Une fille asiatique qui se fait traire les nichons
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Une fille asiatique qui se fait traire les nichons
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Par :
ClĂ©lia BĂNARD
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Sophie WAHL
Malawi
Droits des femmes
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Sida
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Dans le sud du Malawi existe un rituel initiatique violent : les jeunes filles qui atteignent la puberté doivent avoir des relations sexuelles forcées avec une "hyÚne", un homme désigné par leur famille. Ce viol est encadré par des rÚgles strictes, et il est organisé dans le plus grand secret. Une pratique qui perdure malgré son interdiction.
Ce reportage a reçu le Prix du jeune reporter d'images de tĂ©lĂ©vision du magazine leRotarien â Ădition 2017
Câest un passage obligĂ© dans certaines communautĂ©s du sud du Malawi . DĂšs leurs premiĂšres rĂšgles, les jeunes filles doivent passer la nuit avec un homme choisi par la famille, appelĂ© une "hyĂšne", pour marquer leur passage Ă lâĂąge adulte. Il sâagit dâun "apprentissage de la sexualitĂ©" et, dans la croyance locale, dâune nĂ©cessitĂ© pour se "purifier" et se prĂ©munir contre de graves maladies. Mais pour ces jeunes filles, câest surtout un Ă©vĂ©nement traumatisant : un viol, qui peut Ă©galement donner lieu Ă une grossesse non dĂ©sirĂ©e.
Les "hyĂšnes" sont des hommes choisis par la communautĂ© et recrutĂ©s secrĂštement par les parents des jeunes filles. Ils sont payĂ©s pour avoir ces rapports sexuels de force. Et toujours sans protection. Une vĂ©ritable catastrophe dans un pays oĂč 10 % de la population est sĂ©ropositive, et encore plus dans cette rĂ©gion pauvre, oĂč 16 % des habitants sont infectĂ©s par le virus .
La pratique est dĂ©sormais interdite, en thĂ©orie, mais dans les zones rurales du Malawi, câest le droit local qui prime. Difficile alors de faire appliquer la loi. Pourtant, les mentalitĂ©s changent et des voix sâĂ©lĂšvent contre cette coutume. Des cheffes de district et des ONG ont dĂ©jĂ entamĂ© le long combat pour que les jeunes filles du Malawi ne soient plus les victimes de cette tradition.
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Cet article date de plus de huit ans.
Au Cameroun, une coutume ancestrale consiste Ă masser les seins naissants des jeunes filles en pleine croissance afin de freiner le dĂ©veloppement de leurs poitrines. Encore aujourdâhui, cette pratique est utilisĂ©e dans de nombreux foyers. Selon une Ă©tude de lâAgence de coopĂ©ration internationale allemande (GIZ) parue en 2006, 24% des Camerounaises auraient dĂ©jĂ subi cette mutilation.
France Télévisions
RĂ©daction Afrique
Publié le 27/06/2014 13:41
Mis Ă jour le 17/01/2017 11:05
Une victime du «repassage de seins», Julie Ndjessa, tient à titre d'exemple un bout de bois utilisé habituellement pour brûler les seins des jeunes filles (REUTERS / JOE PENNEY)
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En 2006, deux anthropologues camerounais, le Dr Flavien Ndonko et Germaine Ngoâo, ont souhaitĂ© lever le voile sur cette pratique qui concerne des filles ĂągĂ©es de 12 ans en moyenne et qui sâapparente Ă de la torture. A eux deux, financĂ©s par la GIZ, ils ont interrogĂ© plus de 5.000 femmes et menĂ© une enquĂȘte Ă travers les dix provinces du pays, la seule jamais rĂ©alisĂ©e Ă ce jour. Les chiffres sont Ă©difiants : une fille sur quatre serait touchĂ©e par cette pratique, 53% des adolescentes seraient concernĂ©es dans la province de Douala, le long du littoral atlantique, soit prĂšs de 3,8 millions de jeunes filles en tout. Dans 58% des cas, le «repassage des seins» serait pratiquĂ© par les mĂšres elles-mĂȘmes.
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Le poids des traditions
Grand-mĂšres, mĂšres, tantes : toutes sâaccordent Ă dire que cette technique est le seul moyen dâĂ©loigner les hommes de ces fillettes. Elles justifient cet acte de mutilation physique en invoquant la protection de leur enfant . «ProtĂ©ger nos filles du regard des hommes, Ă©viter aux jeunes filles que les hommes ne leur courent aprĂšs trop tĂŽt et prĂ©venir les grossesses prĂ©coces» : autant de raisons invoquĂ©es pour Ă©viter dâavoir Ă parler de sexualitĂ©, sujet tabou dans ces familles oĂč les traditions sont persistantes.
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Câest un secret de femmes, bien gardĂ© dans lâintimitĂ© des foyers, que mĂȘme les maris ignorent. Au dĂ©but, du temps de la grand-mĂšre, la croyance populaire voulait que masser les seins rende le lait meilleur et Ă©vite aux bĂ©bĂ©s dâavoir les fesses rouges ! Plus rĂ©cemment, avec lâexplosion des grossesses prĂ©coces, la pratique censĂ©e protĂ©ger du viol sâest gĂ©nĂ©ralisĂ©e et banalisĂ©e Ă tel point que 7% des filles le font elles-mĂȘmes.
Pourtant, Ă lâinstar de lâexcision, le «repassage des seins» nâest pas sans consĂ©quence sur la santĂ© et, Ă terme, sur les conditions physique et morale de ces femmes en devenir. Dans beaucoup de cas, la pratique nâa aucune incidence sur la taille de la poitrine mais les kystes et abcĂšs sont frĂ©quents, sans oublier la dĂ©formation des seins qui tombent de maniĂšre prĂ©coce. Plus grave encore, certaines de ces femmes ont dĂ©veloppĂ© trĂšs jeunes un cancer du sein. Impossible de faire le lien entre la pratique et la maladie, mais la coĂŻncidence est troublante. Quant Ă la douleur, violente sur le coup, elle perdure encore pendant des annĂ©es aprĂšs. Les filles se souviennent de chaque dĂ©tail du rituel.
Une mutilation non reconnue
Selon la dĂ©finition de lâOrganisation mondiale de la SantĂ© (OMS), les mutilations sexuelles fĂ©minines sont des «interventions qui altĂšrent ou lĂšsent intentionnellement les organes gĂ©nitaux externes de la femme pour des raisons non mĂ©dicales» . Elle recense quatre types de mutilations : la clitoridectomie (lâablation partielle ou totale du clitoris), lâexcision (lâablation partielle ou totale du clitoris et des petites lĂšvres), lâinfibulation (le rĂ©trĂ©cissement de l'orifice vaginal par la crĂ©ation d'une fermeture) et toutes autres interventions nĂ©fastes au niveau des organes gĂ©nitaux fĂ©minins Ă des fins non mĂ©dicales, par exemple, piquer , percer, inciser, racler et cautĂ©riser les organes gĂ©nitaux.
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Le «repassage des seins» nâest jamais citĂ© comme Ă©tant une mutilation et nâapparaĂźt que trĂšs rarement sur les sites de diffĂ©rentes organisations internationales de protection des femmes et des enfants. Pourtant, depuis plusieurs annĂ©es, la communautĂ© internationale sâindigne contre toutes les formes de mutilations fĂ©minines, notamment lâexcision. En 2007, la mort dâune fillette de 13 ans en Egypte , pendant son excision, avait Ă©mu tout le pays et interpellĂ© les mĂšres de famille sur la barbarie de cet acte. Mais tout aussi douloureux et traumatisant, le «repassage des seins» est quant Ă lui trĂšs peu connu, assez marginal comparĂ© aux autres mutilations et nâest mĂȘme pas clairement citĂ© par lâOMS.
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Le combat des TantinesâŠ
Depuis 2006, lâAgence de coopĂ©ration allemande et le RĂ©seau national des associations de tantines (Renata) au Cameroun ont choisi de coopĂ©rer afin de lutter contre les abus et violences sexuelles subis par les adolescentes, en particulier le «repassage des seins». Ils se sont lancĂ©s dans une campagne dâinformation nationale afin que nul ne puisse ignorer les ravages de cette pratique.
Lâassociation Renata, organisĂ©e par et pour les filles-mĂšres du Cameroun, prĂȘtes Ă partager leur expĂ©rience, est composĂ©e de plus de 60 associations Ă travers le pays. Ensemble, elles dĂ©noncent la douleur et la peur que subissent ces fillettes qui prĂ©fĂšrent parfois fuir pour Ă©chapper Ă cette mutilation. Une situation qui va Ă lâencontre de ce que dĂ©sirait la famille Ă lâorigine, câest-Ă -dire repousser la date dâun Ă©ventuel mariage ou celle de la naissance dâun enfant. Mais en se retrouvant Ă la rue, les jeunes filles se trouvent confrontĂ©es aux harcĂšlements et aux viols qui se soldent souvent par des grossesses non dĂ©sirĂ©es.
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âŠface aux autoritĂ©s passives
Les Tantines mĂšnent Ă©galement ce combat auprĂšs des gouvernements camerounais successifs dâEphraĂŻm Inoni puis de PhilĂ©mon Yang qui nâont jamais pris de dĂ©cisions prĂ©cises sur le sujet. Pour lâinstant, aucune interdiction formelle nâa jamais Ă©tĂ© prononcĂ©e contre cette pratique.Â
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SĂ©golĂšne Malterre, une journaliste de France 24, est partie enquĂȘter sur le terrain. A Kigali, elle a rencontrĂ© Marie-ThĂ©rĂšse Abena Ondoa, la ministre de la Promotion de la femme et de la famille, qui minimise lâimportance du phĂ©nomĂšne et la douleur ressentie par les jeunes Camerounaises, justifiant la forme disgracieuse des poitrines «plates» par le fait que les femmes accouchent ou sont morphologiquement nĂ©es comme ça. «Le phĂ©nomĂšne du "repassage des seins" a Ă©tĂ© majorĂ©. Il se pratiquait avec douceur, sans aucune violence» , explique-t-elle.
ContactĂ©e en juin 2014, lâassociation Renata a assurĂ© que lâEtat n'avait toujours pas formulĂ© une loi interdisant ou condamnant cette pratique. En 2013, la GIZ ainsi que lâassociation Renata ont envisagĂ© de mesurer les rĂ©sultats de la campagne de sensibilisation menĂ©e au Cameroun ces derniĂšres annĂ©es. A leur demande, Iresco (lâinstitut pour la recherche, le dĂ©veloppement socio-Ă©conomique et la communication du Cameroun) a rĂ©alisĂ© cette Ă©tude de suivi . En 2005, le «repassage des seins» concernait 24% des jeunes filles. En 2013, le pourcentage Ă©tait tombĂ© Ă 12%. Les rĂ©sultats sont encourageants mais il reste beaucoup Ă faire.
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Publié le 27 mars 2018 à 14:19 par La rédaction
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© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
PayĂ©e pour venir faire le mĂ©nage chez un homme, cette trĂšs jolie fille n'est visiblement pas dotĂ©e d'une trĂšs grande conscience professionnelle. Regardez plutĂŽt Ă quoi celle-ci passe ses heures de boulotâŠ
En contrÎlant derniÚrement ses caméras de surveillance placées un peu partout dans sa maison, un homme s'est aperçu que sa femme de ménage n'était pas une adepte du travail acharné. Au lieu de se mettre rapidement au boulot sitÎt arrivée chez lui, celle-ci préfÚre en effet prendre son temps et vaquer à d'autres occupations.
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En dĂ©couvrant ces images, son patron n'a pas Ă©tĂ© trĂšs content, mĂȘme si la plastique parfaite de cette femme de mĂ©nage n'a pas dĂ» le laisser insensible.
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