Une grosse traînée indienne

Une grosse traînée indienne




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Une grosse traînée indienne
Généreusement offert par Dissectional à 23:57 - Permalien [ # ]
Bien. D'ici trois petits jours, mon contrat s'achève, et ma collocataire et moi embarquons pour les Cornouailles, en compagnie de l'indienne et d'une autre française. Dernière virée entre filles, en tongs, paréos et lunettes de soleil - quelque soit le temps - avant de s'envoler pour l'Allemagne et la France.
Je ne ferai pas de bilan ici car je pense ne pas avoir besoin de convaincre grand monde en disant qu'un bilan sur huit mois est tout de même bien meilleur de vive voix. De toute façon, l'Angleterre ne m'a pas beaucoup changée sur ce point, je ne partage pas ce que je "ressens", parce que les sentiments ne sont pas le fort de la famille, et pour preuve, les parents divorcent, la fille chérit son félin davantage que les êtres humains, et j'en passe. Bref, je n'étale rien. Rien. A part ma merde sur les murs lorsque je suis Frustration.
Ainsi donc, je retracerai dans ces dernières lignes les derniers jours passés dans les West Midlands. Dernière grande virée à Birmingham avec la joyeuse troupe des assistants, plus ou moins en couple avec un turc (?), une virée à £50 en taxi pour rentrer chez soi, et tout cela en parvenant à garder mon foie intact : un coca et une S********* Ice. Olé.
Après la virée à Birmingham, nous sommes partis à York avec la collocataire allemande, la française, l'indienne et son homme britannique qui a bien voulu nous conduire jusqu'à la ville en question ... et c'était bien de la merde. Et je pèse mes mots : York est le pire des trous à touristes, avec une cathédrale à £8 l'entrée pour un pauvre édifice sans le moindre caractère, sans la moindre atmosphère, et le tout rempli de quinquagénaires ménopausées assises derrière des bureaux IKEA ... sympa. Un autre chateau avec une vue pourrave à £4 l'entrée, un millier d'oies à la con mangeant et déféquant à tout va dans tous les espaces verts - l'une d'entre elles a d'ailleurs tenté de pincer mon jean pour me persuader de lui donner mon sorbet ... ma victoire est discutable car l'oie s'est vengée en étalant une certaine quantité de merde verdâtre sur mes vêtements -, des glaces dégueux, des remparts de quatre mètres de hauteur seulement - de la daube si l'on pense à ceux de ma bonne vieille ville natale -, une canicule à vous en faire fondre le rectum, bref, un bijou. Heureusement, la gaité de mes joyeux compères a bien arrangé les choses. Pour le positif, j'ajoute une bataille d'eau, des blagues salaces, des étrons, une foule hors du commun, une architecture sublime, des coupains supers.
Après ça, je me suis mise au sport. Oui. Après le gavage, le sevrage. Cela fait trois jours hein. Ne crions pas victoire.
En revanche, là où je crie victoire, c'est que mon contrat est prolongé d'une année supplémentaire, donc je ne resterai pas à LR après l'été. Hors de question de faire le Master pourrave de LR, ni aucun autre Master d'ailleurs, compte tenu du fait que je refuse catégoriquement de poursuivre mes études (ahahahaha) dans un pays où l'administration fait la pluie et le beau temps. En clair, je préfèrerais sucer le menton de Francis Lalanne que de revoir la triste gueule de ces poufiasses de la F*LASH. La leur ou celle de tout autre collègue fonctionnaire français d'ailleurs. Jamais. Plutôt crever sur le trône en chiant des bhajis et en chantant du Dalida.

Le temps presse, trois jours de boulot, un barbecue d'adieu avec les anglais et les filles, un restaurant indien, un cinéma, six heures de train, Penzance et les Cornouailles, retour mercredi, j'emballe des colis et mes valises et je décolle samedi prochain.
Au revoir. Merci, et rendez-vous en septembre.

Généreusement offert par Dissectional à 23:57 - Permalien [ # ]
Bien. D'ici trois petits jours, mon contrat s'achève, et ma collocataire et moi embarquons pour les Cornouailles, en compagnie de l'indienne et d'une autre française. Dernière virée entre filles, en tongs, paréos et lunettes de soleil - quelque soit le temps - avant de s'envoler pour l'Allemagne et la France.
Je ne ferai pas de bilan ici car je pense ne pas avoir besoin de convaincre grand monde en disant qu'un bilan sur huit mois est tout de même bien meilleur de vive voix. De toute façon, l'Angleterre ne m'a pas beaucoup changée sur ce point, je ne partage pas ce que je "ressens", parce que les sentiments ne sont pas le fort de la famille, et pour preuve, les parents divorcent, la fille chérit son félin davantage que les êtres humains, et j'en passe. Bref, je n'étale rien. Rien. A part ma merde sur les murs lorsque je suis Frustration.
Ainsi donc, je retracerai dans ces dernières lignes les derniers jours passés dans les West Midlands. Dernière grande virée à Birmingham avec la joyeuse troupe des assistants, plus ou moins en couple avec un turc (?), une virée à £50 en taxi pour rentrer chez soi, et tout cela en parvenant à garder mon foie intact : un coca et une S********* Ice. Olé.
Après la virée à Birmingham, nous sommes partis à York avec la collocataire allemande, la française, l'indienne et son homme britannique qui a bien voulu nous conduire jusqu'à la ville en question ... et c'était bien de la merde. Et je pèse mes mots : York est le pire des trous à touristes, avec une cathédrale à £8 l'entrée pour un pauvre édifice sans le moindre caractère, sans la moindre atmosphère, et le tout rempli de quinquagénaires ménopausées assises derrière des bureaux IKEA ... sympa. Un autre chateau avec une vue pourrave à £4 l'entrée, un millier d'oies à la con mangeant et déféquant à tout va dans tous les espaces verts - l'une d'entre elles a d'ailleurs tenté de pincer mon jean pour me persuader de lui donner mon sorbet ... ma victoire est discutable car l'oie s'est vengée en étalant une certaine quantité de merde verdâtre sur mes vêtements -, des glaces dégueux, des remparts de quatre mètres de hauteur seulement - de la daube si l'on pense à ceux de ma bonne vieille ville natale -, une canicule à vous en faire fondre le rectum, bref, un bijou. Heureusement, la gaité de mes joyeux compères a bien arrangé les choses. Pour le positif, j'ajoute une bataille d'eau, des blagues salaces, des étrons, une foule hors du commun, une architecture sublime, des coupains supers.
Après ça, je me suis mise au sport. Oui. Après le gavage, le sevrage. Cela fait trois jours hein. Ne crions pas victoire.
En revanche, là où je crie victoire, c'est que mon contrat est prolongé d'une année supplémentaire, donc je ne resterai pas à LR après l'été. Hors de question de faire le Master pourrave de LR, ni aucun autre Master d'ailleurs, compte tenu du fait que je refuse catégoriquement de poursuivre mes études (ahahahaha) dans un pays où l'administration fait la pluie et le beau temps. En clair, je préfèrerais sucer le menton de Francis Lalanne que de revoir la triste gueule de ces poufiasses de la F*LASH. La leur ou celle de tout autre collègue fonctionnaire français d'ailleurs. Jamais. Plutôt crever sur le trône en chiant des bhajis et en chantant du Dalida.

Le temps presse, trois jours de boulot, un barbecue d'adieu avec les anglais et les filles, un restaurant indien, un cinéma, six heures de train, Penzance et les Cornouailles, retour mercredi, j'emballe des colis et mes valises et je décolle samedi prochain.
Au revoir. Merci, et rendez-vous en septembre.

Veste Tête d'Indien d'Amérique L'Enfer Indien
Boucle d'Oreille Attrape-Rêve Cheffe Brillante
Taxes incluses et livraison offerte
Préparez votre shooting photo avec une belle Coiffe Indienne Traîne, elle vous donnera un look incroyable avec son long Plumage Bleu Saphir. Composition : plumes véritable Taille : ajustable Modèle : coiffe traîne Produit artisanal fait à la main LIVRAISON STANDARD GRATUITE
Méthodes de paiement American Express Apple Pay Mastercard Visa
LIVRAISON GRATUITE DANS LE MONDE ENTIER
RETOURS GRATUITS DANS LE MONDE ENTIER
30 JOURS DE GARANTIE POUR TOUS LES PRODUITS
PAIEMENT 100% SÉCURISÉ AVEC CRYPTAGE SSL
Promotions, nouveaux produits et soldes. Directement dans votre boîte de réception.
5 Avenue du Général de Gaulle 94160 Saint-Mandé 07.56.99.78.57
Une personne de , France a acheté Botte Indienne Original
Une personne de , France a acheté Botte Indienne Navajo
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Petite Frange
Une personne de , France a acheté Botte Indienne Été
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Color Native
Une personne de , France a acheté Bottes Indienne Western
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Simplicité
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Western à Franges
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Cloutées à Franges
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Indian Boots
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Suédine Noir
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes en Suédine Marron
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Native Cowgirl
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Franges
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Haute Native
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Native Boots
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Tixa
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Haute Frange N.
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Beauté Cheyenne
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Rose
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Cuir à Franges
Une personne de , France a acheté Bottes Indienne Cavalière
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Trio de Franges
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Franges de Tribu
Une personne de , France a acheté Bottes Indiennes Native C.

Pour nous soutenir, acceptez les cookies
Le 19 mars 2020 à 16h30 , modifié le 19 mars 2020 à 23h31
Pour soutenir le travail de notre rédaction, nous et nos partenaires utilisons des cookies pour stocker et/ou accéder à des informations sur votre terminal. Le traitement de certaines données personnelles (telles que les adresses IP, les données de navigation, d'utilisation ou de géolocalisation, les identifiants uniques ou les interactions avec les réseaux sociaux) nous permet de financer l'information disponible sur notre site et d'améliorer notre offre via l'analyse et la mesure d'audience ainsi que l'affichage et la mesure de performance des publicités et/ou des contenus personnalisés.
Cliquez sur "Accepter" pour consentir ou paramétrez vos choix. En cliquant sur "Continuer sans accepter", vous refusez tout dépôt de cookies sur votre terminal. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment sur notre site. Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matière de cookies, consultez notre charte cookies .
Cette affaire de viol vieille de sept ans n'en finit pas de hanter l'Inde. Jeudi, quatre hommes responsables du viol collectif et du meurtre d'une étudiante, en décembre 2012, devaient être exécutés, au terme d'un feuilleton judiciaire interminable pour les familles des victimes.
Après déjà trois reports de dernière minute, Mukesh Singh, Vinay Sharma, Pawan Gupta et Akshay Thakur devaient être pendus à 5h30 locales (1 heure du matin en France) dans la prison de Tihar, à New Delhi. Les quatre détenus ont épuisé leurs recours judiciaires contestant leur condamnation à mort pour le viol et le meurtre de Jyoti Singh.
La dernière pendaison en date en Inde remontait à 2015. Il s'agit d'une application exceptionnelle de la peine de mort en Inde
In loving memory of Jyoti Singh, the Delhi Braveheart. Tonight, justice will be done. #Nirbhaya pic.twitter.com/8EIvcIxF5S
Des six hommes arrêtés par les forces de l'ordre après les faits, le meneur présumé est mort en détention quelques semaines plus tard, officiellement suicidé. Un autre, encore mineur à l'époque, a bénéficié d'une peine réduite en raison de son âge et a été libéré au bout de trois ans.
Le dimanche 16 décembre 2012 au soir, Jyoti Singh, étudiante de 23 ans, sort d'une séance du film « L'odyssée de Pi » dans un grand centre commercial, accompagnée d'un ami. Ils montent dans un bus privé tenu par une bande ivre de six hommes, croyant qu'il s'agissait d'un transport collectif allant dans leur direction.
À bord, son ami est passé à tabac . Pendant une vingtaine de minutes, la jeune femme est sauvagement violée à l'arrière du bus roulant à travers la capitale, lumières éteintes, et grièvement blessée avec une barre de fer. Les agresseurs se débarrassent des deux victimes au bord d'une route.
La jeune femme est soignée à Singapour. Pendant son hospitalisation, l'affaire est médiatisée et provoque une onde de choc dans l'opinion publique. De gigantesques manifestations spontanées redoublent avec sa mort des suites d'une hémorragie interne, le 29 décembre.
« Le mouvement qui a suivi le viol en réunion de 2012 a été comme un barrage qui cède », explique Kavita Krishnan, militante pour les droits des femmes. Ce drame, survenu au cœur de la capitale, a touché une corde sensible auprès de la jeunesse indienne.
Dans une société changée en profondeur par vingt ans de libéralisation de l'économie, nombre d'Indiennes et d'Indiens se sont identifiés à cette jeune femme souhaitant faire des études et avoir un travail, plutôt que de vivre sous la tutelle d'un mari et rester au foyer.
Ce viol de « la fille de l'Inde » a vu le choc brutal de deux visions sociétales antagonistes. D'un côté, une classe moyenne émergente, aspirant à l'émancipation et à la liberté individuelle, en particulier pour les femmes. De l'autre, une conception conservatrice traditionnelle considérant les femmes comme inférieures aux hommes.
« Une fille décente ne traîne pas dehors à neuf heures du soir. Une fille est bien plus responsable du viol qu'un garçon », se justifiait ainsi Mukesh Singh, l'un des violeurs, dans un documentaire de la BBC sorti en 2015 et qui a fait scandale en Inde. Le viol collectif de Delhi a forcé la société indienne à un examen de conscience.
Ce drame avait aussi braqué une lumière crue sur le lourd silence autour des violences sexuelles dans le pays, les carences de son système judiciaire en matière de lutte contre les viols et, au-delà, le traitement des femmes dans la société indienne.
Le gouvernement a durci la législation contre les violences sexuelles et prévu des procédures judiciaires accélérées. Le nombre de signalements de viols dans ce pays de 1,3 milliard d'habitants s'est envolé les années suivantes, les experts estimant que ces chiffres ne sont que la partie émergée de l'iceberg. Selon les derniers chiffres officiels incluant plus de 10 000 victimes mineures, plus de 33 000 viols ont été déclarés dans le pays en 2017.
Ce crime a fait date au point de marquer la culture populaire. L'année dernière, la plateforme vidéo Netflix a produit une série racontant la traque policière pour retrouver les suspects, tous interpellés quelques jours après les faits.
Près de 400 condamnés attendent actuellement dans le couloir de la mort en Inde mais les autorités procèdent rarement aux exécutions, les réservant aux cas emblématiques. Les peines capitales sont normalement commuées en prison à vie.
Profitez des avantages de l’offre numérique

Putain asiatique chevauche une bite française
Double pénétration en prison
Pipe dans un coin

Report Page