Une heure de souffrance pour la jeunette

Une heure de souffrance pour la jeunette




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Une heure de souffrance pour la jeunette
Encore une pauvre petite adolescente en pleine crise allez vous dire. Bah oui ! Et je trouve qu'on prend trop à la légère ces crises surtout les parents qui ne pensent que cela n'arrive qu'aux autres...
Il est presque minuit je suis déjà dans mon lit. Je dis déjà parce qu'on faisait la fête ce soir et que je devrai être avec mes potes grisée par le champagne à faire la folle. Je pense qu'ils n'ont même pas remarqué que je suis partie. Que sont-ils pour moi après tout ? Je dis qu'ils sont mes potes... Quel est la différence entre ami et pote ? Ai-je seulement des amis ? Si se sont mes amis pourquoi ils n'ont comme image de moi qu'une fille qui est plutôt gamine, un brin éméchée... Car c'est ainsi qu'il me voit, toujours souriante, insouciante, qui semble ne pas avoir de problèmes... Ce n'est qu'une image, l'image extérieure que j'affiche pour faire comme tout le monde, pour s'intégrer à la société, pour entrer dans le moule qu'on m'impose. C'est l'image que je donne mais qui peut me dire ce que je suis de l'intérieur ?

Il est presque minuit, ce soir "c'est la fête", et moi je suis seule, étendue dans mon lit à attendre que l'orage passe. Je pleure... mes larmes noient mon visage, mon coeur, mon âme (si j'en ai une...). Je sombre, je coule, je m'étouffe... en silence. Une dispute avec mes parents a eu lieu et je suis là à pleurer... en silence. Je suis faible, je pleure. Mais pourquoi personne ne vient me secourir ? Pourquoi personne ne vient briser ce sombre silence ?

Je repense à la dispute... Ce n'était qu'un petit détail qui a encore tué un peu plus la relation entre mes parents et moi... Je ne les déteste pas, ils ne sont pas "méchant" mais ils ne me comprennent pas... Je ne les comprend pas non plus d'ailleurs... Ce qui m'énerve c'est qu'ils ne comprennent pas certains mots... comme par exemple me "laisser tranquille"... ça n'existe pas dans leur dictionnaire ou quoi ? Quand je leur demande de me laisser tranquille mais eux s'entête à vouloir parler... Parler de quoi ? La seule discussion possible avec eux a comme sujet l'école et les notes. Ah ! Chose cruciale que sont les notes dans une vie ! Les notes ! Il n'y a que ça qui compte... Que suis-je pour eux ? Je suis un... truc qui ramène des notes (des bonnes sinon c'est l'engueulade assurée) et qui doit travailler toujours et toujours plus pour ramener la meilleure note possible. En fait, c'est réciproque. Ils ramènent la tune. Ils sont des machines à sou pour moi... Ils se m'ont jamais montrer la moindre once d'amour. Jamais ils ne m'ont embrassé, jamais ils ne m'ont prise dans leur bras, jamais ils ne m'ont dit "je t'aime", jamais ils ne m'ont donner des petits noms affectifs... J'en fait de même pour eux... S'ils veulent que ça change il faudra qu'ils changent. Comment ? Je n'en ai aucune idée. La situation est trop désespérer pour espérer... Moi qui disais toujours que l'espoir ne meurt jamais... tu parles...

Je ne sais pas pourquoi mais en fait les paroles des autres me marquent plus qu'elles ne devraient... Par exemple si quelqu'un me dit qu'il préfère que je porte cette coiffure par rapport à une autre je vais plus souvent me faire la coiffure qu'il trouve meilleur (c'est pas très français tout ça mais bon...). Mais alors pourquoi ? Pourquoi écouté l'avis des autres plutôt que mon propre opinion ? Mon opinion... Ai-je mon propre opinion ? Ou est-ce que je ne prend pas tout simplement l'opinion des autres ? N'ai-je donc pas une âme ? Ne puis-je pas être moi-même ? Est-ce que je suis seulement quelqu'un ? Ne suis-je pas plus un produit de la société que celui de la nature ?

J'en ai marre de toutes ces questions sans réponses. Mes parents ne peuvent pas savoir à quel point j'en ai marre de la vie, de mon frère, de mes prétendus amis, d'eux tout simplement. J'en ai marre de la pression qu'on nous exerce, marre des moments où ils croient que tout va bien alors que tout va mal, marre d'eux quand ils croient qu'ils ont fait tout leur possible pour vous, marre des personnes qui vous donnent une fausse amitié, marre d'eux lorsqu'ils croient qu'ils vous sont indispensables, que votre vie repose sur leur stupides petites épaules... Mes parents ne comprennent rien, ils ne savent ni mes voeux ni mes besoins... Je suis quelqu'un de trop difficile pour eux. C'est vrai je suis difficile, compliquée, contradictoire... Tout en moi frise l'hystérie. Je veux de l'amour, mais je veux qu'on me laisse tranquille... Qu'est ce que ça veut dire ? M'aimer mais pas trop ? Je ne sais pas... Je ne sais plus... Trop de choses se contredisent. Ma tête va éclater... Mon coeur est lacéré en lambeaux... Je me noie complètement en moi même... Mon Intérieur est comme la toile que vous pouvez voir au dessus (oui, le truc informe n'est pas une poignée de cheveux ou un assortiment de bestioles en tout genre, c'est un toile)... C'est une toile de Jackson Pollock, Autumn Rythm, 1950 . Mon Intérieur est All-over dans le sens où comme la toile toutes mes pensées s'ouvrent mais ne trouvent pas de réponses, jamais une question n'est résolue, jamais un sujet se termine et jamais ma souffrance ne s'arrête quoi que je me dise, quoi que je me cache...

Je suis faible, trop faible... trop faible pour continuer le combat... trop faible pour tenir tête à la vie, trop faible pour espérer un signe du Destin qui ne vient pas...

La vie est un songe, captivant certes mais aussi destructeur. C'est un mirage du Paradis qui vous fait croire que celui-ci est beau. C'est une déesse capricieuse jouant avec la crédulité des Hommes. Tout ce que la vie vous donne un jour elle vous le reprend le lendemain. La vie est en fait qu'un immense labyrinthe. Que fait on dans cette vie ? On se fraye un chemin parmi tant d'autres. Espérant toujours, ne trouvant jamais... La sortie, qu'est-ce ? C'est la mort qui vous sourit... La Mort qu'est ce ? une traîtresse ? une amie ? La Faucheuse est-elle une sainte ?
Si j'avais la force nécessaire j'écrirais beaucoup de choses. Je voudrais étaler mes pensées comme semer une route de fleurs. Je veux que les mots pleuvent guider par mes sens. J'écrirai entre autres... pas mal de conneries mais je dirais tout ce qui me passe à l'esprit comme le sourire béat de mon père, l'étroitesse d'esprit qu'a ma mère, la stupidité gamine de mon frère, les goûts vestimentaires décadents de mes proches, l'hypocrisie insatiable régnant partout où je vais... Mais... Il se fait tard. Maintenant ma main s'engourdie, la lassitude me gagne. Peut être que demain ira mieux, peut être que la nuit enlèvera mes soucis... Je sais que c'est faux mais je en peux m'empêcher d'espérer et de rêver... Peu être que le sommeil chasse la peine...

Une dernière question pourtant me hante... Que suis-je vraiment ? Suis-je la fille souriante et insouciante de tous les jours ? Ou suis-je la personne déchirée et mal dans sa peau que personne ne connaît ? Je suis peut être les deux... ou peut-être je suis ni l'un ni l'autre... Peu- être je suis ce que je veux après tout... Je suis peut-être en fait... rien de tout cela... je suis... rien... je ne suis rien d'important dans ce vaste monde...

Il est 1heure du matin et je pleure en silence, seule, étendue dans mon lit...
Extrait du site https://www.france-jeunes.net
Extrait du site https://www.france-jeunes.net

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L’autre jour, j’ai rencontré une jeune femme de 19 ans. Au cours de notre conversation, elle m’a révélé qu’elle souffrait - nuit et jour - du syndrome des jambes sans repos. Elle m’a appris dans la foulée que ce mal était la conséquence d’une forte rupture familiale. La famille, cocon pour grandir en toute sécurité? En tant qu’animateur de l’émission La Ligne de cœur de la RTS, j’entends, jour après jour, des témoignages de souffrance, dont bon nombre d’origine familiale. Si notre émission de fin de soirée n’était utile qu’à une seule chose, ce serait à ouvrir un espace d’expression à de nombreuses personnes en souffrance. Jour après jour, semaine après semaine, jeunes et moins jeunes prennent la parole pour parler de leurs tourments présents ou passés. Les échos aux témoignages à l’antenne attestent que les témoins s’expriment aussi au nom de nombreuses victimes, qui préfèrent garder le silence, mais se sentent ainsi reconnues dans leur propre souffrance. Au fil des émissions, j’ai appris plusieurs choses. La première, c’est que l’abuseur narcissique n’est que très rarement celui qui entreprend une démarche pour demander pardon à sa victime. Dans l’immense majorité des cas, ce sont les victimes qui franchissent un premier pas pour sortir de leur galère. En appelant La Ligne de cœur par exemple ou en décidant d’en parler de façon plus générale. J’observe que c’est là souvent l’étape décisive vers une réconciliation espérée. Avec soi-même et parfois avec l’agresseur ou la personne avec laquelle on est en conflit. Tout récemment, l’appel à La Ligne de cœur d’une grand-maman à laquelle son fils refusait tout contact avec ses petits-enfants a connu un dénouement heureux. Ce fils a reconnu sa mère. Il nous a envoyé un SMS pour dire qu’il revenait sur sa décision. Malheureusement, la plupart du temps, le chemin de la réconciliation avec la personne avec laquelle on est en conflit est plus long, voire impossible. Dans bon nombre de cas, seule la réconciliation avec soi-même semble pouvoir dégager l’horizon bouché de l’existence. Certains trouveront tout au fond d’eux l’énergie d’aller de l’avant, de pardonner. D’autres dans une aide extérieure, dans un engagement porteur de sens ou encore dans la foi. Mais leur point commun est d’avoir renoncé à laisser leur statut de victime devenir leur seule identité.
Jean-Marc Richard, animateur radio-télé, notamment de l’émission La Ligne de cœur, sur la RTS
Editorial du Quart d'heure pour l'essentiel publié pour Pâques.
Claude Grandjean, ancien chef d’entreprise, a publié «L’échec, premier pas vers la réussite» (éd. Farel). Interview.
Noémi Giradet, vingt-trois ans, a la nage pour passion et pas seulement, elle en a fait son activité principale. Entre les compétitions, les voyages et les entraînements, il ne reste pas beaucoup de temps à…


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Les Young Boys demeurent la risée du pays. Le FC Sion a su échapper au triste sort des Bernois lors des quarts de finale de la Coupe de Suisse. Il s'est imposé 5-1 devant Kriens.
Mais pendant plus d'une heure, Christian Constantin a pu redouter que son équipe se prenne les pieds dans le tapis face au leader de la Promotion League. Le manque de tranchant des siens en début de match et l'ouverture du score des Lucernois à la 31e sur un but "inventé" par le malheureux Anton Mitryushkin pouvaient, en effet, laisser présager le pire.
Les Sédunois ont su contourner le piège grâce à la complicité du gardien Sebastian Osigwe qui a a été abusé sur un long coup franc de Bia juste avant la pause. Avec cette égalisation presque inespérée, les Sédunois n'ont pas douté très longtemps. Mais elle n'a pas empêché Christian Constantin de s'autoriser une seconde incursion vers son banc. La proximité présidentielle a peut-être inspiré Moussa Konaté. En l'espace de deux minutes, le Sénégalais a offert la victoire à ses couleurs.

Un triplé pour Konaté, un doublé pour Bia

A la 65e, il signait le 2-1 sur une belle percée après un service d'Akolo. A la 67e, il marquait le 3-1 de la tête sur un centre de Pa Modou. La messe était dite. Malgré leur bravoure et un jeu direct qui a posé des problèmes à la défense adverse, le SC Kriens ne marchera pas sur les traces du FC Winterthour, auteur la veille d'un improbable exploit la veille au Stade de Suisse.
A la 78e, Geoffey Bia réussissait pour sa part le doublé pour le 4-1. Avec cinq buts inscrits lors de ses quatre derniers matches, le Belge donne enfin sa pleine mesure. Il sera délicat désormais pour Peter Zeidler de ne pas lui offrir cette place de titulaire qu'il revendique. Buteur une troisième fois à la 83e, Konaté a rappelé à son entraîneur qu'il était, lui, indiscutable.
A la faveur de cette victoire, la quatrième de rang, le FC Sion n'est plus qu'à une marche d'une quatorzième finale en Coupe de Suisse. Pour assurer le succès populaire de cette finale qui se déroulera le jeudi 25 mai pour la première fois au Stade de Genève, la présence du FC Sion est souhaitable. Mais Christian Constantin et Peter Zeidler sont pleinement conscients de la nécessité de présenter le 5 avril lors de la demi-finale un jeu plus convaincant pour honorer ce rendez-vous du 25 mai.

Réforme des retraites, bien-être animal et taxation des entreprises au menu du troisième dimanche de votations de l'année.
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