Une femme d'expérience nous montre comment on fait

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Faire l’amour avec une fille alors que l’on est 100 % hétéro depuis une bonne trentaine d’années ? Une expérience vécue et racontée par notre journaliste à la libido virevoltante.























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TRES TRES beau ; j'espère qu'elles se sont revues et aimées!!
moi, j'ai rencontré une femme qui m'aime mais a peur, trop peur, et cela me fait trop mal, aussi je préfère tout arrêter. Je souffre vraiment...

Avez vous revu Elsa ? Jolie histoire !

Merci pour cet article formidable, comme beaucoup d 'autres femmes j'aimerais bien tenter cette expérience car je suis très attirée par les femmes, votre article va m aider à enfin franchir le pas et j'espère découvrir aussi une nouvelle forme de bonheur et d'amour

J'ai vraiment beaucoup aimé cet article, il est beau, juste et bien écrit. Je tiens à féliciter la rédactrice qui a osé raconter son histoire et qui a accepté de donner des détails. Un grand merci à vous! Félicitations !

Je vous remercie d'avoir publié un article comme celui-ci. Je ne comprend pas la haine de certaine personne, le texte est beau et bien écrit. Pour ma part il me permet d'y voir un peu plus clair dans cette période de trouble. La bisexualité n'est pas un crime cette article le montre bien. Grace à vous je commence à m'accepter telle que je suis alors merci.
- A.
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Pour la première fois, je signe un article sous un pseudo. Par respect pour mon mari, mes enfants, mes parents... Peut-être pour moi aussi, car en relevant ce défi, j’ai dépassé mes propres limites. Faire l’amour avec une femme ? Il y a longtemps que j’y pensais, comme beaucoup d’entre nous peut-être. Comment ça fait ? Est-ce vraiment différent d’avec un homme ? De là à passer à l’acte... L’alibi d’un article pour Marie Claire, c’était parfait. Mais d’abord, il fallait trouver la femme, et ce ne fut pas simple. Je la voulais belle, enfin à mon goût, et comme mes deux meilleures amies sont plutôt jolies, c’est vers elles que je me suis tout naturellement tournée. « Dis, ça te dirait de passer la nuit avec moi ? C’est pour Marie Claire... » La première a éclaté de rire. Et la seconde, qui avait déjà essayé, a pensé que coucher avec moi gâcherait à tout jamais notre amitié. Alors j’ai dû oser.
Un vigile m’ouvre la porte et me fait signe d’entrer. L’endroit est sombre, pas très grand. Je m’installe seule à une table. Champagne ! Autour de moi, tout le monde est en bande. Dans l’ensemble, presque des caricatures, sans âge. Curieusement, je ne suis pas mal à l’aise. Des femmes me dévisagent, mais elles m’indiffèrent. Pire, elles m’effraient. Trop viriles. Trop négligées...
Toujours parlé à personne. Je suis sur le point de renoncer, quand soudain, au bar, une apparition : une très jolie fille, la trentaine, cheveux mi-longs et sauvages, la peau très blanche, une grande bouche très rouge, des yeux clairs maquillés en noir, un sourire gigantesque. Un corps de princesse dans un look déjanté. Soudain, je ne me sens plus étrangère. Je ne sais pas si c’est l’effet du champagne mais mon ventre se serre. Je me lance (des copains gays m’ont conseillé d’agir « cash »). La fille est installée au bar, je m’approche. Elle se tourne vers moi et me sourit. Frontale, j’attaque : « Je m’appelle Luna, et je te trouve très jolie. » Elle rit des yeux, vraiment délicieuse : « Moi, c’est Elsa. T’es pas mal non plus, mais je suis prise. D’ailleurs ma nana ne va pas tarder à arriver, et elle est très jalouse. Dommage... » Je lui glisse que j’aimerais bien la revoir : « Je te donne mon numéro ? » Je lui tends un bout de papier avec mon numéro de téléphone, sur lequel je griffonne : « Je ne connais pas ce monde des femmes. Tu es la seule qui peut me le faire découvrir. Ton couple ne sera pas en péril. Passons une nuit ensemble, tu me plais. » Elle plante ses yeux dans les miens. « A plus tard... »
Effectivement, alors que j’ai regagné mon lit et ma « real life », mon portable vibre. Un SMS : « Toi aussi, tu me plais. Suis libre demain soir. Tu as mon numéro, fais-en bon usage. » J’aime le style de cette fille. Toujours pas peur... Le lendemain, je vais droit à l’essentiel : « Ce soir, hôtel Murano ? 22 heures ? » Elle répond d’accord. Presque trop simple... Il me reste quelques heures pour me faire belle, et trouver un alibi pour passer la nuit dehors. Je ne vais quand même pas expliquer à mon homme que je pars coucher avec une femme...
Seule au bar du Murano, je m’enivre en douceur. Je préfère être dans un état second... Je porte une jupe, des bas, ma peau est douce et parfumée, je me sens belle mais bizarre. Comment savoir si je lui plairai ? Difficile d’anticiper le regard d’une femme sur soi quand on ne connaît que celui des hommes.
SMS : « Quinze minutes de retard, mais j’arrive. » Je tressaille. Et si je partais ? J’ai tout à coup envie d’un dîner en tête à tête avec mon homme. Je me raisonne et commande une autre coupe.
Elle arrive. Encore plus belle qu’hier soir. Talons hauts, jambes nues, une robe portefeuille couleur prune... Très femme, elle aussi. C’est la première fois de ma vie que je trouve une fille désirable au point... de vouloir coucher avec elle. Elsa s’installe à côté de moi. Elle est drôle et directe. Me raconte qu’elle est chorégraphe, originaire du Poitou, qu’elle a voté Ségo et que, parfois, elle s’ennuie à Paris. Moi je lui avoue que je suis journaliste, sans trop m’étendre sur la question.
Un peu de mal à me concentrer sur la conversation. En fait, j’ai la trouille. Plus Elsa navigue à l’aise, plus je me sens décalée. C’est juste une discussion entre filles, mais codée. Et je n’ai pas les clés. Une vraie débutante... pétrie de curiosité et de désir pour cette jolie fille qui me drague, mais aussi d’envie de prendre mes jambes à mon cou. Je reste.
Nous sommes dans l’ascenseur très sombre, éclairé de quelques paillettes. Elsa s’approche, et vlan, sans un mot, m’embrasse. Ses lèvres sont douces. Comme c’est étrange, le contact de cette peau imberbe, cette façon si délicate de s’y prendre, et ce parfum de fille... J’ai le vertige. Elsa doit ressentir mon trouble, elle recule, me regarde, là, plaquée contre la paroi, sourit, et m’embrasse à nouveau. Nous faisons la même taille, nos cuisses se frôlent, nos hanches... Pour la première fois, je sens des seins contre les miens. Le bas de mon ventre brûle. D’instinct, ma main se glisse à l’intérieur de sa cuisse. Du satin... Elsa passe la sienne sous mon chemisier, saisit la pointe de mes seins, tout mon corps frissonne. Comme si c’était la toute première fois. « Laisse-toi aller », me susurre Elsa à l’oreille, comme si elle sentait mes doutes, du bout de ses doigts. Sa douceur me tranquillise. Je prends confiance. Et j’avoue que ça m’effraie. Arrivées dans la chambre, on se jette sur le lit, en se marrant, comme aux meilleurs moments de l’adolescence. Et le plus naturellement du monde, nous nous embrassons. Je prends goût à ces drôles de baisers, si doux, si sensuels... Je me sens prise dans un tourbillon. Entre un désir que je n’imaginais pas, et des pensées parasites : qu’est-ce que je fous là ? Est-ce que je vais aller jusqu’au bout ? Et c’est quoi, « au bout » ? Voilà même que surgit la tête de ma mère, avec sa mimique quand elle braillait : « Range ta chambre. » Et mon frère qui va tous les dimanches à la messe... Et mon mari, mon Dieu, je l’avais oublié...
Mais le courant est si fort qu’il m’entraîne. Nos lèvres ne s’effleurent plus, elles se dévorent. Nos corps ondulent, flottant sur la même vague. Tout ça me paraît si naturel, si évident... C’est fou comme sa peau est douce sous la robe, j’adore la cambrure de ses reins. J’ai envie d’elle, vraiment, comme je sens qu’elle a envie de moi. Rien à voir pourtant avec le désir pour un homme. C’est à la fois plus épidermique, plus tactile, mais tout aussi tripal. J’ai envie de me fondre en elle, sans la moindre appréhension. Il doit y avoir quelque chose de fœtal dans ce désir... Mais plus le temps de me poser des questions, je savoure. Ce corps jumeau contre le mien, le frôlement de sa robe contre mes bas, j’en ai la chair de poule. Un champ inconnu de sensations s’ouvre à moi. J’en veux encore.
Elsa a dû le sentir. Elle dégrafe ma jupe. Ses doigts remontent délicatement le long de ma cuisse. Sa main est chaude, elle m’effleure à peine, je retiens mon souffle. Quand je la sens, sûre d’elle, arrivée entre mes jambes, j’ouvre les yeux pour mieux mesurer la transgression. Elle aussi me regarde et me sourit. C’est cette créature délicate, qui me caresse et me fait cet effet-là... Je replonge. Elle s’occupe de moi en artiste. Pour le moment, je la laisse faire, entièrement offerte. Juste, je la déshabille. Très excitant, d’ailleurs, de me retrouver dans ce rôle. Déboutonner une robe, dégrafer un soutien-gorge... Ça doit être merveilleux d’être un homme. Entre-temps, Elsa a approfondi son exploration. Et ses doigts qui me pénètrent me donnent envie d’essayer moi aussi. Timidement, je la caresse. Je sens sa main qui saisit la mienne, et me guide. Décidément, elle lit en moi. Curieusement, je me sens soumise, ingénue, et pourtant, je sais qu’il n’y a pas d’emprise. Pas de rapport de force entre nous. Ses gestes sont doux. Experts. Elle me connaît mieux que moi-même, et moi, j’ai de plus en plus envie de plonger en elle, de l’explorer. « Lèche-moi » , m’ordonne-t-elle doucement. Je n’ai jamais vu de si près le sexe d’une femme. Il est épilé et sent bon. Entre ses cuisses, je m’installe. C’est doux, mes doigts cheminent entre ses lèvres et ma langue se glisse. Le goût est un peu salé, pas acide du tout. Et vlan ! ma conscience revient. Comme une bulle de bande dessinée qui crève à la surface : est-ce bien moi, là, entre les cuisses de cette inconnue ? Oui. Et ça ne me déplaît pas du tout. Elsa a encore dû sentir mes doutes. Elle se marre. « Tu aimes ? » Mais oui, c’est bien ce qui me surprend le plus. La sentir trempée sous mes doigts, frémir, durcir, se contracter sous ma langue... Ça me fait vraiment de l’effet.
Nous faisons l’amour ainsi, l’une précédant l’autre puis la suivant, mêlant caresses, fous rires, petits mots doux, et tentatives acrobatiques pour réussir à coller nos deux sexes frissonnants l’un à l’autre. Moi, je mime tout ce qu’elle me fait, elle pousse mes doigts à l’intérieur d’elle. Elle me murmure : « Encore ! » « Viens ! » « Ose ! » et je fais tout ce qu’elle me dit. Jusqu’au moment où je sens qu’entre ses doigts, sa langue et ses lèvres si précises, je... jouis, aussi fort, peut-être plus, qu’entre les mains d’un homme, et l’idée que c’est grâce à cette fille, m’excite encore davantage. Elle me laisse reprendre mon souffle et recommence, malgré moi, tout doucement, et je repars... Puis je me blottis contre elle, sans plus aucune peur, ni retenue. Elle me sourit, et doucement guide ma tête de nouveau vers son sexe, où je me perds délicieusement, en essayant d’être aussi délicate qu’elle, aussi attentive. « Oui, comme ça » Elle m’aide de ses mots. Puis je la sens à son tour, se contracter tout entière, et de sa main elle m’intime d’arrêter. J’ai l’impression qu’elle ne respire plus, comme si elle était emportée loin de moi par une vague, je n’ose plus faire un geste. Puis elle revient à elle doucement, et moi je n’en reviens pas de cette violence. C’est étrange, une femme qui jouit...
Nos corps sont moites, nos têtes pendent dans le vide du lit défait, et j’éclate de rire. C’est plus fort que moi. Elsa me regarde, décontenancée, elle ne comprend pas que c’est de moi que je me moque. Ma douce Elsa, pas convaincue, propose un bain. Plongées dans la pénombre et la mousse délicatement parfumée, nous sommes allongées comme des amantes. Et discutons comme des copines. Elle, son enfance, ses expériences désastreuses avec les mecs, les filles ensuite, et cette femme, régulière, depuis quelques mois... Moi, mon hétérosexualité de base, mon homme, la maternité... C’est doux, intime. Naturel... Nous n’abordons pas la question de demain. Pour moi, c’est l’histoire d’une nuit, une affaire entendue. Enfin, je préfère. J’aurais peur de l’inverse... A la sortie du bain, Elsa se rhabille et me quitte, presque brutalement. « Il faut que j’aille chercher ma chérie au boulot ! » Moi, je suis vidée. Trop d’émotions. Elle, est toute guillerette : « On se revoit quand tu veux ! Et, la prochaine fois, on s’amusera avec des gadgets. » Elle m’embrasse. Un baiser tendre, une langue douce, une dernière fois, et elle disparaît. Moi, je reste là, allongée seule sur le lit de la chambre d’hôtel, bouleversée. La prochaine fois ? On verra...   
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Cas pratique : six techniques pour bien répondre à une fille qui vous teste
Cas pratique : six techniques pour bien répondre à une fille qui vous teste
Cas pratique : six techniques pour bien répondre à une fille qui vous teste
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Si Artdeseduire est leader dans l’univers du conseil en séduction pour homme, c’est grâce à VOTRE intelligence collective, grâce à votre participation ! La preuve : cet article sur la répartie face aux shit tests.
Lors des séances de coaching en séduction, mes apprentis séducteurs me demandent toujours comment faire pour trouver les bons mots, les bonnes vannes , comment faire pour rebondir quand une fille se vexe, met un stop, ou vanne en retour.
Comment faire pour avoir toujours le bon mot à dire ? Comment faire rire une fille en toutes circonstances ? La réponse se trouve en partie dans l’expérience, qui s’acquiert avec le temps, et dans l’humour !
Lisez cet article pour développer votre répartie et répondre à un shit test spécifique !
Comment cet article est-il né ? En faisant une recherche d’images, je tombe sur cette image géniale :
Voyant le succès auprès de mes amis, voyant les commentaires drôles engendrés, je me dis que ça passerait bien sur le Facebook Artdeseduire aussi… mais avec une légère modification, pour jouer ensemble !
Ensemble sur Artdeseduire, on est plus intelligent que tout seul ! Pour faire face à ce shit test, j’avais une réponse toute trouvée, et je me serais arrêté là. Je n’aurais pas cherché davantage.
Grâce à vous, on a créé 6 catégories de très bonnes réponses possibles pour contrer ce shit test.
On va les analyser ensemble pour les comprendre et comprendre les mécanismes cachés dans ces réponses.
Bien plus violent ! Imaginons que vous abordiez une fille et qu’elle vous réponde qu’elle a un copain. Vous ne vous démontez pas, vous avez lu les articles sur les Boyfriend Smashing Techniques .
Mais là, elle fait mieux, elle vous dit qu’elle a une bite ! Pour elle, c’est la réponse ultime qui doit vous repousser : elle sait que si vous l’abordez, ce n’est clairement pas pour trouver un organe génital masculin, sinon vous iriez voir des hommes directement.
Que pouvez-vous répondre pour continuer la conversation quand elle vous dit « Mec, j’ai une bite » ? Florilège des meilleures réponses que vous avez données sur Facebook !
« Oh bah tiens, moi aussi ! C’est fou ce qu’on a comme points communs ! Ça va trop vite entre nous… » Salim
On adore cette réponse (c’est à peu de mots près celle que j’ai utilisée avec mes potes). On caricature le gros dragueur lourd qui vient parler de points communs trop magiques !
« Après 2 mois en Thaïlande, croiser une fille avec une b*te, c’est assez banal, j’espère que tu n’as pas une voix d’homme ! » Romain
Là, Romain fait très fort dans la qualification : une fille avec une bite, pour lui, c’est banal. Il va falloir qu’elle fasse mieux que ça si elle veut retenir son attention. Il se met en position haute, grosse maîtrise du Prizing ici !
« Ah, tu es brésilienne? Moi, j’adore le Brésil! » Loïck
Ci-dessous, trois exemples qui sont vraiment la base, dérivée de la réponse habituelle au shit test « J’ai déjà un copain » . Ça marche toujours, on est fan !
« Moi aussi et pourtant je ne te parle pas de mes problèmes ! » Jérémy
« Je connais bien ce problème, laisse-moi te donner quelques conseils ! » Julien
« Et alors moi aussi et j’en fais pas tout une histoire » Cyril
« Et moi je m’appelle Mehdi, enchanté, on se fait la bise ou on va pisser ensemble comme des vétérans de guerre dans les toilettes ? » Mehdi
Là, la solution proposée par Mehdi consiste à accepter le jeu de la fille. A accepter ses conneries, et à la suivre dans son univers. Il s’en sort bien en convoquant des images mentales, des clichés qui nous font rire : les vétérans de guerre qui pissent ensemble.
Très court, concis : on attend de voir la suite. Là encore, Clément rentre dans le cadre du jeu défini par la fille. (Pour en savoir plus sur les frames, l’outframing et le reframing, je recommande l’expertise de Swinggcat dans Real World Seduction )
« J’espère qu’elle n’est pas plus grande que la mienne. Sinon tu imagines que je dise à mes amis que ma copine est mieux montée que moi » Quentin
Sublime. Délire total, où Quentin projette déjà la fille dans le couple. Dans sa réponse, il fait comme s’il allait déjà raconter à ses potes (Social Proof) qu’il a une copine . Très très bon, une de mes réponses préférées !
« On fait un concours de celui qui pisse le plus loin ? » Mathieu
A ça je rajouterais un défi : celui qui perd paye un verre à l’autre… Très bien vu !
« Tu t’en sers pour écrire ton nom dans la neige ? » Thomas
La blague de base pour les mecs, on valide. Permet de partir sur n’importe quel délire à base de pisse, il faut qu’elle soit de bonne humeur !
« CHAT-BITE ! (bon risque de prendre une baffe) » Karim
Danger, sirène d’alarme ! Faites juste le mouvement, évidemment, comme si vous alliez la toucher mais ne le faites pas. Trop risqué, ces temps-ci tout est prétexte à parler de viol, de harcèlement etc… On touche avec les yeux, même si c’est une des meilleures vannes de la page !
Pour ceux qui ont envie de parler de pisse, deux exemples ont été donnés :
« Alors ça fait quoi de pouvoir enfin pisser debout avec nonchalance approprié
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