Une grosse queue au fond de la gorge

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Bonsoir, voila je viens à vous car je me pose quelques questions sur quelques symptomes que mon corps expriment... je vous explique je crache souvent au courant de la journée des crachats blanc voir mousseux et surtout trés collant... de ce fait je me racle trés souvent la gorge... Toujours la sensation d'avoir un truc au fond de la gorge, je précise que je suis soigné par inexium 40 pour un RGO... je suis soigné soit disant pour un asthme allergique alors que je ne me souviens pas avoir fais réellement de crise d'asthme mais le pneumologue ma quand meme donné un traitement.. Sinon j'avoue etre anxieux de temps en temps surtout vis à vis de ma santé... Je ressens défois une boule dans la gorge... je precise que je suis fumeur mais pas énormement et je ne tousse pas plus que ca... juste un peu de temps en temps mais rien d'alarmant pour ma personne... merci de vos réponses cordialement
Bonjour, Les crachats sont blancs, donc non infectés. C'est une bonne chose, mais ils sont là quand même et semble dire qu'ils proviennent d'une irritation ou d'une infammation. A ta place, je cesserais de fumer immédiatement. Il y a de forte chance que tout rentrerait dans l'ordre. Bon courage
bonjour avez vous tjs vos crachats blancs visqueux ? car j'ai le meme problème que vs ; on pensait que cela venait de mes dents (granulomes sur 2 dents) elles ont été soignées et j'ai tjs cet écoulement ds ma gorge : ce n'est pas le tabac j 'ai arrêté de fumer depuis 13 ans.J'ai des crises de sinusite mais mes sinus sont propres et j'ai des fourmillements dans les joues et gencives ?! nerveux ???? ou allergique ???
bonjour, Moi depuis 3 semaines, j ai plein de mucosites visqueuses et difficile a evacuer dans le larynx et la gorge. J ai parfois une boule a la gorge a force de racler. Le pire c est la nuit tout s accumule et le matin je crache au reveil. Je souffre de RGO mais je ne pense pas que cela puisse venir de ca.    je ne souffre pas de fievre, les crachats sont blancs et non infectes. mais ca m enerve car plus je racle ma gorge plus ca me gene Tous les ans a la meme date c est pareil, je pense que c est allergique Ras le bol Quelqu un peut il me renseigner
moi je suis bronchiteuse depuis mon enfance, et avec l'âge ça ne s'arrange pas, pourtant je n'ai jamais fumé, mais j'ai subi la fumée des autres. alors je vous supplie ne dites pas je tousse, je crache mais je fume, même si peu soit-il. prenons conscience du mal que l'on se fait et quz l'on impose aux autres
Bonsoir à tous, les crachats perlés, visqueux sont appelés les crachats de Laennec, crachats habituels chez les asthmatiques : http://www.vulgaris-medical.co [...] -7257.html Si ces crachats sont transparents, il n'y a pas d'infection. Par contre, si ça vire au jaune clair ou vert, là il serait préférable de revoir le doc pour demander des explications. J'ai moi-même depuis fort longtemps (depuis que j'ai de l'asthme : ça fait 12 longues années que ça dure) ces crachats habituels, et même sans forcément avoir une crise d'asthme. Cela prouve à quel point mes bronches sont inflammées. J'évite au maximum toute médication, parfois, je suis obligée d'utiliser de la médication allopathique, et depuis plusieurs mois, je prends symbicort matin (et depuis 2 ou 3 semaines : matin et soir, malgré le fait que j'ai essayé d'arrêter environ 1 semaine ou 15 jours, je sais plus).
Salut, je repassais dans le forum lire les posts, et je suis tombé sur celui là avec beaucoup de chance. Depuis 5-6 ans, j'ai des crachats qui me bloquent la gorge et les bronches... Je suis allé voir plusieurs fois un orl, qui m'a donné des gouttes pour les sinus qui n'y ont strictement rien fait... J'ai le plus souvent des crachats blancs, mais il arrive qu'il soient jaunes pendant quelques temps, puis ils redeviennent blanc. Par moment, surtout depuis environ 6 mois, c'est bien pire, et je m'etouffe constament... Ce serait de l'athme? PS: Je suis allé des dizaines et des dizaines de fois chez 4 generalistes differents, et j'ai posté il y a lgt dans le forum, sans avoir de certitude. Seretide n'y a pratiquement rien fait, becotide y fait, mais après, ça recommence (d'ou mon nombre élevé de consultations...), et la ventoline me soulage...
Salut, je repassais dans le forum lire les posts, et je suis tombé sur celui là avec beaucoup de chance. Depuis 5-6 ans, j'ai des crachats qui me bloquent la gorge et les bronches... Je suis allé voir plusieurs fois un orl, qui m'a donné des gouttes pour les sinus qui n'y ont strictement rien fait... J'ai le plus souvent des crachats blancs, mais il arrive qu'il soient jaunes pendant quelques temps, puis ils redeviennent blanc. Par moment, surtout depuis environ 6 mois, c'est bien pire, et je m'etouffe constament... Ce serait de l'athme? PS: Je suis allé des dizaines et des dizaines de fois chez 4 generalistes differents, et j'ai posté il y a lgt dans le forum, sans avoir de certitude. Seretide n'y a pratiquement rien fait, becotide y fait, mais après, ça recommence (d'ou mon nombre élevé de consultations...), et la ventoline me soulage...
Si le becotide et la ventoline te soulage, ça pourrait en effet être de l'asthme. Est-ce que tu as des crachats un peu perlés ? Car il s'agit d'un indice pour l'état asthmatique. Il s'agit des crachats de Laennec, que l'on recrache souvent après une crise d'asthme. J'en ai depuis que je suis asthmatique. Et j'ai aussi avant la crise, d'avoir la poitrine bouchée, avec du mucus comme s'il était au fond de la gorge, sans que je puisse l'expulser. Et c'est par la suite, que je suis de plus en plus bouchée, et que je finis par être gênée, et que j'ai une difficulté à respirer. Si tu as un peu ce genre de symptômes, ça pourrait être de l'asthme. PS : les nombreux médecins que tu as vu, ne t'ont rien dit ? Mieux vaudrait peut-être aller voir un pneumologue. Lui il te dira normalement ce que tu as. Tiens nous au courant; Bon courage.
Les médecins font la girouette... Je peux pas aller voir de pneumologue. Je sais pas ce que vous appelez perle, moi, j'ai avec les crachats des petite crachats (0,5 cm) durs, un peu comme du caouchou. Un médecin m'a donne des gouttes qui n'y ont rien fait...
Les médecins font la girouette... Je peux pas aller voir de pneumologue. Je sais pas ce que vous appelez perle, moi, j'ai avec les crachats des petite crachats (0,5 cm) durs, un peu comme du caouchou. Un médecin m'a donne des gouttes qui n'y ont rien fait...
Les glaires que l'on recrache après une crise d'asthme peuvent varier. Certains sont perlés (petites bulles accrochées les unes aux autres comme un collier de perles minuscules) ces glaires sont appelés crachats de Laennec et caractéristiques de la crise d'asthme. Mais moi-même, j'ai aussi des glaires filamenteux transparents, des petites bulles sans le collier de perle, des glaires un peu plus allongés... Je vais refaire une analyse de crachats prochainement afin de savoir si je n'aurais pas non plus une mycose à cause du symbicort. A bientôt.
Moi, ils sont filamenteux aussi, des bulles, c assez rare, mais j'ai l'impression que les crachats durs ne sont pas en colliers, qu'ils sont plutot detaches, meme si ça peut arriver qu'il se collent
Moi, ils sont filamenteux aussi, des bulles, c assez rare, mais j'ai l'impression que les crachats durs ne sont pas en colliers, qu'ils sont plutot detaches, meme si ça peut arriver qu'il se collent
On a à peut prêt les mêmes crachats. J'ai remis mon petit pot ce matin au labo pour analyse de crachats, afin de savoir si j'aurais pas une mycose (dûe au symbicort qui contient un peu de cortisone). J'aurai les résultats en début de semaine prochaine. Je t'en dirais plus. Si j'ai une mycose, je pense qu'il faudrait peut-être que tu ailles aussi faire faire une telle analyse afin de savoir si tu n'aurais pas une mycose (genre candidas albicans et autres levures indésirables). Le problème, c'est qu'en général le médecin ne prescrit pas ce genre d'ordonnances. Si moi, j'ai une mycose, j'essaierai de me faire rembourser ultérieurement par l'allergologue pour lui montrer que son traitement cause des effets secondaires et qu'il serait bien de faire des analyses régulièrements de ce type, et ainsi être remboursé. De toute façon, tu peux toujours aller faire une analyse de crachats également. Pour les crachats perlés, moi-même j'en ai très rarement. Et c'est pas facile à décrocher. La plupart des glaires que j'ai, sont quasiment les mêmes que les tiens : petites bulles un peu dur... On se tient au courant. BIZ
Je ne pourrais pas aller faire des analyses. Et avoir des crachats durs veulent dire qu'on a de l'asthme? J'ai ete voir le medecin bcp de fois, ils ont tjrs fait la girouette... Je n'ai pas la respiration qui siffle, sauf quand je m'etouffe et que je continue a sprinter par ex. J'ai aussi déjà fais des radios, et rien. Pourtant, je m'etouffe bien, et ça me prend brusquement surtout qd il y a de la fumée
J'ai le même problème est j'ai du mal à croire que ce serait de l'asthme vu que je n'avais jamais eu ce truc avant mon hiver à Lyon; l'hiver à été trop humide pour moi et j'ai attrappée une grosse bronchite (elle est revenu l'été passé et une fois de temps en temps j'ai l'impression qu'elle revient, mais je prends un sirop expectorant à chaque fois avant d'avoir du mal à respirer)... Une bronchite peut elle déclancher l'asthme? ❓
Alors ça va peut etre vous sembler étrange mais j'avais exactement le meme probleme depuis de nombreuses années (asthmatique depuis longtemps) Et le seul moyen naturel que j'ai pu trouvé pour lutter contre ses glaires/crachat/asthme, c'est tout simplement d'aller faire un footing, je cours régulièrement et pendant cette période ( un à deux footing par semaine), je n'ai plus aucun soucis. Par contre dés que je m'arrête d'aller courrir pendant quelques semaines le problème revient ! J'éspère que ça pourra en aider certain 🙂 Pour résumé, je combat le mal par le mal !

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J'te raconte même pas le prout qu'elle va lâcher, une fois le ballon percé.

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OMG!!!! Elle en ferai des heureux cette petite!!!

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gertrude a écrit: elle l'a avalé ?!!

J'en ai bien peur xD

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ca donne des idées... mais a par ca jimagine quelle doit bien respirer du nez...
Les meilleurs contributeurs du mois



mansail :
toujours sympa leurs sketchs canadien


pawel :
Pourquoi y'a plus de nouvelles vidéos?


mansail :
elle attends pour mettre les saucisses à cuire


mansail :
rigole pas le pépère


mansail :
pas mieux...


mansail :
cool ça a bien protéger la voiture ;j'espère qu'elle a rien


mansail :
une belle brochette de co.....d.;les passages cloutés se traversent à pied en poussant le velo





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Rien que de la médecine et de la biologie, mais sous un autre angle
Une affection , décrite pour la première fois en 1928 par un médecin français, vient de faire l’objet d’un article publié en ligne dans la revue Annales de Dermatologie et de Vénéréologie le 15 septembre 2016. Une observation clinique qui ne vous laisse pas de marbre, tant les détails semblent sortir tout droit d’un livre érotique et non d’une austère revue médicale.
Le Dr Nicolas Kluger, dermatologue français exerçant à l’hôpital central universitaire d’Helsinki (Finlande), nous invite à nous pencher sur le cas d’une femme que le Dr Barthélémy a examiné dans les années 1920 au cours d’une visite sanitaire dans une « maison », dont vous aurez compris qu’elle était close. Le praticien entend prévenir le lecteur dès les premières lignes : « Je m’excuse par avance de certains détails nécessaires à la compréhension des faits qui vont suivre. On pourrait les croire extraits de ces ouvrages « littéraires » qui recherchent le gros tirage par des descriptions spéciales. Je n’ai cependant noté que la vérité stricte ».
Lors de l’examen de la bouche de la patiente, le Dr Barthélémy remarque sur le palais la présence de multiples taches, arrondies, au contour un peu irrégulier, et « dont certaines atteignent presque le diamètre d’une pièce de 0 fr. 50 » . Ces lésions constituent un « purpura vélo-palatin ». Autrement dit, elles siègent sur le voile du palais et ne s’effacent pas à la pression. Elles sont ecchymotiques : elles se sont formées car un peu de sang s’est échappé de petits vaisseaux sanguins et est resté dans l’épaisseur de la muqueuse du palais. Le médecin n’observe pas d’autre symptôme cutané sur le reste du corps. L’état général de la patiente est parfait. D’ailleurs, elle ignore l’existence de ces lésions buccales découvertes par le médecin. L’examen clinique et l’interrogatoire de la patiente permettent d’éliminer toute une série de causes locales possibles, d’une affection dentaire à la prise d’un médicament en passant par la brûlure par aliment, boisson, condiments ou cigarettes, sans oublier un grand classique : l’empalement traumatique par un crayon tenu droit dans la bouche.
Le docteur Barthélémy est perplexe. Alors qu’il allait cesser d’interroger la patiente, celle-ci s’écrit : « Ah ! mais j’y suis… C’est le client de l’autre jour ! ». Et le médecin de préciser dans son article que cet homme-là « était plein d’exigences. Non seulement il avait demandé le coït ab ore, mais il avait réclamé de la conviction, de l’ardeur, de l’enthousiasme, de la frénésie, du délire bachique. Heureusement, il avait une partenaire consciencieuse, qui s’était attachée au travail comme la pieuvre à sa proie. Son orgueil professionnel aidant, elle avait mis tout son zèle, toute son ambition, dans la réussite, et ses persévérantes aspirations avaient fini par obtenir un succès triomphal ».
Selon le médecin, la survenue des multiples lésions hémorragiques est due à un « vide poussé » qui génère « une dépression barométrique telle, que des suffusions sanguines [se sont] produites au point le plus exposé et le plus fragile, dans les tissus les moins denses ». Pour le dire autrement, une fellation trop violente crée une aspiration si puissante qu’elle entraîne la formation de minuscules hémorragies à partir des petits vaisseaux parcourant la muqueuse du palais. Cette explication, selon laquelle les lésions seraient la conséquence de la pression négative appliquée au niveau du voile du palais, n’emporte pas l’adhésion de tous les auteurs. Certains estiment que les lésions sont peut-être tout simplement liées au contact direct du gland du pénis qui frappe avec plus ou moins de force le palais durant la fellation.
Le Dr Barthélémy (dont le prénom et le lieu d’exercice ne sont pas mentionnés) rapporte dans son article avoir eu « l’heureuse fortune de rencontrer une autre femme porteuse d’un purpura vélo-palatin » au dispensaire de la Salubrité. « Fort de [son] expérience », le médecin questionne cette fois d’emblée la patiente et ne résiste pas au plaisir d’indiquer qu’il n’eut « aucune peine à faire avouer à cette seconde victime » [les] sévices pneumatiques elle avait subies… activement ». Avant de conclure le plus sérieusement du monde que « la rareté du fait, lequel à ma connaissance n’a jamais été décrit, la difficulté de remonter à son origine savoureuse, m’ont paru mériter une brève relation » . Comprendre une brève communication dans une revue médicale dont on ne peut qu’apprécier les mots et le style de l’auteur, visiblement ravi de rapporter « par le menu » « les circonstances » d’une « affection vénérienne par excellence » , « peu banale » .
« Il faudra attendre environ 20 ans pour que le 1er cas soit rapporté en langue anglaise par Rattner, en 1949, qui relate le cas d’une femme qui présentait des lésions récidivantes palatines uniquement lors de ses menstruations car cette dernière « pratiquait l’art » uniquement à ces périodes. Par la suite, les publications fleurissent dans les années 1975-1980 et puis connaissent un hiatus notable d’une vingtaine d’années, hormis quelques publications éparses. Les dernières publications sur le sujet datent de 2013 » , note le Dr Nicolas Kluger qui revisite le cas clinique publié en 1928. Une quinzaine de cas ont depuis été publiés dans les revues médicales et de pathologie dentaire.
Que retenir de ces rares publications ? Tout d’abord qu’il s’agit le plus souvent de jeunes femmes en bonne santé, âgées d’une vingtaine d’années, plus rarement d’hommes ou de patientes d’âge mur (56 ans). Des cas ont été décrits chez des enfants, souvent âgés d’environ 3 ans, victimes d’abus sexuels.
Les patients présentent de petites lésions hémorragiques, rouges ou violacées, ne s’accompagnant habituellement d’aucun symptôme. La découverte est fortuite, le matin lors du brossage des dents, de l’utilisati
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