Une garce joueuse sous la tente

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Une garce joueuse sous la tente
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Il faut que je vous raconte mes vacances de l’été dernier. Au mois de juillet, j’avais décidé d’aller pêcher quelques jours dans un coin sauvage des Pyrénées, très isolé, à plus de 1500 mètres d’altitude, sur le versant espagnol, dans les monts perdus. Ce versant est très différent du côté français. Il est beaucoup plus sec et il y fait beaucoup plus chaud. Il n'est pas rare que les températures dépassent de vingt degrés les températures françaises. Le paysage est aussi beaucoup plus sauvage. Et hormis quelques routes touristiques, on ne rencontre personne sur des kilomètres à la ronde.

Donc cette année-là, je pensais aller taquiner la truite tranquillement quelques jours. C'était sans compter l'acharnement du fils de mes amis à vouloir m'accompagner. Baptiste est un pêcheur du dimanche. Je l'avais une fois emmené une journée, et je l'avais vite regretté. C'était deux ans auparavant. Il n'avait pas cessé de parler, rigoler, chahuter. Je m'étais promis alors de ne jamais le remmener. Mais c'était sans compter le travail de sape de Baptiste et de ses parents, sous prétexte qu'il fallait qu'il s'émancipe, qu'il prenne ses marques loin de ses parents, et sous l'autorité de quelqu'un d'autre. L'autorité, Baptiste ne connaissait pas, et je le savais pour l'avoir vu plusieurs fois se comporter de manière odieuse vis-à-vis de ses parents et de leurs amis, moi y compris. Baptiste est fils unique. Il ignore toutes les limites qu'on peut lui fixer, enfreignant sciemment toute interdiction, rien de plus normal à dix-sept ans, vous en conviendrez. Cependant, il avait beaucoup changé lors des mois précédents, ce qui avait fait fléchir ma décision de l'emmener pour lui donner une nouvelle chance.

Mes relations avec Baptiste étaient très spéciales. Souvent tendues quand je lui donnais des cours, elles devenaient complices lors de discussions plus personnelles. C'est ainsi qu'il m'avait appris son homosexualité naissante, ainsi que ses découvertes avec son cousin, de quatre ans son aîné. J'étais moi-même homosexuel et ne m'en cachait pas. Ses parents n'étaient pas, à l'époque, au courant que leur fils préférait les garçons.

C'est ainsi que nous nous sommes retrouvés à partir pêcher ensemble, une semaine, dans les Pyrénées. Le voyage avait été éprouvant. Baptiste voulant s'arrêter à tel endroit pour manger, ou écoutant la musique avec un volume trop fort à mon goût. Il pouvait passer deux heures sans parler puis discuter pendant une heure sans discontinuer. Je connaissais un petit endroit sympa pour établir notre campement. Il fallait abandonner la voiture à un quart d'heure de marche de cet endroit, près d'un lac peu profond qui chauffe vite sous les rayons du soleil, idéal pour la toilette, et à deux pas, de nombreux torrents, idéal pour pêcher. Nous avons installé notre campement, relativement sommaire. Deux chaises pliantes, une table de camping, et deux tentes pour deux personnes. Alors que je répartissais le matériel dans les deux tentes, il me demanda :

— Bien, répondis-je, je répartis dans les deux tentes pour qu'on puisse avoir chacun une place dans chacune des tentes.

— Ça ne serait pas plus simple de tout mettre dans l'une et qu'on dorme dans l'autre ?

Je n'avais pas pu finir ma phrase qu'il était déjà en train de vider une tente pour tout mettre dans l'autre. Adieu l'intimité. Après cette installation rapide, je partis récupérer du bois pour notre feu de camp. De retour à notre campement, je vis que Baptiste était parti se baigner dans le lac avant que la nuit ne tombe. Je préparais le feu de bois et le repas du soir, puis partais le rejoindre, histoire de tremper les pieds dans l’eau. Je trouvais un rocher au bord de l’eau et m’y assis, je mis les pieds dans l’eau. La fraîcheur de l’eau était saisissante. Je regardais Baptiste nager dans le lac. Je n’avais pas remarqué à quel point il avait changé. Au début de son adolescence. Baptiste était un peu fort. Il en était très complexé. Je savais qu’il faisait régulièrement du sport, mais je ne l’avais pas vu ainsi, bandant ses muscles à chaque mouvement de brasse. Il était plutôt bien bâti, fin, et ses muscles le mettaient en valeur sans alourdir et enlaidir sa silhouette. Le blond de ses cheveux avait foncé avec l’âge. Mais le soleil couchant donnait des reflets dorés à sa chevelure coupée à la mode de son âge, les cheveux descendants dans la nuque, raides et restant souples. Coupés au niveau de ses yeux bleus, ils donnaient à son regard un aspect assez mystérieux. Je me rendais compte maintenant qu’il était beaucoup plus mignon que je ne m’étais autorisé à le penser.

— Tu viens, me cria-t-il depuis l'eau ?

— Non, répondis-je, elle est trop froide. Et puis on va manger, il va faire nuit dans une vingtaine de minutes.

Baptiste gagna la berge et sortit de l'eau. Il était vraiment ben proportionné. De plus, j'avais une vision très intéressante de son entrejambe. En effet, son boxer humide laissait transparaître un joli paquet. Il s'enveloppa dans une grande serviette et nous rejoignîmes notre campement. Nous avons mangé, puis nous avons joué un peu aux cartes. Nous sommes ensuite allés nous coucher dans notre tente. Pour dormir, je gardais seulement mon tee-shirt et mon boxer. Baptiste qui avait le boxer encore mouillé le retira. Je vis son sexe pendre entre ses jambes. Il était plutôt long, mais fin, surmontant deux jolis testicules. Il me dit :

— C'est bon, entre mecs, on ne va pas se cacher non plus.

Il se glissa dans son duvet, s'installant sur son matelas. Éreinté, j'éteignis la lampe à gaz et me couchais à mon tour. Je ne mis guère de temps à m'endormir tant j'étais fatigué. Je fus réveillé au petit matin par les premiers rayons du soleil. Baptiste, au cours de la nuit, avait beaucoup bougé. Il était collé contre moi. J'avais d'ailleurs passé un bras autour de sa taille, enserrant sa main dans la mienne. Je voulus la dégager, mais je ne voulais pas réveiller Baptiste tout de suite. Je tentais de vérifier s'il dormait en remuant légèrement et en tenant de me dégager. Mais Baptiste, qui ne dormait pas me dit :

J'étais interloqué. Je ne savais pas quoi répondre à ce qu'il venait de me dire. Je n'avais jamais eu ce degré d'intimité avec lui. Il coupa court à mon étonnement. Il guida ma main sur la bosse que faisait son sexe bandé à travers le duvet. Je me surpris à ne pas tenter de la dégager immédiatement. Bien au contraire. Je commençais à caresser son sexe. Je savais qu’il était déjà trop tard pour désamorcer la situation ; autant la vivre à fond. Nous nous débarrassâmes dans un premier temps des duvets qui nous gênaient. De toute façon, la température était déjà bien agréable. Je me suis allongé sur le dos. Baptiste est venu s’allonger sur moi, nos sexes, à travers les tissus de nos sous-vêtements, frottaient, bandés, l’un avec l’autre, comme dans une danse dont j’essayais de savourer chaque instant. Baptiste m’aida à retirer son tee-shirt, puis je retirais le mien après l’avoir plaqué sur le dos. Baptiste était fougueux. Il colla ses lèvres d’autorité sur les miennes et en força le barrage avec sa langue. Nous nous embrassions longuement. De brutal au début, le baiser s’est fait ensuite plus tendre, plus délicat. Baptiste se détendait progressivement. Il avait commencé à descendre mon boxer, libérant ainsi mon sexe déjà bien bandé. Je me mis sur le flanc, libérant ainsi mon jeune ami. Il finit de baisser mon boxer. Il embrassait chacun de mes pectoraux, s’attardant à bien sucer mes tétons. Il avait posé sa main sur mon membre qu’il masturbait lentement. Je me mis sur le dos. Baptiste continuait sa descente vers mon nombril. Je pouvais sentir son souffle à quelques millimètres de mon gland. Sa bouche approcha de mon sexe. Il engloutît d’abord mon gland, puis sa langue vint faire le tour de celui-ci. Le passage de sa langue sur le frein de mon sexe sensible me fit gémir. J’étais bluffé. Comment un minot de dix-sept ans, aussi mignon soit-il, pouvait me faire une fellation comme j’en avais rarement reçu en vingt ans de vie sexuelle ? Je ne pouvais me concentrer longtemps sur mes pensées tant la fellation de Baptiste était bonne. Au bout d’un moment, il arrêta sa longue pipe, me laissant un goût de frustration. Il me dit :

— Je ne veux pas que tu jouisses maintenant. Je veux ta bite en moi.

Il sortit, comme par enchantement, une boîte de préservatif et du lubrifiant. C’est à ce moment précis que je compris que Baptiste n’avait pas eu l’idée de m’accompagner que pour pêcher, si pêcher avait été même une motivation.

Je fis descendre le boxer de mon jeune amant. Je découvris un sexe d’une taille assez surprenante pour un adolescent de dix-sept ans. Elle devait mesurer dans les 18 à 20 centimètres, et la finesse de sa bite renforçait cette impression de longueur. Je ne pus m’empêcher de saisir sa bite et de la porter à mes lèvres. Je sentis mon jeune amant tressaillir sous mes coups de langue. Moi non plus, je ne voulais pas qu'il jouisse immédiatement. Je le fis mettre à quatre pattes. Je passais derrière lui, écartai ses globes fessiers pour avoir accès à sa rosette brune et y introduisit ma langue qui tentait de forcer les barrières de son sphincter. Je le masturbais tout en pratiquant un anulingus qui le faisait gémir. Après deux ou trois minutes, j'entrepris d'élargir son anus avec mes doigts et du lubrifiant. J'étais étonné de la facilité avec laquelle son anus se dilatait. Je savais qu'il n'était plus vierge, mais il se montrait particulièrement détendu pour une première fois avec quelqu'un. Je mis un préservatif sur mon sexe qui ne demandait qu'à faire plus intime connaissance avec Baptiste. Il s’était appuyé sur ses avant-bras relevant son postérieur. Je présentais mon gland à l’entrée de son intimité, je poussai légèrement. Mon gland entra et se blottit derrière les sphincters. Je sentis Baptiste se contracter par réflexe. Je luttai pour rester en lui et poussai légèrement puis de plus en plus fort jusqu’à ce que mon sexe fût au fond de son rectum. Je dis alors à Baptiste :

— Non, non, me répondit-il, ça tire un peu, tu as la plus grosse queue que je n’ai jamais eue jusqu’à maintenant.

À ce moment-là, je savais que nous devrions avoir une conversation sérieuse, mais les mouvements de Baptiste me firent comprendre que je pouvais commencer à bouger entre ses reins. J’avais posé mes mains sur ses hanches et je commençais de lents et profonds mouvements de va-et-vient. Baptiste s’était redressé sur ses genoux, collant son dos contre mon ventre. Je saisis sa bite entre mes doigts et le masturbais tout en augmentant la force de mes coups de reins. Baptiste haletait. Nous nous embrassions aussi bien que possible dans cette position peu facile. Tout d’un coup, Baptiste poussa une longue plainte tout en éjaculant plusieurs jets de spermes. Il avait resserré ses sphincters sur mon sexe, ce qui me fit éjaculer à mon tour.

Je m’allongeai sur le dos, Baptiste se blottit contre moi. Il me retira le préservatif souillé pour le jeter dans la poche à ordure. Il me caressa le ventre, le sexe, le torse. Nous restions ainsi de nombreuses minutes à nous caresser et à reprendre nos esprits. C’est la faim qui nous fit sortir de notre tente. Nous sommes d’abord allés nous laver dans le lac où l’eau était passablement fraîche en ce début de matinée puis nous nous sommes servi un copieux petit déjeuner. Je souhaitais en profiter pour éclaircir la situation

— Dis-moi, ce matin… ce n’était pas un accident…

— Tu rêves ou quoi, me répondit-il. Depuis le temps que je voulais faire ça avec toi.

— Tu voulais faire l’amour avec moi depuis longtemps, repris-je, mais tu ne m’en as jamais parlé ?

— Bien sûr, dit-il en se fichant de moi, c’est super facile à dire. C’est vrai, j’aurais pu te dire : « Bonjour Nino, j’ai eu un 15 en maths et un 13 en français. Au fait, je veux faire l’amour avec toi. »

— Évidemment, dit comme ça, repris-je, mais c’est surprenant. Et en plus, j’ai vingt ans de plus que toi !

— Et alors, me coupa-t-il. Je suis assez grand pour savoir avec qui je veux coucher, je ne suis plus puceau…

— Oui, ça, j’avais remarqué, continuai-je. On en avait déjà discuté tous les deux. Je savais que toi et ton cousin vous l’aviez fait, mais je me trompe si je te dis que ce n’est pas le seul ?

— Tu ne te trompes pas. Matthieu, mon cousin, est un gros nul. Il m’a fait super mal, et il ne sait pas sucer, ni enculer. Par contre, j’ai découvert tout ce qu’il faut savoir avec certains de ses amis de fac. Ils m’ont tout appris : sucer, enculer, se faire prendre, à deux, à trois ou plus.

— Oui, une fois, me raconta-t-il, lors d’une fête où tout le monde avait bien bu, j’ai dû faire l’amour avec six ou sept gars. À un moment, ils ont tous juté sur moi. J’étais couvert de sperme. Mais j’aime bien aussi sodomiser les autres, je ne suis pas que passif.

— Toujours. Je n’ai jamais été pénétré sans préservatif, et je n’ai jamais sodomisé quelqu’un sans me protéger aussi. C’est ce que tu m’as appris, non ?

Je ne répondis pas. J’étais vraiment ébahi par ce petit mec qui, mine de rien, avait une véritable vie sexuelle, aussi riche, si ce n’est plus, que la mienne.

Après avoir passé la matinée à pêcher et s’être restaurés rapidement, la fatigue avait gagné Baptiste qui était parti s’allonger près du lac. Il s’était dévêtu histoire de prendre quelques couleurs, ne gardant que son short de bain. Après avoir débarrassé les reliefs du repas, je rejoignis Baptiste pour bronzer et me reposer aussi. J’ai dû m’assoupir quelques minutes. Toujours est-il qu’à mon réveil, Baptiste dormait encore. Je décidais de lui prodiguer un réveil comme il n’en avait certainement jamais encore eu. Je m’allongeais tout contre Baptiste, posant une de mes mains sur son ventre que je me mis à caresser très lentement. Je savais que cela allait inconsciemment provoquer l’érection de mon jeune ami. Je défis le nœud du short de bain de Baptiste, libérant ainsi l’accès de mes doigts à sa toison pubienne et à son pénis. Mes caresses s’élargirent peu à peu à son bas-ventre, mes doigts frôlant de plus en plus son pénis qui prenait de l’ampleur. Je déposais aussi des baisers sur son torse, jouant avec ses mamelons qui s’étaient contractés sous l’effet conjugué de ma salive et de la très légère brise chaude qui descendait des sommets. J’avais retiré le short que j’avais gardé pour la sieste et me blottit contre le flanc de Baptiste, mon érection se retrouvant contre le bas de la cuisse de mon jeune amant. J’avais dégagé son sexe maintenant bandé de son short quand je sentis une main se poser sur mes omoplates.

— Mhhhh, sympa le réveil, me dit Baptiste en caressant délicatement ma nuque.

Je continuais comme si je n’avais rien entendu ni senti. J’empoignai son sexe tout en continuant à goûter chaque centimètre carré de sa peau légèrement salée, m’attardant sur les plis de son nombril. Ça bite, plutôt longue, était parfaitement décalottée, laissant à l’air libre le gland que je faisais volontairement frotter sur ma joue non rasée de deux jours afin de décupler son plaisir, chose qui ne tarda pas, vu les soubresauts de Baptiste. Il appuya sur mes épaules pour que je descende d’un cran vers son sexe en érection et que je finisse ceux que j’avais commencé à entreprendre. Je m’allongeai entre ses jambes et mis son gland dans ma bouche. J’enroulai ma langue autour de se tendre bonbon et j’entrepris de faire aller et venir son sexe dans ma bouche tout en jouant avec ses testicules. Je sentis Baptiste haleter de plus en plus vite. Il me prévint :

— Alors viens, lui répondis-je en accentuant le phénomène de succion.

Après quelques secondes, Baptiste se contracta et je sentis un premier jet, puis un second et enfin un troisième s’écraser sur mon palais. Baptiste gémissait pendant que j’extrayais les dernières gouttes de son sperme.

— Ouah… me dit-il extasié. C’est la première fois que je me fais sucer ainsi. C’était super.

Je m’allongeai à son côté. Il m’embrassa goûtant ainsi à son propre sperme mélangé à ma salive. Il empoigna mon sexe bandé à l’extrême et entrepris de me masturber. La jouissance ne se fit pas attendre et j’éjaculai à mon tour sur mon torse et mon ventre. Baptiste me sourit et s’allongea sur moi, étalant ainsi mon sperme entre nos deux corps. Son sexe contre le mien et sa bouche contre la mienne.

Nous passâmes le reste de ces vacances à pêcher et faire l’amour. Aujourd’hui encore, même si Baptiste continue ses expériences avec des jeunes de son âge, nous n’hésitons pas à nous retrouver sous les draps régulièrement.



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trait de caractère ▬ explication, anecdote, détail en rapport avec le caractère. Peu importe le choix, il faut que ce soit clair. trait de caractère ▬ explication, anecdote, détail en rapport avec le caractère. Peu importe le choix, il faut que ce soit clair. Haut heiulans homines ut baiolorum conatibus orsi quidam vivus trait de caractère ad crebris exustus nefariis qui vivus nefariis Luscus urbis haec vocibus trait de caractère ad haut baiolorum audaces quidam nefariis urbis incitans vivus homines trait de caractère . trait de caractère ▬ trait de caractère ▬ trait de caractère ▬ trait de caractère ▬ trait de caractère
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