Une européenne qui se fait bien mettre

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Dans le contexte ukrainien, Nathalie Loiseau va avoir fort à faire dans les prochaines semaines. Cette eurodéputée Renew Europe, présidente de la sous-commission sécurité et défense du Parlement européen, nous parle de l'Europe de la défense, de la situation en Ukraine et de la place de l'UE dans le conflit.
Interrogée sur l'avenir du conflit ukrainien et sur la menace nucléaire, Nathalie Loiseau estime que "le pire, c'est déjà ce qui est en train de se passer, c'est-à-dire une guerre d'invasion, où il est possible que des crimes de guerre soient en train d'être commis".
Alors que la centrale ukrainienne de Zaporojie vient d'être visée par des tirs, la présidente de la sous-commission sécurité et défense du Parlement européen tient à rappeler qu'"on ne touche pas à une centrale nucléaire. Les Russes l'ont fait, ils ont pris un risque considérable. Les Ukrainiens, de manière absolument remarquable depuis le début du conflit, font tout pour assurer la sécurité et la sûreté de leurs centrales mais il faut arrêter de jouer avec le feu et en particulier le feu nucléaire."
"S'agissant des livraisons d'armes par l'Union européenne, il s'agit d'un tournant historique", se félicite-t-elle. "Il aura fallu une guerre pour que l'Europe s'aperçoive qu'il fallait faire plus en matière de défense."
"Nous n'avons pas souhaité être cobelligérants. Ce que nous souhaitons, c'est que la guerre s'arrête le plus vite possible. C'est la raison pour laquelle nous allions une très grande fermeté avec des sanctions sans précédent à l'égard de la Russie, un très grand soutien à l'Ukraine avec l'envoi d'armes pour aider une population qui est menacée à se défendre mais aussi le canal diplomatique, aussi peu gratifiant soit-il [...]. Tout notre objectif, c'est que les Russes comprennent qu'ils ont tout à perdre et rien à gagner en poursuivant cette guerre", rappelle-t-elle.
"Je pense qu'on en est à l'an 1 de la défense européenne. Nous avons besoin de tous les outils pour nous défendre, pour défendre notre modèle européen, pour défendre nos libertés, pour défendre les démocraties. C'est ce qui est attaqué aujourd'hui en Ukraine. Les Ukrainiens sont attaqués pour ce qu'ils sont. Ils ont choisi la démocratie, de se tourner vers l'Europe et c'est ça qui est insupportable à Vladimir Poutine."
"La France est au rendez-vous de la solidarité européenne puisque nous envoyons plus de troupes dans les pays Baltes et en Roumanie", souligne Nathalie Loiseau. "Cette solidarité européenne est indispensable. [...] Il n'y a pas une nation européenne seule qui soit un grand pays qui pourrait se défendre totalement seul. C'est une question d'alliance, de solidarité et de mise en commun de nos capacités."
Au sujet de l’Otan, l'eurodéputée voit une évolution positive :  "L'Otan se réveille, c'est une bonne chose, mais ne mettons pas tous nos œufs dans le panier de l'Otan. Nous ne pouvons pas en permanence sous-traiter notre sécurité à d'autres qu'à nous-même."
"On voit bien que l'heure de la défense européenne à sonné. Si notre Europe, nous voulons la défendre et défendre ce que nous sommes, nous devons avoir les moyens de le faire", estime Nathalie Loiseau à propos de la mise en place d'une armée européenne.
Après la demande d'adhésion de l'Ukraine à l'UE, d'autres pays suivent le même chemin. Des demandes qui ne sont "pas surprenantes", selon Nathalie Loiseau. "Nous devons être au rendez-vous de cet espoir. Nous avons des gens qui aujourd'hui se battent parce qu'il veulent être européens. Est-ce que vous vous rendez compte de la puissance d'attraction et de la chance que nous avons, nous, Européens ? [...] Est-ce que nous pouvons rester sourds à cet appel ? Non. Ne pas l'entendre, ce serait une faute morale mais ce serait ne pas croire en nous-mêmes."
L'heure est-elle toujours à la diplomatie ? "Il faudra que les armes se taisent et que la guerre s'arrête et que quelqu'un ait fait l'effort de parler sans arrêt avec Vladimir Poutine pour le convaincre. [...] Il faut maintenir ce canal de dialogue pour obtenir des acquis, aussi minces soient-ils en matière humanitaire, et puis si Vladimir Poutine peut être convaincu qu'il a tout à perdre dans la guerre, il faut qu'il puisse le dire à quelqu'un et ce quelqu'un sera Emmanuel Macron.
Pour donner votre avis sur la place de l'Union européenne dans le monde, rendez-vous sur la plateforme de la Conférence sur l'avenir de l'Europe .
Émission préparée par Isabelle Romero, Sophie Samaille et Georgina Robertson.
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Publié le 17/06/2022 à 11h23




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Vous lisez actuellement : De retour de Kiev, Macron veut « une France vraiment européenne »



Par nicolasfrbo le 19/06/2022 à 17:24




Par Hubch le 17/06/2022 à 15:37




Par logiques le 17/06/2022 à 15:31


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L e chef de l'État martèle, au dernier jour de campagne pour les élections législatives. Emmanuel Macron a affirmé vendredi 17 juin la nécessité d'avoir « une France vraiment européenne » pour faire face aux crises comme la guerre en Ukraine , dans un entretien à BFMTV accordé au retour de Kiev et avant le second tour des législatives. La visite effectuée jeudi en Ukraine, avec trois autres dirigeants européens, est « un travail pour l' Europe , mais aussi pour nous, pour les Françaises et les Français », a-t-il affirmé.
« Cette guerre nous touche dans notre quotidien » et « va nous toucher durablement », elle implique la présence d'une « France vraiment européenne qui puisse parler d'une voix claire et nette », a-t-il ajouté au cours de cet entretien réalisé dans le train de nuit entre Kiev et la Pologne , d'où le chef de l'État devait rejoindre Paris en avion. Il « faut faire avancer l'Europe, comme on l'a fait ces dernières années, pour être plus forts en matière de défense, de politique étrangère, mais aussi d'énergie, d'industrie… », a-t-il avancé. Sans évoquer directement les législatives de dimanche, le chef de l'État a réitéré sa « conviction que notre pays, s'il sait se réunir, se retrouver dans le respect des différences, peut ressortir plus fort de cette crise du début de ce XXI e siècle. C'est l'ambition que je me fixe et que je nous fixe ».
Des ténors de l'opposition avaient critiqué jeudi la tenue de cette visite à l'approche du scrutin, certains dénonçant une « opération de communication » à visée électoraliste. Pour le président Macron, le soutien apporté jeudi par les quatre dirigeants européens – l'Allemand Olaf Scholz, l'Italien Mario Draghi, le Roumain Klaus Iohannis et lui-même – pour accorder à l'Ukraine le statut de candidat à l'adhésion à l'UE est « un geste politique fort » pour « dire que l'Ukraine est dans la famille européenne et, dans ce contexte de guerre, c'est aussi un message envoyé à la Russie ».
Cette proposition, qui ne fait pas l'unanimité au sein des 27, doit être actée au cours du sommet européen des 23 et 24 juin. Après, « nous avons été très clairs avec le président (Volodymyr) Zelensky » sur « les conditions pour ouvrir les chapitres de cette négociation » et « il sait que le chemin est long pour rejoindre l'UE », a-t-il ajouté. Parallèlement, l'UE « doit se réformer » pour « avoir une union beaucoup plus intégrée, plus simple ». « Les pays fondateurs de l'UE doivent simplifier leurs règles, être plus efficaces, avoir des sommets plus courts, plus fréquents, avec plus d'intimité, et on doit reconstruire la manière de penser notre voisinage de notre grande Europe. Ça, c'est pour les semaines à venir », a-t-il annoncé.
Consultez notre dossier : Guerre en Ukraine
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Les pleureuses sont toujours les memes quand l UE montre sa force

Comparer Merkel qui a laissé le nucléaire avec macron, ça fait rigoler.
Le smic, le niveau de vie qui n est pas si mal en france, c est l europe. Un marché du travail qui permet a la plupart de vivre dans un concurrence suportable, c est l europe. Le poids diplomatique d un pays que de 65 millions d habitants c est l europe, la meme chose pour l économie. Des gens qui ralent toujours et pleurent les mains assez pleines c est la france

Macron a parfaitement raison, il faut vraiment être borné pour voir que les principaux ont des dimensions qui dépassent largement les frontières de la France

Il veut faire disparaître notre pays, dans une marmelade européenne dirigée par des fonctionnaires hors sol.
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Zuzana est une jeune Slovaque de 22 ans. © France 24




Texte par :


Xavier CHEMISSEUR














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