Une esclave allemande se fait cravacher le corps

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Une esclave allemande se fait cravacher le corps
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Dans cette photo publiée le 6 mai 2004, Lynndie England tient en laisse un détenu nu dans la prison d'Abou Ghraib à Bagdad (AP/SIPA)
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erwittgeorges a posté le 31 août 2016 à 19h39
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billiejoe a posté le 30 août 2016 à 15h30
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zzz999 a posté le 30 août 2016 à 13h40
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victordu a posté le 29 août 2016 à 22h45
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bil4r a posté le 29 août 2016 à 11h42
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Pour la deuxiĂšme annĂ©e consĂ©cutive , "l'Obs" revient sur les photos qui ont marquĂ© l'histoire. À la une des journaux, dans les pages de nos livres scolaires ou arborĂ©es fiĂšrement sur nos t-shirts, elles ont fait le tour du monde. Mais connaissez-vous l'histoire secrĂšte de ces clichĂ©s mythiques ?
En avril 2004, le traitement des détenus à la prison d'Abou Ghraib, située à 20 km à l'ouest de Bagdad (Irak), choque le monde entier. Via des clichés pris en octobre, novembre et décembre 2003, on apprend que les prisonniers y sont physiquement et sexuellement abusés, torturés, violés et exécutés.
Construite dans les années 1960, la prison d'Abou Ghraib était un centre de torture et d'exécution sous le rÚgne de Saddam Hussein. Environ 4.000 détenus y sont morts. AprÚs sa chute en avril 2003, l'établissement est baptisé "centre correctionnel de Bagdad" par les Etats-Unis.
Parmi les photos de prisonniers maltraités par leurs geÎliers révélées au grand public, une en particulier marque les esprits. La scÚne se passe dans un couloir de prison sale, avec des feuilles de papier au sol et du tissu qui pend des portes grillagées. Le soldat Lynndie England tient un prisonnier en laisse. Le contraste est saisissant entre ces deux individus : une femme debout, un homme au sol. Elle est habillée et se tient bien droite sur ses deux jambes, il est nu et semble souffrir. La photo est d'autant plus dérangeante qu'elle évoque le registre sexuel. Lynndie England y apparaßt comme une dominatrice, une femme qui a réussi à mettre à terre un homme réduit à néant.
Le scandale d'Abou Ghraib commence à émerger à l'été 2003. Les premiers rapports d' Amnesty International font état de violations des droits de l'Homme à l'encontre de détenus. Dans un article du 23 juillet, l'ONG condamne l'armée américaine : 
En novembre 2003, l’agence de presse Associated Press publie un long article portant sur les traitements inhumains, la torture et les exĂ©cutions qui ont lieu dans la prison irakienne, tĂ©moignages d’anciens dĂ©tenus Ă  l’appui. Cela passe relativement inaperçu.
Ce qui va porter Abou Ghraib Ă  la connaissance du public, c’est l’émission "60 Minutes II" de CBS News, qui diffuse le 28 avril 2004 un court sujet dans lequel apparaissent de premiĂšres photographies. "Des AmĂ©ricains ont fait ça Ă  des prisonniers irakiens" : c'est avec cette phrase que s'ouvre le reportage, avec en fond, la silhouette d’un homme cagoulĂ©, perchĂ© sur un carton, des fils pendant de ses mains. On avait dit au prisonnier que s’il tombait de son estrade, il serait Ă©lectrocutĂ©. 
Comme le prĂ©cise Dan Rather, la plupart des photos montrent des militaires amĂ©ricains qui sourient devant l’objectif et qui font mĂȘme parfois le signe du pouce en l’air, comme Lynndie England (encore), devant un homme nu assis sur un autre homme nu.
Le 30, Seymour M. Hersch signe dans le " New Yorker" un article titré "Torture at Abu Ghraib" (torture à Abou Ghraib), abondamment illustré . A la suite de ces deux reportages, les photos de la prison d'Abou Ghraib sont reproduites dans les journaux du monde entier.
Un deuxiÚme sujet de "60 minutes", datant de début mai , montre encore davantage de photos, dont certaines sont recadrées. Dans celle de gauche ci-dessous, on voit Lynndie England sourire, une cigarette pendant de ses lÚvres alors qu'elle pointe du doigt les sexes de détenus masculins, nus et cagoulés. 
D'autres médias parviennent à obtenir encore d'autres preuves photographiques de la torture pratiquée à Abou Ghraib. C'est le cas du "Washington Post" qui publie en mai 2004 le fameux cliché à la laisse (retiré de l'article depuis, mais présent dans une chronologie postérieure ).
Comme l'explique le journal , le détenu au bout de la laisse était surnommé Gus et était à l'isolement. Son travail étant administratif, Lynndie England n'était pas autorisée à se rendre dans cette partie de la prison. Elle venait en fait rendre visite au caporal Charles Graner, son supérieur mais aussi son petit ami. C'est lui qui a l'idée de faire une photo avec une laisse.
L’administration de George W. Bush tente de faire passer ces abus pour des incidents isolĂ©s, Ă©manant de quelques "brebis galeuses". C e qui est contredit par les associations humanitaires, mais aussi par le "New Yorker". Dans l'article "The Gray Zone" (la zone grise), Seymour M. Hersh rĂ©vĂšle l'existence de "Copper Green", un programme de torture utilisĂ© en Afghanistan puis en Irak et approuvĂ© par le secrĂ©taire Ă  la DĂ©fense Donald Rumsfeld lui-mĂȘme. MĂȘme aprĂšs ces rĂ©vĂ©lations et les photos scandaleuses d'Abou Ghraib, la guerre en Irak n'a jamais Ă©tĂ© remise en cause. Seuls quelques militaires vont trinquer.
Lynndie England va servir de symbole. Il faut dire que la jeune femme apparaßt sur les photos les plus choquantes (la laisse, le pouce en l'air devant des sexes d'hommes) diffusées par la presse.
Rien dans son histoire ne laisse pourtant présager une inclinaison particuliÚre à la violence, comme le souligne Rue89 . Fille d'une famille pauvre qui vit dans une caravane au fin fond de la Virginie, elle n'a pas été battue ou abusée dans son enfance. Sa vie bascule quand elle rencontre Charles Graner, de quinze ans son aßné, en novembre 2002 sur la base des réservistes de la 372e compagnie de police militaire.
Selon une journaliste qui a rencontrĂ© Lynndie England, Graner est la figure mĂȘme du "bad boy", populaire et charismatique. Cet ancien gardien de prison a Ă©tĂ© accusĂ© d’avoir cachĂ© une lame de rasoir dans la purĂ©e d’un dĂ©tenu de la prison de Pennsylvanie. Son ex-femme a Ă©galement obtenu trois ordonnances de restriction contre lui pour violence domestique.
Quand elle accepte de partir en vacances avec lui à Virginia Beach (Virginie), Lynndie England ne sait pas tout ça. Certes elle est déjà mariée à un ami d'enfance, mais elle est folle de Charles Graner. Peu importe qu'il fasse des photos d'eux lors de leurs ébats sexuels. AprÚs cette escapade, le couple rend visite aux parents de Lynndie England. Quand on lui demande de montrer ses photos de vacances, Charles Graner tend une enveloppe qui contient les photos pornographiques . Par erreur ?
Lynndie England dans une photo de classe de 1999 au lycée Frankfort à Short Gap (Virginie-Occidentale) (CEDENO/SIPA).
La 372e compagnie est mutée à Abou Ghraib à l'automne 2003. Le nombre de détenus, qui était de 700 à l'été est monté à 7.000 sans augmentation significative des effectifs. Sur place, Charles Graner continue de prendre des photos, avec l'appareil qu'il a en permanence dans la poche. Ivan Frederick, qui est condamné à huit ans de prison, dira au procÚs :
Il faut croire que Graner ne peut pas attendre son retour. Il envoie à sa famille en Pennsylvanie l’image de Lynndie England tenant le dĂ©tenu en laisse. Son message transpire la fiertĂ© :
Lynndie England (Ă  droite) arrive au tribunal le 22 septembre 2005 Ă  Fort Hood (Texas) (TONY GUTIERREZ/AP/SIPA).
Onze militaires seront condamnés en cour martiale, dont Lynndie England, qui écope de trois ans de prison et qui est radiée de l'armée. Lors du verdict, le 26 septembre 2005, la jeune femme s'excuse d'avoir posé sur les photos, affirmant qu'elle avait été "manipulée" par Charles Graner. Elle reste en prison de 2005 à 2007, puis sort sous libération conditionnelle.
En octobre 2004, alors que le procĂšs est en cours, elle donne naissance Ă  Carter Allan, son fils avec Charles Graner. Ce dernier, qui va purger une peine de 10 ans de prison, ne reconnaĂźt pas l'enfant et se marie avec une autre femme. PrĂ©cisĂ©ment avec Megan Ambuhl, autre soldat passĂ©e elle aussi devant la cour martiale pour ses agissements Ă  Abou Ghraib. C'est pendant le procĂšs que Lynndie England apprendra que Graner frĂ©quentait les deux femmes en mĂȘme temps. Le site Salon sort une nouvelle sĂ©rie de photos en 2006 . Dans l'une d'elles, Megan Ambuhl est visible Ă  cĂŽtĂ© de Lynndie England et du dĂ©tenu tenu en laisse. Elle Ă©tait la seule de permanence avec Charles Graner ce soir-lĂ .
Megan Ambuhl, Lynndie England et un détenu tenu en laisse. 
Interviewée par le site The Daily en 2012 , Lynndie England raconte passer l'essentiel de son temps chez ses parents en Virginie occidentale, chez qui elle vit avec son fils. Elle n'arrive pas à trouver de travail, en raison de son casier judiciaire ou parce que ses employeurs potentiels découvrent rapidement son passé. L'ex-militaire dit n'éprouver aucune compassion pour ses victimes. "Leur vie est meilleure, ils s'en sortent mieux. Ils n'étaient pas innocents. Ils essaient de nous tuer et on voudrait que je leur présente des excuses ? C'est comme si l'on demandait pardon à l'ennemi", assure-t-elle.
Lynndie England Ă  Keyser (Virginie-Occidentale) le 17 juin 2009 (Vicki Smith/AP/SIPA).
Comme le note l'enseignant-chercheur en culture visuelle André Gunthert , la série de photos d'Abou Ghraib représente les " premiÚres images numériques à prendre place dans la série des plus célÚbres photographies de notre époque". Bien qu'elles soient digitales et amateur, "aucune contestation de la véracité des photographies ne sera jamais formulée".
Au contraire, les clichĂ©s deviennent des icĂŽnes, comme il le conçoit : "Les meilleures [photos] candidates Ă  la monumentalisation (l’homme Ă  la cagoule, l’homme Ă  la laisse, le prisonnier menacĂ© par les chiens) sont les images les plus simples, celles dont le sujet est facilement identifiable, sur un mode proche de l’emblĂšme (le martyr, le bourreau et la victime, le dĂ©nuement face Ă  la violence)".
La photo de l'homme cagoulé devient ainsi le symbole de la victime arabe anonyme, et plus largement, de l'absurdité de la guerre. Elle sera reprise par de nombreux militants anti-guerre dans le monde entier. La photo de Lynndie England tenant un détenu en laisse devint quant à elle le symbole du tortionnaire américain, qui cristallisera toutes les haines.
Quelques activistes protestent contre la guerre devant la Maison Blanche, le 26 septembre 2005 (FABIANO/SIPA).
L'artiste irakien Edine Sallat finit sa fresque, le 23 mai 2004 Ă  Bagdad (RAMZI HAIDAR / AFP).
Un couple iranien passe devant une fresque, à Téhéran le 1er juin 2004 (BEHROUZ MEHRI / AFP).
Des images d'Abou Ghraib collées sur des tombes avec des inscriptions vengeresses, dans un cimetiÚre de soldats britanniques à Gaza le 10 mai 2004 ( MOHAMMED ABED / AFP).
Billie Joe
Les "drones" d'AL QAIDA sur les tours jumelles américaines ont fait plus de 3000 "victimes collatérales" toutes civiles et innocentes ......
L'avantage des Etats-Unis est qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent dans le monde sans que personne ne leur dise quoi que ce soit! Et aujourd'hui, on s'étonne que certaines personnes ont la haine de l'occident? Et ça, sans compter les milliers ou millions de morts civils tués "courageusement" par des drones....pardon "dommages collatéraux".
Et il parait que les USA sont la premiÚre démocratie du monde, qui entend donner des leçons à tout le monde .....effarant !!! On ose imaginer ce que se serait dans le cas contraire !

L'iran (pas forcément un modÚle enviable non plus évidemment) qui qualifiait les USA de grand Satan avait bien raison !
c'est vrai que depuis un certain temps on ne voit plus rien sur les horreurs de DAESH dans les media europeens.... les DAESH sont peut etre en vacances....
insoutenable
Une bande d'usurpateur, aboliste,criminel, et sans rires, ce sont des fous, il pille des pays et ils debarquent pour ruiner l'image de l'homme sur terre, les crimes, et les usages de non droits
les guerres ne servent ils pas d'exemple pour Ă©radiquer les dictateurs et les despots, ne sont ils pas le reflet de l'erreur humaine, ?
les horreurs, ne sont pas indispensables... devant la hiérarchie? ou devant le monde
La démocratie, c'est la technologie " de table " qui vous l'apporte et non pas les hommes venues pour creer le scandale et mediatisé,
la democratie est un bout de l'histoire humaine, tant va la cruche a l'eau qu'a la fin elle se casse !
si elle avait etait " la democratie " elle y serait allez intelligement !
et en douceur... despot, criminel de guerre, vous abusez de votre droit et vous tomber dans le vice.
devant dieu, faite que cela ne se reproduisent plus jamais, repentir s'est s'en sortir.

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BEAUTÉ - À la cinquantaine, une femme se sent parfois invisible. Personne ne la regarde quand elle entre dans un cafĂ© ou un restaurant. Les gens qu’elle croise dans la rue semblent ne pas la voir, comme si elle n’existait pas. Si vous lui posez la question, elle vous dira que ces marques d’inattention lui ont fait perdre de l’assurance, parce qu’elles suggĂšrent que ses meilleures annĂ©es sont derriĂšre elle.
Nous vivons dans une sociĂ©tĂ© oĂč la jeunesse est souvent synonyme de beautĂ© et d’énergie. Au Huffington Post , nous souhaitons prendre le contre-pied de cette façon de voir les choses. Nous pensons que les femmes peuvent ĂȘtre intelligentes et audacieuses, belles et sĂ»res d’elles – et continuer Ă  influer sur le monde qui les entoure – Ă  50, 75 ou mĂȘme 100 ans!
Dans cette optique, Huff/Post50 a pris en photo 11 femmes trĂšs sexy, ĂągĂ©es de 48 Ă  67 ans. Des cĂ©libataires, des femmes mariĂ©es, des grand-mĂšres, des femmes qui se sont remises d’un cancer. Ce qu’elles ont en commun, c’est qu’elles n’ont pas la langue dans leur poche. Elles se sentent mieux aujourd’hui qu’elles ne l’ont jamais Ă©tĂ©. Nous leur avons demandĂ© de mettre une tenue dans laquelle elles se sentaient sexy, et de nous dire ce que ce mot Ă©voque pour elles aujourd’hui, par rapport Ă  ce qu’il reprĂ©sentait quand elles avaient la vingtaine. Le rĂ©sultat – garanti sans retouches – est tout simplement Ă©blouissant.
Sheryl Roberts, 48 ans – "Je sais que je suis idĂ©alement imparfaite, avec mes dĂ©fauts et mes qualitĂ©s."
"Quand j’avais la vingtaine, j’étais mannequin. Je n’avais pas confiance en moi, et je suivais l’avis des autres. Je n’avais pas d’identitĂ© propre. Je portais ce qui Ă©tait Ă  la mode, j’imitais les autres filles de mon Ăąge, et je faisais tout pour que l’on m’apprĂ©cie. Je n’avais aucune idĂ©e de ce dont j’étais capable, ou de ma sexualitĂ©. La plus grande diffĂ©rence entre celle que j’étais Ă  20 ans et celle que je suis aujourd’hui, Ă  48 ans, c’est que je me fiche totalement de ce que les gens pensent de moi. L’image que les autres ont de moi ne correspond pas Ă  ma rĂ©alitĂ©. Je n’ai pas envie de me fondre dans la masse. C’est d’ailleurs pour cela que je vends des objets vintage avec ma sociĂ©tĂ©, IndigoStyle Vintage, qui met l’accent sur l’expression d’un point de vue personnel. Je suis sexy parce que j’ai de l’assurance, je souris et je m’accepte telle que je suis. Je n’ai pas peur de dĂ©couvrir de nouvelles choses en moi, et je sais que je suis idĂ©alement imparfaite, avec mes dĂ©fauts et mes qualitĂ©s."
Anne Rosenberg, 59 ans – "Je suis trĂšs attirĂ©e, et inspirĂ©e, par mon cĂŽtĂ© sexy."
"Etant donnĂ© que je suis une enfant des annĂ©es 1960, j’aurais peut-ĂȘtre dĂ» ĂȘtre un peu plus, disons, hippie (...) mais personne ne m’a prĂ©venue! J’étais concentrĂ©e sur mes Ă©tudes et, le reste du temps, sur l’équitation et les travaux de la ferme. Ma tenue standard, c’était une chemise Ă  carreaux, une salopette et des bottes. J’avais le sentiment que la sexualitĂ© ne me concernait pas. J’étais 'dĂ©sexualisĂ©e' et je refusais de laisser mon dĂ©sir s’exprimer. Aujourd’hui, je rigole doucement en pensant qu’à vingt ans, quand ma sexualitĂ© n’aurait posĂ© de problĂšme Ă  personne, j’étais coincĂ©e. Et maintenant que la sociĂ©tĂ© est mal Ă  l’aise avec la sexualitĂ© des femmes mures, je m’épanouis! Je suis trĂšs attirĂ©e, et inspirĂ©e, par mon cĂŽtĂ© sexy. C’est extraordinaire."
Mary Ann Holand, 58 ans – "Personne ne dĂ©cide Ă  ma place de ce qui est sexy ou non chez moi."
"Je pense que les femmes n’apprĂ©cient vraiment leur beautĂ© et leur sensualitĂ© qu’à l’ñge mĂ»r. A la cinquantaine, je me sens bien plus sexy que quand j’avais 20 ans. A l’époque, je me comparais aux autres et aux critĂšres dictĂ©s par les magazines de mode et de beautĂ©. C’était trĂšs lourd Ă  porter! Avec l’ñge, on se sent plus sure de soi, et on a compris que l’organe le plus sexy de notre corps, c’est le cerveau! Personne ne dĂ©cide Ă  ma place de ce qui est sexy ou non chez moi. Le cheminement que j’ai suivi pour devenir celle que je suis aujourd’hui a modifiĂ© ma perception. Je suis une Ă©pouse, une mĂšre, une grand-mĂšre, et j’ai survĂ©cu Ă  un cancer (avec mastectomie). J’ai la chance d’avoir conscience de ma sensualitĂ© Ă  la cinquantaine, et je me rĂ©jouis des dĂ©cennies Ă  venir! Je suis enfin libre d’ĂȘtre moi-mĂȘme!!!"
Shannon Bradley-Colleary, 50 ans – "Je dis ‘oui’ plus facilement."
"Je me suis rendu compte que, depuis que j’ai passĂ© le cap de la cinquantaine, je dis ‘oui’ plus facilement. Du coup, je me sens belle, pleine de vie et sexy. 'Tu veux faire du bĂ©nĂ©volat dans un camp de rĂ©fugiĂ©s syriens Ă  Lesbos?' Oui. 'Tu veux prendre un cours d’initiation au pole dancing?' Oui. 'Tu veux un rendez-vous arrangĂ© avec ton mari oĂč vous faites semblant de vous rencontrer pour la premiĂšre fois?' Dites-moi oĂč je dois signer! A la vingtaine, j’avais peur de ne pas ĂȘtre assez intelligente, sexy et de ne pas ĂȘtre suffisamment bien foutue pour dire 'oui' Ă  tout ce que je voulais essayer (je me disais aussi que je pourrais faire mieux niveau orgasmes, parce que je me donnais autour de 11/20 de ce cĂŽtĂ©-lĂ ). A 50 ans, je n’ai plus de temps Ă  perdre avec ces bĂȘtises. Je prends un peu les choses comme elles viennent. 'Tu veux bien te regarder dans le miroir et aimer ce que tu y vois aujourd’hui?’ Oui. Et merci."
Barbara Rabin, 67 ans – "Surmonter ces Ă©preuves m’a rendu beaucoup plus forte. Une force qui me rend plus sexy."
"Être sexy, c’est avoir confiance en soi. Etre bien dans sa peau. Se regarder dans la glace et aimer ce que l’on voit. Quelqu’un m’a dit un jour que les cheveux longs, c’était pour les femmes jeunes. Et la plupart des femmes de mon Ăąge ont les cheveux courts. Moi, j
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