Une femme de ménage japonaise

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samedi 2 juillet 2022 à 18:44 | Valentin Delepaul
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Ce samedi 2 juillet 2022, 6ter lance en prime Une femme, une série inédite relatant les aventures de Bahar, une veuve incarnée par Ozge Ozpirinçi, vivant dans la pauvreté avec ses enfants. C’est la première fois qu’une production turque sera proposée en prime time en France sur une chaîne en clair.
Ce samedi 2 juillet 2022, 6ter innove en proposant pour la première fois en prime, une série turque feuilletonnante. Avec Une Femme , la chaîne espère tenir en haleine ses téléspectateurs tout au long de l’été. Diffusée en Turquie entre 2017 et 2020, cette production compte 83 épisodes étalés sur trois saisons.
Une Femme, dont le titre original est « Kadin » , a reçu de nombreux prix et a été vendue dans plus de 65 territoires. Elle a rencontré un énorme succès et s’est classée en tête des audiences dans de nombreux pays tels que l’Espagne, le Chili, l’Argentine, Puerto Rico, le Pérou, le Sri Lanka ou encore le Vietnam.
Dans son pays d’origine, la série s’est illustrée en totalisant au printemps 2018 sur FOX jusqu’à 6,79 millions de téléspectateurs, soit 26,9% de part d’audience auprès des 5 ans et plus, dont 25,5% sur la cible commerciale. En novembre 2018, le final de Kadin a captivé 7,83 millions de Turques, soit 34% de part de marché auprès de l’ensemble des individus présents devant la télévision. En octobre 2017, le lancement avait fédéré 13,3% du public, représentant 3,31 millions de téléspectateurs.
En Espagne, Une femme est diffusée sur la chaîne privée Antena 3, l’équivalent local de M6. En août 2020, la série a réalisé son record d’audience historique 1,55 million de téléspectateur, soit 16% part de marché auprès des 4 ans et plus. Le diffuseur était leader sur l’ensemble du public et auprès de la cible commerciale. Fin septembre de la même année, la série atteint un nouveau plus haut avec 1,91 millions de téléspectateurs, soit 18,7% de part d’audience. en prime time. En février 2021, Une femme atteint un record historique sur Antena 3 avec 20,3% de part de marché auprès des 4 ans et plus, soit 2,4 millions d’Espagnols. Dès pics à près de 3 millions de curieux sont même atteint.
Une Femme relate les aventures de Behar ( Ozge Ozpirincci ), une mère célibataire, élevant seule ses deux enfants, Nisan ( Kübra Süzgün ) et Doruk ( Ali Semi Sefil ), depuis la mort accidentelle, quatre ans plus tôt, de Sarp ( Caner Cindoruk ), son mari. Malgré ses efforts, elle a du mal à joindre les deux bouts et travaille comme repasseuse dans un atelier de confection textile. Elle enchaîne les petits boulots comme femme de ménage, mais sa situation financière ne s’améliore pas.
La situation s’empire pour Behar lorsqu’elle se retrouve expulsée de chez elle pour loyers impayés. Elle est forcée d’emménager dans un quartier malfamé d’Istambul. Elle se retrouve seule et sans aucune aide familiale puisque son père est décédé et sa mère l’a abandonnée à l’âge de 8 ans.
Lorsque la mère de famille désespérée se tourne vers le bureau d’aide sociale afin d’obtenir l’aide du gouvernement, un employé contacte alors Hatice ( Bennu Yildirimlar ), la mère de Behar. Contre toute attente, elle est prête à aider sa fille. Mais, Bahar doit alors faire face à son passé...
Une Femme (ou Kadin) est inspirée de la série dramatique japonaise « Woman : My Life For My Chidren » de Yuji Sakamoto , diffusée en 2013 et ne comportait que 11 épisodes. La série turque a donc été diffusée pour la première fois en 2017 sur FOX.
Une Femme a reçu de multiples récompenses comme un award spécial lors des Tokyo Drama Awards et les prix d’interprétation « meilleure actrice » pour Ozge Ozpirinçi et « meilleurs enfant acteur » pour Kubra Suzgun et Ali Semi Sefil lors des Golden Butterfly Awards, une cérémonie annuelle turque.
Une Femme est à retrouver tous les samedis dès 21h05 sur 6ter dès ce 2 juillet. Trois épisodes inédits seront proposés. La série turque remplace Les Simpson qui seront désormais proposés tous les vendredis au lieu de NCIS .


Au Japon, le nombre des mères célibataires ne cesse d’augmenter et la vie de ces femmes qui se battent pour s’en sortir est trop souvent synonyme de pauvreté. Akaishi Chieko connaît bien le problème pour l’avoir vécu elle-même de l’intérieur. Dans les lignes qui suivent, elle donne un aperçu saisissant de la situation des Japonaises qui sont victimes non seulement de la discrimination traditionnelle hommes-femmes mais aussi de l’aggravation de la pauvreté et des inégalités en matière de salaire dans l’Archipel.




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Expliquer ce que signifie réellement être une mère célibataire au Japon n’est pas chose aisée. En effet, ces femmes hésitent souvent à s’étendre sur leurs difficultés sans doute par peur de perdre courage. Mais il suffit de consulter les forums de discussions sur Internet pour constater qu’elles se répartissent en deux groupes. Nombre d’entre elles élèvent leurs enfants dans des conditions difficiles – bien qu’elles bénéficient de certaines prestations sociales – alors que beaucoup d’autres assument complètement leur situation. Entre ces deux extrêmes où se situe la réalité ?
La plupart des femmes qui se retrouvent dans la position de mère célibataire n’ont pas eu vraiment le choix. Ceci dit, certaines sont ravies de s’être libérées du joug du mariage et de pouvoir vivre pleinement en dépit de leurs difficultés d’ordre économique. En fait, la situation de chacune dépend de plusieurs facteurs notamment le niveau d’études, un éventuel soutien familial et le fait d’avoir ou pas continué à travailler une fois mariée.
Au Japon, les mères célibataires ont droit à certaines prestations sociales. Mais 54,6 % d’entre elles n’en vivent pas moins en dessous du seuil de pauvreté, ce qui tend à prouver l’inefficacité de ces aides. Voyons maintenant quelles sont les raisons de cette situation.
D’après l’enquête nationale sur les mères célibataires effectuée tous les cinq ans par le ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales, le nombre des foyers composés d’une femme et de ses enfants recensés au Japon en 2011 était de 1 238 000, ce qui signifie qu’il a doublé depuis 1973. Celui des familles monoparentales où c’est le père qui élève les enfants se limitait à 223 000.
Les résultats de l’enquête de 2011 montrent que l’âge moyen des mères célibataires japonaises est de 40 ans. 80,8 % d’entre elles sont divorcées, 7,8 % ont eu leurs enfants hors mariage et 7,5 % sont veuves. Elles ont un revenu annuel moyen de 2,23 millions de yens (environ 16 500 euros), prestations sociales, indemnité pour enfant à charge et pension alimentaire incluses. Si 80,6 % des mères célibataires ont un emploi, elles touchent en moyenne un salaire annuel d’à peine 1,81 million de yens, soit moins de la moitié de ce que gagnent en moyenne l’ensemble des ménages japonais.
Ce phénomène s’explique en partie par le fait qu’au Japon les salaires féminins sont dans l’ensemble peu élevés. D’après l’enquête sur les salaires du secteur privé effectuée en 2010 par l’Agence nationale des impôts, 43 % des femmes actives de l’Archipel gagnent moins de 2 millions de yens par an. Les emplois précaires ont augmenté aussi bien chez les hommes que chez les femmes et près de 70 % d’entre eux sont occupés par des femmes. En fait, la pauvreté affecte non seulement les mères célibataires mais aussi l’ensemble de la population féminine de l’Archipel.
Le Japon est l’un des pays industrialisés où le décalage entre les salaires des hommes et ceux des femmes est le plus important. Et cet écart est encore plus accentué quand ils ont des enfants. D’après un rapport de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) datant de 2012, les mères de famille japonaises actives gagnent environ 60 % de moins que leur époux et le sacrifice auquel elles consentent pour avoir des enfants est particulièrement grand.
Si les salaires des femmes sont aussi bas, c’est parce que le principe traditionnel de la répartition des rôles en fonction du sexe sur lequel repose la société japonaise est toujours ancré dans les mentalités. Le système actuel s’est mis en place dans les années 1950-1960, au moment de la période de haute croissance économique de l’Archipel. Il a pris la forme d’un modèle familial où le mari consacre de longues heures à son travail, loin de son foyer, tandis que son épouse reste à la maison pour effectuer toutes les tâches ménagères, s’occuper des enfants et prendre soin de leurs vieux parents. Celle-ci travaille aussi au besoin à mi-temps afin d’augmenter les revenus du ménage.
Ce modèle social a eu et continue d’avoir un succès d’autant plus grand qu’il va de pair avec des avantages conséquents sous la forme de prestations payées par l’entreprise, d’un abattement fiscal et d’exemption de cotisations de retraite pour l’épouse au titre de femme au foyer. À l’heure actuelle, 60 % des Japonaises quittent leur emploi après leur mariage ou la naissance de leur premier enfant pour pouvoir se consacrer à plein temps à leur famille.
Les mères célibataires sont les premières victimes de ce système dans la mesure où elles doivent gagner suffisamment pour subvenir aux besoins de leurs enfants alors que le marché du travail n’est conçu que pour des épouses désireuses de compléter les revenus de leur foyer tout en élevant leur progéniture. En cas de divorce, les femmes qui se sont conformées aux exigences de la société en interrompant leur carrière sont plus pénalisées que celles qui ont conservé leur emploi et ont, de ce fait, tendance à s’en sortir un peu mieux.
La proportion des mères célibataires qui ont un emploi stable est d’à peine 40 %. Plus de 50 % d’entre elles doivent se contenter d’un travail précaire et l’écart entre ces deux cas de figure continue à se creuser au fil des années. Celles qui ont la chance d’avoir un CDI gagnent en moyenne 2 700 000 yens par an alors que celles qui travaillent à temps partiel, dans le cadre d’un CDD ou sont rémunérées à l’heure touchent à peine 1 250 000 yens.
Un autre facteur déterminant dans le niveau de vie des mères célibataires, c’est la classe sociale à laquelle elles appartiennent en fonction notamment de leur niveau d’études. 13,3 % des chefs de famille monoparentale ne sont pas allés plus loin que le collège en ce qui concerne les femmes et 15,4 % en ce qui concerne les hommes. Ce pourcentage est de 5 % chez les femmes mariées. Le revenu moyen des mères célibataires qui n’ont pas accédé au lycée est de 1 290 000 yens. Or au Japon, le diplôme de fin d’études secondaires est indispensable pour l’obtention de licences et de brevets professionnels. Ceux qui se sont arrêtés après le collège n’ont qu’un choix très limité en matière de carrière et c’est pourquoi beaucoup se retrouvent au chômage ou avec un emploi précaire mal rémunéré.
Pour illustrer mon propos, je vais maintenant évoquer deux cas représentatifs de ce qui se passe dans la réalité.
Le premier est celui de Mme A qui élève seule ses deux enfants inscrits respectivement dans une université et un lycée. Quand Mme A a obtenu son diplôme de fin d’études secondaires, elle a été embauchée avec un CDI par une entreprise de gestion d’événements. Mais elle a dû quitter cet emploi quand son mari, un fonctionnaire, a été muté dans une autre région. Lorsque le moment d’accoucher de son premier enfant est venu, Mme A est allée chez ses parents, comme le veut la coutume au Japon. À son retour, elle a découvert qu’en son absence son mari avait commencé à s’adonner au jeu et qu’il avait accumulé plusieurs millions de yens de dettes sous la forme de prêts à la consommation avec des intérêts élevés. Le couple a réussi à se désendetter avec l’aide de sa famille et le mari a promis de ne plus jamais recommencer. Mais quand Mme A est retournée chez ses parents pour mettre au monde son second enfant, son époux a succombé à nouveau au démon du jeu et cette fois, il a eu recours à des prêts usuraires pour financer ses pertes. Les choses sont allées si loin que pendant l’hiver, la jeune femme s’est retrouvée en train de grelotter avec ses enfants dans sa maison où le gaz avait été coupé, en faisant la sourde oreille chaque fois que les usuriers venaient frapper à sa porte pour réclamer leur dû.
Heureusement pour elle, Mme A a du caractère. Après avoir fait des recherches dans la bibliothèque de son quartier, elle en est arrivée à la conclusion que la seule solution était le divorce. Elle est donc rentrée chez ses parents et elle a réussi à divorcer grâce à une médiation familiale. Au début, Mme A a dû se contenter d’emplois proposés par une agence de travail temporaire et elle a eu bien du mal à continuer à travailler quand l’un de ses enfants a été hospitalisé et qu’elle a dû rester à son chevet. Il a fallu qu’elle attende que ses enfants entrent à l’école primaire pour trouver un CDI dans une petite entreprise et bénéficier enfin d’une certaine stabilité.
Mais Mme A a dû faire face à de nouveaux problèmes quand son fils aîné a grandi. Bien qu’il ait réussi l’examen d’entrée dans un lycée public, celui-ci a soudain cessé de suivre les cours pour diverses raisons. Et quand sa mère lui a fait des reproches sur sa conduite, il s’est enfui de la maison. Heureusement, il a été repéré par des adultes qui l’ont ramené chez lui. Grâce à des aides, il est ensuite parvenu à obtenir son diplôme de fin d’études secondaires en suivant des cours par correspondance et à entrer à l’université.
Les femmes qui divorcent à cause de problèmes de dettes sont nombreuses. Une fois qu’elles se retrouvent seules, elles traversent une période difficile jusqu’à ce qu’elles dénichent un travail stable. Elles sont ensuite confrontées aux difficultés posées par leurs enfants quand ceux-ci arrivent à l’âge de l’adolescence. Mme A a eu le courage de faire face à la crise provoquée par les dettes contractées par son mari au jeu. Après son divorce, elle a noué des liens avec son entourage qui l’ont aidée à surmonter les moments cruciaux vécus par son fils au moment de l’adolescence. Mais elle n’a pas pour autant une vie facile. Pour financer les études de son aîné, elle a en effet contracté des prêts pour étudiants auprès d’une banque et bénéficier d’une bourse nationale d’études supérieures. Le remboursement de ces sommes importantes sera entièrement à la charge de son fils
Beaucoup de Japonaises divorcent parce qu’elles sont victimes de violences conjugales. D’après les statistiques établies par la justice, les motifs invoqués le plus souvent par les femmes dans les requêtes en divorce sont, outre l’incompatibilité de caractères, la violence, les sévices psychologiques et le défaut de paiement des dépenses du foyer par le mari.
Quand Mme B a divorcé, elle a quitté le domicile conjugal avec ses quatre enfants. Elle avait épousé le fils aîné d’un agriculteur et vécu, dans un premier temps, dans la maison de ses beaux-parents. Ceux-ci ont traité leur bru comme une servante, pendant des années. Elle devait par exemple chauffer le bain familial en alimentant un feu avec des bûches et n’avait le droit d’y accéder qu’en dernier, une fois que l’eau était froide. Cette situation a continué même après la naissance de ses quatre enfants. Incapable de supporter plus longtemps un pareil traitement, la jeune femme a fini par convaincre son époux de déménager.
Peu après, le mari de Mme B a changé de métier et les choses ne se sont pas très bien passées. Du coup, il a commencé à emprunter de l’argent et à soumettre son épouse à des violences physiques et psychologiques. Mme B a fini par appeler la police et quitter le domicile conjugal. Après avoir divorcé, elle a trouvé un travail de serveuse dans un restaurant qui lui rapportait à peine 50 000 à 60 000 yens par mois. Elle n’était pas en mesure de prendre un emploi à plein temps parce que son fils aîné avait des comportements violents vis-à-vis de ses trois autres enfants.
Les violences conjugales ont des effets qui peuvent continuer longtemps après le divorce. Malheureusement, les femmes japonaises victimes de mauvais traitements ne bénéficient pas, dans bien des cas, du suivi nécessaire de la part des services sociaux.
Beaucoup de pays ont recours à une politique d’imposition et d’aide sociale progressive pour compenser les faibles revenus et réduire le taux de pauvreté chez les familles monoparentales. Mais ce n’est pas le cas au Japon. Outre les difficultés auxquelles elles sont déjà confrontées, les mères célibataires de l’Archipel doivent se contenter de prestations sociales nettement insuffisantes. Et les choses ne semblant pas près de changer.
Les deux formes principales d’aide sociale auxquelles les mères célibataires japonaises peuvent prétendre sont l’allocation d’éducation – qui s’adresse principalement aux parents divorcés – et les allocations familiales destinées aux foyers à faibles revenus ayant des enfants. Mais ces prestations ne sont pas très importantes et les autorités n’ont prévu aucun allègement pour les cotisations d’assurance maladie et de retraite très élevées auxquelles sont soumis tous les foyers japonais. Quand les enfants entrent à l’université, ils bénéficient d’une certaine aide pour couvrir les frais engagés, mais ce sont les familles qui doivent assumer l’essentiel du coût énorme des études supérieures de leur progéniture.
Cela fait des années que je m’active pour obtenir une augmentation de l’allocation d’éducation et des autres prestations de l’aide sociale destinées aux mères célibataires et à leurs familles. Les responsables politiques auxquels je me suis adressée sont tout à fait conscients que le gouvernement pourrait nettement améliorer le sort des mères célibataires qui vivent dans des conditions précaires en augmentant de manière conséquente l’allocation d’éducation. À mon avis, le principal obstacle à un tel changement de politique, c’est la persistance de la conception traditionnelle japonaise de la famille et de l’idée qui veut que les femme
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