est passĂ©e l’étĂ© dernier. J’y repense tellement souvent que je me dois de la partager. Je suis un homme 31 ans, plutĂŽt grand et je me considĂšre comme normal, exceptĂ© des Ă©paules larges formĂ©es par de rĂ©guliĂšres sĂ©ances de natation. Ma femme, Marine, a 27 ans, brune aux cheveux longs et une jolie petite poitrine.

Comme je le disais plus haut, cette aventure s’est dĂ©roulĂ©e l’étĂ© dernier. Les parents de Marine habitent dans le sud de la France et depuis que nous sommes ensemble, nous passons au moins une ou deux semaines chez eux chaque Ă©tĂ©. Ça permet Ă  ma femme de voir sa famille, et ça fait des vacances pour pas cher. Le cadre est agrĂ©able, ils ont un beau jardin sans vis-Ă -vis et une petite piscine qu’ils installent dĂšs que les beaux jours reviennent. Ça ne permet pas de faire des longueurs, mais c’est bien utile pour se rafraĂźchir quand il fait chaud.
Cette annĂ©e-lĂ , nous avions la maison une semaine pour nous deux : une mĂ©sentente au niveau des dates avait fait que les beaux-parents avaient pris leurs vacances une semaine trop tĂŽt. Ça ne les avait pas dĂ©rangĂ©s de nous laisser la maison, si dĂ©jĂ  nous Ă©tions lĂ  et en congĂ©s, autant en profiter deux semaines comme nous l’avions prĂ©vu.
Un aprĂšs-midi, la cousine de Marine Ă©tait venue nous rendre visite. Laura Ă©tait deux ans plus jeune que Marine, mais elle Ă©tait dĂ©jĂ  mariĂ©e et avait une petite fille de 2 ans. Les deux cousines ont toujours Ă©tĂ© trĂšs proches pendant leur jeunesse, et Ă  chaque fois que nous descendons dans le sud, c’est avec plaisir qu’elles passent du temps ensemble. D’autant plus, depuis l’arrivĂ©e de sa petite fille dont Marine s’ébahit des progrĂšs. Il faut que je vous parle un peu plus de Laura, la cousine. C’est une trĂšs belle jeune femme blonde, cheveux lisses jusqu’aux Ă©paules, des yeux gris-bleu, environ 1m70 et joliment proportionnĂ©e.
Les premiĂšres fois que je l’ai vue, je l’ai trouvĂ©e trĂšs jolie bien sĂ»r, mais c’est en parlant d’elle avec Marine que mon attirance s’est accentuĂ©e. En effet, mon Ă©pouse l’adore et est bien consciente que sa cousine est trĂšs jolie, et quand elle en parle elle en rajoute souvent sur « le corps parfait » de sa cousine, « qu’elle est bien foutue ». Elle parle aussi parfois de la poitrine de Laura qui est « trĂšs grosse », « Laura ne peut pas se permettre de ne pas porter de soutien-gorge vu la taille de ses seins », « trop grosse poitrine pendant qu’elle Ă©tait enceinte et lui faisait mal au dos ». Marine ne le remarquait pas, mais ces petites phrases sur sa cousine m’émoustillaient de plus en plus. A chaque fois qu’on voyait Laura (vu la distance, cela arrivait relativement rarement), je cherchais Ă  profiter le plus possible de la vue qu’offrait ses dĂ©colletĂ©s : sans ĂȘtre plongeants, la cousine avait tendance Ă  porter des tenues qui la mettaient bien en valeur, et j’ai fini par estimer qu’elle avait un gros 90C, peut-ĂȘtre mĂȘme D.
Pour en revenir Ă  mon histoire, nous Ă©tions lĂ , Ă  profiter du soleil dans le jardin des beaux-parents, Marine et Laura Ă  papoter sur des transats cĂŽte Ă  cĂŽte, moi sur un autre transat, en face, et la petite ChloĂ© Ă  jouer au milieu. Les filles parlaient de tout et de rien, des bĂ©bĂ©s bien sĂ»r, de ChloĂ©, du fait que Laura aimerait mettre en route un deuxiĂšme enfant pour ne pas avoir trop d’écart entre les deux
 J’avoue ne pas avoir tout suivi de leurs discussions. Elles se mirent d’accord pour aller faire les boutiques ensemble le lendemain, Laura voulant profiter que son homme soit lĂ  pour garder ChloĂ©. Je dĂ©clinais l’invitation d’aller avec elles. Certes, j’aurais peut-ĂȘtre eu l’occasion de voir Laura dans des tenues lĂ©gĂšres, mais passer un aprĂšs-midi debout Ă  attendre qu’elles se dĂ©cident et Ă  faire tous les magasins de la ville, c’était bien cher payĂ©. Je serais bien plus tranquille en restant Ă  la maison, Ă  lire, jouer et aller me baigner. Le temps passait et je dĂ©crochai Ă  nouveau de leurs discussions, mais je jetais de temps Ă  autres des regards vers Laura qui portait une robe d’étĂ© avec de fines bretelles et qui laissait apercevoir son soutien-gorge. Les deux femmes parlaient de ChloĂ©, de ses progrĂšs, des jeux qu’elle aimait
 et s’amusaient Ă  appeler la petite, Ă  la faire danser et jouer. Elles Ă©taient concentrĂ©es sur la petite et je vis Laura se pencher vers sa fille, me dĂ©voilant une vue parfaite sur sa gĂ©nĂ©reuse poitrine Ă  travers le dĂ©colletĂ© un peu lĂąche de sa robe. Je n’en perdais pas une miette, dĂ©vorant du regard ces seins qui m’attiraient tant. Ce qui devait arriver arriva, quand je relevai enfin les yeux, je croisais le regard de Laura qui me fixait et qui avait sĂ»rement bien compris ce que je regardais avec insistance.
Je jetai un coup d’Ɠil vers Marine qui semblait captivĂ©e par ChloĂ© et qui n’avait pas dĂ» remarquer. Je ne savais pas trop comment rĂ©agir. Je venais de me faire prendre la main dans le sac, et mĂȘme si ce n’était pas dramatique, je craignais un peu que Laura fasse une remarque, mais elle n’en fit rien. Elle se redressa et continua de discuter avec Marine comme si de rien n’était. AprĂšs tout, elle devait bien ĂȘtre consciente de ses charmes et de l’attirance qu’elle provoquait chez les hommes. IntĂ©rieurement je bouillonnais. Je ne pouvais m’enlever de l’esprit cette magnifique vision des seins de Laura.
Elle finit par partir avec sa fille, nous souhaitant une bonne fin d’aprĂšs-midi et rappelant qu’elle revenait demain pour faire les magasins avec Marine. Elle me sourit et me fit la bise en partant, ne semblant pas du tout me tenir rigueur de mon regard baladeur un peu plus tĂŽt. Le reste de la soirĂ©e se passa normalement avec ma femme.
Le lendemain, vers 11h, Marine reçu un coup de fil de Laura. Elle me raconta aprĂšs que, finalement, le mari de Laura avait quelque chose de prĂ©vu en dĂ©but d’aprĂšs-midi, et qu’il ne pourrait pas garder ChloĂ© tout de suite, mais qu’elle viendrait un peu plus tard quand mĂȘme. Marine hĂ©sita Ă  aller faire les boutiques toute seule mais Laura l’encouragea Ă  y aller, comme ça elle pourrait voir ses achats quand elle viendrait en fin d’aprĂšs-midi. Vers 14h, Marine partit donc en ville pour son shopping me laissant seul Ă  la maison.
Il faisait vraiment beau et chaud, et je m’étais mis Ă  l’aise, portant uniquement un short de bain. Je m’installai dans le jardin pour lire, mais au bout de 20 minutes on sonna Ă  la porte d’entrĂ©e. Je m’approchai et jetai un coup d’Ɠil par la fenĂȘtre ; aprĂšs tout, je n’étais pas chez moi et ça aurait peut ĂȘtre surpris des amis des beaux-parents de me voir ouvrir torse nu. Je reconnus immĂ©diatement la jolie silhouette de Laura et me prĂ©cipitai pour ouvrir et la faire entrer.
Moi : Bonjour Laura. Tu viens tît finalement ; c’est dommage Marine est partie y a moins d’une demi-heure

Laura : Oui, finalement on a pu s’arranger avec Marc et il garde ChloĂ©.
Moi : Ok. Tu veux appeler Marine ? Vous pourriez vous rejoindre et faire les boutiques comme prévu.
Laura : Non, je vais pas la dĂ©ranger maintenant. Tant pis on remettra ça une prochaine fois. Et puis il fait tellement chaud aujourd’hui que ça n’aurait pas Ă©tĂ© si agrĂ©able que ça.
Je faillis lui rĂ©pondre que tous les magasins Ă©taient climatisĂ©s mais aprĂšs tout, elle Ă©tait assez grande pour savoir ce qu’elle voulait. Je lui propose de s’installer dans le jardin et vais chercher Ă  boire. Quand je reviens elle s’est allongĂ©e sur un des transats. Cette fille est vraiment magnifique. Elle porte une jupe noire qui lui arrive Ă  mi-cuisse et un dĂ©bardeur turquoise qui laisse apparaĂźtre le haut de sa jolie poitrine. Elle me remercie en prenant le verre que je lui tends avec le sourire, et je m’installe Ă  mon tour sur le transat Ă  cĂŽtĂ© d’elle.
Nous bavardons un peu et, aprĂšs quelques minutes, elle annonce qu’avec ce temps, elle va en profiter pour bronzer un peu. La voilĂ  qui retire ses sandalettes, sa jupe et son dĂ©bardeur, dĂ©voilant un bikini colorĂ©. Elle sort ses lunettes de soleil de son sac et s’installe confortablement sur le transat. De mon cĂŽtĂ©, je reprends le livre que j’avais laissĂ© pour lui ouvrir et continue ma lecture. Autant vous dire que je n’avance pas beaucoup : je ne peux m’empĂȘcher de jeter de petits coups d’Ɠil sur le cĂŽtĂ©, rĂ©guliĂšrement. Avec ses lunettes de soleil, je ne sais pas trop si elle regarde vers moi ou non, mais c’est trop tentant. Je contemple ses jolies formes et ses longues jambes dĂ©nudĂ©es, un vrai rĂ©gal pour les yeux. De temps en temps, elle dĂ©place les bretelles du haut de son bikini, les faisant plus ou moins descendre sur ses Ă©paules et le haut de ses bras, sĂ»rement pour Ă©viter des traces de bronzage.
Dans ma tĂȘte tout se bouscule, j’ai cette magnifique crĂ©ature Ă  mes cĂŽtĂ©s mais je ne peux trop rien faire malgrĂ© mon envie. Plusieurs minutes passent sans que nous n’échangions un mot, et Laura finit par se retourner sur le ventre. Elle tourne la tĂȘte vers moi et semble me regarder mais ne dit rien pendant quelques instants, semblant hĂ©siter un peu.
Laura : Ça te dĂ©range si j’enlĂšve mon haut
 ? C’est rare de pouvoir bronzer ainsi sans avoir plein de monde autour de soi
 J’aurais moins de marques de bronzage pour une fois.
J’ai cru mal entendre et j’ai dĂ» faire une telle tĂȘte qu’elle se mit Ă  sourire.
Moi : Heu
 non fait comme tu veux
 ça ne me dĂ©range pas.
J’imagine dĂ©jĂ  ses gros seins nus sous mes yeux, je dois rĂȘver ! En fait, elle dĂ©grafe simplement son soutien-gorge, restant allongĂ©e sur le ventre et retirant les deux bretelles de ses bras. En jetant toujours des petits coups d’Ɠil vers elle le plus discrĂštement possible, je remarque qu’on peut voir un peu la courbure du cĂŽtĂ© de sa poitrine, aplatie contre le transat. C’est bien loin de ce que j’imaginais, mais c’est dĂ©jĂ  quelque chose. Quelques minutes passent Ă  nouveau. Il faut que je trouve un moyen d’en voir plus, c’est une occasion unique. Je pourrais proposer d’aller se rafraĂźchir dans la piscine, mais elle remettrait sĂ»rement son haut. Peut-ĂȘtre que son petit manĂšge est en fait une invitation, mais je ne peux pas lui sauter dessus comme ça : si je me trompe ça risque de faire beaucoup de tort Ă  mon couple. Il me vient finalement une idĂ©e qui me satisfait, le coup de la crĂšme solaire ! C’est une bonne occasion de me rapprocher et, si elle le prend mal, mon intention peut paraĂźtre louable.
Je me lĂšve donc et attrape un tube de crĂšme solaire qui n’était pas trĂšs loin, car on en a rĂ©guliĂšrement besoin quand on profite du soleil dans le jardin. Je m’approche de Laura qui n’a pas bougĂ© :
Moi : Tu devrais mettre un peu de crĂšme solaire, sinon au lieu d’ĂȘtre bronzĂ©e tu vas finir comme une Ă©crevisse.
Ne lui laissant pas trop le temps de répondre, je continue, venant juste à ses cÎtés.
Moi : Tu veux que je t’en Ă©tale sur le dos ?
AprÚs un bref instant de réflexion, elle finit par me dire oui.
Je m’assois sur le bord de son transat et commence Ă  Ă©taler de la crĂšme sur son dos. Je m’applique, insistant longuement pour profiter le plus possible de ce moment et de sa peau douce. Elle dĂ©place ses bras pour poser sa tĂȘte sur ses mains. Mon Ă©talage de crĂšme se transforme de plus en plus en massage et elle semble apprĂ©cier. Je lui masse les Ă©paules et la nuque, avant de repartir sur toute la longueur de son dos. Puis je remonte en passant mes mains sur ses hanches, longeant ses cĂŽtes dĂ©licatement, jusqu’à venir effleurer le cĂŽtĂ© de sa poitrine. Je n’insiste pas dans un premier temps et recommence plusieurs fois la manƓuvre, sans observer de rĂ©action nĂ©gative de la part de Laura. Elle semble profiter Ă©galement du moment, me laissant faire malgrĂ© mes caresses de plus en plus Ă©loignĂ©es de l’objectif initial. Mes mains glissent avec douceur sur sa peau, alors que je reviens rĂ©guliĂšrement sur les cĂŽtĂ©s, venant caresser du bout des doigts les cĂŽtĂ©s de sa belle poitrine pressĂ©e contre le transat. Je profite de la situation, cherchant la limite. AprĂšs tout, elle me laisse faire alors qu’elle pourrait me repousser ou au moins faire une remarque sur le fait que je dĂ©passe les bornes. Plus le temps passe et plus mes doigts remontent, jusqu’à caresser franchement les cĂŽtĂ©s de ses seins dont j’apprĂ©cie la rondeur et la douceur. Je suis de plus en plus excitĂ© par la situation et cela me fait perdre la notion du risque : il faut que je tente d’en avoir plus. Au pire tout s’arrĂȘte et j’en aurais bien profitĂ©.
Je la fixe, continuant mes caresses, mais cette fois-ci, mes mains glissent nettement plus loin sur les cĂŽtĂ©s, mes doigts touchant son bas-ventre, puis son ventre, arrivant Ă  la base de ses seins, venant les empaumer. Ca y est ! J’ai les seins de Laura dans mes mains, du moins une partie. Je sens ses tĂ©tons qui me semblent avoir durcis sous mes doigts. Elle frissonne et se mordille les lĂšvres. Sans doute est-elle aussi prise de doute entre le plaisir et ce sentiment de faire quelque chose d’interdit. Je profite de son incertitude pour caresser ses seins, me penchant sur elle et venant murmurer Ă  son oreille :
Moi : « Mmm tu es tellement belle Laura
 Tu ne peux pas savoir depuis combien de temps je rĂȘve de pouvoir te caresser ainsi  »
Elle ne rĂ©pond pas, mais elle ne m’a toujours pas repoussĂ©. Je continue de caresser ses seins, dĂ©posant quelques baisers sur son Ă©paule. Finalement, je me lance et la fait se retourner vers moi, pour qu’elle soit sur le dos et que je puisse enfin contempler l’objet de ma convoitise. Elle est tendue, mais se laisse relativement faire. Je la regarde ainsi Ă©tendue Ă  mes cĂŽtĂ©s ; la forme de sa poitrine est bien ronde, tombant lĂ©gĂšrement sur les cĂŽtĂ©s dans cette position. Je n’hĂ©site pas et reviens dĂ©poser mes mains sur ses seins, jouant avec, sans retenue Ă  prĂ©sent, les faisant bouger dans tous les sens. Sa poitrine est vraiment parfaite, pas trop ferme, ce qui permet de bien la faire bouger, sans pour autant qu’elle soit vraiment molle. J’adore et ne cache pas mon plaisir. De son cĂŽtĂ© je sens qu’elle est excitĂ©e Ă©galement, ses tĂ©tons ayant complĂštement durcis Ă  prĂ©sent.
Cette situation me rassure : elle est trĂšs passive, et si elle dĂ©cide d’arrĂȘter, elle sera fautive de m’avoir laissĂ© faire aussi longtemps. Je m’enhardis et me penche sur elle venant dĂ©poser des baisers sur le haut de sa poitrine, puis je commence Ă  embrasser ses seins l’un aprĂšs l’autre, ses jolis tĂ©tons tout durs, puis je les prends carrĂ©ment en bouche, les suçant et les mordillant doucement. Laura laisse Ă©chapper un petit soupir retenu, elle semble ĂȘtre assez sensible de la poitrine et cela me ravit. Je reprends mes baisers sur sa poitrine, remontant vers son cou, sa gorge, dĂ©posant un baiser au coin de ses lĂšvres. Elle ne se dĂ©robe pas et je finis par l’embrasser, d’abord trĂšs dĂ©licatement, puis avec plus de passion. Elle rĂ©pond Ă  mon baiser et nos langues se rejoignent, se frottant l’une contre l’autre dans un ballet sensuel.
Quand enfin nous cessons ce long baiser, elle murmure :
Je n’allais pas laisser passer cette chance avec Laura, et tentai d’ĂȘtre le plus convainquant possible

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Ma femme me trompe juillet 22, 2013 Dans "Histoires"
moi j aurais fait de meme voire plus je suis une femme adore la queue mais me laisse tenter par une grosse paire de seins en lisant je me suis mise a mouiller hum c est bon y a fallut que je me doigtes j adore sa
incroyable,je bande comme un taureau
Je suis bisexuel et candauliste, je trouve cette histoire superbement bandante
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