Une faciale dans le noir

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Une faciale dans le noir

La reconnaissance faciale, ça marche aussi dans le noir

Publié il y a 7 years

Sasuke



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«Ceux qui travaillent sur la surveillance des civils n’ont pas besoin d’un truc plus flippant pour nous surveiller», s’alarme le site Factor. Deux chercheurs allemands viennent en effet de mettre au point un système de reconnaissance faciale utilisable dans le noir, par lumière infrarouge.
La reconnaissance faciale par infrarouge existe déjà, mais qu’elle puisse se faire dans le noir est nouveau. Par infrarouge, il en est en effet extrêmement difficile de lire le visage: s’il bouge, l’image est illisible. Saquib Sarfraz et Rainer Stiefelhagen, chercheurs à l’Institut technologique de recherches anthropométriques et robotiques de Karlsruhe (Allemagne), ont mis au point un système qui permet de contourner cette difficulté. Il capture la chaleur thermique du visage par infrarouge et compare ensuite le «visage thermique» ainsi créé avec des photographies prises en pleine lumière. Ce système permet donc de reconnaître un visage, qu’il soit dans le noir ou non.
Se pose désormais la question de la surveillance des citoyens et du respect de la sphère privée. Sarfraz et Stiefelhagen savent pertinemment que leur découverte serait «une solution pratique pour les réseaux de surveillance ainsi que pour l’armée», comme ils l’écrivent dans leur rapport, publié le 10 juillet.
La reconnaissance faciale en elle-même, système très utilisé dans les récits de science-fiction, pose problème. En juin, le scan facial des 90 000 personnes présentes lors du Download Festival, en Angleterre, dont les images avaient ensuite été comparées avec des banques d’images européennes, avait suscité la polémique.
Des chercheurs tirent de plus en plus la sonnette d’alarme sur l’omniscience des applications de reconnaissances faciales par Internet. Le 11 juin, le chercheur américain Ben Sobel écrivait dans le Washington Post que les applications faites pour reconnaître les visages «créent des bases de données dangereuses pour notre confidentialité biométrique». Beaucoup se demandent si un jour on pourra retrouver l’intégralité de la vie de quelqu’un simplement en scannant son visage. Pour l’instant, pas la peine de s’inquiéter quant à la découverte de Sarfraz et Stiefelhagen : elle ne reste qu’à l’état de prototype. Comme l’écrit Matt Burgess, journaliste au Factor, si ce système est un jour commercialisé, il faudra alors se pencher sur son «encadrement légal très strict». 






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Fin septembre 2019, l’armée américaine a fait savoir qu’elle se penchait sur l’amélioration de ses systèmes de reconnaissance faciale. Le DoJ (département de la Justice) souhaite que cette nouvelle technologie puisse être intégrée à un dispositif suffisamment petit pour pouvoir être transportée par un individu, ce qui laisse à supposer qu’il pourrait être directement exploité par les militaires sur le terrain.
L’objectif de cette nouvelle technologie devrait être la reconnaissance faciale à longue portée, soit entre 10 et 500 mètres de distance, tout en étant efficiente même quand il fait très sombre. Une fois le visage reconnu, il devrait être en mesure de correspondre à une liste de personnes sous surveillance, ce qui permettrait un fort gain de temps.
Actuellement, l’armée américaine utilise déjà ces technologies sur le terrain afin de reconnaître des personnes sur le champ de bataille. Toutefois, ces dernières se basent principalement sur les images de caméras plus traditionnelles.
Pour mettre en place une telle technologie, l’armée travaille avec deux entreprises américaines du nom de Cyan Systems, Inc. et Polaris Sensor Technologies. La première travaille sur le traitement des images infrarouges, tandis que la seconde détient un brevet portant sur un système de reconnaissance faciale infrarouge basée sur les images thermiques.
Le DoJ a fait savoir que « Les capteurs [du nouveau système, NDLR] devraient être utilisables dans des environnements [dont] le verre des pare-brises d’automobiles, des cibles qui sont rétroéclairées et des cibles qui sont obscurcies en raison du temps peu clément (par exemple, le brouillard) ».
La façon dont l’armée américaine utilise la reconnaissance faciale à ce jour n’est pas très connue, mais le budget de plusieurs millions de dollars et l’énergie investie dans le projet suggèrent qu’il s’agit d’une de ses priorités.
Les recherches sur cette nouvelle technologie ont été rendues publiques en septembre 2019 et devraient continuer jusqu’en 2021. Aucune date de mise en service de cette technologie de reconnaissance faciale n’a été communiquée par l’armée américaine pour l’instant.

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Publié le
12/09/2015 à 18:41







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"L'excitation naît souvent des images pornographiques qu'on a pris le temps de fantasmer dans un scénario personnel", explique la sexothérapeute Nathalie Giraud Desforges à propos de l'éjaculation faciale.
L'éjaculation faciale est longtemps restée discrète, selon Nathalie Giraud Desforges , sexothérapeute. "Cette pratique est absente du Kâma-Sûtra alors qu'on y trouve des conseils pour se régaler de l'éjaculation féminine", précise l'experte. De même, "l'éjaculation faciale était peu invitée dans les bordels de Pompéi et totalement déserte des premiers films pornos dans lesquels on voyait pourtant des godemichés." [ndlr: les premiers films pornos ont fait leur apparition dans les années 1890]. En revanche, le Marquis de Sade ne s'en privait pas dans ses écrits. Dans La Philosophie dans le boudoir , qui date de 1795, on lit: "Il faut que le sein et le visage de votre ami soient inondés des preuves de la virilité de votre frère." 

L'éjaculation faciale ne connaît toutefois une réelle médiatisation qu'à partir des années 1980, à travers les films pornographiques. "S'ils ne l'ont pas inventée, ils l'ont normalisée", avance Ovidie , ancienne actrice du X et aujourd'hui réalisatrice. L'éjaculation faciale a fait son apparition dans les films pornos par souci de montrer du sperme, nous explique Nathalie Giraud Desforges. "On cherchait à crédibiliser les hardeurs en prouvant leur éjaculation, même s'ils sont dotés d'une pompe pour doubler de volume." Aujourd'hui, les vidéos X n'échappent pas à ce bouquet final. Anthony, 30 ans, qui visionne beaucoup de pornos en streaming sur Internet, le constate: "C'est toujours la même histoire. Fellation , missionnaire, levrette, sodomie , éjaculation faciale." Une pratique devenue phare des films pornos. 

Révélée via les films pornographiques, l'éjaculation faciale leur est désormais associée. Et c'est ce qui bloque Mélanie, 30 ans, qui n'a pas envie de tester "parce que ça fait trop film de cul", contrairement à Nathalie, 50 ans, qui adore ça et part du principe "qu'à la maison, entre nous, nous ne sommes pas dans un film X". 

Le rapport dominé-dominant est également pointé du doigt. Marion, 31 ans, témoigne: "J'adore qu'un homme prenne le dessus, mais l'éjaculation faciale, c'est le pas que je ne peux pas franchir." Mélanie est d'accord: "A ce stade, ce n'est plus de la domination, c'est de l'humiliation." Ce rapport dominé-dominant ne dérange d'ailleurs pas seulement les femmes. Les hommes aussi sont touchés. "Certains ont le sentiment de salir leur conjointe", nous explique Alexandra Hubin, sexologue et fondatrice de la Sexologie Positive . "Et quand ils sont pères, c'est pire. Ils voient la mère de leurs enfants et craignent de lui manquer de respect." 

Pourtant, le fantasme de domination, selon une étude réalisée par le Journal of Sexual Medicine en 2014, est très courant, que l'on soit homme ou femme, et n'a rien de répréhensible. Alors pourquoi l'éjaculation faciale semble-t-elle hors jeu? Parce que l'endroit qui reçoit le sperme n'a rien d'anodin. "C'est lourd de sens, le visage", analyse Ovidie. "Quand l'éjaculation est buccale, elle est un prolongement du plaisir en duo. Le visage, c'est autre chose. Il rappelle le crachat, la gifle. C'est avilissant." La réalisatrice poursuit et nous dévoile les coulisses d'un tournage: "L'homme se touche hors caméra pour assurer son éjaculation puis seul le visage de la fille -présenté comme réceptacle- est filmé. Voilà pourquoi on trouve cela dégradant." 

Pour Nathalie Giraud Desforges, sexothérapeute, le rapport dominé-dominant est inévitable. Mais ce n'est pas négatif. "Quand les deux partenaires sont d'accord et disposent de leur libre arbitre, le rapport dominé-dominant est choisi plutôt que subi. Il peut même s'inverser." Pour Alexandra Hubin, le rapport dominé-dominant s'estompe quand le plaisir est partagé, bien qu'il existe visuellement. 

Les deux expertes se rejoignent: dès lors que nous sommes consentants, on entre dans un cadre, celui du jeu. Sarah, 35 ans, pratique l'éjaculation faciale. Le rapport dominé-dominant, elle l'oublie: "Nous sommes simplement deux amoureux dans un jeu de rôles." Cathy, 30 ans, ne voit pas non plus de rapport dominé-dominant : "Recevoir son sperme, c'est comme être maîtresse de son éjaculation. Je nous trouve à l'équilibre, mon homme dépend aussi de moi." 

>>> Lire aussi notre dossier SM et bondage 

"Le plaisir est purement cérébral, pour les deux sexes" souligne Nathalie Giraud Desforges. Certes l'homme trouve un plaisir physique dans le fait d'éjaculer, mais aucune zone érogène en dehors du sexe masculin n'est invitée dans cette pratique, bien que la bouche reste sensible et que le visage soit le lieu des cinq sens. "L'excitation naît souvent des images pornographiques qu'on a pris le temps de fantasmer dans un scénario personnel", ajoute la sexothérapeute. 

Matthias, 31 ans, n'a jamais pratiqué l'éjaculation faciale et n'en ressent pas le besoin, mais cette pratique l'excite par la simple pensée: "J'aime le côté inaccessible de l'éjaculation faciale. Elle fait partie de mes fantasmes, ça me suffit." En effet, ce qui attire souvent les hommes dans cette pratique, c'est généralement le côté peu conventionnel. "L'éjaculation faciale peut être perçue comme indécente. Son caractère transgressif apporte à certains du piment à la relation", commente Alexandra Hubin. 

Anthony, lui, ressent une toute puissance et rougit presque en l'avouant. Nathalie Giraud Desforges décrypte: "Les hommes sont fiers de leur sperme. Il s'agit de leur semence reproductrice." "Ils aiment le voir", ajoute Alexandra Hubin. Mais ce n'est pas toujours le cas. Thibaut, 30 ans, a essayé une fois l'éjaculation faciale et en garde un mauvais souvenir: "Je me sentais obligé de gérer. Je n'ai pas supporté de voir cette fille, qui pourtant semblait aimer ça, dépendre de mes capacités à lui éjaculer dessus." Une réaction courante, selon Alexandra Hubin. "Il est difficile d'être spectateur de sa sexualité, commente la sexologue. Un homme timide, qui n'a pas confiance en lui, préfèrera éjaculer dans un vagin." 

Du côté des femmes, le plaisir peut naître de ce que l'on provoque chez l'autre. Cathy, 30 ans, commente: "Procurer du plaisir à mon partenaire, ça m'excite en retour. On est dans le partage, comme dans toute autre pratique." Nathalie, 50 ans, trouve du plaisir dans la soumission choisie et voulue. Elle aime que son homme prenne le dessus. "J'aime être dominée, obéir, dès lors que nous sommes dans un jeu sexuel." 

Nous disposons de peu de chiffres. Cependant, comme le souligne Alexandra Hubin, sexologue, les films pornos nous influencent et certaines mises en images peuvent amener les couples à les reproduire. "On cherche de plus en plus à varier nos pratiques, à trouver de nouveaux plaisirs et le porno répond, à sa façon, à cette envie d'échapper à la routine. Les couples répètent ce qu'ils voient à l'écran pour casser le quotidien." Quand on demande à Alexandra si ses patients sont bavards à ce sujet, elle est catégorique: "Non, très peu. Il faut dire que les couples qui consultent ont d'autres soucis sexo. L'éjaculation faciale est loin de leurs préoccupations." 

Du côté des plus jeunes, il semble que l'éjaculation faciale soit moins rare. Ovidie le souligne, à la suite de la réalisation de son documentaire A quoi rêvent les jeunes filles ? . "Les digitales natives voient l'éjaculation faciale comme une pratique courante, qu'il vaut mieux inviter dans son lit pour ne pas passer pour des prudes." 

Si on regarde de plus près les chiffres du sondage Génération Youporn: mythe ou réalité? réalisé en octobre 2013 par l'Ifop sur un panel de 1000 adolescents de 15 à 24 ans, on découvre que 24% des sondés répondent avoir déjà terminé un rapport par éjaculation faciale. "Une pratique reproduite sans vraiment réfléchir", estime Alexandra Hubin. "Les jeunes ne considèrent pas l'éjaculation faciale comme un nouveau plaisir à découvrir mais comme une pratique qui fait désormais partie intégrante de la sexualité et qu'il faut faire." Quand on demande à Agathe, 20 ans, ce qu'elle en pense, elle affiche de gros yeux: "Je trouve ça sale. Et je n'ai pas l'impression que les jeunes courent après. Ou alors je suis un peu déconnectée." 

On s'interroge quant aux résultats: les ados pratiquent-ils réellement l'éjaculation faciale ou l'affirment-ils simplement pour prétendre faire "comme tout le monde"? Le doute est permis. "L'important reste le plaisir, conclut Nathalie Giraud Desforges. Accumuler les pratiques sexuelles, cocher les cases ne garantit ni plaisir mutuel, ni meilleure connaissance personnelle." 

Caroline Michel est journaliste. Elle a co-écrit avec Alexandra Hubin, sexologue, le guide pratique Je SexoPositive! aux éditions Eyrolles (sortie 8 octobre 2015). Elle est également l'auteure du blog Ovary . 

>>> Lire aussi: Taille du pénis , six questions angoissantes et nos réponses 

Caroline Michel est journaliste. Elle a co-écrit avec Alexandra Hubin, sexologue, le guide pratique Je SexoPositive! aux éditions Eyrolles (sortie 8 octobre 2015). Elle est également l'auteure du blog Ovary . 


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