Une dominatrice prend le contrôle

Une dominatrice prend le contrôle




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Je me rhabille et je quitte mon travail en voiture. Je n’ai pas envie de rentrer. En fait, je repense à toutes les gâteries que Flo, mon ex, une femme dominante, m’a offerte en voiture. Aussi, je me remets à bander. Je décide de me garer et de me caresser comme voulu par FLO.
Ensuite, je lui envoie le second sms dans lequel je lui raconte être en voiture. J’ajoute qu’elle hante mes pensées et que je ne pense qu’à jouir mais que j’ai réussi à résister à la tentation.
Ensuite, je me calme, enfin j’essaie, et je redémarre.
Sur la route, je m’arrête à un feu rouge. Une jeune femme blonde en talon aiguille traverse, tourne la tête, me regarde, se dirige vers la porte de ma voiture. Il s’agit de ma collègue responsable de la réception. Je m’amuse, très souvent à flirter avec cette charmante collègue, toujours très féminine et en talon aiguille. Il s’agit juste d’un jeu où nous nous « titillons » mutuellement.
Elle aime plaire et connaît mon penchant pour les talons aiguilles. Ainsi, elle ne manque pas de m’y faire penser dès qu’elle le peut.
Donc je descends la vitre, elle me salue :
-oui et toi que fais tu à cette heure ?
-j’avais envie de sortir un peu, je suis en congé demain.
-oui, c’est sympa de sortir en célibataire de temps en temps (avec un clin d’œil)
-oui j’allais rentrer mais maintenant que tu es là, on peut aller boire un verre si tu as envie de me tenir compagnie.
-pourquoi pas montes et dis moi où tu as envie d’aller.
Elle fait le tour de la voiture puis ouvre la porte. Je tourne la tête et regarde ses jambes, enfin surtout ses talons entrer dans la voiture. Déjà que je suis assez excité, ce n’est pas cette vision qui va me calmer !
Elle s’assoit, se penche vers moi et m’embrasse la joue puis elle me dit à l’oreille doucement, alors que nous sommes seuls :
-je vois que tu aimes toujours mes chaussures !
-oui toujours mais tu le sais bien et elles te vont vraiment bien
-merci ! c’est très agréable d’être regardé ainsi !
– à cette heure plus trop de choix soit le QG, soit l’hôtel ?
En me regardant dans les yeux puis en riant, elle ajoute :
Avec un clin d’œil, elle pose son pied (en talon) sur le tableau de bord.
-Céline (sur un ton faussement surpris) ! ok mais attention je ne suis qu’un homme !
Elle pose sa main sur ma cuisse et me dis ok. Ensuite, elle enlève son pied et sa main puis passe ses ongles sur ma cuisse. Je roule vers le dernier bar ouvert et je me rends compte que Céline a un peu bu ce soir, d’où son comportement !
Nous arrivons, je me gare et en galant homme, je vais ouvrir la porte de Céline qui me fait le plaisir de prendre ma main pour sortir de la voiture de façon très sensuelle. Je n’en manque pas une miette.
Nous entrons dans le bar où il y a peu de monde puis je lui demande où elle veut s’installer. Elle se dirige vers le fond de la salle sur une table ronde qui fait l’angle avec une banquette en arc de cercle.
Nous nous asseyons à coté l’un de l’autre. Ensuite, nous commandons des mojitos et discutons comme à notre habitude. Céline me parle de son couple qui ne va pas fort. Je ne peux m’empêcher de loucher sur sa poitrine. Elle le voit bien et se redresse comme pour me défier de son buste et enchaine en me demandant si j’aime sa tenue.
Je lui dis qu’elle est très belle ce soir. Sa robe la met encore plus en valeur que les tailleurs qu’elle porte au travail. Surtout, sa poitrine est bien mise en avant. J’ajoute que j’adore ses chaussures mais elle le sait déjà. Elle a de superbes jambes gainées de noir. Je me demande si elle porte des collants ou bien des bas avec porte jarretelle.
Elle me sourit et me dit que c’est très gentil. Je la vois remonter doucement sa robe et me faire voir le haut de ses bas.
-arrête je te rappelle que je ne suis qu’un homme
Elle se penche vers moi et me dit au creux de l’oreille :
-oui et un homme qui aime les femmes !
Ensuite, elle se redresse et ajoute :
-donc tu ne veux pas savoir si ils sont auto fixants ou avec des portes jarretelles? Ni de savoir si j’ai autre chose en dessous?
Et là, elle croise les jambes en laissant son tibia toucher le mien. Je fais mon possible pour lui cacher mon état et la bosse de mon entre jambe qui commence à surement être bien visible.
Nous continuons à discuter mais elle fait des insinuations sur un bon massage et commence à parler de jeux et de pratiques sexuelles.
Elle me dit ce qu’elle aime avec un homme et ce qu’elle aime faire et que l’on lui fasse
Je suis de plus en plus chaud ! Elle me demande quels sont mes envies et fantasmes.
Je commence à répondre alors que mon téléphone posé sur la table, vibre.
Elle l‘attrape et lit le résumé du message, qui s’affiche, à haute voix :
« de Florence : tu obéis c’est bien, je viens … »
Et c’est tout, je tente de lui prendre le téléphone et je l’enlace pour l’attraper. Elle ne veut pas me le rendre et me demande ;
-qui est cette Florence à qui tu obéis? c’est pas ta copine?
Je veux connaitre la suite du message !
En disant cela, elle me pose la main sur le haut de ma cuisse. A ce moment là, je me dis qu’elle ne peux pas ne pas avoir sentir mon érection. Ainsi, elle laisse sa main et la bouge doucement puis elle serre mon sexe et me dit :
-ha oui tu es un homme ! mon cochon ! Allez montre moi le message !
Je cède et lui ouvre mon téléphone.
Le message est le suivant :
« tu obéis c’est bien, je viens de me réveiller et de lire les deux messages. Je suis heureuse de te faire cet effet et que tu te sois caressé sans jouir. Je ne sais pas si tu dors mais j’espère que tu va recommencer encore avant de dormir ! N’oublie pas de me tenir au courant !
Céline me tend mon téléphone et me sourit.
-hé bien mon coquin il va falloir que tu m’expliques ça !
Elle continue de me caresser le sexe avec ses ongles
-mais réponds lui que tu es dans un bar et pas seul !
« heureux de te faire plaisir, je ne dors pas encore. Je suis dans un bar avec une collègue. »
Je commence à tout expliquer à Céline que ça a l’air d’amuser. Elle me dit :
-alors comme ça tu as interdiction de jouir? tu es sûr?
Je lui réponds oui et un nouveau message sms arrive :
« avec une collègue tu es sûr ? ou une Maîtresse ?
Je réponds que non et qu’il s’agit juste d’une collègue.
Céline regarde les messages et rit :
-oui juste une collègue qui joue avec ton sexe !
Ensuite, Céline veut des détails. Aussi, je lui montre les échanges de sms et lui dit tout sans rien cacher. En même temps, cela m’excite d’en parler avec elle. Ensuite, elle me demande :
-donc si je t’attache je fais ce que je veux de toi?
Elle laisse mon sexe et se met à lécher mon lobe d’oreille. Ensuite, elle me chuchote :
« décris moi ta collègue et ce que vous faite et vite ! »
Je lui décris, avec honnêteté, son physique, sa tenue, son attitude et ses gestes et je lui dis qu’elle est au courant et que ça a l’air de l’amuser.
Flo me répond qu’à sa place, elle jouerait avec moi aussi et qu’elle me rendrait fou ce qui ne devrait pas être difficile vu son physique. Elle ajoute que comme par hasard ma collègue est un canon sexy.
Elle sait que Céline regarde tous ses messages.
Lorsque Céline va au toilette, je demande à Flo si la situation la gène. Elle me répond que cela ne la gène pas tant que je ne jouis pas. Ensuite, elle ajoute que si Céline veut, je peux lui passait son numéro de téléphone.
Céline revient s’assoir, me prend la main et me donne un morceau de tissu.
Elle me dit :
-maintenant autant que tu le saches, je suis en porte jarretelle et sans string. Dommage d’avoir choisi le bar et non l’hôtel !
Je lui demande si elle est sérieuse vu que je sais qu’elle n’a jamais trompé son mari. Elle me dit que oui mais que notre complicité depuis des mois et l’idée de m’attacher l’ont fait réfléchir. Ensuite, elle pose son doigt sur mes lèvres que je m’empresse d’ouvrir pour le sucer
Je propose de lui donner le numéro de téléphone de Flo et elle accepte avec joie.
Ensuite, elle lui envoie un sms de suite.
La réponse arrive rapidement, elle me tend son téléphone. Je lis le message suivant :
« il est a toi ce soir mais il n’a pas le droit de jouir si il désobéit, il sera puni ! »
Elle pose sa main sur mon sexe et me dit :
-bien toujours en forme, on bouge !
Nous nous levons et allons à la voiture. Ensuite elle me dit :
-démarre et trouve un coin tranquille !
Pendant que je roule, elle me lèche, me mord l’oreille puis déboutonne mon pantalon. Son téléphone vibre. Un nouveau message vient d’arriver :
« au fait, il lèche vraiment bien ! bonne nuit ! »
-hummm ! je ne vais pas là croire sur parole !
Voilà un petit bois, je me gare, je sors de la voiture et je vais ouvrir la porte. Elle reste assise, m’enlève ma ceinture et la passe autour de mon cou comme une laisse. Ensuite, elle fait descendre ma tète entre ses jambes. Je la lèche, mords son clito puis je l’aspire.
Elle soupire de plaisir, appuie sur ma tète puis me relève et nous sortons de la voiture.
Elle descend mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles.
– Suis moi ! : me dit elle en tirant sur la laisse.
Nous arrivons vers une table en bois pour les pique-niques. Elle me demande de m’allonger sur le dos dessus. Ensuite, elle passe la main sur mon sexe et dit :
-c’est bien tu bandes dur pour moi ! j’aime !
Elle enlève un escarpin, le pose sur mon torse puis elle enlève un bas et m’attache une main à la table avec puis l’autre. Ensuite, elle m’embrasse, ouvre ma chemise et griffe mon corps des chevilles à la gorge.
Je suis fou, totalement fou de désir !
Elle me mord les tétons, le ventre et pose sa langue sur mon gland. Je lui dis que non car je vais jouir. Elle arrête, me regarde et rit.
Ensuite, elle vient vers mon visage et s’assoie sur ma bouche.
Et là, je me donne comme un fou pour faire jouir cette femme superbe avec ma langue ma bouche. Elle prend son pied et jouit deux fois puis se relève et me prend en photographie avant de jouer avec mon sexe.
Je bande comme un fou.
Elle me détache, met les bas dans ma bouche et dit :
-allez on rentre c’est tout pour ce soir !
Sur le retour, elle me branle jusqu’à l’extase et arrête chaque fois avant que je ne jouisse !
Nous arrivons à sa voiture. Elle reprend ses bas et me dit qu’elle espère qu’il ne s’agisse que d’un début. Ensuite, elle ajoute qu’à partir de maintenant, elle ne mettra plus de collant mais que des bas et pas toujours de culotte !
-penses y quand tu me verras au travail….Je ne te fais pas jouir cette fois comme ça tu ne sera pas puni.
J’admire sa démarche sensuelle. Ensuite, j’envoie un sms à Flo :
« malgré les efforts de Céline, j’ai obéis mais que c‘est dur !
Je démarre et je rentre à la maison.


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80cm environ, c’est la hauteur depuis laquelle j’ai toujours vu son appartement. La nuit, il m’arrive parfois de continuer de le voir en rêve. C’était comme si la prison avait aussi construit ses barreaux dans mon subconscient. L’appartement m’apparaît alors très grand, comme dans des souvenirs d’enfance. Ma Maîtresse dominatrice ne m’a jamais autorisé à le parcourir autrement qu’à quatre pattes. Hormis les fois où elle me fit mettre à genoux, je ne l’ai jamais vu plus haut que depuis ces quatre-vingt centimètres qui séparaient mes yeux du parquet.
Les jambes de ma Maîtresse dominatrice m’ont elles aussi semblé toujours tellement hautes, à moi qui mesurais normalement un mètre quatre-vingt sept et qui ai toujours eu la possibilité de surplomber le monde. Le jour où elle me passa le collier pour la première fois, je me rappelle que je tremblais de tout mon être. Peut-être par instinct, elle me passa, alors, une cagoule sur la tête. Je me souviendrai toujours de l’odeur du cuir qui s’engouffra intensément dans mes narines à ce moment précis. Je n’ai encore jamais pu déterminer s’il s’agissait d’un acte pervers ou de bienveillance de sa part. Ainsi plongé dans le noir, je n’eus en tout cas plus peur de la voir d’en-dessous et mes tremblements cessèrent.
Ce jour, elle me fit don d’un nouveau visage. Parce qu’elle était serrée et que je transpirais beaucoup sous l’effet de la chaleur et de l’humidité de ma respiration conjuguée, la cagoule me moulait tout entier, comme une nouvelle peau. Ma Maîtresse dominatrice en contrôlait les ouvertures à l’aide de tirettes situées au niveau de chacun de mes yeux et de ma bouche. Par une chaine reliée à mon collier, elle me tira fortement à travers son appartement, m’arrêta, ouvrit les tirettes de mes yeux et me fit me regarder dans un miroir :
-à partir de maintenant, voilà quel sera ton nouveau visage, je serai seule autorisée à toucher cette cagoule que tu devras dorénavant considérée comme faisant partie de moi.
Ces mots dits, ce fut le moment qu’elle choisit pour me passer les chaînes aux pieds et aux mains. Elles furent reliées entre elles de telle sorte que je ne pouvais plus me maintenir qu’à quatre pattes. Il m’était difficile de lever les mains sans avoir à bouger les pieds vers l’avant. Mon nouveau visage devenait inaccessible au toucher de mes mains. Elle disait donc vrai. A partir de ce moment, elle seule pourrait décider quand je verrais la lumière du jour, quand je pourrais boire, manger, et même m’exprimer.
Je dévisageai mon nouveau visage dans le miroir, un tissu de cuir noir inexpressif, une tirette fermée en guise de bouche, les pupilles de mes yeux à peine visibles dans l’interstice des deux tirettes ouvertes. Je pourrais rire, pleurer, crier, chanter, plus personne ne serait en mesure de me voir ou de m’entendre. Ainsi, je serais maintenant réduit à un visage impassible et silencieux, une personnalité enfouie, disparue.
Alors, dans une sorte de sursaut, comme pour me rattacher peut-être à quelque chose de libre, j’éprouvai soudain le désir impulsif de me toucher le sexe. Dans le miroir, je vis ma Maîtresse s’éloigner derrière et revenir quelques secondes plus tard. Elle écarta mes mains, posa quelque chose sur mon sexe et se redressa. Je vis une petite clé briller autour de son coup, qu’elle se passa en guise de pendentif. Sous mes doigts, je sentis mon sexe cerclé de barreaux.
Au moment où j’aperçus encore ma Maîtresse dominatrice, elle était penchée derrière moi. Je sentis quelque chose de frais et de légèrement mouillé glisser sur mes fesses puis une douleur vive, comme une piqûre entre mes fesses, suivie d’un fugace instant de plaisir qui me donna envie de bander sans que je ne puisse y parvenir. Soudain, j’entendis la chaîne de mon coup glisser sur le parquet. Ensuite, je vis ma Maîtresse l’enrouler et la cadenasser sur le gros tuyau du radiateur.
Nos regards se croisèrent, elle s’approcha un sourire aux lèvres. Je sentis ses doigts frôler mes paupières et je vis les tirettes de mes yeux se refermer sur le monde. Ensuite, je l’entendis s’assoir quelques secondes sur le canapé puis un bruit de chaussures à talons approcha :
-je sors voir une amie. Je rentrerai ce soir, tâche de ne pas trop bouger pendant mon absence. Le bruit des chaînes pourrait déranger les voisins. Si tu ne m’entends pas rentrer ce soir, ne t’inquiète pas, nous nous reverrons sûrement demain matin : me dit-elle furtivement.
J’eus envie de la supplier de ne pas partir ou de ne pas me laisser comme ça au moins mais je ne pus ouvrir la bouche, entravée par la tirette fermée. J’eus beau tirer un peu sur mes chaînes, elle ne sembla pas s’en soucier. Bien qu’exaspéré par la situation, je dois admettre que cela m’excita curieusement. J’entendis le bruit des talons s’éloigner et la porte d’entrée de l’appartement s’ouvrir et se refermer derrière elle, accompagnée d’un bruit de serrure puis d’un lourd silence.
Exquis moment de lecture… moment d’imagination de la perte total du contrôle de soit


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