Une fille de l'est montre sa chatte nue sur la plage

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Une fille de l'est montre sa chatte nue sur la plage
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Paris Match n°153 et Paris Match n°152, datĂ©s des 23 et 16 fĂ©vrier 1952, deux Ă©ditions consacrĂ©es Ă  la mort du roi George VI et Ă  l’avĂšnement de la reine Elizabeth II.


© Paris Match



Clément Mathieu

09/09/2022 Ă  12:00 , Mis Ă  jour le 09/09/2022 Ă  12:08




«Le 6 fĂ©vrier, Ă  midi, des Ă©ditions spĂ©ciales ont annoncĂ© aux Anglais la mort du roi. Les journaux sont sortis, avec en manchette, la mĂȘme phrase : "Le roi est mort"» - Paris Match n°152, 16 fĂ©vrier 1952



©
Keystone/Hulton Archive/Getty Images





«Pour Elizabeth et Philip, le charme qu'exprime cette photo a été rompu par la fatale nouvelle. De ce pont de bois sur la riviÚre Sayana, ils regardent la foret équatoriale, c'est leur dernier jours de vacances.» - Paris Match n°152, 16 février 1952



©
Chris Ware/Keystone Features/Hulton Archive/Getty Images





Elizabeth II Ă  son retour en Angleterre aprĂšs la mort de son pĂšre George VI.



©
ullstein bild/ullstein bild via Getty Images





Elizabeth II descend de l'avion qui vient de la ramener en Angleterre, aprĂšs la mort de son pĂšre George VI. La jeune femme de 25 ans s'apprĂȘte Ă  fouler le sol de son royaume pour la premiĂšre fois en tant que reine.



©
Hulton-Deutsch Collection/CORBIS/Corbis via Getty Images










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Elizabeth II, dĂ©cĂ©dĂ©e jeudi, Ă©tait devenue reine le 6 fĂ©vrier 1952, Ă  la mort de son pĂšre le roi George VI. À l'Ă©poque, notre magazine avait livrĂ© le rĂ©cit fleuve de ce grand bouleversement... Avec RĂ©tro Match, suivez l’actualitĂ© Ă  travers les archives de Paris Match.
Le 6 fĂ©vrier 1952, le roi George VI s’éteignait Ă  Sandringham, Ă  l'Ăąge de 56 ans. À prĂšs de 7000 km de lĂ , non loin de Nairobi au Kenya, sa fille aĂźnĂ©e de 25 ans, la princesse qu'il surnommait Lilibet devenait la reine Elizabeth II , souveraine du Royaume-Uni. Dans deux numĂ©ros, dont un spĂ©cial, Match avait livrĂ© le rĂ©cit fleuve de ces «heures pathĂ©tiques pour Sa jeune Majesté», pour sa famille, pour ses sujets

Voici les deux grands reportages consacrés à la disparition du roi George VI et à l'avÚnement de la reine Elizabeth II, tels que publiés dans Paris Match en 1952.
Le roi George VI est mort silencieusement. Il n’a pas eu de ces agonies qui tiennent pendant des semaines les peuples haletants. George VI s’est Ă©teint la nuit, pendant son sommeil, dans le chĂąteau de Sandringham qu’il aimait entre tous et oĂč il Ă©tait nĂ©. Il a montrĂ© dans la mort la mĂȘme rĂ©serve dont il avait fait preuve dans la vie. Il y a, jusque dans le communiquĂ© publiĂ© par le palais de Buckingham, une singuliĂšre simplicitĂ© : « Le roi George VI, aprĂšs s’ĂȘtre couchĂ© hier soir en bonne santĂ© comme d’habitude, a trĂ©passĂ© dans les premiĂšres heures de la journĂ©e, paisiblement, sans s’ĂȘtre Ă©veillĂ©. » Le roi avait cinquante six ans.
Il y avait cent trente six jours qu’il avait Ă©tĂ© opĂ©rĂ© du poumon. L’embolie qui l’a emportĂ© est sans rapport direct avec cette intervention. Il devait partir au printemps pour l’Afrique du Sud. Le lendemain de sa mort, du balcon du palais Saint-James, le roi d’armes de la JarretiĂšre, flanquĂ© de hĂ©rauts prĂ©cĂ©dĂ©s de quatre trompettes, raidis dans des pourpoints en fil d’or, proclamera en français, selon la tradition : « Elizabeth la deuxiĂšme, par la grĂące de Dieu, notre lĂ©gale et juste souveraine. » Le proclamateur a ensuite criĂ© de toute sa force : « Dieu sauve la reine ! »
Son cri rĂ©pĂ©tĂ© par le duc de Norfolk, connĂ©table et premier pair du Royaume, a Ă©tĂ© repris ensuite par toute l’assistance. Il a touchĂ© au cƓur la superstitieuse Angleterre. Elle y a vu le signe d’un de ces rĂšgnes qui, d’Elizabeth Ă  Victoria, portent des noms de femmes.
Le destin n’a donnĂ© que trois jours de vacances Ă  Elizabeth. Presque tout de suite il est venu la surprendre. Au petit matin, dans une maison isolĂ©e dans la forĂȘt africaine, elle a reçu au visage la phrase terrible : « Le roi est mort. » Elle a chancelĂ© sous le double poids des voiles de deuil et de la lourde couronne. Le noir ne sied pas Ă  Elizabeth. Elle a sanglotĂ© sans rien dire. Elle a vingt-six ans, la jeune mĂšre et la jeune Ă©pouse en robe claire ! Ils Ă©taient heureux depuis le dimanche prĂ©cĂ©dent, quand elle Ă©tait entrĂ©e avec Philip dans la petite maison de bois aux fenĂȘtres blanches. La clĂ© avait mal tournĂ© dans la serrure ; il avait fallu forcer mais personne n'avait conclu pour cela que le sort fĂ»t hostile.
Au contraire. Les ĂȘtres et les choses Ă©taient devenus des complices. On Ă©tait en Afrique et l'on Ă©tait en Ă©tĂ©. Dans l'air il y avait des ballets de mouches roses et autour de la maison des arbres qu'on aurait pris pour des pommiers s’ils n’avaient eu des feuilles vert bleu grandes comme des chapeaux de soleil. Ils Ă©taient seuls dans ce domaine de parfums et de couleurs. Ou du moins autant que des princes peuvent l’ĂȘtre. Leur solitude avait quelques centaines de mĂštres de long. Elle Ă©tait ce jardin embaumĂ© ceinturĂ© par de hautes palissades : derriĂšre elles, il y avait la forĂȘt, ses profondeurs obscures et ses bĂȘtes sauvages. Il y avait aussi cent hommes armĂ©s qui veillaient nuit et jour et qui Ă©taient Ă  la fois leurs dĂ©fenseurs et leurs geĂŽliers.
« Royal Lodge », la chaumiĂšre royale, Ă  160 kilomĂštres de Nairobi, capitale du Kenya, n'Ă©tait que la premiĂšre Ă©tape d’un gigantesque voyage de noces de cinq mois et demi. Les Ă©poux volants s'Ă©taient donnĂ© la moitiĂ© de la Terre comme promenade sentimentale : 48.270 kilomĂštres de l'Europe Ă  l’Asie en traversant l'Afrique. De Londres Ă  Londres, via Nairobi, Colombo, Melbourne, Sydney et la Nouvelle-ZĂ©lande. Leur jeunesse et leur bonheur les dĂ©signaient pour ĂȘtre les commis voyageurs de la couronne. Avec leurs sourires, leurs joues roses et leurs mains unies, ils venaient rappeler au Commonwealth que l'Angleterre se porte bien et que son avenir est assurĂ©. L’Angleterre ne les quittait pas des yeux. Chacun des gestes de Philip, chacune des robes d'Elizabeth la passionnaient. Trois reporters de la BBC, en liaison avec les radios australienne et nĂ©o-zĂ©landaise, racontaient heure par heure aux auditeurs anglais, comment leur princesse servait la cause de l’Empire en prenant des vacances. C’était une lune de miel nationale.
Elizabeth se rappelait dans l’avion qui la ramenait vers Londres son dĂ©part de l’aĂ©rodrome, le jeudi 31 janvier. Toute la famille royale Ă©tait lĂ  pour lui dire au revoir. Le roi Ă©tait montĂ© Ă  bord. Il Ă©tait restĂ© dix minutes. Puis les moteurs s'Ă©taient mis Ă  vrombir ; il Ă©tait descendu. Quand l’avion avait dĂ©marrĂ© pour prendre la piste, George VI avait levĂ© la main tandis que la reine envoyait un baiser. La frĂȘle silhouette de son pĂšre, le bras dressĂ©, la pĂąleur de son visage et ses cheveux en dĂ©sordre dans le vent des hĂ©lices, ce fut la derniĂšre image qu’Elizabeth emporta de lui. Puis la famille royale avait grimpĂ© sur une terrasse pour voir plus longtemps l’avion jusqu’à ce qu’il ne soit plus qu’un point noir dans la brume. M. Churchill restĂ© au rez-de-chaussĂ©e observait le dĂ©collage, le nez collĂ© Ă  la vitre comme un Ă©colier en pĂ©nitence.
Elle savait bien, Elizabeth, que ce voyage, c’était le roi qui devait l’accomplir ! Mais il n’en avait pas eu la force. Car c’est une entreprise extĂ©nuante de traverser un empire oĂč le soleil ne se couche pas. Depuis la terrible opĂ©ration de septembre 1951, George VI Ă©tait moins un convalescent qu’un mourant en sursis. Il ne sortait pas sans une veste et des chaussures rĂ©chauffĂ©es grĂące Ă  une pile Ă©lectrique. Sa voix avait Ă©tĂ© altĂ©rĂ©e par la maladie. En effet, en procĂ©dant Ă  l’ablation totale de son poumon gauche, le chirurgien, sir Thomas Price, s’était vu contraint de sectionner un nerf pulmonaire influençant les cordes vocales au risque de le voir perdre totalement et dĂ©finitivement la parole. Les sept mĂ©decins prĂ©sents avaient pris alors cette responsabilitĂ© en signant une dĂ©claration commune. Ils avaient Ă©tĂ© quelque peu soulagĂ©s en entendant le roi leur dire en ouvrant les yeux vingt-quatre heures aprĂšs l’opĂ©ration : « Good morning, gentlemen. » Pourtant, quand le souverain enregistra, pour NoĂ«l, son premier discours, les Anglais avaient remarquĂ© que George VI parlait sur un ton rauque, comme son pĂšre, George V. Chaque jour, il faisait des exercices pour rendre de la souplesse Ă  ses cordes vocales.
En montant dans l’avion, Elizabeth n'imaginait pas alors que le chemin parcouru en riant et en bavardant, elle allait, six jours plus tard, le refaire les larmes aux yeux.
Ce départ avait été heureux. Elizabeth avait pris la soupe à la tortue à 6.000 mÚtres au-dessus de Paris, le steak grillé en survolant Dijon et le cate en traversant les Alpes.
AprĂšs un arrĂȘt d’une heure en Libye, l’avion volant de nuit Ă©tait arrivĂ© sans histoire Ă  Nairobi le vendredi 1° fĂ©vrier. Quatre cents chefs des tribus Turkana et Suk, en costumes d’indigĂšnes coiffĂ©s de plumes d’autruche, drapĂ©s dans des peaux de lĂ©opard, l’attendaient rangĂ©s en file indienne. Ils trĂ©pignaient sur place, faisant cliqueter les anneaux de cuivre et d’argent qu’ils portaient aux poignets et aux chevilles. Elizabeth riait dans la lumiĂšre. Elle n’avait pas souffert de ces 30 degrĂ©s de chaleur et de ce soleil implacable presque Ă  la verticale. A un mĂštre, Philip, en uniforme de gala de la marine, Ă©toilĂ© de l’ordre de la JarretiĂšre, Ă©tait son ombre.
Elle avait jouĂ© sans peine son rĂŽle de souveraine. Elle a grandi dans les cĂ©rĂ©monies officielles, au son des hymnes et des coups de canon. Un quart d’heure aprĂšs avoir mis le pied sur le sol africain, elle visitait une maternitĂ©. Un petit garçon l’y attendait qui s’appelait « Prince » parce qu’il Ă©tait nĂ© le mĂȘme jour que le prince Charles. Il avait la peau noire et des yeux blancs qui roulaient de terreur. Il Ă©tait si apeurĂ© qu’il tourna le dos en voyant Elizabeth. Il avait fallu qu'elle lui prenne le bouquet des mains et le fasse pirouetter sur lui-mĂȘme. Elle souriait toujours, mais sans cet air un peu Ă©garĂ© que doivent prendre les souverains pour avoir l’air de s’adresser Ă  tout le monde. Cet enfant noir aux pieds nus Ă©tait comme le nĂ©gatif d’un enfant tout blond qui jouait Ă  cette heure-lĂ  dans un palais de Londres en regardant la pluie couler sur les hautes fenĂȘtres de son palais. Elizabeth se rappelait la derniĂšre image de son fils Ă  travers la vitre arriĂšre de la voiture quittant Clarence House : un petit garçon sĂ©rieux, tout droit et tout triste sur le trottoir dans son manteau bleu pĂąle et qui agitait machinalement un drapeau australien en criant : « Good bye Mammy. » Elle croyait alors le quitter pour six mois. C’était pour six jours.
Le voyage Ă©tait devenu agrĂ©able, le samedi matin, quand le couple princier avait passĂ© la porte de chaume du Parc National de Nairobi, rĂ©serve de la faune africaine. Pour affronter les lions, les gazelles, les autruches, les girafes, les zĂšbres gambadant en libertĂ©, la princesse s’était armĂ©e d’une camĂ©ra et de films couleur. Ce fut une vĂ©ritable promenade dans un film de Walt Disney. Elizabeth eut le bonheur de se trouver soudain Ă  10
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