Une fille asiatique qui se fait traire les nichons

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Malawi

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Dans le sud du Malawi existe un rituel initiatique violent : les jeunes filles qui atteignent la puberté doivent avoir des relations sexuelles forcées avec une "hyÚne", un homme désigné par leur famille. Ce viol est encadré par des rÚgles strictes, et il est organisé dans le plus grand secret. Une pratique qui perdure malgré son interdiction.
Ce reportage a reçu le Prix du jeune reporter d'images de tĂ©lĂ©vision du magazine leRotarien – Édition 2017
C’est un passage obligĂ© dans certaines communautĂ©s du sud du Malawi . DĂšs leurs premiĂšres rĂšgles, les jeunes filles doivent passer la nuit avec un homme choisi par la famille, appelĂ© une "hyĂšne", pour marquer leur passage Ă  l’ñge adulte. Il s’agit d’un "apprentissage de la sexualitĂ©" et, dans la croyance locale, d’une nĂ©cessitĂ© pour se "purifier" et se prĂ©munir contre de graves maladies. Mais pour ces jeunes filles, c’est surtout un Ă©vĂ©nement traumatisant : un viol, qui peut Ă©galement donner lieu Ă  une grossesse non dĂ©sirĂ©e.
Les "hyĂšnes" sont des hommes choisis par la communautĂ© et recrutĂ©s secrĂštement par les parents des jeunes filles. Ils sont payĂ©s pour avoir ces rapports sexuels de force. Et toujours sans protection. Une vĂ©ritable catastrophe dans un pays oĂč 10 % de la population est sĂ©ropositive, et encore plus dans cette rĂ©gion pauvre, oĂč 16 % des habitants sont infectĂ©s par le virus .
La pratique est dĂ©sormais interdite, en thĂ©orie, mais dans les zones rurales du Malawi, c’est le droit local qui prime. Difficile alors de faire appliquer la loi. Pourtant, les mentalitĂ©s changent et des voix s’élĂšvent contre cette coutume. Des cheffes de district et des ONG ont dĂ©jĂ  entamĂ© le long combat pour que les jeunes filles du Malawi ne soient plus les victimes de cette tradition.
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Cet article date de plus de huit ans.


Au Cameroun, une coutume ancestrale consiste Ă  masser les seins naissants des jeunes filles en pleine croissance afin de freiner le dĂ©veloppement de leurs poitrines. Encore aujourd’hui, cette pratique est utilisĂ©e dans de nombreux foyers. Selon une Ă©tude de l’Agence de coopĂ©ration internationale allemande (GIZ) parue en 2006, 24% des Camerounaises auraient dĂ©jĂ  subi cette mutilation.




France Télévisions




RĂ©daction Afrique




Publié le 27/06/2014 13:41


Mis Ă  jour le 17/01/2017 11:05





























Une victime du «repassage de seins», Julie Ndjessa, tient à titre d'exemple un bout de bois utilisé habituellement pour brûler les seins des jeunes filles (REUTERS / JOE PENNEY)




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En 2006, deux anthropologues camerounais, le Dr Flavien Ndonko et Germaine Ngo’o, ont souhaitĂ© lever le voile sur cette pratique qui concerne des filles ĂągĂ©es de 12 ans en moyenne et qui s’apparente Ă  de la torture. A eux deux, financĂ©s par la GIZ, ils ont interrogĂ© plus de 5.000 femmes et menĂ© une enquĂȘte Ă  travers les dix provinces du pays, la seule jamais rĂ©alisĂ©e Ă  ce jour. Les chiffres sont Ă©difiants : une fille sur quatre serait touchĂ©e par cette pratique, 53% des adolescentes seraient concernĂ©es dans la province de Douala, le long du littoral atlantique, soit prĂšs de 3,8 millions de jeunes filles en tout. Dans 58% des cas, le «repassage des seins» serait pratiquĂ© par les mĂšres elles-mĂȘmes.
 
Le poids des traditions
Grand-mĂšres, mĂšres, tantes : toutes s’accordent Ă  dire que cette technique est le seul moyen d’éloigner les hommes de ces fillettes. Elles justifient cet acte de mutilation physique en invoquant la protection de leur enfant . «ProtĂ©ger nos filles du regard des hommes, Ă©viter aux jeunes filles que les hommes ne leur courent aprĂšs trop tĂŽt et prĂ©venir les grossesses prĂ©coces» : autant de raisons invoquĂ©es pour Ă©viter d’avoir Ă  parler de sexualitĂ©, sujet tabou dans ces familles oĂč les traditions sont persistantes.
 
C’est un secret de femmes, bien gardĂ© dans l’intimitĂ© des foyers, que mĂȘme les maris ignorent. Au dĂ©but, du temps de la grand-mĂšre, la croyance populaire voulait que masser les seins rende le lait meilleur et Ă©vite aux bĂ©bĂ©s d’avoir les fesses rouges ! Plus rĂ©cemment, avec l’explosion des grossesses prĂ©coces, la pratique censĂ©e protĂ©ger du viol s’est gĂ©nĂ©ralisĂ©e et banalisĂ©e Ă  tel point que 7% des filles le font elles-mĂȘmes.

Pourtant, Ă  l’instar de l’excision, le «repassage des seins» n’est pas sans consĂ©quence sur la santĂ© et, Ă  terme, sur les conditions physique et morale de ces femmes en devenir. Dans beaucoup de cas, la pratique n’a aucune incidence sur la taille de la poitrine mais les kystes et abcĂšs sont frĂ©quents, sans oublier la dĂ©formation des seins qui tombent de maniĂšre prĂ©coce. Plus grave encore, certaines de ces femmes ont dĂ©veloppĂ© trĂšs jeunes un cancer du sein. Impossible de faire le lien entre la pratique et la maladie, mais la coĂŻncidence est troublante. Quant Ă  la douleur, violente sur le coup, elle perdure encore pendant des annĂ©es aprĂšs. Les filles se souviennent de chaque dĂ©tail du rituel.
Une mutilation non reconnue
Selon la dĂ©finition de l’Organisation mondiale de la SantĂ© (OMS), les mutilations sexuelles fĂ©minines sont des «interventions qui altĂšrent ou lĂšsent intentionnellement les organes gĂ©nitaux externes de la femme pour des raisons non mĂ©dicales» . Elle recense quatre types de mutilations : la clitoridectomie (l’ablation partielle ou totale du clitoris), l’excision (l’ablation partielle ou totale du clitoris et des petites lĂšvres), l’infibulation (le rĂ©trĂ©cissement de l'orifice vaginal par la crĂ©ation d'une fermeture) et toutes autres interventions nĂ©fastes au niveau des organes gĂ©nitaux fĂ©minins Ă  des fins non mĂ©dicales, par exemple, piquer , percer, inciser, racler et cautĂ©riser les organes gĂ©nitaux.
 
Le «repassage des seins» n’est jamais citĂ© comme Ă©tant une mutilation et n’apparaĂźt que trĂšs rarement sur les sites de diffĂ©rentes organisations internationales de protection des femmes et des enfants. Pourtant, depuis plusieurs annĂ©es, la communautĂ© internationale s’indigne contre toutes les formes de mutilations fĂ©minines, notamment l’excision. En 2007, la mort d’une fillette de 13 ans en Egypte , pendant son excision, avait Ă©mu tout le pays et interpellĂ© les mĂšres de famille sur la barbarie de cet acte. Mais tout aussi douloureux et traumatisant, le «repassage des seins» est quant Ă  lui trĂšs peu connu, assez marginal comparĂ© aux autres mutilations et n’est mĂȘme pas clairement citĂ© par l’OMS.
 
Le combat des Tantines

Depuis 2006, l’Agence de coopĂ©ration allemande et le RĂ©seau national des associations de tantines (Renata) au Cameroun ont choisi de coopĂ©rer afin de lutter contre les abus et violences sexuelles subis par les adolescentes, en particulier le «repassage des seins». Ils se sont lancĂ©s dans une campagne d’information nationale afin que nul ne puisse ignorer les ravages de cette pratique.

L’association Renata, organisĂ©e par et pour les filles-mĂšres du Cameroun, prĂȘtes Ă  partager leur expĂ©rience, est composĂ©e de plus de 60 associations Ă  travers le pays. Ensemble, elles dĂ©noncent la douleur et la peur que subissent ces fillettes qui prĂ©fĂšrent parfois fuir pour Ă©chapper Ă  cette mutilation. Une situation qui va Ă  l’encontre de ce que dĂ©sirait la famille Ă  l’origine, c’est-Ă -dire repousser la date d’un Ă©ventuel mariage ou celle de la naissance d’un enfant. Mais en se retrouvant Ă  la rue, les jeunes filles se trouvent confrontĂ©es aux harcĂšlements et aux viols qui se soldent souvent par des grossesses non dĂ©sirĂ©es.
 

face aux autorités passives
Les Tantines mĂšnent Ă©galement ce combat auprĂšs des gouvernements camerounais successifs d’EphraĂŻm Inoni puis de PhilĂ©mon Yang qui n’ont jamais pris de dĂ©cisions prĂ©cises sur le sujet. Pour l’instant, aucune interdiction formelle n’a jamais Ă©tĂ© prononcĂ©e contre cette pratique. 
 
SĂ©golĂšne Malterre, une journaliste de France 24, est partie enquĂȘter sur le terrain. A Kigali, elle a rencontrĂ© Marie-ThĂ©rĂšse Abena Ondoa, la ministre de la Promotion de la femme et de la famille, qui minimise l’importance du phĂ©nomĂšne et la douleur ressentie par les jeunes Camerounaises, justifiant la forme disgracieuse des poitrines «plates» par le fait que les femmes accouchent ou sont morphologiquement nĂ©es comme ça. «Le phĂ©nomĂšne du "repassage des seins" a Ă©tĂ© majorĂ©. Il se pratiquait avec douceur, sans aucune violence» , explique-t-elle.

ContactĂ©e en juin 2014, l’association Renata a assurĂ© que l’Etat n'avait toujours pas formulĂ© une loi interdisant ou condamnant cette pratique. En 2013, la GIZ ainsi que l’association Renata ont envisagĂ© de mesurer les rĂ©sultats de la campagne de sensibilisation menĂ©e au Cameroun ces derniĂšres annĂ©es. A leur demande, Iresco (l’institut pour la recherche, le dĂ©veloppement socio-Ă©conomique et la communication du Cameroun) a rĂ©alisĂ© cette Ă©tude de suivi . En 2005, le «repassage des seins» concernait 24% des jeunes filles. En 2013, le pourcentage Ă©tait tombĂ© Ă  12%. Les rĂ©sultats sont encourageants mais il reste beaucoup Ă  faire.
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Publié le 27 mars 2018 à 14:19 par La rédaction
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© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
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