Une entente entre deux filles

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Une entente entre deux filles
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Marianne Morizot




Journaliste spĂ©cialisĂ©e en tourisme/gastronomie/bien-ĂȘtre/parental





Publié le 27/09/2018 à 22h11
, mis à jour le 07/09/2020 à 16h26



Sommaire


Les causes des disputes entre les enfants


Chamaillerie, dispute ou véritable conflit dans la fratrie ?


Comment gérer les conflits ?


10 réflexes pour anticiper et bien gérer les disputes dans la fratrie


Quand les conflits sont quotidiens : que faire ?


Les erreurs Ă  Ă©viter en tant que parents



Il faut parler de tout avec les enfants


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Sources
Interview de Catherine Pierrat, psychologue à Nice, spécialisée dans l'accompagnement des familles (couples, enfants...) http://www.psychologue-nice.org/


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En tant que parents, vous ĂȘtes forcĂ©ment confrontĂ©s aux disputes de vos enfants. Si elles ne sont pas graves tant qu’elles ne dĂ©gĂ©nĂšrent pas en vĂ©ritable conflit, il faut toutefois savoir les gĂ©rer sans prendre parti. Comment faire la diffĂ©rence entre simple chamaillerie et conflit latent ? Comment rĂ©agir ? Quand faut-il s’inquiĂ©ter ? Faisons le point avec Catherine Pierrat, psychologue.

Rassurez-vous, les disputes entre frĂšres et sƓurs, mĂȘme si elles sont parfois difficiles Ă  supporter pour les parents, sont tout Ă  fait normales et mĂȘme utiles . Et pour cause : elles permettent aux enfants de se diffĂ©rencier, de s’affirmer et de " dĂ©fendre leur territoire " . Bref, de se construire. L’essentiel, pour bien rĂ©agir, Ă©tant d’analyser les causes et de diffĂ©rencier les diffĂ©rents "degrĂ©s" dans les disputes.
Dans un premier temps, il est important de comprendre les raisons des disputes dans la fratrie. Elles sont souvent diverses, mais la rivalitĂ© et la jalousie entre frĂšres et sƓurs sont les causes les plus frĂ©quentes de dispute. CĂŽtĂ© psy, cette rivalitĂ© entre frĂšres et sƓurs s'explique par l'ambivalence des sentiments qu'ils Ă©prouvent les uns pour les autres : Ă  la fois unis contre les adultes et rivaux face Ă  l’amour de leurs parents.
Avant d’intervenir concrĂštement en tant que parents, il faut pouvoir jauger la situation : s’agit-il de simples chamailleries, de disputes ou de vĂ©ritables conflits rĂ©pĂ©tĂ©s et/ou violents ? En effet, selon le cas, les interventions Ă  mettre en place seront diffĂ©rentes : 
Maintenant que vous savez Ă  quel degrĂ© de dĂ©saccord vous ĂȘtes confrontĂ©s avec vos enfants, il faudra apporter la "juste" rĂ©ponse pour dĂ©samorcer le problĂšme : 
Conseil de pro : Il est important de ne pas gĂ©rer la dispute ou le conflit en recherchant "la faute Ă  qui ?", sinon le risque est d’assister Ă  une partie de "ping-pong" entre les enfants qui ne feront que se rejeter la faute. Mieux vaut se focaliser sur la recherche de solutions qui permettra d’avancer et de dĂ©passer le conflit.
Lorsque l’ambiance familiale devient invivable et que les conflits sont permanents, accompagnĂ©s de cris, de violence verbale, voire physique, n’hĂ©sitez pas Ă  consulter votre pĂ©diatre ou votre mĂ©decin traitant . Il vous orientera vers un professionnel de santĂ© spĂ©cialisĂ©. Dans ce cas, il est recommandĂ© de consulter en famille , afin de travailler sur l’ensemble de la dynamique familiale.
En clair, il s’agira de dĂ©terminer l’origine du problĂšme en laissant chaque membre de la famille exprimer son ressenti, ses douleurs, ses peurs et ses angoisses. Souvent, le simple fait d’exposer Ă  un professionnel ce qu’il se passe permet souvent de dĂ©samorcer et rĂ©soudre les conflits.
Ensuite, il peut y avoir tout un travail de mise en place de solutions concrĂštes et pratiques Ă  la maison , selon les situations (Ă©crire ce qui ne va pas, s’isoler quand la tension monte, faire un dessin...). Dans des cas assez rares, une difficultĂ© psychologique d’un des membres de la famille (enfant, mais aussi parent) peut Ă©merger. Un travail individuel avec celui-ci doit alors ĂȘtre envisagĂ©.
Sachez que l’entente entre les enfants/ados ne prĂ©sume pas de l’avenir des relations des frĂšres et sƓurs Ă  l’ñge adulte , sauf si ces conflits ont des origines profondes et/ou plus ou moins entretenues par l’entourage et particuliĂšrement les parents. Il est Ă©vident que des parents qui favorisent un enfant dans la fratrie durant l’enfance et continuent dans ce sens ne peuvent qu’entretenir les difficultĂ©s relationnelles familiales. D’oĂč l’importance d’analyser et de rĂ©soudre les problĂšmes pendant l’enfance avec l’aide d’un tiers, si la situation conflictuelle persiste.
En conclusion, il est important d’accepter que la mise en place de la fraternitĂ© dans une famille ne puisse se rĂ©aliser que si des expĂ©riences de conflits ont pu ĂȘtre vĂ©cues et rĂ©solues pour apprendre petit Ă  petit Ă  vivre ensemble en respectant chacune et chacun dans ses spĂ©cificitĂ©s , sa place, ses points forts et ses points faibles. Cet apprentissage familial est d’autant plus nĂ©cessaire qu’il prĂ©pare Ă©galement Ă  la vie professionnelle et sociale.

Diapo : 10 idĂ©es reçues sur l’éducation

Que ce soit sur la tĂ©tine, la fessĂ©e, la communication avec un ado ou bien encore la prise des repas, les idĂ©es reçues sur l’éducation ne manquent pas ! Que faut-il en penser ? Comment rĂ©agir face aux diverses situations ? LĂ©a Ifergan-Rey, psychologue Ă  Paris, nous apporte son Ă©clairage.
Notre dossier pour en savoir plus :
Le bĂ©bĂ© n’est pas capricieux Ă  sa naissance. C’est gĂ©nĂ©ralement vers 18-24 mois au moment de la crise des 2 ans que l’enfant entre dans la pĂ©riode d’opposition . " De cette maniĂšre, l’enfant signifie qu’il existe comme diffĂ©rent de ses parents, avec ses dĂ©sirs propres. Il cherche donc Ă  affirmer sa personnalitĂ© notamment en exprimant son dĂ©saccord. Cela passe parfois par piquer des colĂšres et faire des caprices. Attention toutefois : ce n’est pas parce que votre enfant est dans la pĂ©riode d’opposition qu’il faut le laisser faire des colĂšres ! Si l’enfant est plus susceptible d’en faire Ă  cet Ăąge-lĂ , cela ne les justifie pas ", prĂ©cise LĂ©a Ifergan-Rey, psychologue.
Avant cet Ăąge, " un bĂ©bĂ© n’a pas les ressources internes pour faire face Ă  ce qui le met mal : la faim, le froid, la soif, la douleur
 Il est dĂ©muni face Ă  sa dĂ©tresse. Son seul moyen de s’exprimer, ce sont les pleurs. L’affection que le parent lui tĂ©moigne en le berçant, dans ses bras, en le cĂąlinant, contribue Ă  le rassurer. Ce plein d’amour lui permettra petit Ă  petit de faire face Ă  ses angoisses et d’ĂȘtre moins inquiet ", explique LĂ©a Ifergan-Rey. Il ne faut donc pas laisser un bĂ©bĂ© pleurer de peur d’en faire un capricieux mais plutĂŽt rĂ©pondre Ă  son appel pour le soulager.
Enfin, " il faut bien distinguer le pleur de 17-19h qui a pour vocation de se dĂ©tendre, d’expulser un peu de nervositĂ© de la journĂ©e, les babillements au moment du coucher et les pleurs liĂ©s au malaise profond, Ă  quelque chose qui ne va pas ", ajoute la spĂ©cialiste.
Certains parents ont tendance Ă  croire qu’il faut stimuler constamment son enfant pour lui garantir une Ă©ducation riche et variĂ©e. S’enchainent alors les cours de sport, de musique, les sorties au cinĂ©ma
 L’emploi du temps de l’enfant ressemble alors Ă  celui d’un ministre. Tout cela pour fuir l’ennui, la passivitĂ©. " Trop de stimulation empĂȘche l’imagination. L’ennui est une bonne chose. Laisser du temps Ă  un enfant sans lui proposer d’activitĂ© particuliĂšre, c’est lui donner la capacitĂ© de rĂȘver, d’imaginer, de trouver des occupations par ses propres moyens. Ne rien faire, c’est aussi savoir se poser, ĂȘtre apaisĂ© ", analyse LĂ©a Ifergan-Rey.
L’enfant, comme l’adolescent, a besoin d’un jardin secret. " Il construit sa personnalitĂ© et il s’autonomise. Il ne faut pas se vexer de cette sĂ©paration ", prĂ©cise la spĂ©cialiste. Pour autant, cette prise de distance n’est pas forcĂ©ment synonyme de rupture de communication. " Beaucoup d’adolescents parlent avec leurs parents. Cela dĂ©pend de la qualitĂ© de la relation et de la façon dont on accueille la parole. Si un parent est dans le reproche, la rĂ©primande ou l’agressivitĂ© dĂšs que son ado ouvre la bouche, celui-ci n’aura plus envie de se confier, de lui parler de sa vie. Et demandez-vous si vous parlez Ă  votre ado
 en dehors de la question de ses notes ! ", interpelle la psychologue. La communication est donc possible et plus que jamais nĂ©cessaire dans l’éducation de son enfant, y compris Ă  l’adolescence.
VoilĂ  une phrase que vous avez sĂ»rement dĂ©jĂ  entendu
 Les parents qui y ont recours ne pensent pas mal faire. Mais LĂ©a Ifergan-Rey prĂ©vient : " Il faut Ă©viter au maximum de donner une fessĂ©e Ă  son enfant. Si on lui demande de ne pas taper les autres, de retenir son agressivitĂ©, c’est difficile d’ĂȘtre crĂ©dible en le tapant. Cela nuit Ă  l’éducation que vous souhaitez lui donner. Les adultes sont plus Ă  mĂȘmes de maĂźtriser leurs Ă©motions et leurs gestes. Les parents disent qu’ils recourent Ă  la fessĂ©e parce qu'ils sont dĂ©passĂ©s et ne savent pas comment se faire Ă©couter autrement. Il faut limiter l’enfant en amont, avant que la situation ne soit devenue incontrĂŽlable, notamment en l’excluant dans sa chambre. Projetons-nous dans le futur : les parents n’ont sĂ»rement pas envie que, plus tard, leur enfant accepte de se faire taper par qui que ce soit : ses camarades, son conjoint
 Il faut apprendre Ă  son enfant Ă  ĂȘtre respectĂ©, Ă  ne permettre Ă  quiconque de lui faire du mal ". Un apprentissage qui passe par l’exemple. 
On entend parfois dire que les enfants doivent apprendre Ă  s’endormir seuls au risque de solliciter tout le temps leurs parents. Pourtant, les adultes peuvent aider leurs enfants Ă  trouver le sommeil de maniĂšre plus sereine. La solution ? Le rituel du coucher, la sĂ©curitĂ© affective et l’object-presenting . Cela sĂ©curise l’enfant. " Rien ne plaĂźt tant au bĂ©bĂ© que la ritualitĂ© du rythme quotidien ". Instaurez des rituels comme l’histoire, le doudou, le bisou des parents
 et minimisez les surprises. Entourez-le de beaucoup de tendresse. Et enfin, l’énorme facteur qui favorise le sommeil, c’est de lui prĂ©senter la mise au lit comme un Ă©vĂšnement extraordinairement joyeux. En le couchant, n’hĂ©sitez pas Ă  garder le sourire, tout en lui indiquant de façon trĂšs enthousiaste le programme qui se prĂ©pare : " C’est l’heure de faire dodo, tu vas faire plein de beaux rĂȘves, quelle chance ! Ne formulez surtout pas des peurs Ă  sa place ", commente LĂ©a Ifergan-Rey. Ces rituels, par leur rĂ©gularitĂ© et leur lĂ©gĂšretĂ©, rendent la sĂ©paration nocturne plus banale et facile Ă  accepter.
Tous les enfants ne sont pas Ă©gaux en la matiĂšre. Le caractĂšre de l’enfant importe beaucoup. Certains sont assez timorĂ©s et prĂ©fĂšrent rester dans leur coin. D’autres, plus Ă  l’aise, recherchent la compagnie. Mais ce n’est pas tout. " La sociabilitĂ© dĂ©pend aussi de ce qu’encouragent les parents. S’ils sont eux-mĂȘmes isolĂ©s socialement, qu’ils n’ont pas beaucoup d’amis, qu’ils ne reçoivent pas, il peut ĂȘtre plus difficile pour l’enfant d’acquĂ©rir les codes sociaux ", prĂ©vient la psychologue.
La vie en collectivitĂ© incite l’enfant Ă  prendre sa place dans un groupe. Ceux qui sont gardĂ©s en crĂšche, par exemple, sont amenĂ©s Ă  cĂŽtoyer d’autres petits et Ă  entrer en contact avec eux. Vous souhaitez dĂ©velopper la sociabilitĂ© de votre enfant ? Emmenez-le au parc, Ă  la ludothĂšque
 des lieux publics dans lesquels il frĂ©quentera d’autres petits. Si l’enfant est timide, le parent peut l’accompagner pour l’aider Ă  faire le premier pas vers d’autres enfants " Je te prĂ©sente Edgar, il a 4 ans, il a amenĂ© un seau et une pelle aujourd'hui. Est-ce que tu voudrais jouer avec lui ?" ou laisser son enfant le dire tout en restant Ă  ses cĂŽtĂ©s pour le rassurer. L’enfant sent que son parent est bienveillant, ce qui encourage sa socialisation.
La tĂ©tine est souvent pointĂ©e du doigt. Pourtant, la succion est un rĂ©flexe chez le bĂ©bĂ©. " L’excitation de la zone Ă©rogĂšne de la bouche provoque un effet calmant indubitable ", explique LĂ©a Ifergan-Rey. La succion sĂ©crĂšte des endomorphines, hormones du bien-ĂȘtre, qui apaisent bĂ©bĂ©. S’il ressent ce besoin, autant satisfaire son dĂ©sir en lui donnant la tĂ©tine.
Ne vous inquiĂ©tez pas, la plupart des enfants finissent par arrĂȘter la tĂ©tine en maternelle. " Pour l’aider, limitez son utilisation Ă  la nuit et la sieste. Au fur et Ă  mesure, incitez votre enfant Ă  exprimer ce qu’il ressent par des mots, des dessins plutĂŽt qu’en suçant sa tĂ©tine ", conseille la psychologue.
" Cela dĂ©pend de la situation. S’il s’agit d’une mĂšre cĂ©libataire qui veut combler la place vide d’un adulte, cela met l’enfant dans une posture trĂšs dĂ©licate et oui la sĂ©paration risquera d’ĂȘtre difficile. Mais s’il s’agit d’avoir un lit de co-sleepling accolĂ© au sien pour faciliter l’allaitement des premiĂšres semaines, alors il n’y a pas de problĂšme de sĂ©paration Ă  craindre. Il s’agit plus de trouver une solution confortable pour la maman et le bĂ©bĂ©. Il en va de mĂȘme lorsque l’enfant est trĂšs malade ", souligne LĂ©a Ifergan-Rey.
En revanche, hors de question de laisser dormir un enfant en plein complexe d’ƒdipe entre ses parents. En effet, vers 3-5 ans, la petite fille cherche Ă  prendre la place de sa mĂšre et le petit garçon celle de son pĂšre. " Dormir avec ses enfants Ă  ce moment-lĂ  ne ferait que cautionner ces fantasmes inconscients de sĂ©duction vis-Ă -vis du parent de sexe opposĂ©. Et puis, le lit des parents leur appartient. Il n’est pas souhaitable pour la vie de couple que l’enfant le partage, au-delĂ  de la simple question de la sĂ©paration ", prĂ©cise la psychologue.
Quel parent ne s’est pas retrouvĂ© face Ă  son enfant boudant son assiette ? Quelle attitude adopter alors ? Beaucoup insistent pour que l’enfant termine son repas. LĂ©a Ifergan-Rey propose de ne pas " remplacer le contenu de l’assiette par autre chose, donner des frites Ă  la place des courgettes par exemple. Il faut faire patienter l’enfant jusqu’au dessert pour qu’il mange au mĂȘme rythme que le reste de la famille. LĂ , il pourra prendre un dessert, mais pas deux. S’il ne termine pas son assiette, ne vous inquiĂ©tez pas. Un enfant ne se laisse pas mourir de faim. Peut-ĂȘtre mangera-t-il plus au dĂźner. La prochaine fois, rĂ©duisez les quantitĂ©s. Mieux vaut qu’il en redemande plutĂŽt qu’il n’arrive pas Ă  finir son assiette. PrĂ©sentez le plat de maniĂšre ludique ou avec des Ă©pices lĂ©gĂšres comme le paprika, le cumin. Dans tous les cas, pour Ă©viter que les repas ne deviennent sources de conflit, n’en faites pas tout un plat ! ".
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