Une européenne et son vagin

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Une européenne et son vagin

Quelle est la taille moyenne d’un vagin ?


* LA QUESTION QUI TUE - Pr eliminaires, excitation, sentiments, complexes... pour toute une serie de questions Love & Sexo, des reponses courtes et simples de l'Etudiant Trendy. *
On parle moins de la taille du vagin que de celle du pénis pourtant c’est un sujet qui mérite qu’on s’y intéresse ! La longueur du vagin est variable. Sa profondeur varie entre 8 et 12 cm. Le vagin a la capacité de s’étendre, c’est d’ailleurs ce qui se passe lors de l’accouchement et de la stimulation sexuelle. Lorsque la femme est excitée sexuellement, le sang envahit la région génitale, ce qui entraîne l’ascension du col et de l’utérus : par conséquent, les deux-tiers supérieurs du vagin s’allongent. Incroyable mais vrai.
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themisadrastee a posté le 02 août 2017 à 13h40
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Hallucinante histoire que celle racontée dans le Guardian ce mercredi. Cela se passe d'abord au Portugal. Et ça se finit devant la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH).
En 1995, Maria Morais a été charcutée par des médecins, lors d'une opération gynécologique. Elle en est sortie avec une vie sexuelle dévastée. Ne pouvant plus avoir de relations sexuelles "normales".
L'opération lui avait, en effet, causé :
De manière surprenante, elle a porté plainte et elle a gagné une compensation pour ce dommage physique et psychologique.
L'arrêt de la Cour européenne ( qu'on peut lire sur son site ) relate ce premier jugement.
Au lieu d'en rester là, et d'aller se cacher, l'hôpital a fait appel et a gagné contre Maria Morais. La cour administrative suprême avait ordonné une réduction des dédommagements "à 50 000 et 6 000 euros".
La Cour européenne des droits de l'homme explique ce jugement de 2013 en ces termes :
Détail savoureux de ce second jugement :
Vous avez bien lu, oui. Pire, les trois juges (deux hommes et une femme) avaient tous plus de 50 ans selon l'avocat de Maria Morais.
L'affaire a fait un tollé au Portugal où ce jugement avait alors été décrit comme "une jurisprudence de Taliban".
Maria Morais a fini par faire appel devant la Cour des droits de l'homme et voici son jugement : en fait on a le droit d'avoir une sexualité à 50 ans ! Et ça peut même être important. Hallucinant hein ?
Dans les mots de l'arrêt cela donne :
On ne vous cachera pas qu'on a pris du plaisir à lire ces mots.
C'est à dire que comme le rappelle l'arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme, si Maria avait été un homme, les choses se seraient passées différemment. En effet en 2008 et 2014, deux patients masculins avaient reçu un traitement très différent.
En conséquence, la CEDH a considéré le Portugal coupable de "discrimination" fondée sur le genre, de "préjudices" et d'avoir violé le droit au respect de la vie privée et familiale et l'a condamné à 3250 euros de dédommagement et 2460 euros de compensation de ses frais et dépenses judiciaires.
On reste néanmoins déprimés en lisant un détail dans l'arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme. C'est par cinq voix contre deux que la plaignante a gagné son procès.
Leurs femmes doivent aller sûrement avec des plus jeunes...
@burgaud dominique : soit vous avez mal lu l'article soit vous préférez faire du hors sujet.
L'UE comment l'aimer elle ne s'occupe et n'aime que les entreprises et les riches , avec Junker ( ancien premier ministre et Ministre pendant 35 ans ) qui est le maître d'œuvre de l'évasion fiscale au Luxembourg et maintenant Président de la Commission Européenne qu'espérer ?
L'UE crèvera avec les libéraux c'est une question de temps , le chômage ne fera que grandir avec l'uberisation, la numérisation etc.... et le niveau de vie de la majeur partie Européens régressera au fur et à mesure de l'automatisation de la Société
N'importe quoi! C'est l'inverse, c'est uniquement quand l'écluse s'ouvre que la péniche passe .
Voila ce qui arrive quand on confie à des êtres humains le soin d'apprécier le montant d'un dommage! ça donne quelques milliers d'euros pour Patrick Dils innocent emprisonné des années et 430 (!)millions d'euros pour Bernard Tapie qui a perdu de l'argent à la bourse, le pauvre!

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Publié le 20 Mar 2022 à 19H00
Modifié le 16 avril 2022
Par Lucas Martynns


Une entreprise allemande dévoilait le 8 mars 2022, Vulva Spaceship, un concept de fusée en forme de vulve. Selon les créatrices du projet, l’objectif serait de changer l’actuel modèle de conception de fusées, qui mettrait l’emphase sur la « puissance masculine » par leurs formes.
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Exit les fusées Ariane , Atlas, SLS et autres Soyuz, trop « phalliques » ? Un collectif allemand, Wer Braucht Feminismus? (« Qu’est-ce que le féminisme ? »), a dévoilé le 8 mars un concept de lanceur pour le moins original. Le Vulva Spaceship prend le contrepied des fusées conventionnelles en proposant une forme de vulve féminine. Lucia Hartmann, ingénieure à l’origine de l’idée, prétend vouloir établir l’égalité jusque dans l’espace avec ce projet, les lanceurs élaborés jusqu’à aujourd’hui étant s’apparentaient trop à des symboles de puissance masculine. WBF Aeronautics souhaite ainsi attirer l’attention de l’agence spatiale européenne (ESA) par le biais d’une pétition en ligne. Seulement, malgré une vidéo postée sur YouTube et quelques commentaires sur le site Whatisfeminism.today , rien ne permet réellement d’attester de l’intérêt scientifique d’une telle entreprise.
Réussir à concevoir une fusée et l’envoyer dans l’espace est une tâche complexe : SpaceX travaille depuis des années sur son Starship, la Nasa vient à peine de sortir la Space Launch System de son hangar et Arianegroup a pris du retard sur la mise en service d’Ariane 6. La majorité des fusées sont d’apparence simple, cylindriques, dont la coiffe située au sommet prend en général une forme ogivale. Leur masse au décollage est également variable : celle d’Ariane 5 est de 750 tonnes, alors que la massive Saturn V ayant permis d’envoyer les missions Apollo sur la Lune à une masse d’environ 3 000 tonnes.
« Pour faire voler un lanceur, nous devons prendre en considération de nombreuses contraintes entre lesquelles il faut trouver le meilleur compromis », explique Elisa Cliquet Moreno, ingénieur à la direction des lanceurs du CNES (Centre national des études spatiales). « Plusieurs forces s’exercent sur le lanceur et celle qui est la plus pénalisante, tout au long de sa mission, c’est son propre poids. Pendant son vol dans l’atmosphère, il y a aussi la force aérodynamique, qu’on décompose en deux composantes : la trainée, dans la direction opposée au mouvement, freine le véhicule par des effets de pression et de frottement avec l’air et la portance, qui lui est perpendiculaire, a une influence bien moindre sur les lanceurs que sur les avions. Enfin, la force produite par la poussée des moteurs est là pour contrer le poids et la trainée. »
La trainée aérodynamique va être importante lors des 2 premières minutes du vol d’une fusée. Au bout d’une minute, un lanceur de type Ariane 5 va dépasser la limite Mach 1, soit plus de 1100 km/h à cette altitude, puis atteindre des vitesses supersoniques jusqu’au-delà de Mach 6, et larguer la coiffe à environ 70 kilomètres d’altitude. La force de trainée, qui varie comme le carré de le vitesse, va d’abord augmenter progressivement puis se réduire car elle dépend aussi de la densité de l’air, qui diminue en altitude. Elle est cependant toujours nettement inférieure à la force liée au poids du lanceur. Au décollage, notre Ariane 5 subit une force 7 400 kilonewtons à cause de son poids, alors que quand elle atteint Mach 1, sa trainée est quasiment 7 fois moindre, d’environ 1 100 kilonewtons. Lors de ces premières minutes après le décollage, la forme du lanceur est primordiale pour permettre une accélération optimale vers les confins de l’atmosphère terrestre.
Spoïler : Non ! La personnification d’objets tels que des lanceurs est une démarche caduque dans la mesure où l’objectif primaire des ingénieurs en aérospatial est de rendre leurs appareils optimaux. Tout doit être calculé pour que la fusée en partance vers l’espace transporte son chargement, qu’il soit humain ou robotisé, sans encombre. Pour cela, le design des fusées telles qu’observables au cours de ces 60 dernières années est explicable scientifiquement.
« La coiffe, au sommet de la fusée, est souvent ogivale pour une meilleure pénétration de l’air à la fois en subsonique et en supersonique. Ensuite, il faut réduire le diamètre du lanceur : s’il est trop large, il va traîner, s’il est trop fin, il risque d’être plus fragile (et puis il faut avoir la place de mettre le satellite !). Sur la majorité des lanceurs, nous essayons de concevoir des formes lisses, épurées, avec des changements de diamètre « doux », afin d’éviter de générer trop de trainée. », commente Madame Cliquet – Moreno.
« Mais ce qui est primordial, c’est avant tout de minimiser la masse de la fusée. En cela, la forme cylindrique est idéale pour limiter la masse de structure pour un volume donné. Le cylindre est une forme qui résiste bien à la pression, pression que l’on retrouve dans les réservoirs d’un lanceur. C’est aussi très simple à fabriquer. »
Sur l’aspect technique, le Vulva Spaceship ne semble donc pas impossible à réaliser, ni même impossible à faire décoller. Si la proposition de WBF Aeronautics s’avère indéniablement esthétique, l’apport scientifique dans le domaine de l’ingénierie aérospatiale reste à démontrer. Le lanceur « féminisé » aurait une forme permettant une trainée minimale, nécessitant moins de carburant et se voulant écologique. De plus, son revêtement en carbone assurerait une grande résistance aux températures extrêmes.
Néanmoins, l’organisme ne possède pas de site internet propre exposant les caractéristiques de son vaisseau, et les quelques informations glanées sur le web ne parviennent pas à prouver la faisabilité du projet. Avec un peu plus de 1 000 signatures récoltées sur 500 000 demandées, il est possible que le Vulva Spaceship ne reste qu’une ébauche digne d’une oeuvre de science-fiction, qui n’aurait pas dépareillé dans le film Barbarella.
« L’ingénierie spatiale n’est pas fermée aux femmes. C’est une question de sensibilisation et de faire comprendre aux enfants, filles comme garçons, qu’ils et elles peuvent accéder à ces milieux professionnels, qui sont avant tout des domaines de passionnés. Et en cela, je pense personnellement, que des initiatives permettant de susciter cette passion, par exemple emmener aussi bien les filles que les garçons visiter des expositions sur l’espace, sont plus pertinentes que celle-ci », conclut Élisa Cliquet Moreno.
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