Une femme au foyer très utile

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Une femme au foyer très utile

135 réflexions sur “Les femmes au foyer : des profiteuses ?”

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J’ai discuté, il y a quelque temps, avec un petit jeune homme qui a eu l’outrecuidance de m’accuser d’être une profiteuse qui vit aux crochets de son mari . Quel affront ! 😀
Pire, je sais bien qu’au fond, beaucoup de gens, y compris dans nos familles respectives, partagent ce triste avis. Je ne résiste donc pas à l’envie d’exposer ma vision des choses.
Il faut dire que pour une femme au foyer, les réflexions, plus exquises les unes que les autres, ne manquent pas : tu vas quand même reprendre le travail, non ?, qu’est-ce que tu fais de tes journées ? (je reste allongée dans le canapé à regarder la télé, pourquoi ?).





Femme au foyer, ça fait rétrograde, pas sexy, quoi.
Ben oui, qu’est-ce qu’elle peut bien faire de ses journées ? Regarder les feux de l’amour sûrement. Pfff la pauvre !
C’est sûr, les enfants, ça s’élève tout seul : on les pose dans un coin et ça ne bouge plus de la journée. 😉
Et puis, rétrograde, peut-être, mais c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes. 😉 Sans rire, c’est un modèle qui fonctionnait plutôt pas mal avant, vous savez, avant que le divorce ne détruise une famille sur deux.
Chez nous, chacun contribue à sa façon pour le bien-être de la famille. Mon but dans la vie, ce n’est pas d’être une femme libérée comme le prônent les magazines, c’est que ma famille tienne le choc.
Je trouve profondément saugrenue (mais révélatrice des temps actuels) l’idée que les femmes au foyer seraient des profiteuses, tout comme il ne vient à l’esprit de personne de considérer qu’un homme est un profiteur parce que sa femme lui fait à manger, lui repasse ses chemises, ou s’occupe de ses enfants.
Evidemment, je parlerai ici du cas où le salaire d’un seul conjoint suffit à faire vivre la famille.
Je sais que beaucoup de femmes aimeraient pouvoir s’occuper de leur famille, mais ne le peuvent pas pour des raisons financières. Pas la peine de me dire que j’ai de la chance : je le sais (enfin je dirais plutôt, 10% de chance, 90% de choix ).




Je sais aussi que certaines arrivent par-fai-te-ment à gérer vie de famille et travail. J’en suis très heureuse, mais je pars quand même du postulat que bien souvent, ce n’est pas aussi rose qu’on le dit, notamment au niveau de la fatigue engendrée.
Je sais bien aussi que tout le monde ne supporte pas de rester à la maison ni de s’occuper d’enfants toute la journée (ce n’est pas aussi facile qu’on le croit). Quelque soit votre statut, sachez qu’il n’y a pas de condamnation dans mes propos.
J’ai grandi dans une famille où la carrière était la priorité numéro 1.
L’idée était la suivante : les enfants ne doivent pas faire obstacle à la carrière des parents.
Bref, très tôt dans l’enfance, je me suis promis une chose : je m’occuperais de ma famille.
Mais il ne fallait pas le dire, chez nous les femmes au foyer étaient considérées comme des cruches incapables de faire quoi que ce soit de leur vie.
Je ne vous dis pas le choc quand j’ai fait mon coming-out !
Je n’ai pas trouvé le monde du travail (salarié) épanouissant. Du tout. Pressions, jalousies, clients qui vous traitent comme un paillasson… Mes collègues en étaient rendus à prendre des médicaments pour calmer leur stress. Finir comme eux, sûrement pas. Travailler, oui, mais pas au prix de ma santé.
Sans compter que j’habite une région où les temps de trajet sont à rallonge. Lors de mon dernier emploi, je passais 3 heures par jour dans les transports. Hors grèves bien sûr.
Autant dire que je rentrais épuisée et que le temps passé en couple était court. Quelle vie détestable quand j’y repense… C’est à ce moment-là que mon mari m’a fait la proposition qui a changé notre vie : Tu n’es pas obligée de travailler, on peut vivre avec mon salaire. Quel homme ! 😀
Cela dit je ne m’interdis pas de créer ma propre activité dans quelques années, mais il y a peu de chances pour que je reprenne le chemin du salariat.
Travailler pour vivre, OK, mais vivre pour travailler, non merci. Par contre, je suis convaincue qu’il est important de prendre soin des gens que l’on aime . Créer des liens avec ses enfants, c’est maintenant qu’il faut le faire, pas quand ils seront partis de la maison.
C’est une vision partagée par mon mari, qui a pris soin, de son côté, de choisir un métier aux horaires réduits (oui c’est ça, Fonctionnaire, avec un grand F s’il vous plaît 😛 ). Nous avons donc beaucoup de temps libre à passer ensemble et avec notre fille, et c’est un plaisir quotidien.
D’autre part, je refuse de sacrifier ma vie de famille pour un boulot où on me considère comme un pion dont on peut se débarrasser à tout moment.
Le travail, à notre époque, est incertain. La famille, par contre, est faite pour durer. J’ai choisi de miser sur ce qui durera.
Mon charmant interlocuteur qui m’a inspiré cet article, m’a fait une réflexion typique des adeptes de la rat race (je n’aime pas tellement ce terme, mais il reflète quand même bien la réalité : cette course de rats où l’on est engagé sans s’en rendre compte, pour tenter de gagner toujours plus d’argent et de paraître, en oubliant les choses importantes de la vie ).
La voici en substance : tu aurais pu faire de grandes études et gagner un bon salaire , au lieu de finir femme au foyer et de vivre aux crochets de ton mari.
Comme lui, bien des gens ont du mal à imaginer qu’une femme au foyer ait un niveau supérieur au brevet des collèges.
Pour ma part, après avoir poussé jusqu’à un Master de droit des affaires, j’ai décidé de tout arrêter. Pourquoi ? Parce que ça ne me correspondait absolument pas.
Ces études m’avaient été imposées par la pression familiale, parce qu’il fallait avoir un métier prestigieux. Mais à quoi sert un métier prestigieux que l’on n’aime pas ?!
A frimer ? Ca ne m’intéresse pas.
On peut se forcer un certain temps, mais on finit par y laisser des cheveux. Je préfère la liberté de mener à bien mon projet de vie, faire ce que j’aime vraiment, sans être bloquée par le regard d’autrui.
Bref, puisque mon mari, qui aime son métier, gagne suffisamment pour nous permettre de vivre avec son salaire, tout en épargnant une part substantielle de celui-ci, pourquoi irais-je m’épuiser avec un travail qui ne m’intéresse pas, alors que j’ai une famille qui a besoin de ma présence ?
Pour gagner plus d’argent ? Nous n’en voyons pas l’intérêt.
Oui, on pourrait s’offrir des vacances sous les tropiques, partir au ski tous les hivers, payer une super nounou pour s’occuper de nos enfants… !
Mais, pardon si je choque, mes enfants, je préfère m’en occuper moi-même. Je pense encore être la mieux placée pour ça.
Je préfère vivre avec moins, partir moins souvent en vacances, mais pouvoir profiter de ma famille au quotidien, plutôt que de rentrer fatiguée et préoccupée tous les soirs.
Avec une femme et un enfant, mon mari ne dépense pas tellement plus que lorsqu’il était célibataire.
Par quelle magie ? Parce que sa femme au foyer a le temps de tenir les comptes, de chercher les bons plans, et de réfléchir à l’orientation à donner à nos finances.
Parce qu’il n’y a pas de frais exorbitants de garde d’enfant à payer, et plusieurs milliers d’euros d’impôts économisés chaque année.
D’ailleurs, si je travaillais, la plus grande partie de mon salaire serait dépensée en frais de transport, vêtements, repas, garde d’enfant, et impôts.
Le rapport sacrifices/bénéfices serait clairement négatif. Quel en serait alors l’intérêt ?
Sans compter le confort de vie que notre situation nous offre : avoir le temps de cuisiner, de discuter, de passer du temps en famille chaque jour.
Je pense que c’est un excellent mode de vie pour favoriser la cohésion du couple et de la famille. Il faut dire que j’ai un mari qui m’aide beaucoup dans les tâches quotidiennes, ce qui, évidemment, rend les choses plus agréables.
Au final, ce qui me pose question, c’est le postulat, répété naïvement, selon lequel il faut travailler et gagner le plus d’argent possible, même quand on a déjà de quoi pourvoir à nos besoins.
C’est aussi cet a priori généralement négatif sur les femmes qui décident de travailler pour leur famille (ah, vous ne saviez pas que c’était aussi un travail ? ;)).
Et, quand je pense au nombre de divorces à notre époque (presque un mariage sur deux), je me dis que nous faisons le bon choix d’aller à contre-courant de la mentalité ambiante.
Pour ma part, je me sens parfaitement à ma place dans mon activité de mère au foyer. Moins de stress, de fatigue, et une vie de famille de meilleure qualité : franchement, une vie géniale.
Alors, si vous me croisez, retenez-vous de me demander quand est-ce que je reprends le travail. 😉
Et vous, avez-vous déjà eu envie de prendre du recul, d’une façon ou d’une autre, par rapport aux injonctions de notre société ? Si vous êtes comme moi femme au foyer (ou si votre femme l’est), qu’est-ce qui a motivé votre choix ?
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Salut,
Je ne pourrais pas être femme au foyer, mais après avoir bosse à temps plein chez 2 employeurs depuis des années dans un boulot que j’apprecie beaucoup, je commence a me dire que si je devais perdre un de mes 2 boulots j’en serais ravie.
Néanmoins, je n’ai pas ta chance et mon conjoint ne comprendrais pas que je ne cherche pas d’activite complémentaire. Nous avons juste un compte joint pour les charges mensuelles, nous ne partageons pas nos revenus.
Je réfléchirais à mon temps partiel pour être plus présenté pour ma fille quand j’aurais fini de payer mon crédit immo.
Bon courage avec les rat racers.
Salut Mel,
Le temps partiel, c’est une idée intéressante, et ça a l’avantage de satisfaire un peu tout le monde : ça te laisse du temps pour ta famille, et en même temps on ne te classe pas dans les inactifs (pour celles qui ont un conjoint réfractaire aux femmes au foyer).
A bientôt
Hello!
Moi aussi j’étais salariée dans un domaine que j’aime beaucoup mais là, je suis complètement épanouie en étant mère au foyer !
Mon conjoint me soutien aussi.
C’est vrai que c’est un choix franchement pas apprécié à sa juste valeur mais en écoutant certains adages franchement rébarbatifs, j’ai l’impression que certains femmes sont JALOUSES de notre choix car OUI nous ne sommes pas tombées dans l’abîme de cette société de consommation où les valeurs familiales prennent un sale coup….
Par contre j’admire celles qui n’ont pas le choix et sont obligés de trimer pour leur enfants.
Tchao
En effet, le soutien du conjoint, c’est essentiel. D’ailleurs, je pense que si ça se passe aussi bien pour moi, c’est parce que mon mari reconnaît la valeur de ce que je fais pour la famille. Du coup, c’est même plus gratifiant que la plupart des jobs où on remarque à peine tes efforts.
Moi aussi j’ai cru déceler de la jalousie derrière les réflexions de certaines personnes. Dommage, car bien souvent, les pires ennemis des femmes sont les autres femmes.
A bientôt
Exactement !
Bravo a toi pour ce site !
Je suis un homme mais je me permets d’intervenir pour te dire bravo de vivre la vie que tu as envie de mener et de se moquer de l’avis des autres… Car l’essentiel est d’être bien dans ces baskets, ce choix de vivre avec moins et avec une meilleur qualité de vie est très respectable. Toujours vouloir gagner plus n’est pas une finalité en soit, il y a des gens bien plus aisés que toi qui ont tout matériellement et qui sont au final bien plus malheureux de ne pas avoir le temps de vivre…
Merci Mr Huggy 😉
En effet l’argent n’est qu’un outil dans la vie, pas un but. Avoir du temps libre pour soi et ceux qu’on aime, c’est aussi une forme de richesse.
Pour les divorces, je pense qu’il y a aussi un effet sociétal, à une époque, ça ne se faisait pas de divorcer.
Pour les enfants, je confirme qu’il y a un gros effet de seuil. En clair, si on gagne correctement sa vie, il devient plus couteux de les faire garder que de s’arrêter pour s’en occuper.
C’est d’ailleurs la raison, pour laquelle nous ne faisons pas d’enfant. Entre nos salaires trop élevés (c’est ça de gagner un salaire à 4 chiffres! ;)), et nos horaires hors maison important (12h/jour), un enfant = un salaire.
Donc ça signifie plus d’épargne, et notre projet fortement repoussé (voir simplement annulés).
Donc pas d’enfant actuellement.
Et plus tard, ce sera probablement pareil, un de nous 2 qui restera à la maison pour les garder. Il y a des chances pour que ce soit moi, étant donné que mon domaine d’activité est assez limité sur la région parisienne.
Pour les divorces, je pense quand même que la fatigue, les trajets et le stress peuvent devenir pesants surtout pour l’entente du couple (pas étonnant qu’il y en ait plus en région parisienne qu’ailleurs, vu le temps perdu dans les transports). Mais il y a aussi sûrement un effet sociétal, oui.
Je ne pensais pas que la garde d’enfant puisse être si problématique. C’est vrai que si en plus on n’a pas de famille proche qui puisse aider un peu, ça devient un gouffre financier.
C’est intéressant que vous comptiez devenier père au foyer, je savais que vous étiez un homme moderne 😉
C’est sûr, mais je reste convaincu que le côté sociétal, avec probablement aussi l’accélération des rythmes et le changement de principe avec des relations quasi jetables, doit jouer pas mal.
La garde d’enfant est plutôt problématique, déjà pour trouver un organisme ou une personne qui accepte nos horaires (7h-19h dans le meilleur des cas, hier c’était plutôt 21h), c’est compliqué. Ensuite, vu le nombre d’heure, on part assez vite sur des prix élevés.
Dernier point, le plus important, on en se voit pas avoir d’enfant pour le faire garder la majorité du temps.
Là je trouve que le modèle devient biaisé, à ce niveau c’est quasiment mettre un enfant à l’internat dés la naissance, je ne vois pas l’intérêt.
Tout à fait d’accord avec ton dernier point. Avec le reste aussi d’ailleurs.
Bonjour,
J’ai lu votre article avec beaucoup d’intérêt et j’admets qu’il m’est arrivé fréquemment de dénigrer les femmes au foyer. Non pas par méchanceté mais sans doute par incompréhension et … un peu par jalousie je l’avoue. Alors en couple, je raillais la famille Ricoré qui vivait en face de chez nous (et qui n’était pas si idyllique que çà d’ailleurs).
J’élève seule mon fils depuis mon divorce et le décès de son père. J’ai toujours travaillé et je ne pouvais même pas envisagé de m’épanouir autrement.
J’ai un bon salaire, des horaires plutôt cool (Fonctionnaire aussi!) mais je rêve aujourd’hui de pouvoir m’offrir le luxe d’avoir au moins le mercredi libre pour m’occuper mieux de mon fils. D’autant que mon métier ne me motive plus depuis longtemps.
Mais évidemment c’est (vraiment)impossible.
Alors réjouissez vous de pouvoir vous occuper de votre famille, mais ayez pitié de celles qui ne le peuvent pas 😉
Merci pour votre intérêt, et j’apprécie votre franchise.
Comme vous dites, on n’a pas toujours la possibilité de travailler moins, on est parfois bien obligée de composer avec la situation qui se présente.
Et puis, je comprends aussi celles qui aiment leur travail, tout simplement. Je ne suis d’ailleurs pas pour imposer à chacune d’être femme au foyer, mais plutôt pour que chacune puisse faire le choix qui lui convient sans subir de pressions.
Bon courage, et je vous souhaite de pouvoir un jour vous offrir ce luxe du mercredi 😉
Salut Aurore,
et bien moi ma période de temps partiel pour congé parental est terminée…Mon épouse a repris egalement à plein temps… On s’y retrouve financièrement forcement mais la vie n’est plus aussi sympa qu’avant… Avoir chacun un jour dédié à nos enfants était merveilleux.
Et pour avoir donc connu 1 journée par semaine de père au foyer, je peux vous garantir que le temps file à une vitesse… et encore, les loulous etaient à la cantine.
Par contre, une fois les enfants autonomes (et donc hors domicile) j’imagine que le statut de femme/mère au foyer doit être plus pénard…
Salut Gwen,
Contente que tu aies aimé l’expérience de père au foyer.
Quand les enfants ont grandi, on doit peut-être même s’ennuyer. Mais en général les parents au foyer sont aussi investis dans des associations. Perso je pense que d’ici-là j’aurai développé quelque chose, pourquoi pas des logements à gérer en locatif.
Dans la plupart des cas le salaire est à 4 chiffres (c’est mieux pour vivre!). Tu voulais certainement dire un salaire à 4 zéros, là ça devient intéressant…
Tu travailles dans quel domaine ?
Non non, je voulais bien dire 4 chiffres.
C’était volontaire! 😉
En fait en réalité, c’est plutôt salaire correct = garderie peu intéressante, et souvent place non prioritaire.
En gros, faut compte une moitié de salaire pour la garde de l’enfant. Surtout avec des horaires de cadre et 3h de trajet/jour, ça revient vite cher la journée.
Pour ma part j’ai eu l’opportunité de goûter à 3 reprises a ce rôle de mère au foyer grâce à mes trois congés maternités assez long du fait d’un arrêt précoce. 9 mois que j’ai pas mit les pieds au boulot, et j’avoue que cela me manque, j’ai refusé la rallonge d’un mois proposé par le médecin pour allaitement, car j’ai besoin de me replonger dans le monde du travail, de voir du monde. Personnellement être mère au foyer n’est pas mon truc, par contre mon mari rêverait d’être homme au foyer !!! Pourtant il adore son boulot et ses responsabilités.
Je dois avouer que je travaille peu, bien que travaillant à 100% je travaille la nuit, et cela me permet d’être à la maison tout le temps ou presque. J’emmène les enfants à l’école le matin, les récupère le soir. Pas de crèche (du moins la première année) comme ça je peut continuer à m’occuper de bébé et l’allaiter aussi. Malgré tout ce temps pour nous, je choisi de me mettre à mon compte et me lancer en libéral d’ici moins d’un. Je vais bosser le double, je serais moins à la maison, mais je vais aussi gagner le double de ce que je gagne à l’hôpital. C’est mon homme qui pourra prendre un temps partiel et réaliser en parti son rêve d’être au foyer.
Merci pour ton témoignage, c’est intéressant. Les papas sont visiblement de plus en plus nombreux à envisager de s’occuper des enfants.
Bon lancement en libéral 😉
C’est certains, nous sommes de plus en plus nombreux.. mais ce n’est pas la foule qd même. Avec 2 autres papas, on formait le clan des papas (dixit les instit’ de la maternelle), adepte de papotage au parc… tu vois, un clans de 3, ca reste modeste…
Félicitations pour cet excellent article. Il faut défendre ses valeurs, quitte à passer pour faisant partie de l’ancien temps.
On peut choisir d’habiter une plus petite maison, avoir une plus petite voiture, c’est à dire avoir peut-être moins de confort matériel, mais pour avoir plus de confort familial.
Il faut cependant que cela soit un choix et non imposé par l’autre membre du couple. Il faut aussi penser à une possible séparation et à comment on s’arrange!
Bonjour Jos,
tout à fait d’accord avec toi, y compris sur le fait qu’il faille se sécuriser. Ca fera peut-être l’objet d’un autre article un peu plus tard d’ailleurs.
j’étais de ces femmes que la carrière donnait envie! jusqu’à
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