Une femme sexy et encore vierge se dévoile

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Une femme sexy et encore vierge se dévoile
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PHOTOS. Cannes 2019 : Très chic ou décontractée, Eva Longoria a ébloui la Croisette avec ses looks
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PHOTOS. Cannes 2019 : Laura Tenoudji très chic au bras de Christian Estrosi sur le tapis rouge
La Minute Fashion de Cannes : Bérénice Bejo chic pour la montée des marches de The Search
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Les plus beaux looks du Festival de Cannes
Bella Hadid fait sensation au Festival de Cannes
1/12 -
La sœur de Gigi a fait sensation sur le tapis rouge qui précédait la projection du film La fille Inconnue. Vêtue d'une robe rouge aussi minimaliste que fendue et qui ne cachait pas grand-chose. De quoi laisser les photographes sans dessus, dessous.

2/12 -
Après avoir dévoilé un téton en 2006, Sophie a exposé, cette année, sa culotte lors de sa première montée des marches, la star a continué d'affoler les festivaliers en offrant peu après une vue plongeante sur sa poitrine. On ne pourra pas dire qu'elle est passée en coup de vent !

3/12 -
Présente pour la projection de Palermo Shooting, la jeune femme a illuminé la Croisette avec une veste d'un blanc virginal qui ne cachait rien de sa poitrine. Même si elle manquait un peu de tenue...

4/12 -
Habituée à mettre sa plastique en avant, Nabilla a opté pour un haut tout en transparence qui aurait été d'un meilleur effet si son soutien-gorge ne s'était fait la malle. Un petit accident de tapis rouge qui lui a fait nichon ni froid.

5/12 -
Jambes croisées, ça va, jambes décroisées, bonjour les dégâts ! En prenant la pose pour les photographes, la belle Diane a semblé avoir oublié qu'elle portait une jupe extracourte.

6/12 -
Peu connue avant son passage à Cannes en 2012 pour le film The Immigrant, l'actrice a soufflé tout le monde avec sa jolie petite robe bleue qui lui a permis de se faire un nom...

7/12 -
Venue à la première de As I Lay Dying, l'Américaine a enflammé les marches avec une robe fendue qui ne cachait pas grand-chose de son anatomie. A voir sa tête, on se dit qu'elle n'avait pas prévu d'en montrer autant.

8/12 -
Il n'y a pas que le vent qui joue des tours aux actrices. Il y a aussi leur partenaire ! Ce n'est pas Emmanuelle Seigner qui dira le contraire. En accompagnant son mari Roman Polanski sur le tapis rouge, elle ne se doutait pas qu'il la déshabillerait à moitié en marchant sur sa robe. Du coup, elle a vu rouge !

9/12 -
Si, même sous la pluie, le festival de Cannes garde toute sa magie, pour les stars, il est parfois compliqué de déambuler sans mouiller sa robe. C'est en voulant éviter cela qu'Eva a levé la sienne... un peu trop haut !

10/12 -
S'il y en a une qui a voulu jouer les transparences cette année, c'est bien elle. L'actrice a opté pour une tenue ne cachant rien de ses jolies formes, prouvant ainsi qu'elle est aussi belle de face que de fesse.

11/12 -
Loin d'avoir une image de femme fatale, la comédienne sait mettre du piment dans ses apparitions, comme en 2009, où elle avait laissé échapper un sein. Détendue, elle n'a même pas ri jaune de sa mésaventure.

12/12 -
Egérie Magnum pour le festival 2015, le mannequin était vraiment à croquer dans sa robe rose bonbon qui avait la fâcheuse tendance à s'ouvrir plus qu'il ne fallait. En tout cas, elle n'a laissé personne de glace...

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Anonyme3309079 
Le 07/03 à 15:04
stephanebotte 
Le 27/05 à 22:41
bernadettedelourdes 
Le 27/05 à 22:40
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Sophie Marceau, Bella Hadid, Eva Longoria, tous les ans a Cannes la montée de marche se transforme en "montrer" des marches pour certaines actrices. Florilège...
Cannes, son festival, sa montée des marches et... ses accidents de robes. Depuis 69 ans, que le cinéma mondial pose ses valises sur la Croisette pendant deux semaines tous les ans, pas une édition ne se passe sans qu'une actrice perde le contrôle de sa tenue et dévoile une partie de son anatomie. Et ce n'est pas Sophie Marceau qui dira le contraire. La comédienne la plus glamour du cinéma français est même coutumière de la robe que se dérobe. En témoigne ses passages sur la croisette en 2006 et 2015, où elle avait dévoilé un sein puis sa culotte .
De la lingerie, Eva Longoria aurait justement dû en porter avant de lever sa robe pour ne pas la mouiller. Ça lui aurait évité de dévoiler son intimité au monde entier. Idem pour Bella Hadid qui en portant une robe fendue a laissé tout le monde sans dessus dessous...
Pour découvrir quelles autres actrices ont tout dévoilé lors de leur passage à Cannes, consultez notre diaporama ci-dessus.
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Elles sont toutes et tout le temps à poil dans les films et séries qu'elles tournent. Il n'y en a pas une qui dise NON aux producteurs et réalisateurs et refusent la nudité gratuite et le scènes de sexe même explicite, d'Anaïs DEMOUSTIER à Karine VIARD en passant par Marina FOÏS, Laetitia MILOT, Isabelle HUPPERT, Natacha LINDINGER, Lucie LUCAS etc... Alors s'exhiber à moitié nue ne gêne pas ces personnes que l'on a déjà tous vu nues comme des vers. Ce qui les intéresse est l'argent, faire la une des magazines et peu importe le reste, leur image dégradante et leur famille.
Où sont les actrices et Stars qui resplendissaient de féminité dans leurs sublimes robes qui vendaient du rêve aux gens... Toutes, élégantes en foulant ce tapis rouge et en montant toujours avec classe ce célèbre escalier du festival de Cannes ?? En 73 ans, il en est pourtant passé des célébrités de Simone Signoret à Catherine Deneuve, en passant par Ingrid Bergman, Grâce Kelly, Natlalie Wood et pour les plus naturellement pourvues point de vue décolletés : Claudia Cardinal, Gina Lollobrigida, Elizabeth Taylor ou Sophia Loren, pourtant toujours très classes, sans ces fameux "incidents" qui arrivent bizarrement de plus en plus fréquemment lors de cet événement à ces pauvres dernières générations d'actrices qui ne font plus fantasmer en confondant séduction sexy avec vulgarité !
C'est d'une telle bétise ! on veut des nichons encore
Elles gèrent leurs images. Pas folles les guèpes !!!
Comme c'est beau qu'elles montrent tout. Continuez à nous faire bander.
Encourager les femmes à mettre leurs corps en valeur, surtout à poil, est devenu immonde d'autant que ces femmes provoquent les hommes de façon pudibonde pour ensuite porter plainte pour harcèlement !! Particulièrement dans le milieu/People et évidemment pas parmi les paysans, ouvriers et j'en passe ! chez les fauchés. Il faut arrêter ce cirque.
Née en 1966 à Paris, Sophie Maupu alias Marceau a grandi dans la banlieue sud, à Gentilly. A 14 ans, c'est par hasard qu'elle participe à un...
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Publié
le 24/02/2022 à 18:30 , Mis à jour le 24/02/2022 à 19:04
«Reconquérir son corps en tant qu'objet de séduction ? C'est un phénomène de mode qui arrive souvent après une vague de combats féministes, comme c'est le cas aujourd'hui. J'y vois nettement un parallèle avec la fin des années 1970, quand Chantal Thomass, notamment, relance la lingerie traditionnelle de la pin-up fifties en jouant le second degré sur la notion de femme objet. Ce qu'elle signifiait, c'était que de nombreux combats avaient été menés – le droit à la pilule, l'avortement, celui de pouvoir posséder son corps – et que les femmes pouvaient désormais passer à autre chose. À savoir, re-accepter les attributs de leur sexe et remettre en valeur tous les atouts de leur féminité, les hanches, les fesses, les seins. À ce renouveau glamour, s'ajoutent au cours des années 1980 le body et le caleçon bien moulant. Cette mode du corps révélé, dont Alaïa a été le roi, revient en force aujourd'hui. Prenez la nouvelle vague des stars de la musique, de Rihanna à Rosalía en passant par Miley Cyrus, par exemple : elles sont ultra powerful et montrent leurs corps – même s'il n'est pas parfait – en mode dominatrice. Comme si, après la dernière génération de combats féministes post- MeToo, les femmes pouvaient de nouveau s'autoriser à être de vraies femmes».
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Cette saison, les femmes se dévoilent. Sexy parce qu'elles le veulent bien, elles signent un manifeste stylistique mais, plus encore, féministe.
Été 2021, l'historienne de la mode Florence Müller se promène dans les rues de Miami. Elle remarque avec amusement que les femmes déambulent dans la ville en tenue cropped (coupé court) ou entièrement transparentes, dévoilant toutes sous leurs robes des micro-maillots. Même constat du journaliste mode, Eugène Rabkin, fondateur du magazine stylezeitgeist.com , mais à New York cette fois-ci. Dans son article «Sex doesn't sell. Voyeurism does», écrit pour BOF (The Business of Fashion) , il raconte que les femmes, après l'abandon des restrictions liées à la pandémie, ont envahi les rues de Big Apple dans diverses tenues très déshabillées.
«“Look but don't touch” (“Regardez, mais ne touchez pas”) est l'éthique qui imprègne le look exhibitionniste postpandémie de la mode », souligne-t-il. Les tendanceurs ont rapidement saisi ce «summer of love» et les créateurs se sont emparés du phénomène. Sur le printemps-été 2022 , les coupes révélatrices, les robes ou combinaisons seconde peau, les microjupes, les tops voilés qui dévoilent, les soutiens-gorge apparents ont envahi les podiums du prêt-à-porter. Pendant ce temps, les leggings semi-transparents de Mugler et les pièces lingeries de Nensi Dojaka , prix LVMH 2021 partent comme des petits pains.
«Cette tendance est si forte, souligne Alexandra Van Houtte , fondatrice du site Tagwalk, moteur de recherche de référence sur la mode, que nous avons créé un tag (mot-clé) spécial sur le printemps–été 2022 baptisé “unveiled body” (corps révélé). En l'incluant ensuite sur le printemps-été 2021, nous avons constaté une hausse de plus de 336 % de looks s'y référant sur la saison actuelle.» Les designers ayant le plus inclus ce concept dans leurs collections ? Nensi Dojaka, jeune créatrice d'origine albanaise, dont les corsets associés à des pièces tailoring, les robes à soutien-gorge intégré traversées de découpes graphiques en résille et les bodys (vus sur Bella Hadid ) affolent littéralement la mode, mais aussi Ludovic de Saint-Sernin, Balmain , Fashion East et Gucci .
Autres mots-clés de Tagwalk en nette progression sur la saison : «catsuit » (ces combinaisons moulantes qu'on a beaucoup vues chez Saint Laurent et Marine Serre), «cut out» (découpe), «mini», et «bra as top» (soutiens-gorges portés comme un haut). Chez Prada , Raf Simons et Miuccia Prada se sont aussi penchés sur l'idée de séduction, d'expression de la sexualité à travers le vêtement, tel ces fins polos en maille au classicisme bousculé par des seins nettement marqués.
En résumé : le corps féminin révélé est le triomphe de l'année. Suite logique de la crise sanitaire où il était caché, entravé, replié sur lui-même ? «Évidemment, nous avons été beaucoup recentrés sur notre bien-être comme si une partie de notre corps, celle qui interagit, interpelle, attire n'existait plus, analyse Thomas Zylberman, styliste et tendanceur du bureau Carlin Creative. On revient donc à un langage corporel qui exprime son envie d'aller vers l'autre et de retrouver ces moments de convivialité et de séduction qui ont été absents de notre vie pendant la crise sanitaire. Mais le second ressort de ce phénomène découle aussi du fait que toute une génération de filles découvre que le corps féminin peut devenir une forme d'empowerment non subi. Elles sont en train de le reconquérir, de se le réapproprier pour en faire un vecteur de libération et d'émancipation.»
Dans cette abondance de chairs radieuses, de féminité ultramarquée, de sex-appeal remarqué, certains esprits chagrins ont vu comme un retour à la femme-objet, de celle qui s'habille pour attirer le sexe opposé comme le suggéraient certaines grandes marques de mode des années 2000. Tess, 22 ans, journaliste à Brut , réfute totalement cet argument. «Je veux me sentir libre d'être sexy , de m'habiller en robe moulante ou en mini, si j'ai envie, car pour moi, ce sont des armes que je contrôle. Nos aînées féministes ont voulu renier leur féminité pour se mettre au même plan que les hommes, mais nous, nous revendiquons notre séduction , notre sensualité, parce que c'est aussi ce qui nous définit. Je ne veux pas que ce soit les autres qui me dictent ce que je dois faire de mon corps, alors je renverse la vapeur. Me maquiller, mettre des talons, me montrer en maillot de bain sur Instagram , c'est moi qui décide de le faire et cela n'autorise personne à me juger. Nous avons compris que, nous les filles, nous étions, quoi qu'il arrive, sexualisées. Alors, OK, on l'est, mais désormais selon nos propres critères.»
Nous revendiquons notre séduction , notre sensualité, parce que c'est aussi ce qui nous définit
Tess fait partie de cette génération qui danse le twerk – cette chorégraphie sensuelle où l'on secoue les hanches et les fesses – en boîte de nuit sans pour autant que ce mouvement ultrasexy soit une invitation et, encore moins, une autorisation à l'approcher. Le fameux «Look but don't touch.» «Être féministe aujourd'hui, c'est revendiquer notre féminité, parfois même à l'excès, pour retourner la situation, ne plus laisser les hommes nous chosifier. Je choisis d'être sexy mais dans un contrôle absolu, poursuit-elle. C'est le côté bad bitch à la Cardi B qui veut dire, en fait, c'est moi la boss.»
Petit retour en arrière : à l'été 2020, Cardy B sort avec Megan Thee Stallion un single baptisé WAP (acronyme de Wet Ass Pussy) à la «sexposivité» décuplée. Le clip ultra suggestif déclenche un raz-de-marée sur le web (25,5 millions de vues en 24 heures et un démarrage direct de la chanson en numéro un des ventes dans le monde entier) et provoque surtout un débat brûlant. «Cette génération de rappeuses, comme Cardi B, Nicki Minaj et les autres, a transformé les codes de la soumission féminine en de véritables lance-flammes. Elle a totalement renversé les rôles», analyse Thomas Zylberman.
Même discours de l'influenceuse, mannequin et actrice, Emily Ratajkowski , qui raconte dans son livre My Body (sorti en janvier) comment l'affichage provocateur de son anatomie se veut une forme d'émancipation féministe. Alors, libre de se sentir sexy ? Même quand on n'a pas la silhouette plus que parfaite d'Emily Ratajkowski ? La réponse est oui. C'est aussi la grande conquête féministe de ce nouveau body conscious , qui doit autant aux filles Kardashian et leurs fesses très rebondies qu'aux créateurs de mode qui font défiler des mannequins «size plus» , tel la top-modèle Paloma chez Coperni ou chez Chloé.
Body conscious ? Le terme signifie conscient de son corps et il est apparu à la fin des années 1970 avec l'invention de nouvelles fibres élastiques permettant de mouler les silhouettes dans un souci de perfection. Ses dignes représentants ? Mugler en version fantasmé et Alaïa en version sublimé. Mais, aujourd'hui, le bodycon, comme on l'appelle désormais, reflète davantage l'envie de s'assumer sans complexe, d'affirmer sa féminité dans un vêtement qui suit toutes les courbes au plus juste pour les mettre en valeur.
«Les créateurs se posent aujourd'hui beaucoup de questions sur la féminité, poursuit Thomas Zylberman, et l'expriment de manière très diversifiée. Il y a eu toute sorte de corps sexy sur les podiums. Celui de Ludovic de Saint-Sernin , qui interroge sur la notion de genre, celui de Stella McCartney , plus sporty, ou celui du nouveau Mugler ou Esther Manas, qui jouent beaucoup plus l'inclusivité.» Un corps nullement passif mais tonique, humaniste, féministe. Exit le premier degré donc qui faisait de l'anatomie féminine un objet de séduction à la Victoria's Secret , cette marque de lingerie, dont le légendaire défilé spectacle a été récemment supprimé suite aux scandales suscités par sa vision rétrograde.
Les créateurs se posent aujourd'hui beaucoup de questions sur la féminité et l'expriment de manière très diversifiée
La sublimation des courbes féminines à l'ère post-MeToo n'a plus tout à fait le même goût. «Je pense que l'hyper féminité et le bodycon sont des notions différentes aujourd'hui. Dans les années 1990, il s'agissait d'outils pour adhérer à un certain standard culturel de beauté, maigre, grande, jeune. Aujourd'hui, la culture a changé, notre notion de la beauté est plus ouverte. Ce qui est si important pour moi chez Mugler, c'est d'apporter le sexy à toutes celles qui en ont envie, nous confie Casey Cadwallader, directeur artistique de la griffe. Je m'efforce de faire en sorte que mes vêtements s'adaptent à différents types de corps, en espérant que toutes les formes et toutes les tailles puissent en profiter. Nos bodys et nos leggings en lycra ont beaucoup de succès parce qu'ils sont spectaculaires et osés, mais couvrent en même temps tout le corps, tout en l'allongeant visuellement. Ils sont tous élastiques et très flexibles sur différentes courbes et proporti
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