Une esclave sexuelle maltraitée dans les bois

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Une esclave sexuelle maltraitée dans les bois

Doctorant à l’université Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
Chef de l’administration présidentielle ukrainienne
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vidéo Découverte par des universitaires coréens, elle aurait été tournée par un soldat américain en 1944.
Le 5 juillet, la Corée du Sud a rendu publique une vidéo qui pourrait être la première montrant celles que l’on a longtemps appelées par euphémisme « les femmes de réconfort ». Ces femmes étaient, en réalité, des esclaves sexuelles exploitées par l’armée japonaise au cours de la seconde guerre mondiale. Selon les historiens, jusqu’à 200 000 personnes, pour la plupart des Coréennes mais aussi des Chinoises, des Indonésiennes et des ressortissantes d’autres pays asiatiques, ont été enrôlées de force dans les bordels de l’armée impériale.
Cette question empoisonne les relations entre Séoul et Tokyo depuis des décennies, nombre de Sud-Coréens y voyant le symbole des abus et violences commis par le Japon durant sa domination coloniale, de 1910 à 1945. Seules des photographies de cet épisode étaient connues jusqu’à aujourd’hui. L’extrait vidéo, qui aurait été tourné par un soldat américain en 1944, a été découvert par des universitaires coréens après deux ans de recherche dans les archives américaines.
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Publié le 23/10/17 mis à jour le 08/12/20
Lizzie Sadin pour le prix Carmignac
Les couleurs sont chatoyantes, mais la fête n’est jamais au rendez-vous. La centaine d’images qu’expose Lizzie Sadin vous prennent à l’estomac : les unes après les autres, elles dressent le désespérant tableau de la situation qui frappe de plus en plus de jeunes Népalaises. Viols, abus, exploitation, esclavage, il ne fait pas bon être pauvre et femme au Népal. D’après les ONG, 20 000 d’entre elles seraient exploitées dans l’industrie du sexe ; et 300 000 contraintes à des « emplois » de bonnes à (vraiment) tout faire dans les pays du Golfe.
« Ces jeunes filles sont dupées par des trafiquants qui traînent dans les villages. Souvent des amis ou même des membres de leur propre famille, qui leur font miroiter l’espoir d’une vie meilleure. Le plus souvent, elles sont cédées contre de l’argent par l’un de leurs proches », explique la photographe Lizzie Sadin, qui depuis vingt-cinq ans travaille sur les droits humains et, tout particulièrement, la condition des femmes dans le monde.
« La plupart de ces jeunes femmes n’ont même pas conscience de la gravité de la situation dans laquelle elles se trouvent », raconte-t-elle. Pourtant, les photos montrent bien la cruauté de cet univers où elles se font exploiter, maltraiter, abuser : restaurants, bar-dancings ou dohoris (sorte de cabarets / maisons closes). « Je n’ai pas pu faire la moindre photo pendant les premières semaines de mon séjour au Népal, le temps de gagner la confiance de ces filles qui vivent dans la peur. De même, il a fallu user de stratagèmes pour ne pas trop attirer l’attention des tenanciers des bars où elles travaillent. J’ai dû prendre certaines photos à la volée ou en caméra cachée » .
Pour Télérama.fr, Lizzie Sadin revient sur certaines scènes qui l’ont marquée et qui font partie de la centaine de photos exposées à Paris.
Dans l’enfer de l’esclavage des femmes au Népal.
Lizzie Sadin pour le prix Carmignac
« J’ai rencontré Rita dans la région de Pokhara, à la frontière avec l’Inde. C’est une ancienne esclave revenue de l’enfer des pays du Golfe. Elle s’était faite leurrer par une amie de son village qui lui avait proposé de partir pour l’Inde avec des promesses d’argent et de bijoux. La pauvreté est telle au Népal qu’elle n’a pas hésité. Seulement, une fois arrivées, l’amie a disparu et Rita s’est retrouvée dans un bordel. On lui a dit “ tu vas travailler” , mais sans lui dire en quoi cela consistait. Quand elle a compris, elle a refusé. On l’a aussitôt malmenée et enfermée pendant une semaine avec juste assez de nourriture pour survivre. Contrainte, elle n’a pu faire autrement que de se prostituer. C’est un raid fortuit de la police qui l’a libérée. Et, grâce à une ONG, elle est finalement revenue au Népal. »
Dans l’enfer de l’€esclavage des femmes au Népal.
Lizzie Sadin pour le prix Carmignac
« A Katmandou, les filles qui se font piéger passent leur journée à travailler dans des gargotes miteuses, des cabarets ou des salons de massage. Ces filles sont là à la merci des clients dont elles doivent accepter les avances. Ici, on peut voir Kopila dans une cabine, petit espace à l’intérieur du restaurant à l’abri des regards. Ce qui m’a frappée, c’est que l’homme qui abuse d’elle n’a pas du tout le sentiment de faire quelque chose de répréhensible… »
Dans l’enfer de l’esclavage des femmes au Népal.
Lizzie Sadin pour le prix Carmignac
« Parfois, les trafiquants sont les parents eux-mêmes. Cela pourrait être le cas de cette dame accompagnée de plusieurs très jeunes filles qui tente de passer la frontière avec l’Inde à bord d’une charette. Seulement, la police soupçonne que ce ne sont pas ses enfants, et qu’elle cherche sans doute à aller les livrer en Inde pour une destination encore plus lointaine. Aidés par des bénévoles d’une ONG, qui sont d’anciennes victimes du trafic, les policiers l’assaillent de questions. Mais toutes se taisent, la dame comme les fillettes, lesquelles, du reste, ne savent pas forcément où on les emmène ni pour quoi faire. »
Dans l’enfer de l’esclavage des femmes au Népal.
Lizzie Sadin pour le prix Carmignac
« Cette photo est l’une de celles que j’ai prises à la dérobée. La jeune fille à droite est chanteuse d’un dohori, une sorte de bar-dancing. Elle a reçu des avances d’un client. En attendant de passer à la casserole, elle est obligée de lui tenir compagnie sous le regard du patron du cabaret qui contrôle ses moindres faits et gestes. Les filles qui travaillent dans ces dohoris doivent tout accepter : attouchements, grossièretés... »
A voir : Exposition photographique “Le Piège – Traite des femmes au Népal”, du 20 octobre au 12 novembre, Hôtel de l’Industrie, 4 place Saint-Germain des Prés, 6e. Gratuit.
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