Une dominatrice pour quelques esclaves

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Une dominatrice pour quelques esclaves

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Pierre



13 mai 2022




MIchel



26 juin 2022




Alex



22 juillet 2022



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Si je prends la peine de prĂ©ciser que je suis une dominatrice rĂ©elle Ă  Nancy, c’est parce que je fais la distinction entre ceux qui font du SM par effet de mode, pour le frisson sans le risque, et les autres qui, comme moi, font ça par passion.
La marquis de Sade, lui, ne badinait pas avec ses enseignements. Quand il disait qu’il allait faire quelque chose de sadique, il ne le faisait pas Ă  moitiĂ©. Cela se concrĂ©tisait toujours dans le cadre sexuel me direz-vous, et c’est bien comme ça que ça va se passer avec moi aussi.
Je suis une dominatrice ronde avec une paire de seins à se damner. D’ailleurs, vous allez vous damner rien que pour avoir le privilùge de les toucher. Je vais m’en assurer personnellement.
Ceci Ă©tant dit, j’attends maintenant vos sollicitations. Si vous ĂȘtes de Nancy et avez un penchant maso – ou cherchez Ă  le dĂ©couvrir – je suis tout Ă  vous pour vous servir et vous humilier.
Je suis à la recherche d’un plan scato, j’ai 30 ans je suis de Nancy je voulais savoir si vous pratiquez ça
Bonjour maitresse
mur mĂȘme trĂšs mur de 67 ans au physique pas terrible (170 pour 87 )
aimant le sexe sous toutes ses formes souhaiterait connaitre un peu plus d’expĂ©rience sm.
j’ai dĂ©jĂ  rencontrĂ© 2 ou 3 maitresses avec qui j’ai pratiquĂ©: lavement pinces uro sodo bougie mais il y a dĂ©jĂ  bien longtemps .
voudriez vous ĂȘtre celle qui pourrait me faire connaitre d’autres sensations
Bonsoir MaĂźtresse .
Je suis un soumis totalement jeune dans la pratique et novice .
Je suis Ă  la recherche de quelqu un pour m’accompagner dans le dĂ©couverte de la soumission.
Je me tient Ă  votre disposition
Avertissez-moi par email lorsqu'une réponse est postée.


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MaĂźtresse Laure, comme vous me l’ordonnez si bien avec vos talons plantĂ©s dans ma chair, je reprends donc la plume pour vous exposer l’attitude d’Anne-Ingrid, ma MaĂźtresse dominatrice, Femme incomparable, vĂ©ritable DivinitĂ© de la suprĂ©matie.
Ça ne vous a pas Ă©chappĂ©. Elle m’a fouettĂ© comme jamais puis enfermĂ© dans une cage tel un chien galeux. Ensuite, vous l’avez vu, elle m’a humiliĂ© en me forçant Ă  cet accouplement barbare, dans cette tenue d’animal en rut ! Vous-mĂȘme Ă©tiez trĂšs excitĂ©e. Vous m’avez fouettĂ©, ce dont je vous remercie Ă  genoux, ma langue en service de nettoyage entre vos fesses et sous leur autoritĂ©.
Bref, cravachĂ©, Ă©crasĂ©, mĂ©prisĂ©, insultĂ©, soumis Ă  son esclave lesbienne (vous), je crie ma douleur et mon amour pour Anne-Ingrid Olsson, Femme que j’aime Ă  la folie !
Alors voilà l’explication que vous attendiez, Maütresse Laure.
Le matin du spectacle bestial auquel vous avez assistĂ©, une femme s’est prĂ©sentĂ©e Ă  Olsson’s Furnitures Inc. En tant que son assistant, j’avais effectivement notĂ© ce rendez-vous d’affaires il y a quinze jours dans l’agenda de ma patronne. En lui prĂ©sentant le parapheur ainsi que mes hommages habituels Ă  genoux Ă  ses pieds, je lui ai dit le nom de la visiteuse, Madame Mathilde Beaumont.
Elle m’a fusillĂ© du regard, et immĂ©diatement giflĂ©.
– Mathilde Beaumont ? Elle est ici, cette grosse vache ? En fait, elle s’appelle Ginette Rossi, je ne l’ai pas vue depuis quinze ans, et tant mieux ! Qu’est-ce qu’elle vient faire ici ?
– Elle a commandĂ© pour huit cents mille euros de meubles anciens, MaĂźtresse. Et si je puis me permettre, sans doute a-t-elle profitĂ© de ces quinze ans pour maigrir, car ce n’est pas un gros ruminant que j’ai fait entrer au salon

SCHLACK ! La gifle cingle – Tais-toi ! Tu as mal regardĂ©, imbĂ©cile. Cette fille est vulgaire de la pointe des pieds Ă  celle des cheveux. Elle a de grosses cuisses, pas de taille et de la cellulite
 Cependant, si elle m’achĂšte pour huit cent mille euros de meubles, ça change tout ! Et je ne veux mĂȘme pas savoir d’oĂč elle sort cet argent, mĂȘme si je m’en doute. Elle a plusieurs esclaves trĂšs riches, dont l’un est son soi-disant mari !
Bon, allons affronter l’effrontĂ©e. Debout, toi ! EnlĂšve ton collier, imbĂ©cile, pas la moindre soumission sinon elle va en profiter. Et rajuste ta cravate. Tu lui prĂ©sentes le dossier Ă  signer et tu te tais, je verrai ce qu’il faut faire si elle discute.

Nous entrons dans le salon. Mathilde-Beaumont-Ginette-Rossi nous attend, pratiquement vautrée dans un fauteuil, la bouteille de champagne que je lui ai servie est quasiment vide.
– Cette chùre Anne-Ingrid ! Alors, ça marche, cette affaire de brocante, on dirait ?
Ooooh, voilĂ  un mot qui va plaire Ă  MaĂźtresse : « brocante »  Effectivement, il y a dans sa voix quelque chose de vulgaire que je n’avais pas remarquĂ©, mais il est possible que ça vienne du champagne. Cela dit, elle est trop maquillĂ©e. Ses cheveux trop blonds sont trop bouclĂ©s. Elle porte une robe trop courte et trop moulante et qui serre de trop prĂšs ses fesses trop rondes. Ses cuisses trop grosses, en effet, sont partiellement cachĂ©es par des cuissardes montant trop haut

Cette femme est
 trop. Avec une classe polie, MaĂźtresse lui serre la main. Mathilde ne se lĂšve mĂȘme pas et s’enfonce dans le moelleux fauteuil en cuir en me lançant furtivement un regard, Ă  la limite de l’obscĂšne. Elle sait de toute Ă©vidence que je ne suis pas seulement ce cadre en costume-cravate avec un dossier Ă  lui prĂ©senter. C’est une dominatrice, sĂ»r. Et mĂȘme trĂšs expĂ©rimentĂ©e, elle me regarde d’emblĂ©e comme un esclave. Un peu hĂ©sitant, je m’avance vers elle, le dossier ouvert devant moi.
– Madame Beaumont, voici, le contrat que j’ai prĂ©parĂ©. AprĂšs relecture, je vous prie de bien vouloir parapher les pages et signer ici et lĂ . F Ă©licitations pour vos choix, ces meubles sont magnifiques et vous serez satisfaite de la qualitĂ© de nos produits. Je vais chercher quelques biscuits pour le champagne. (je garde pour moi : « et une autre bouteille » )
Toujours assise, Mathilde jette un Ɠil sur le dossier que j’ouvre devant elle. Sans le prendre, elle le pousse ostensiblement vers le bas, m’obligeant Ă  me baisser un peu pour accompagner sa lecture simulĂ©e. la couverture cartonnĂ©e vient toucher ses cuisses Ă  la limite de sa robe

L’air sĂ©vĂšre, sourcils froncĂ©s, elle plante ses yeux dans les miens comme des poignards et, cachĂ©e d’Anne-Ingrid, relĂšve nettement l’ourlet de jersey noir. J’aperçois l’ombre entre ses cuisses, elle ne porte pas de culotte

Toujours les yeux froncĂ©s, l’air mĂ©chant, sans mĂȘme regarder le contrat :
– C’est quoi, ça, les petites lignes en bas du contrat , du suĂ©dois ?
Anne-Ingrid s’inquiùte : – Quelque chose ne va pas ?
En fait, MaĂźtresse a parfaitement compris (il n’y a pas un mot de suĂ©dois dans le document).
Mon assistant va vous traduire les passages Ă©crits en suĂ©dois dans une langue plus comprĂ©hensible pour vous et vous fournir toutes les rĂ©ponses Ă  vos attentes. Je vous laisse un moment car j’ai un fournisseur Ă  rappeler.
– Trùs bien, ma chùre, revenez vite ou sinon nous buvons tout le champagne, ahaha !
Avec un sourire entendu, ma superbe directrice sort, refermant derriĂšre elle les lourdes portes du salon. AussitĂŽt, Mathilde se lĂąche :
– Mets-toi Ă  genoux, esclave ! Tu crois que je ne t’ai pas calculĂ© ? Pose ton dossier et regarde ce que c’est que la chatte d’une Reine ! Baisse les yeux.
-À partir de maintenant tu m’obĂ©is.
-Regarde, admire, adore-moi comme la dĂ©esse dominatrice que je suis. M isĂ©rable vermine , m esure ta chance que je te fasse l’honneur d’un tel spectacle

Elle lĂšve sa majestueuse cuisse droite sur l’accoudoir et pousse son bassin en avant, un sourire dominateur aux lĂšvres, lĂšvres dont elle approche sa flĂ»te Ă  champagne. Je dois dire qu’ĂȘtre Ă  genoux devant sa domination immĂ©diate et totalement dĂ©complexĂ©e, son corps imposant, sa tenue provocante, son parfum capiteux
 est dĂ©jĂ  extrĂȘmement excitant
 mais ainsi exposĂ© Ă  dix centimĂštres de moi, son sexe dont je sens l’odeur suave et la chaleur
 est absolument fantastique.
La beautĂ© du sexe des femmes est un sujet rarement abordĂ©. La couleur, par exemple, certaines sont rouges, violettes, brunes ou mĂȘme noires Ă  cet endroit.
Le sien est ensorcelant, d’une couleur un peu plus foncĂ©e que sa peau bronzĂ©e. Il est d’ailleurs mis en valeur par la trace nette du maillot de bain de soleil. Ses petites lĂšvres, jointes par une crĂšme blanchĂątre, se dĂ©collent lentement depuis qu’elle a Ă©cartĂ© sa cuisse. L’odeur suave se renforce et m’enivre, Mathilde, cette majestueuse MaĂźtresse dominatrice, me regarde avec un sourire pervers, elle sait que je suis subjuguĂ©. DĂ©licatement, tout en buvant son champagne de la main droite, elle Ă©carte sa fleur de lys de l’autre main
 je distingue Ă  prĂ©sent son clitoris drapĂ© de rose, son mĂ©at urinaire et l’entrĂ©e dilatĂ©e de son vagin oĂč j’aimerais plonger, son parfum puissant est un philtre magique, je n’en peux plus, attirĂ© comme un aimant par le pouvoir de ce sexe, j’approche ma bouche

SCHLACK ! Une gifle me rappelle à l’ordre.
– QU’EST-CE QUE TU CROIS ? Que tu vas lĂ©cher la plus belle chatte du monde comme ça ? Je te rappelle que je fais Ă  ton entreprise un petit chĂšque de huit cent mille, mon chien
 alors tu m’obĂ©is. Attends mes ordres. Tu n’as encore rien vu, minable petit larbin d’Anne-Ingrid
 Bon. Retire mes bottes et lĂšche mes jambes. Fait trop chaud, ici, nettoie ma sueur, surtout sur mes pieds.
Je commence par la jambe Ă©cartĂ©e. Effectivement, une moiteur dĂ©licieuse se mĂȘle Ă  l’odeur du cuir de luxe, je lĂšche avec application. Je trouve savoureuse cette sueur aigre et salĂ©e. Mathilde bouge sa grosse cuisse chaude, la pose sur mon Ă©paule, la ramĂšne devant mes lĂšvres. Elle semble apprĂ©cier. J’arrive au pied aprĂšs une cheville Ă©tonnamment mince, entourĂ©e d’une fine chaĂźne en or. Son pied est d’une beautĂ© stupĂ©fiante. TrĂšs grand, sans doute du 42, mais des proportions parfaites, une cambrure impressionnante, des orteils parfaitement alignĂ©s, le gros lĂ©gĂšrement en retrait du suivant. Il est couvert de sueur, de la mĂȘme dĂ©licieuse odeur que les jambes, quoique encore plus enivrante. Je le lĂšche avec passion, l’engloutissant le plus possible dans ma bouche, allant chercher entre chaque doigt le sel dissimulĂ© pour le dĂ©guster.
Mathilde semble parfaitement habituĂ©e Ă  ce traitement. Ainsi, elle apprĂ©cie de pousser son pied au fond de ma gorge, puis de remuer ses orteils jusqu’à ce que j’éructe, ce qui la fait sourire.
D’un geste sec de l’index du haut en bas, suivi d’une gifle puissante accompagnĂ©e d’un gĂ©missement Ă©nervĂ©, elle m’ordonne de me dĂ©shabiller. Son regard est impĂ©rieux et mĂ©chant, sa cruelle autoritĂ© s’abat sur moi avec la rapiditĂ© d’un aigle qui terrasse sa proie.
Avant de m’autoriser à lui îter l’autre botte, elle verrouille son pouvoir sur moi comme un carcan :
– Suce d’abord le talon de ma botte, comme une petite pute docile et amoureuse ! J’aime que les hommes obĂ©issent et s’humilient devant moi
 regarde-moi avec le respect que tu dois Ă  une Reine et remercie-moi : je t’autorise aussi Ă  lĂ©cher la semelle !
Elle la frotte sur ma bouche comme sur un paillasson. D’ordinaire, je dĂ©teste ce genre de pratiques, mais lĂ , par cette femme que je n’ai jamais vue et qui se moque totalement de moi, c’est tellement humiliant que j’adore. Je lĂšche longuement, avec application, comme si le goĂ»t de ses semelles Ă©tait rĂ©ellement dĂ©licieux. Heureusement que les salons d’Olsson’s Furnitures Inc. sont couverts de moquette et que cette crĂ©ature qui m’hypnotise n’avait pas marchĂ© dans la boue. Je la remercie mille fois, je la supplie de me laisser encore lĂ©cher sa transpiration. J’ai tellement peur qu’elle s’arrĂȘte lĂ  !
J’ai honte de me soumettre, Ă  ce point et aussi vite, Ă  celle qu’Anne-Ingrid qualifie de « grosse vache » , mais une voix en moi crie Oouiiii, DĂ©esse Mathilde, vos pieds et votre sexe me fascinent, je suis Ă  vous, faites de moi ce que vous voudrez, piĂ©tinez-moi, essuyez votre semelle sur ma langue qui vous en supplie, je ne peux rĂ©sister Ă  votre pouvoir !
AprĂšs me l’avoir fait lĂ©cher, Mathilde remonte sa jambe gauche sur l’autre accoudoir et me revoilĂ  face Ă  son sexe, placĂ© un peu plus haut, comme posĂ© sur ses fesses larges, majestueuses, je dĂ©couvre en-dessous son anus qui aussitĂŽt me fascine. Elle sourit moins, respire plus fort, la bouche ouverte. Quelques gouttes de liquide blanc s’écoulent de la vulve ouverte et descendent lentement le sillon sombre
 je suis sous hypnose, je ne sais pas ce que je donnerais pour plonger dans cet univers chaud et humide, cueillir ce nectar avec ma langue, je me penche Ă  nouveau

SCHLACKK ! Une autre gifle. Ce doit ĂȘtre mon Ă©rection qui l’énerve
 Ah, Non :
– JE T’AI ORDONNÉ QUELQUE CHOSE ? Reste lĂ , petite pute ! Appelle le bureau de ta patronne et passe-moi le tĂ©lĂ©phone

-AllĂŽ ? Anne-Ingrid ? Tu sais ce que ton esclave est en train de me faire ? Comment ça « rien Ă  foutre » ? Dis-donc, grande cochonne, tu vas changer de ton, hein ? Avec le chiffre d’affaires que je te balance, tu vas m’obĂ©ir toi aussi comme ta lopette qui est Ă  genoux devant moi.
Je suis choquĂ© par son ton mais, encore groggy de soumission, cette crise d’autoritĂ© me la rend encore plus dĂ©sirable
 envie de me traĂźner en gĂ©missant juste pour qu’elle essuie encore ses pieds sur ma langue

Anne-Ingrid entre alors et me voit, nu et à genoux devant Mathilde, avachie. Si son regard était une bombe atomique, la terre serait réduite en cendres. Mathilde a un sourire mauvais. Elle déteste ma Maßtresse, apparemment.
Les cuisses toujours grand Ă©cartĂ©es, elle Ă©tire ses longs bras avec grĂące en bĂąillant Ă  haute voix, soupire puis fixe MaĂźtresse Anne-Ingrid droit dans les yeux tout en me faisant signe du doigt de m’approcher.
Elle jouit de l’instant. C’est clair. Il me semble qu’une autre sĂ©crĂ©tion blanche en tĂ©moigne, ainsi que quelques contractions de l’anus.
Prenant un ton affecté, faussement désolée, elle continue :
– Oooh
 regarde ton esclave, le pauvre
 sans le faire exprĂšs, je crois que je l’ai subjuguĂ©, ça ne te rappelle rien ?
-Jean-Louis, je suis embĂȘtĂ©e, ta MaĂźtresse sera sans doute fĂąchĂ©e
 mais j’ai envie que tu me lĂšches devant elle
 Anne-Ingrid, tu ne m’en veux pas, hein ? Tu m’as bien dit « rien Ă  foutre » ?
-Alors lĂšche-moi, esclave ! LĂšche le jus de ma chatte ! montre Ă  ta vieille MaĂźtresse que tu m’obĂ©is comme un chien que j’ai dressĂ© en cinq minutes ! vĂ©nĂšre mon clitoris de Reine avec ta petite langue soumise ! Dis que tu n’as jamais Ă©tĂ© dominĂ© par une chatte aussi belle, supplie-moi de lĂ©cher aussi mon anus, qui me dĂ©mange, enfonce bien ta langue de lopette dedans !
LĂ , je deviens fou, brouillon, je lĂšche, j’enfonce, je me frotte, mon nez puis tout mon visage se couvre de cyprine, il me semble entendre quelques gĂ©missements, tout de mĂȘme.
SCHLACK ! Une gifle m’arrĂȘte encore.
– Attends, sale chien, tu t’y prends comme un manche !
 tiens, à propos de manche, tu vas me servir autrement

-Viens-lĂ , Madame Olsson, vieille cochonne, tiens, ça rime, c’est toi qui vas me lĂ©cher ! Mais avant, je veux te voir m’obĂ©ir, te prosterner devant moi, ça m’excite :
-d’abord, tu te fous à poil et ensuite, tu suces le manche de ton soumis, à genoux, comme la vieille pute que tu es.
Et quand je t’en donnerai l’ordre, quand ta soumission Ă  ce minable m’aura bien excitĂ©e, tu viendras me lĂ©cher comme la sale gouine que tu es, pendant qu’il te le mettra dans ton cul de grande salope que tu es


Et moi ? Moi, je vais jouir dans ta petite bouche fripĂ©e comme la dĂ©esse que je suis ! Hhhrraùùaahh
 allleeeeez
 dĂ©pĂȘche-toi ! Fous tes nichons Ă  l’air, tes fesses aussi, cochonne, et suce-le !
Anne-Ingrid obĂ©it, les yeux baissĂ©s. Jaillissant de son chemisier, ses fantastiques seins lourds me rappellent comme j’admire la beautĂ© mature de cette Femme. Mon Ă©rection est Ă  son comble quand elle prend mon sexe dans sa bouche chaude, m’aspire. Sa main droite me branle Ă  mort, puis s’efface. C’est de nouveau sa bouche qui m’aspire et m’engloutit au plus profond avec un bruit de gorge. Étant son esclave, j’ignorais bien sĂ»r qu’elle Ă©tait aussi une reine de la fellation ! Quelle crĂ©ature merveilleuse !
Soudain sa main gauche, que Mathilde ne peut voir, me prend les testicules et les tord furieusement. Je retiens Ă  peine un cri de douleur, et tout mon amour de cette violence froide dont est capable MaĂźtresse me remplit Ă  nouveau. Elle renforce sa torsion en plantant ses ongles dans mes pauvres bourses !
– Elle te mord, cette chienne ? OOooohhhhhh, ça me chaufffffe
 t’aimes toujours pas les queues, hein, gouinasse ? ALORS LÈCHE MA CHATTE !
 MAINTENANT !
Et Maßtresse fait alors quelque chose qui me stupéfie

Je Suis Hétéro Gynarchique Obeissant.
170m 75kg 59 ans Quequette 19×44
Pré retraitre Libre.
J Appartient Aux 3eme GENRE
Je souhaite en devenir (e) La PropriĂ©tĂ© Lopette De La Travestie Transgenre ACTIVE. Je dĂ©sire Être Accompagner Dresser A L Anglaise.
Pr Être Soumis (se) au Mariage Gynarchique Être Accouplėes Sexuellement Analement Ouverte Gorges Profondes D Ejaculations FORTES.

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Bonsoir à tous les hommes de La Ciotat, en vérité, je m'adresse surtout à une certaine catégorie de mecs : les fétichistes du pied...
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À l’attention des soumis Marseillais,
J’ai l’impression de tourner en rond avec mes esclaves actuels et je suis en pleine session de recrutement pour recevoir des mecs soumis jusqu’à la moelle chez moi ! Je suis une dominatrice d’expĂ©rience et je ne suis pas du genre Ă  faire dans la dentelle, si tu es dĂ©sobĂ©issant, je vais sĂ©vir comme il faut pour te punir, j’espĂšre que c’est bien pigĂ© ! Je ne suis pas contre recevoir des hommes mariĂ©s, mais je ne suis pas responsable si votre femme l’apprend, c’est dit

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