Une esclave sexuelle enfin libérée

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Rita Habib, émue de retrouver son père en Irak


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Tél. 03 88 10 29 60

Bien que le groupe État Islamique soit en recul en Irak depuis plus d'un an, Rita Habib, retenue captive par le groupe djihadiste pendant presque 4 ans, vient juste de retrouver son père.
La jeune femme a 26 ans lorsqu’elle est kidnappée en 2014 à Karakosh. Vendue puis achetée à 4 reprises comme esclave sexuelle, Rita Habib a enfin été libérée en 2017 et a pu retrouver son père, âgé, en avril dernier. 
Nous sommes en 2014. Les terroristes du groupe État Islamique ont déjà pris possession de Mossoul, à 86 km, et sont en route pour Karakosh et les villes voisines. Des vagues de réfugiés venant de la Plaine de Ninive arrivent au Kurdistan. Rita, elle, fait le chemin inverse. Alors en sécurité à Erbil, elle décide de se rendre à Karakosh pour rejoindre son père. Ce dernier est âgé et ne peut pas prendre la route. Elle ne veut pas le laisser seul alors que tous ses voisins sont partis. 
Rien ne peut arrêter la jeune femme, qui fait preuve d'une rare détermination et ne se rend pas compte du danger imminent. Les chauffeurs de taxi, d’abord, refusent de l’emmener. Puis les Forces armées du Kurdistan irakien (Peshmergas), ne peuvent pas la stopper dans son élan. Ils l’informent que la zone n’est pas sûre, mais elle passe tout de même les points de contrôle. 
Quand les Peshmergas perdent le contrôle du territoire, les terroristes pénètrent dans les maisons en forçant les portes. Rita est capturée et emmenée à Mossoul. Renommée «Maria» par ses agresseurs, elle est vendue sur le marché d’esclaves sexuels.
En tout, Rita a eu 4 «propriétaires » , des djihadistes irakien, saoudien et syriens du groupe État Islamique, et a été déplacée plusieurs fois. Elle a subi non seulement des agressions sexuelles, mais aussi une forte pression psychologique et des sévices corporels. Sa foi l'aide à tenir. 
En septembre 2017, les Forces démocratiques syriennes la libèrent alors qu'elle se trouve en Syrie à Deir Ezzor, Rita est emmenée à Qamishli, au Nord-Est de la Syrie, pour être soignée. La jeune femme, traumatisée, a mis un mois à pouvoir enlever son voile sans craindre une attaque.
La violence sexuelle contre les femmes et les filles est l'un des moyens les plus courants de faire pression sur les communautés et les familles chrétiennes. Sous Daech, les esclaves sexuelles, pouvaient être vendues entre 5 200 et 10 400 €. Les prisonnières devaient prendre des pilules contraceptives et subir des avortements forcés. 
Après le départ de Daech, des chrétiens irakiens tentent de revenir chez eux. Beaucoup de maisons ont déjà été reconstruites grâce à l'aide internationale. Portes Ouvertes, par l'intermédiaire de partenaires locaux, mène des projets sur place pour soutenir les communautés chrétiennes d'Irak et de Syrie. 
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Pendant ses 23 années d’esclavage, Amiir a subi les exigences de ses maîtres, les violences, les abus sexuels et les humiliations.
Amiir Akok Akok es​​t une jeune fille de 24 ans du Soudan du Sud. Alors qu’elle n’avait qu’un an, elle a été enlevée avec sa mère par des militants islamistes, et réduite en esclavage.
Mais alors qu’elle n’a que 8 ans, sa mère est vendue à d’autres propriétaires d’esclaves. Cette dernière sera ensuite libérée en 2005. Amiir va rester esclave et subir les exigences de ses maîtres, les violences, les abus sexuels et les humiliations.
Mère et fille resteront séparées jusqu’aux 24 ans d’Amiir. C’est grâce à Christian Solidarity Worldwide que mère et fille ont pu se retrouver, enfin libérées de l’esclavage. Cette organisation chrétienne qui milite pour la liberté religieuse et la dignité humaine, a pu intervenir en faveur d’Amiir dans le cadre d’une affaire de récupération d’esclaves.
Libérée sans savoir ce qui lui arrivait le 20 novembre dernier, elle est retournée au Soudan du Sud, accompagnée de son propre fils, et a pu retrouver sa mère.
Markus Weber, de Christian Solidarity Worldwide, a pu les rencontrer et témoigner de leur histoire.
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Publié le 02/12/2016 à 17h05




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Haifa, une une jeune femme yézidie, esclave sexuelle de l'EI pendant ses deux ans de captivité en Irak et en Syrie, le 17 novembre 2016, dans une rue de Dohouk © SAFIN HAMED AFP
Haifa, une une jeune femme yézidie, esclave sexuelle de combattants de l'EI pendant ses deux ans de captivité en Irak et en Syrie, le 17 novembre 2016, dans une rue de Dohouk © SAFIN HAMED AFP


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Vous lisez actuellement : "Libérez les autres!" supplie Haifa, ex-esclave sexuelle de l'EI

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"Il y en a eu sept: un Egyptien, un Marocain, un Palestinien...": Haifa, une jeune femme yézidie, compte sur ses doigts le nombre de combattants du groupe Etat islamique (EI) à l'avoir achetée comme esclave sexuelle pendant ses deux ans de captivité en Irak et en Syrie.
Haifa, 36 ans, et sa famille font partie des milliers de Yézidis emprisonnés en 2014 par les jihadistes, quand ils ont conquis de vastes pans de territoire en zone irako-syrienne.
Cette minorité kurdophone, adepte d'une religion pré-islamique, n'est ni arabe ni musulmane et l'EI les considère comme des hérétiques polythéistes.
Conséquence: la communauté yézidie a été particulièrement visée par les exactions du groupe extrémiste sunnite, au point que l'ONU a dénoncé une "tentative de génocide" contre ses membres.
Des milliers d'hommes furent massacrés, les femmes enlevées et certaines, dont Haifa et sa soeur cadette, réduites en esclavage.
"Il y avait une sorte de marché où ils amenaient les femmes yézidies pour que les combattants puissent les choisir", raconte à l'AFP Haifa, s'exprimant sous un pseudonyme. "Un jour, l'un d'entre eux a acheté 21 femmes à la fois".
Arrachée de sa région natale de Sinjar (nord-ouest), elle a été emmenée à Mossoul, le bastion irakien des jihadistes de l'EI, avant d'être transférée vers Raqa, leur fief syrien.
"Ils nous traitaient très durement. Ils nous ont fait subir des choses horribles", souffle-t-elle.
Après deux tentatives de fuite avortées, Haifa a enfin retrouvé sa liberté il y a quelques jours, grâce à l'aide de "bienfaiteurs" dont elle ne dira rien de plus.
Certaines femmes yézidies aux mains de l'EI ont réussi à s'échapper, d'autres ont été "rachetées" pour être libérées.
Le lancement en octobre d'une offensive des forces irakiennes pour reprendre Mossoul au groupe extrémiste ravive l'espoir d'autres libérations.
Sur les 6.000 hommes, femmes et enfants yézidis enlevés par l'EI, quelque 3.000 sont toujours en captivité, affirme Hussein Al Qaidi.
Ce membre de la communauté yézidie dirige à Dohouk un Bureau des personnes enlevées, financé par les autorités kurdes irakiennes.
Par le passé, les combattants de l'EI emmenaient le plus souvent leurs prisonniers yézidis quand ils étaient obligés de battre en retraite.
Mais les forces irakiennes ont désormais coupé la route reliant Mossoul au territoire de l'EI en Syrie, donnant l'espoir à Hussein Al Qaidi de retrouver des milliers des siens une fois la ville reprise, et de voir renaître leur communauté.
"Nous avons été victimes d'une campagne féroce, dit-il. Mais nous, Yézidis, sommes attachés à notre terre".
Haifa, elle, a du mal à s'extraire du cauchemar qu'elle a vécu pendant deux ans. Epuisée, malade, elle a trop honte pour aller parler à ses amis et sa famille.
Et malgré sa liberté retrouvée, elle désespère en pensant au sort des femmes yézidis encore aux mains des jihadistes, dont sa soeur de 20 ans.
"Je demande à tout le monde d'aider à les libérer", supplie-t-elle. "Elles sont encore là-bas, à souffrir".
02/12/2016 17:04:03 - 
Dohouk (Irak) (AFP) - 
© 2016 AFP
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