Une gonzesse pour deux mecs

Une gonzesse pour deux mecs




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Une gonzesse pour deux mecs
Faites plaisir à l'auteur, vous pouvez toujours laisser un petit commentaire!!! Cliquez ici et ajoutez un sujet!
Archivé de: Lettres Gay – Numéro 93
Date de parution originale: Septembre 1998

Date de publication/archivage: 2012-09-27

Auteur: anonyme
Titre: Ni mec ni gonzesse: juste un trou
Rubrique: Casernes: du mâle à la pelle
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 5631 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


C'est autour du la citadelle que ça se passe parfois. C’est à peine à deux cent mètres du lieu de drague. À Lille, on appelle ça le Bois de Boulogne; c’est un parc urbain qui entoure le stade de foot. La nuit, les mecs tournent en bagnole, mais moi, je préfère aller traîner près de l’entrée du fort, là où il y a l’armée. Presque tous sont des militaires de carrière, mais il y aussi quelques appelés.

C'est le dimanche soir que ça se passe. Moi, je mets un treillis et un blouson de cuir avec des poches à l'intérieur pour le matos. Je racole discrétos en fumant un clope en face d’une porte dérobée, à l’arrière. Les mecs qui rentrent en camion me voient et ça arrive qu’on soit plusieurs. Je suis certain qu’il y en a qui font ma pub auprès des mecs de confiance.

Le signal, c’est d’aller attendre près du bosquet; là, je sais que je peux y aller sans risque. Sur les deux qui sortent, il y en a un que j’ai déjà fait, un grand mec du Nord taillé comme un arbre. Pas de différence du haut jusqu’en bas, tout est large, il doit travailler au mess, mais il se balade en unif quand même. L’autre est plus jeune, en survêt avec sa teub qui pend. Je salue, je m’approche, je me touche un peu. Je tâte la marchandise du géant que je connais, je me penche vers l’engin. Il sort sa bite qui trique déjà.

Je passe la langue sur le gland, juste une fois, et je me la cale dans la gorge. Je salive et je pompe classique. L’autre, il se frotte la main sur la braguette, genre qui ose pas y aller. Alors je tends mon cul en arrière pour qu’il sache quoi mater. Le géant me demande de pomper mieux, et bien que le sol du bois soit humide, je m’agenouille. Pour des engins comme ça, pas toujours très nets, je serais prêt à ramper dans la boue.

Je sens une main sur mon cou et je vois le dard du plus jeune, court et pas très gros, mais avec deux couilles à m’inonder grave. Je me tourne pour l’avaler, je le chauffe à la salive comme l’autre et je plonge gueule béante sur ses burnes.

J’en avale une, puis deux, puis trois (non, je plaisante...), je les savonne au jus de gueule entre mes joues, je les dorlote, faut que le gamin soit tout de suite accro au trou de mec. Le géant, il ne résiste pas, il veut me fourguer la sienne en même temps; alors je le laisse faire. J’ouvre grand ma bouche pour les laisser tenter de me pilonner en même temps. Leurs glands se cognent, ma bouche devient leur terrain de jeux. C’est bien le seul moyen qu’ils aient de se toucher la queue tellement ils sont incapables de branler un autre keum de peur de devenir pédés!

Je sors ma pine et je me branle doucement. Puis je saisis leurs culs à tous les deux pour les encourager à me piner la tronche. Je suis à leurs pieds. Le gosse commence à dire que ça monte, que le jus arrive. Il se retire et il envoie connement son jus par terre. Il y a deux mecs qui nous matent derrière.

Le géant, ça le gêne, il se fait comme plus sympa. Il me demande si je sais fermer ma gueule car il peut m’amener dans une réserve dont il a la clef. Je suis OK. Je les suis par la petite porte. Je sais que ça arrive, mais je n’arrive pas à y croire. Je me vois en caserne, suspendu à un lit avec des barreaux de fer, donnant mes trous à l’abattage, à toutes les brutes du régiment... Mais c’est seulement dans une réserve de caisses qu’il m'emmène, une pièce sombre à peine éclairée par une loupiote. Le gamin, l'air gêné, annonce qu’il va se coucher. Le grand lui dit de la boucler sinon... et de prévenir Selim.

— Tends ton cul, mec, montre que t’en as envie, fais celle qui veut la bite de l’adjudant...

La tête rentrée dans mes épaules, je joue du bassin, j'accepte le jeu. Il sait que j’aime qu’on me bouscule, il sait qu’il peut y aller, il m’a déjà défoncé à la chaîne avec deux autres potes un soir où ils étaient bourrés. Il enlève son ceinturon et me flatte un peu le cul avec. Rien que de sentir le contact du cuir sur le coton de mon treillis, mon trou s’élargit.

— Combien t’as pris de zobs dans le trou ce soir, hein, salope? Combien?

— Nada! Je veux qu’on me fourre, je veux te donner mon trou...

— Tu vas en avoir, mec, tu vas déguster...

Je lui file plusieurs capotes. Il balance un mollard dessus. Les militaires ne savent pas encore ce que c’est du lubrifiant à cul, alors il faut que je m’en occupe avant de venir, utilisant presqu’un demi-tube de KY avant de venir. Au moment où il s’encapote, on frappe à la porte: c’est Selim.

Il ouvre et referme tout de suite. Selim est un petit gros avec des rangeos et tout l’unif. Lui, il sait ce qu’il veut. Il annonce au grand qu’ils vont se passer la pute, qu’il n’y a plus qu’à me baiser jusqu’à ce qu’ils soient secs des valseuses.

Il saisit ma tronche et me tire par les cheveux pour que je tète. Je tète un max, elle paraît encore durcir dans ma bouche, elle est super-grosse par rapport à sa taille. Elle pue le mâle à plein nez mais elle s’enfourne bien hard sans me laisser la gueule vide une seule seconde. L’adjudant, lui, me casse le cul sans une seconde de répit. Ça cogne, je pourrais presque gueuler mais je ne veux pas me laisser aller à des représailles.

Quand Selim voit la ceinture, il décide de m’attacher avec, il fait un tour avec le cuir autour de mes mains, passe le double lien à l’intérieur de mes poignets et me traîne jusqu’à un soupirail constitué de barres de fer. Là, il se chope une capote et tous deux viennent m’éclater au plus profond du cul alors que mon corps vient cogner à chaque coup contre la paroi de pierre froide et humide. C'est à celui qui arrivera à me faire gémir le plus fort. Je suis heureux d’être un pantin sexuel offert à la convoitise de deux soudards, je tends mon cul au maximum. À préciser qu'aucun des deux ne me touche autrement que par leurs pieux... Je ne suis qu’un trou, ni homme ni femme, un trou à plaisir. Je sais bien qu'aucun mec amoureux ne me baisera comme ça, avec cette violence sexuelle dénuée de tout sentiment.


Faites plaisir à l'auteur, vous pouvez toujours laisser un petit commentaire!!! Cliquez ici et ajoutez un sujet!
Archivé de: Lettres Gay – Numéro 107
Date de parution originale: Juillet 2000

Date de publication/archivage: 2013-04-01

Auteur: Gérard
Titre: Mecs mariés entre eux
Rubrique: À voile ou à vapeur
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 8997 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


J'ai quarante-cinq ans aujourd'hui, je suis marié, père de deux enfants, et pourtant j’adore me faire enculer! Je dirige une petite entreprise dans l’Hérault, et je n’en dirai pas plus car je tiens à l’anonymat.

Un soir, il y a cinq ans, un transporteur était arrivé longtemps après que les employés fussent partis, et j’étais resté à mon bureau. Il devait repartir le soir-même pour l’Espagne. On a bien dû charger la marchandise nous-mêmes. J’avais prévenu ma femme que je rentrerai tard. Ce routier était un beau mec brun aux yeux bleus, doté d’un joli sourire, et j’avais pu apprécier sa musculature et son torse poilu parce qu’il s’était mis en marcel; il faisait chaud à charger les caisses. Moi, ça faisait longtemps que j’avais envie de me taper un mec, trop longtemps. Je m’étais aperçu avant mon mariage que j’étais bi, mais je vivais dans un milieu qui ne plaisante pas avec les sexualités “déviantes”. Et puis, comme je m’entendais bien avec ma femme, j’avais tâché d’oublier tout ça, même si, en douce je m'achetais des revues comme la vôtre ou si je matais de beaux gars sans le montrer.

Ce routier s’appelait Benjamin, mais
il se faisait appeler Ben. Après avoir chargé les caisses, je lui ai offert une mousse. La nuit était tombée, une douce nuit de printemps. Au bout de la deuxième bière, il a compris qu’il m’intéressait, parce que lui, aussi, il ne crachait pas sur les mecs, mais des bis seulement, des occasionnels. Il ne pouvait pas supporter le ghetto gay: “Toutes des fiottes”, il disait... Ben était marié, lui aussi. Il a senti que s’il ne faisait pas le premier pas, je ne tenterais rien. Il a passé son bras autour de mes épaules, et il m’a tout simplement roulé une gamelle. Tous mes vieux blocages se sont déverrouillés. À peine cinq minutes plus tard, on roulait par terre, à moitié à poil, et je suçais son gros manche surmontant deux belles couilles, noires de poils. Ma première bite!

Ça m’a fait un drôle d’effet, mais ça m’a vraiment plu: la texture de la peau, le goût, la dureté, et surtout l’idée de savoir que je suçais un sexe d’homme. On s’est allongés en 69, et il a englouti mon manche raide à son tour. Ben était très chaud, il me caressait partout en même temps, insinuant un doigt dans mon trou du cul vierge. J’étais aux anges.

Nous n’avions tout de même pas la nuit devant nous. Ben est devenu de plus en plus chaud. Il m’enlaçait comme si j’étais une femme, me roulant patin sur patin en ne cessant pas de me peloter, de me branler, et de m’enfoncer de plus en plus loin son majeur dans le cul.

Je me suis retourné vers lui et je lui ai dit: “J’ai envie que tu m’encules, même si ça me fait mal! J’en rêve depuis trop longtemps!” Ben était tout joyeux de ma proposition. Il a été chercher des capotes et des pochettes de lubrifiant dans sa cabine, car en plus de troncher sa légitime, il ne dédaignait pas les auto-stoppeurs, mâles ou femelles. Il m’a fait mettre à quatre pattes, le cul bien tendu en arrière. J’ai cru qu’il allait me la fourrer tout de suite. J’ai été surpris, mais plus que ravi de sentir sa grosse langue de mâle, humide et râpeuse me lécher la raie à grands coups. Jamais aucune femme ne m’avait jamais fait ça! J’avais l’impression que c’était un gros chien qui me mouillait le trou de balle. Je me branlais en même temps. C’était trop bon! Il y a plongé la langue, et plus vicieux encore, il y a enfoncé son long nez droit de mec volontaire. J’en ai crié de plaisir de sentir ce nez me pénétrer et tourner dans tous les sens. Sa femme, elle ne devait pas s’embêter!

— T’aimes ça, hein, mon salaud! C’est bon de baiser entre mâles, tu trouves pas? Ça faisait longtemps que t’avais envie de ça?

— Depuis toujours, Ben! J’aime bien les gonzesses, mais j’ai toujours rêvé aussi d’une bonne queue de mâle qui me perfore le cul!

— Tu vas l’avoir, Gérard, tu vas l’avoir... Mais il faut que tu t’ouvres encore plus, sinon t’auras mal! Je sais ce que c’est: je suis passé à la casserole, moi aussi! Mais maintenant, j’adore! D’ailleurs, tu me la fourreras au derche, ta pine, hein, Gérard, hein que tu me la foutras bien au fond?

— Ouais, on va s’enculer comme des porcs, c’est bon...

Je devenais lubrique, je remuais de la croupe comme une femelle en chaleur. Plus sa langue mouillée me pénétrait, plus je roucoulais. Il a fini par y vriller un, puis deux doigts. J’avais la sensation de m’ouvrir comme une fleur au soleil, de m’évaser sous la pression de ses gros doigts de mec. Il a dû juger que j’étais suffisamment prêt. Il m’a dit de rester comme ça, comme une vache qui va se faire monter par le taureau. Je me sentais bien dans mon rôle de gonzesse passive, attendant le coup d’estoc. J’étais à la place de ma femme quand je la monte! Il m’a roulé une pelle très tendre et il s’est placé derrière moi. J’ai entendu la capote qu’il déroulait sur son pieu nerveux. Il m’a tartiné d’un index habile ma rondelle de lubrifiant très froid. Puis, j’ai senti le gland se positionner tout contre.

— Respire à fond, régulièrement! Fais comme si tu voulais chier! Pousse! Ça va rentrer. Si t’as mal, tu le dis!

— Vas-y, j’ai trop envie! Fous-moi ton gourdin dans l’intestin!

Il a commencé à me pénétrer. Le gland a eu du mal a passer. J'ai eu l’impression qu’il me déchirait l’intérieur. Il a attendu, il s’est retiré un petit peu, puis
il a repris sa progression. Je serrais les dents, je sentais de grosses gouttes de sueur couler de mon front. Et puis un miracle s’est produit. Mon sphincter a accepté la pression, le gland est passé, et j’ai ressenti une immense impression de bonheur quand toute la hampe a glissé dans mon conduit. Dieu dy ciel, que c'était bon d'avoir une pine au cul! Ben m'a limé comme un chef, et plus il me limait fort, plus j'en voulais. Ainsi, c’était ça, se faire enculer! Quand je pense que la plupart des mecs sont trop cons pour accepter un tel plaisir. S’ils savaient ce que c’est bon, de temps en temps de baiser entre mecs! Vers la fin, Ben m’empalait à grands coups, et je sentais ses couilles gorgées de suc claquer contre mes fesses. On étaient en nage tous les deux. Je sentais son membre coulisser en moi comme si j’avais toujours été un enculé professionnel.

— J’arrive, Gérard, mon salaud, je vais t’envoyer la purée! Branle-toi! Vas-y, mon pote!

— Ouais, je sens que ça vient, vas-y plus fort, plus fort, oui!

Je l’ai senti se contracter dans mon cul, planté à fond. C’est à ce moment que j’ai eu l’un des orgasmes les plus puissants de ma vie. J’ai cru que je me délestais de toutes mes réserves de foutre, ça n’en finissais pas. Ben s’est abattu sur mon dos, et on a fini par s’écrouler, lui sur moi, en sueur et hors d’haleine.

Ben et moi, on s’est revu assez souvent. Il venait toujours peu avant la fermeture. Les employés râlaient d’avoir à charger juste au dernier moment, mais Ben pouvait rester après, et on s’en payait des parties de cul mémorables. Il m’enculait, je l’enculais, on se suçait comme des animaux en rut. Et puis un jour, Ben est mort au volant de son camion. J’ai eu beaucoup de mal à m’en remettre. Je ne faisais plus l’amour à ma femme, et on a bien failli divorcer s’il n’y avait eu les enfants. Et puis, j’ai fini par rencontrer d’autres gars comme ça, des bis, des mecs mariés. Au lieu d’avoir des maîtresses, moi, j’ai des amants. Mais jamais je n’oublierai Benjamin, sa bonne gueule rigolote, sa grosse queue. Je crois que j’aurais pu vivre avec lui...








Forum






Derniers messages





Aide





Calendrier





En direct





Communauté



Liste des utilisateurs



En direct









Liens rapides



Messages du jour



Voir l'équipe du site



Utilisateurs actuellement connectés



Marquer les forums comme lu














Quoi de neuf ?






Aider






Adopter






Être averti






Recherche












Forum

Vos Animaux

Chats


L'arrivée d'un p'tit mec dans cette maison de gonzesses ;)





Affichage des résultats 1 à 15 sur 17


shanty



Voir le profil





Voir ses messages






Message privé




















Ma petit famille se composait jusqu'à maintenant de Neige 4ans minette adopté il y a un peu plus de 6 mois à Filemon et Noumah chienne croisée Dogue argentin sharpeï 2ans qui vient également de Filemon.
Une petite photo des deux demoiselles s'impose histoire de voir de qui on parle:




Et puis j'ai craqué la semaine dernière. Je voulais un copain pour Neige, qui a toujours vécu avec d'autre chat et à qui ça avait l'air de manquer ennormément. Pour la petite histoire, Neige avant d'arriver au refuge vivait chez une dame qui avait une quinzaine de chat tous récupérer à droite à gauche ou que les gens laissaient lâchement devant chez elle. Elle avait uniquement les moyens de les nourirs, pas de vaccins, pas de stérilisations rien. Et puis cette dame est décédée, tout ces chats on perdu leur bonne fée.. Les 15 ont attérit à Filemon, et ma Neige en faisait partie.

La semaine dernière encore il ne restait que 3 chats à l'adoption de ce sauvetage tous ayant trouvé une chouette famille depuis.
Je n'avais pas les moyens d'adopter pour le moment j'ai donc décidé de reprendre mon job de FA . Et voilà qu'un petit chatounet de deux ans est en FAD à la maison depuis samedi soir. Et ce Monsieur chat est issu du même sauvetage que ma Neige et il est même fort probable qu'il s'agisse d'un de ses fils.
Il a passé les deux premiers jours sous le lit. Sortait un petit peu mais uniquement après un long moment après lui avoir parlé et là c'était calins à volonté. Une vraie glue. Depuis Dimanche soir il explore sa nouvelle maison avec beaucoup de curiosité. Il grimpe partout, joue avec tout ce qu'il trouve, se frotte déjà dans les pattes de la chienne et la suis partout. Il parle ennormément. Et à une voix très persante .
Avec Neige les choses sont moins simples qu'avec la chienne, elle lui fait bien comprendre qu'ici c'était sa maison avant lui et qu'il ne faut pas qu'il aille trop vite. Elle crachouille un peu la princesse( c'est un peu la p'tite fille pourrie gâtée ma Neige ) mais rien de méchant et lui ne riposte absolument pas, il s'en va et revient quelques temps après. Les choses ont été très vite entre lui et moi, il ne me lâche déjà plus, me raconte un tas de truc, me fais un tas de câlins bref c'est le grand amour déjà !

Voilà je vous ai raconté tout ça pas uniquement pour le plaisir de vous racontez ma vie mais ça fait peut de temps qu'il est là encore et je risque d'avoir des questions des inquiètudes des besoins d'être rassurer Donc maintenant que vous conaissez un peu l'histoire ce sera plus simple de me répondre. Jusqu'à maintenant je n'ai eu en FA que des Chatons depuis que Neige est à la maison, donc les relations entre elle et les petits était très différentes de celle qu'elle va créer avec Monsieur chat.

Une petite photo du Monsieur:






*Signature trop grande, merci de redimensionner.*

borneo



Voir le profil





Voir ses messages






Message privé




















Quelle chance d'avoir une chienne qui accepte les nouveaux chats



lucile67



Voir le profil





Voir ses messages






Message privé








Bite De Blanc
Meilleurs Actrices Porno
Petite chatte se fait démonter par un gros braquemart

Report Page