Une esclave bien dressée
🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻
Une esclave bien dressée
20 janvier 2021 3 février 2021
psychee
1
8 octobre 2019 8 octobre 2019
psychee
0
Laisser un commentaire Annuler la réponse.
Copyright © 2022 Les Archives Goréennes de Psychee . Tous droits réservés. Theme ColorMag par ThemeGrill. Propulsé par WordPress .
L'article n'a pas été envoyé - Vérifiez vos adresses e-mail !
La vérification e-mail a échoué, veuillez réessayer
Impossible de partager les articles de votre blog par e-mail.
Blog francophone sur le JDR dans Second Life
Pour cet avant-dernier article sur les esclaves de Gor, nous allons aborder le sujet du matériel et de l’équipement de l’esclavage.
Qu’est-ce qui a été créé et conçu par les goréens pour contrôler leurs esclaves, jouer avec, les embellir, les discipliner, les contraindre ou encore les entretenir ? Et là, vous allez rire, mais si Norman s’est toujours défendu d’être inspiré par le BDSM, on va vite réaliser que du côté matériel et techniques, par contre, il a allègrement non seulement pioché, mais inventé sur ce thème avec enthousiasme.
Rappel, le fait est que l’esclavage n’a strictement rien à voir avec le BDSM : une kajira n’a pas demandé à le devenir, elle n’a pas le choix de dire « non » ou de revenir en arrière, elle n’a pas non plus le devoir de prouver constamment sa nature et sa dévotion, de réaffirmer par des épreuves son engagement total à son maitre et sa totale abnégation à ce dernier. D’ailleurs, la kajira est possédée comme une propriété par un maitre, pour des raisons légales (et de prestige) mais il est le plus souvent fréquent que ce soit uniquement dans un but utilitaire : la kajira est un outil, un objet, une force de travail exploitable à l’envie. Et elle est forcée à la même obéissance et dévotion envers tout individu libre, sans aucun choix restrictif. Le propriétaire décidera simplement de préciser à ses interlocuteurs quelques limites concernant sa propriété, comme ne pas l’abimer. Une soumise dans le monde du BDSM est une personne protégée par des droits et la loi. Une esclave goréenne est une marchandise, sous la forme d’un animal dénué de tous droits et égards. Nous y reviendrons en détail pour le dernier article qui sera consacré aux esclaves de Gor.
Ceci dit, avant d’entrer dans le vif du sujet, il y a une chose claire : autant les goréens sont des brutes cruelles avec l’esclavage et ses concepts en général, la vie d’une esclave ne valant finalement pas grand-chose (un peu d’argent, plus rarement un peu d’or et rien de plus), autant ils font aussi montre d’une grande finesse et imagination créative concernant leurs inventions et techniques pour profiter de leurs esclaves, jouer avec, les entretenir et les contrôler. Et, par exemple, il y a clairement des pratiques techniques, comme la flagellation ou le bondage, pratiqués totalement par jeu par les goréens avec leurs esclaves, et qui sont tout à fait similaires aux techniques et pratiques du BDSM, n’en déplaise à Norman ! Fallait pas l’écrire si tu ne voulais pas que cela existe !
Poudre de Tassa : Sous forme de poudre rougeâtre, c’est un somnifère puissant, rapide et qui n’a aucun antidote. Il peut être mélangé avec n’importe quel type de liquide mais, le plus souvent, il est utilisé avec du vin rouge, pour dissimuler sa couleur. La poudre n’a aucun goût et son effet est assez puissant pour qu’une pincée puisse assommer le plus fort gaillard. La poudre de Tassa est employée par les esclavagistes pour sécuriser une captive efficacement, mais elle est aussi employée pour endormir et capturer une cible. La durée de l’effet ou son danger en cas de surdose ne sont pas abordés dans les romans, mais on peut supposer qu’il vaut mieux ne pas trop surdoser et que, vu son but, l’effet est prévu pour durer quelques heures pour une dose normale.
Anesthésiants pour fléchettes : chasseurs d’esclaves et esclavagistes emploient des fléchettes recouvertes d’une substance anesthésiante que Norman ne décrit pas, cependant. La drogue anesthésiante a cependant un effet anesthésiant puissant et mets la victime KO en une minute. La drogue peut aussi être employée sur un stylet ou un poignard, injectant ainsi la substance dans la circulation sanguine. Si on voit bien l’intérêt de cette drogue, le parfum de capture (une sorte de chloroforme) est cependant plus efficace, bien que ne durant que quelques minutes, alors que cet anesthésiant semble durer une bonne heure.
Parfum de capture : C’est une sorte de chloroforme puissant, là aussi employé par les esclavagistes. Imbibé sur un linge et plaqué sur le nez et la bouche, le respirer mets la victime dans l’inconscience en moins de dix secondes. A priori, Norman suggère qu’un homme solide résiste plus qu’une femme à cet effet et pourrait s’y soustraire avant d’être trop faible, ce qui ne serait pas le cas d’une femme. Le gros avantage du parfum de capture est de pouvoir maitriser rapidement une captive en train de se débattre sans avoir de risques de la blesser. L’effet ne dure cependant que quelques minutes, une quinzaine environ.
Lien d’esclave : fait d’un mélange tressé de cuirs et de fibres solides (comme de la soie), parfois avec du fil d’acier mêlé, c’est le lien le plus typique employé par les goréens pour capturer et attacher. Il est impossible de le couper sans outils et sans y passer du temps. En général un lien d’esclave mesure environ deux mètres de long.
Laisse mécanique enroulable : si l’apparence de cet appareillage est plus grossière que la laisse enroulable pour les chiens de la Terre, c’est à peu près la même chose, et emploie les mêmes principes mécaniques à la portée des goréens. Une gâchette, derrière l’enrouleur de la laisse, le plus souvent une fine chaine, permets d’enrouler une portion ou la totalité de la laisse. Le mécanisme est solide et puissant, aussi, si le maitre tient bien l’enrouleur, l’esclave est forcée de suivre le mouvement sans pouvoir résister.
Garrot de capture : Il s’agit rien moins qu’un collier de garrotage. Il se compose d’une chaîne étroite qui se termine par deux poignées en bois à chaque extrémité. Cette chaîne étouffera la victime sans coup férir, mais à la différence d’un vrai garrot, ne pourra lui trancher la gorge. L’instrument est employé pour étouffer une captive afin de la soumettre. Et il peut être employé et retenu d’une seule main.
Ceinture de chasteté : je pense que pas besoin de décrire plus en détail l’objet. Il n’est employé que pour s’assurer de garder une esclave soie blanche, si jamais quelque quidam s’avisait de vouloir en profiter dans la rue, sans demander au propriétaire (et c’est très fréquent, en fait).
Enclos de fer : c’est le nom générique donné aux caves des maisons des esclavagistes. « Cela fait référence à toutes les installations souterraines de rétention dans la maison d’un esclavagiste ; pas simplement des cages, mais des fosses, des fûts en acier, des chaînes murales et autres ; c’est le nom d’une zone, dans son ensemble, plutôt qu’une description littérale de la nature du seul type de dispositifs de confinement qu’on y trouve ». (Assassin de Gor, p.122) »
Laisses : les goréens apprécient beaucoup cet accessoire et promènent très souvent leur esclave en laisse quand ils circulent avec elle. La laisse typique est un lien de cuir tressé de fil de fer pour s’assurer qu’il ne puisse être aisé à couper ou user. L’attache se fait avec un mousqueton à ressort, et la laisse elle-même se termine par une boucle solide pour la prise en main. Elle fait aussi office de fouet improvisé efficace. Une laisse fait en général deux mètres de long, rarement plus. Il existe aussi des laisses de chaines, et des laisses étrangleuses, ainsi que des laisses plus longues, souvent destinées à permettre à l’esclave en laisse de jouer sensuellement avec la longueur de la laisse pour attirer le regard. Certains colliers de maintiens sont d’ailleurs faits exprès pour s’adapter au port constant d’une laisse.
Bain désinfectant : Ce produit, versé dans de grands baquets d’eaux est un puissant désinfectant, relativement toxique s’il est ingéré, d’ailleurs, utilisé pour nettoyer les esclaves des parasites. Le plus souvent, il est utilisé sur les esclaves qui doivent être transportés par bateau. Elles seront immergées dans ce liquide pour éviter d’infester les autres cargaisons du navire. Les lois de nombreux ports exigent que tous les navires transportant des esclaves prennent cette précaution.
Cagoules d’esclaves : pour le transport le plus commun des esclaves, on les enferme dans des cages par petit groupe ou on les lie entre eux par des chaines, en colonne. Et le plus souvent on leur enfile un capuchon sur la tête pour les aveugler. Simple sac de jute ou de cuir en général, fermé par un lacet dans le dos, c’est le modèle le plus commun. Mais c’est aussi parfois une cagoule solide et élaborée, qui peut être munie d’un bâillon et de renforts de cuir matelassés pour aveugler totalement l’esclave et couvrir ses oreilles pour l’assourdir complètement, percée de fin trous pour la respiration et munie d’une fermeture à cadenas ! Certaines capuches, surtout pour la vente et l’exposition, laissent aussi le bas du visage révélé pour pouvoir admirer la bouche et la mâchoire.
Sifflet d’esclave : les goréens aiment bien crier, mais un sifflet porte bien plus loin. Et, qui plus est, il peut aussi servir à envoyer à distance des codes précis auquel obéiront les kajirae entrainées. C’est un outil souvent utilisé par les esclavagistes.
Tube d’esclave (tube de gavage) : oui, les physiciens goréens l’ont inventé, pour les esclavagistes, pour nourrir de force une captive trop maigre ou voulant se laisser mourir de faim. Et l’appareillage est courant. Il s’agit d’un dispositif constitué de trois parties : une sorte de large bâillon troué en son centre, pour forcer la bouche de l’esclave et bloquer langue et mâchoire, un long tube souple et semi-rigide, d’une matière que Norman ne précise pas, et qui descend le long de l’œsophage jusqu’à l’estomac et, enfin, un piston pour injecter dans le tube de la nourriture semi-solide. Autant dire que la captive nourrie ainsi se débat forcément, aussi, elle est toujours attachée et maintenue à genoux. Le bâillon n’est retiré qu’une heure après, afin de s’assurer qu’elle ne pourra pas régurgiter et elle sera maintenue mains attachées dans le dos pour l’empêcher par la suite de se faire vomir.
Jougs de captivité : les jougs pour les esclaves sont assez proche des jougs pour les animaux, et constituent en une barre métal ou de bois, pourvue de trois anneaux. Le central s’accroche au collier de l’esclave ou à des liens à son cou, les deux autres servant à attacher les poignets. Les jougs sont employés aussi bien pour le transport, la punition, le contrôle des esclaves, que pour profiter sexuellement d’une esclave ainsi réduite à l’impuissance. La posture et l’objet sont si humiliants que la plupart des captifs mâles, surtout les guerriers, préfèrent trouver comment mourir plutôt que de se laisser attacher ainsi. Certains jougs sont en deux parties, des pièces de bois qui se referment autour du cou et des poignets par des boucles et des cadenas ; ceux pour les esclaves-femmes sont souvent munis de clochettes.
Parfums d’esclaves : noté ici, car les parfums d’esclaves, et il y en a des centaines, c’est un métier recherché et prisé, ont aussi une fonction, en plus d’attirer sensuellement les hommes et agrémenter les kajirae : nombre d’entre eux sont plus ou moins aphrodisiaques. Certains sont même conçus spécialement pour faciliter l’entrainement des esclaves au plaisir en les mettant en éveil constant et sont assez puissants pour qu’une femme libre ne puisse se contenir à les humer.
Fers de marquage : il ne s’agit pas exactement d’un châtiment, puisque la plupart des filles-esclaves (beaucoup moins souvent les hommes esclaves) sont marquées, pour les identifier comme esclaves et pour des raisons légales : dans certaines cités, il est interdit de vendre une esclave qui n’est pas marquée. Le marquage au fer est un art pour les goréens, confié à des spécialistes (et non, pas les forgerons !) qu’on appelle maitres du fer, et qui sont de la caste des esclavagistes. Un propriétaire, sauf s’il insiste et est très sûr de lui, ne marquera pas sa propre esclave : d’une part, il peut saloper le boulot, d’autre part le marquage au fer est impersonnel et doit le rester dans l’esprit des goréens. La hauteur d’une marque au fer est de 2,5 à 5 cm, jamais plus. Il faut environ 4 secondes pour marquer une peau au fer rouge de manière définitive, et le fer est nettoyé entre chaque marquage, puis remis à chauffé ; c’est un procédé qui prends donc du temps. On montre toujours à l’esclave le fer chauffé au rouge avant de l’appliquer sur sa peau, pour lui donner une idée de ce qui va se passer.
Fers d’infamie : ceci concerne aussi bien libres qu’esclaves, bien que les exemples dans les romans concernent surtout une esclave fautive d’une grande désobéissance ou d’avoir tenté de fuir. Le marquage au fer pour infamie laisse une trace permanente (la lettre I en goréen, de petite taille, en général un centimètre) et ne n’est appliquée que pour trois crimes : le mensonge, le vol ou la trahison (une esclave qui fuit son maitre le trahit). Pour une personne libre, elle est souvent appliquée sur le visage, le torse ou l’épaule. Pour une esclave, souvent à côté de sa marque d’esclave, sur la cuisse. Aussi cruelle que soit cette punition, elle est employée pour laisser une chance à la personne punie : elle sera châtiée du fouet ou d’autres châtiments corporels, mais ne sera pas tuée ou mutilée, mais avertie qu’elle ne peut recommencer ce crime sans en payer le prix fort. Une esclave ne peut sans doutes pas espérer survivre après deux marques d’infamies, par exemple.
Aiguillon électrique : Il en existe de plusieurs sortes, Norman cite avant tout celui pour les tarn, et celui pour les esclaves, Invention de la Caste des Bâtisseurs, celui pour les esclaves a été conçu avec eux par la Caste des Physiciens. L’instrument, assez courant bien qu’onéreux, est une tige électrifiée, permettant de discipliner les tarn et les esclaves, fait pour, en théorie, ne pas causer de dommages mortels, ce que contredit clairement l’usage qui peut en être fait dans les romans ; la pointe peut devenir assez chaude et brillante pour brûler la peau. Une molette permet de régler l’intensité et d’envoyer des décharges à peine désagréables, jusqu’à des décharges mortelles en quelques instants.
Kurt ou (fouet d’esclave) : le fouet typique pour discipliner les esclaves sur Gor est en fait une sorte de martinet, pourvu de cinq lanières plates et larges de cuir souple, longues d’environ 90 cm. Le manche du fouet fait lui-même environ 30 cm. Le kurt flagelle douloureusement et efficacement, mais la forme des lanières assure qu’il ne laisse aucune marque permanente, contrairement à un véritable fouet. Ainsi, il ne peut blesser ou abimer l’esclave, sauf à être d’une brutalité inouïe.
Fouet-serpent : le plus cruel et dangereux des fouets, le snake-whip, ou fouet-serpent, est un fouet entièrement constitué d’un laçage de lanières de cuir fin tressé et de fibres très serré. Le manier requière de l’entrainement. Quand un serpent claque, la mèche de fibres qui le termine se déplace à la vitesse du son. Il peut aisément taillader la peau et la chair et ne sert que pour les châtiments les plus cruels (y compris sur des hommes et femmes libres) ou, dans les danses, pour jouer avec la danseuse, en veillant à ne pas la frapper directement ou la blesser. Pour info, un tel fouet peut tuer quelqu’un en une vingtaine ou trentaine de coups et peu de victimes resteront conscientes après cinq coup.
Autres instruments de flagellation : la badine est le plus courant des instruments employés par les esclaves qui éduquent ou disciplinent d’autres esclaves : il s’agit d’une fine baguette de bois dur et flexible. Un coup de badine est terriblement douloureux et laisse de fins bleus profonds, plus cruels, durables et risqués que les coups du kurt. Le « quirt », est une large lanière de cuir plate, longue d’environ 60 cm. C’est l’instrument préféré des femmes libres, qui produit des morsures cruelles et laisse de larges bleus mais sans blessures. Dernier instrument employé pour dresser et discipliner les esclaves, surtout pendant les cours de maintien et de danse, la bastinade est une corde assez fine, nouée à son bout, servant à fouetter cruellement les jambes, les pieds et les chevilles.
Boîte d’esclave : La boite d’esclave est une solide boite de bois ou de fer, carrée et si étroite que l’esclave à l’intérieur ne peut y tenir que tassée ou à quatre pattes, sans pratiquement pouvoir bouger. La boite, qui peut s’ouvrir sur le devant n’a qu’une autre ouverture : un trou en haut, un autre sur le côté, pour laisser circuler l’air, et une petite trappe pour fournir nourriture et eau. C’est une forme de supplique efficace pour briser une esclave ou la discipliner efficacement sur une longue durée et sans efforts. Dans Slave-Girl of Gor, Elinor Brinton y passe dix-huit jours juste après avoir été marquée au fer, à finir par manger des insectes vivants, seule nourriture offerte pour rester en vie. Mais bon, Norman ne doit sans doute pas avoir idée de l’effet sur le corps et l’esprit d’un si long enfermement sans hygiène.
Collier d’esclave type : les colliers les plus courants sont faites de fer ou d’acier, mais le cuir, le tissu et la corde sont aussi employés. Le collier le plus courant pour les femmes est une bande d’acier lisse, d’un centimètre et demi de haut, assez fine et légère qui s’adapte bien autour du cou et qui se verrouille à la nuque par une serrure à six pênes, chaque pêne gravé d’une des lettres du mot Kajira. Certains colliers peuvent être assez chers et ornés, plaqué d’argent ou d’or, voir fait uniquement de métaux précieux et décorés de pierres précieuses. Plus le collier d’une esclave est décoratif et cher, plus son maitre est riche et assuré que son esclave n’a aucun désir de s’enfuir. Les colliers pour les esclaves mâles et les forçats sont plus large, plus épais et beaucoup plus sommaires. Ils sont souvent rivetés. Tous les colliers sont munis d’au moins un anneau, parfois de plusieurs, et tous les colliers sont gravés du nom et de la ville du propriétaire de l’esclave (et parfois d’informations supplémentaires) ou munis d’une plaque métallique accrochée à l’anneau, qui mentionne nom et ville et infos du propriétaire. Si la marque d’esclave est impersonnelle, le collier est très personnel, et aucun goréen n’en néglige ni le sens, ni la sécurité, ni l’apparence.
Collier de maintien : brièvement décrit dans Magician of Gor et Prize of Gor, c’est un type de haut collier, principalement de cuir, prenant tout le cou de la kajira, et considéré comme un accessoire de luxe et de discipline. La kajira qui le porte ne peut baisser la tête et les mouvements de son cou sont restreints.
Collier de transport : épais et assez sommaire, il porte une large boucle devant et derrière, et se ferme par un loquet de côté, avec une articulation sur le côté opposé. Il est conçu pour enchainer les esclaves l’une à l’autre en file indienne pour le transport.
Collier de danse : c’est un collier de section ronde, fin, articulé sur le devant et fermé à la nuque, pourvu de plusieurs anneaux et d’un mousqueton devant. Il est prévu pour y fixer en général six chaines, qui seront tenus par les spectateurs assistant à la danse ou encore reliés à des entraves aux poignets ou aux chevilles, dans un but d’apparat de la danse.
Collier turien : il s’agit ni plus ni moins que d’un fi
Deux déesses très chaudes
Un gros cul et une plantureuse black
Un couple de black baise sur le canapé