Une femme délicieuse juste pour toi

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Une femme délicieuse juste pour toi
♥ Chez Yvonne ♥ C'est..
BIENVENUE mes amis ! SERVEZ-VOUS librement ... merci juste d...
Precieuse-amiti e
Bonjour, tout ce que vous trouverez sur mon blog et aussi po...
❤️❤️ L' AGE HEUREU..
CHEZ REINETTE C'EST CHOUETTE TOUT EST EN PARTAGE !(TOUS SUJE...
LISTEN WITHOUT PREJUDICE
Salut tout le monde je m'appelle Mykyriacos et j'ai une vrai...
Moments de vie
Amour de la nature et des animaux, textes personnels, photos...

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May est comme une forêt africaine, chaude et frémissante d'une vie secrète et silencieuse autant qu'exubérante et sonore. J'ai l'impression d'être Savorgnan de Brazza à la découverte du Congo. Je ne sais pas trop encore comment "administrer" cet exotisme délicieusement ravageur qui a déboulé dans ma vie. Chaque jour elle a besoin qu'on se parle au téléphone, enfin qu'elle me parle surtout, elle me demande d'une voix ingénue et toujours joyeuse ce que j'ai fait de ma journée. Moi bavard comme ...
Bonjour mon amour,

La journée avait pourtant bien commencé, ce matin au réveil le ciel était encore bleu et le soleil dardait de ses rayons lumineux ...Tout cela augurait une journée des plus agréable, douce et lumineuse...
Mais hélas, très vite, le ciel a changé de couleur pour virer a...
   Chéri Tu sais que je suis une femme trés amoureuse de toi depuis si longtemps. Je fais un petit journal de belles images Un mélange de couleurs comme tu aimes. Je t'aime fort mon ticoeur chéri Ton bébé mamour Tendres baisers Baisers plein d'amour ...
Voici la musique de fin de la série Alice Nevers, le juge est une femme diffusée sur TF1. Il s’agit de la chanson Pride de Syntax. Ce titre est tiré de l’album: Meccano Mind, sorti en mars 2004. J'aime beaucoup cette musique ! * * * · THEME 37: VIVE LA MUSIQUE(et fête)♠ ♣ 
 Photo prise sur le netUn petit garçon demande à sa mère "Pourquoi pleures-tu ?" "Parce que je suis une femme" lui répond elle. "Je ne comprend pas" dit-il. Sa mère l'étreint et lui dit...... "Et jamais tu ne réussiras à comprendre..." Plus tard le petit garçon demanda à son père... "Po...
Etre une femme…. Est ce être une sainte ou une salope, entre l’image de la jeune fille en fleur, de la mère ou de la prostituée, à une époque où tout est permis, mais où l’on pense qu’il existe encore une morale, des tabous…. Certains préfèrent penser ainsi pour éviter de parler....
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 Photo prise sur le netUn petit garçon demande à sa mère "Pourquoi pleures-tu ?" "Parce que je suis une femme" lui répond elle. "Je ne comprend pas" dit-il. Sa mère l'étreint et lui dit...... "Et jamais tu ne réussiras à comprendre..." Plus tard le petit garçon demanda à son père... "Po...
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par Prix littéraire
Créé le 15/08/2016 à 00:00 , modifié le 15/08/2016 à 00:00


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Je suis une femme indispensable ... Je suis la femme, celle qui ressemble à un pays, sage et tendre. Tout un monde qui parle. Silence. Ronde et engrossée par les pas, les cris, les larmes. Celle qui enfante les sourires où s’agitent, tombent et renaissent les feuilles. Chaque jour, tu peux entendre ses éclats refleurir ? Passante aux abords des cités. Sans être son jeu, l’homme prend soin d’arranger avec goût quelques formes. Il y travaille. Si tu lis, toi aussi, la femme que je suis, ne disparaitra jamais, tout du moins pour le temps dont tu disposes. Oui, même la nuit, pendant le sommeil, même sans conscience immédiate. ̶ Et après ? ̶ Comment vont les petits, les vois-tu venir dans le lointain ? Approche et colle ton oreille sur des rails, comme le ferait un petit homme, à l’oreille d’un coquillage. Tu entends quel son ? L’homme bat le fer depuis le charbon. Il lui fallait le feu. Peut-être, sûrement, es-tu la cause du tracas ou tout le contraire ? Que tu sois, horizon d’érections géométriques, faiseur ou faiseuse de rêves. Seras-tu, un peu coupable d’une mort ? Certains parlent et disent, peut-être. Vois-tu la plage ? Résides-tu près d’une montagne ? Tu restes, quelques soient les circonstances des érosions, l’objet de sa vie et le lieu possible de ses délicieuses chorégraphies. ̶ Je suis une femme, ronde, coupable, en partie de ta mort. Inutile de prendre un air étonné. Aurais-tu quelques raisons de te plaindre ? Oui, probablement, une raison commune, ou une autre, diamétralement opposée. Sur ces points, nous sommes, liés. J’ai pour ta décharge quelques arguments qui pourraient s’opposer. Je préfère te poser une question qui me taraude. ̶ Quel est ton mobile ? Je suis celle ou celui qui connaît ses recoins. Je suis la femme, amie délicieuse ou ennemie féroce. Juste, selon les façons. Le mystère restera entier, puisqu’il t’est impossible de parcourir en intégralité ce globe. Pour toi, peut-être, n’est-il, qu’une fraction figée, ajoutée à tant d’autres ? Sans cesse en mouvement, tu ne la colleras jamais malgré certaines constantes. Métronome toujours réinventé. Vois-tu, d’une mer d’huile, sortir une horde de chevaux indomptés ? ̶ A tes rythmes, son péril, naîtrait-il ? ̶ A ses rythmes, ton péril, paraitrait-il ? Frissons sous des pas. Active sous des mains. Florissante souvent. Abandonnée. Désertée parfois. Jamais il ne te sera possible de serrer, celle que je suis, dans tes bras. Si toutefois, cette pensée te bouscule, passe à l’étreinte de profonds regards et mets-y du cœur. Je suis la femme ronde et sans cesse engrossée, celle qui te tend son sein énorme et gorgé de lait. Celle qui poitrine, ventre, tête et membres piétinés, creusés, ponctionnés, blessés par toutes sortes de déjections et de dessertes sauvages, livre et expose encore beautés et richesses. ̶ Tu pousses. ̶ Pourquoi sonne le glas et pour combien de temps encore, une terre arable ?! Avenir de ton avenir ; en contraste et en accord, je suis une femme indispensable ; planète.

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Faire l’amour avec une fille alors que l’on est 100 % hétéro depuis une bonne trentaine d’années ? Une expérience vécue et racontée par notre journaliste à la libido virevoltante.
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TRES TRES beau ; j'espère qu'elles se sont revues et aimées!!
moi, j'ai rencontré une femme qui m'aime mais a peur, trop peur, et cela me fait trop mal, aussi je préfère tout arrêter. Je souffre vraiment...

Avez vous revu Elsa ? Jolie histoire !

Merci pour cet article formidable, comme beaucoup d 'autres femmes j'aimerais bien tenter cette expérience car je suis très attirée par les femmes, votre article va m aider à enfin franchir le pas et j'espère découvrir aussi une nouvelle forme de bonheur et d'amour

J'ai vraiment beaucoup aimé cet article, il est beau, juste et bien écrit. Je tiens à féliciter la rédactrice qui a osé raconter son histoire et qui a accepté de donner des détails. Un grand merci à vous! Félicitations !

Je vous remercie d'avoir publié un article comme celui-ci. Je ne comprend pas la haine de certaine personne, le texte est beau et bien écrit. Pour ma part il me permet d'y voir un peu plus clair dans cette période de trouble. La bisexualité n'est pas un crime cette article le montre bien. Grace à vous je commence à m'accepter telle que je suis alors merci.
- A.
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Pour la première fois, je signe un article sous un pseudo. Par respect pour mon mari, mes enfants, mes parents... Peut-être pour moi aussi, car en relevant ce défi, j’ai dépassé mes propres limites. Faire l’amour avec une femme ? Il y a longtemps que j’y pensais, comme beaucoup d’entre nous peut-être. Comment ça fait ? Est-ce vraiment différent d’avec un homme ? De là à passer à l’acte... L’alibi d’un article pour Marie Claire, c’était parfait. Mais d’abord, il fallait trouver la femme, et ce ne fut pas simple. Je la voulais belle, enfin à mon goût, et comme mes deux meilleures amies sont plutôt jolies, c’est vers elles que je me suis tout naturellement tournée. « Dis, ça te dirait de passer la nuit avec moi ? C’est pour Marie Claire... » La première a éclaté de rire. Et la seconde, qui avait déjà essayé, a pensé que coucher avec moi gâcherait à tout jamais notre amitié. Alors j’ai dû oser.
Un vigile m’ouvre la porte et me fait signe d’entrer. L’endroit est sombre, pas très grand. Je m’installe seule à une table. Champagne ! Autour de moi, tout le monde est en bande. Dans l’ensemble, presque des caricatures, sans âge. Curieusement, je ne suis pas mal à l’aise. Des femmes me dévisagent, mais elles m’indiffèrent. Pire, elles m’effraient. Trop viriles. Trop négligées...
Toujours parlé à personne. Je suis sur le point de renoncer, quand soudain, au bar, une apparition : une très jolie fille, la trentaine, cheveux mi-longs et sauvages, la peau très blanche, une grande bouche très rouge, des yeux clairs maquillés en noir, un sourire gigantesque. Un corps de princesse dans un look déjanté. Soudain, je ne me sens plus étrangère. Je ne sais pas si c’est l’effet du champagne mais mon ventre se serre. Je me lance (des copains gays m’ont conseillé d’agir « cash »). La fille est installée au bar, je m’approche. Elle se tourne vers moi et me sourit. Frontale, j’attaque : « Je m’appelle Luna, et je te trouve très jolie. » Elle rit des yeux, vraiment délicieuse : « Moi, c’est Elsa. T’es pas mal non plus, mais je suis prise. D’ailleurs ma nana ne va pas tarder à arriver, et elle est très jalouse. Dommage... » Je lui glisse que j’aimerais bien la revoir : « Je te donne mon numéro ? » Je lui tends un bout de papier avec mon numéro de téléphone, sur lequel je griffonne : « Je ne connais pas ce monde des femmes. Tu es la seule qui peut me le faire découvrir. Ton couple ne sera pas en péril. Passons une nuit ensemble, tu me plais. » Elle plante ses yeux dans les miens. « A plus tard... »
Effectivement, alors que j’ai regagné mon lit et ma « real life », mon portable vibre. Un SMS : « Toi aussi, tu me plais. Suis libre demain soir. Tu as mon numéro, fais-en bon usage. » J’aime le style de cette fille. Toujours pas peur... Le lendemain, je vais droit à l’essentiel : « Ce soir, hôtel Murano ? 22 heures ? » Elle répond d’accord. Presque trop simple... Il me reste quelques heures pour me faire belle, et trouver un alibi pour passer la nuit dehors. Je ne vais quand même pas expliquer à mon homme que je pars coucher avec une femme...
Seule au bar du Murano, je m’enivre en douceur. Je préfère être dans un état second... Je porte une jupe, des bas, ma peau est douce et parfumée, je me sens belle mais bizarre. Comment savoir si je lui plairai ? Difficile d’anticiper le regard d’une femme sur soi quand on ne connaît que celui des hommes.
SMS : « Quinze minutes de retard, mais j’arrive. » Je tressaille. Et si je partais ? J’ai tout à coup envie d’un dîner en tête à tête avec mon homme. Je me raisonne et commande une autre coupe.
Elle arrive. Encore plus belle qu’hier soir. Talons hauts, jambes nues, une robe portefeuille couleur prune... Très femme, elle aussi. C’est la première fois de ma vie que je trouve une fille désirable au point... de vouloir coucher avec elle. Elsa s’installe à côté de moi. Elle est drôle et directe. Me raconte qu’elle est chorégraphe, originaire du Poitou, qu’elle a voté Ségo et que, parfois, elle s’ennuie à Paris. Moi je lui avoue que je suis journaliste, sans trop m’étendre sur la question.
Un peu de mal à me concentrer sur la conversation. En fait, j’ai la trouille. Plus Elsa navigue à l’aise, plus je me sens décalée. C’est juste une discussion entre filles, mais codée. Et je n’ai pas les clés. Une vraie débutante... pétrie de curiosité et de désir pour cette jolie fille qui me drague, mais aussi d’envie de prendre mes jambes à mon cou. Je reste.
Nous sommes dans l’ascenseur très sombre, éclairé de quelques paillettes. Elsa s’approche, et vlan, sans un mot, m’embrasse. Ses lèvres sont douces. Comme c’est étrange, le contact de cette peau imberbe, cette façon si délicate de s’y prendre, et ce parfum de fille... J’ai le vertige. Elsa doit ressentir mon trouble, elle recule, me regarde, là, plaquée contre la paroi, sourit, et m’embrasse à nouveau. Nous faisons la même taille, nos cuisses se frôlent, nos hanches... Pour la première fois, je sens des seins contre les miens. Le bas de mon ventre brûle. D’instinct, ma main se glisse à l’intérieur de sa cuisse. Du satin... Elsa passe la sienne sous mon chemisier, saisit la pointe de mes seins, tout mon corps frissonne. Comme si c’était la toute première fois. « Laisse-toi aller », me susurre Elsa à l’oreille, comme si elle sentait mes doutes, du bout de ses doigts
Elle soudoie le professeur de sa jeune fille contre du sexe
Après la plage vous montez ma bite
Un jeune amant et un vieil amant

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