Une dominatrice avec son soumis
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Viens, il faut en parler, approche. Pas trop prĂšs tout de mĂȘme, certains sujets mĂ©ritent quâon garde une certaine distance. Tu comprendras vite pourquoi, je nâen ai aucun doute. Car tu sais trĂšs bien que je ne fais finalement que flatter tes penchants naturels nâest-ce pas ? Alors reste lĂ , bien en face et ne me quitte plus des yeux, concentre toute ton attention sur mes paroles. Je me permets dâinsister au risque de paraĂźtre pĂ©remptoire, mais aprĂšs tout tu nâes quâun homme soumis.
Tu peux dormir et dĂ©jĂ faire lâĂ©conomie de ta salive, je la rĂ©serve Ă dâautres usages autrement plus plaisants que le son de ta voix. Non que je ne lâapprĂ©cie particuliĂšrement pas, mais il faut savoir fixer les prioritĂ©s quand on est une femme de tĂȘte. Et nâest-ce pas ce que tu voulais ? A bien y rĂ©flĂ©chir câĂ©tait dans nos yeux, dĂšs le premier soir, dĂšs la premiĂšre minute. Câest peut-ĂȘtre pour ça que je tâai aimĂ© au fond. Ne fais pas cette tĂȘte, bien sĂ»r je tâaime encore, et je vais te le prouver. Quoique ça dĂ©pende aussi de ton comportement, mais nous y reviendrons.
Ton regard Ă©tait si doux, ta voix presque fluette et ta timiditĂ© palpable. A lâĂ©poque dĂ©jĂ , ce nâest pas ta virilitĂ© qui mâa sĂ©duite. Toi et moi savons que si ce câĂ©tait ce que je recherchais, nous nâen serions pas lĂ , moi assise dans notre canapĂ©, et toi debout devant moi, voilĂ dĂ©jĂ 10 ans plus tard. Oh tu nây avais pas pensĂ© ? Jâaime ce regard dâanimal traquĂ© que tu me lances quand je mets sur le doigt sur tes nĂ©gligences, mais ne tâinquiĂšte pas, ce nâest pas ce qui nous amĂšne Ă cette conversation. Disons que je saurai me souvenir de cette maladresse en temps et en heure et tu me sais terriblement rancuniĂšre.
Revenons Ă nos premiĂšres amours. Je disais que ce nâest pas ta virilitĂ© qui mâa sĂ©duite, tu en es bien conscient nâest-ce pas ? Ou bien dois-je te rappeler notre premiĂšre nuit ? Nous Ă©tions jeunes, câest vrai, mais tout de mĂȘme ! Tu as fini par Ă©jaculer tout seul dans les draps, je ne tâavais mĂȘme pas vraiment touchĂ©. Je ne tâen ai jamais vraiment reparlĂ©, câest vrai, tu es si sensible. Tout chez toi ne tiens quâĂ un fil ! Je devais te prĂ©server, jâavais encore besoin de toi, enfin de ton sexe. Un rien le fait ramollir. Imagine si je tâavais dis ça, je crois que je nâaurai plus jamais rien pu faire de toi ! Aujourdâhui les choses changent, aussi je me dois dâĂȘtre franche. Je nâai rien laissĂ© paraĂźtre et je tâai rassurĂ©, petit animal blessĂ©.
Mais au fond, je me faisais une autre idĂ©e de ce quâĂ©tait un homme. Je ne prĂ©tendais pas avoir grande expĂ©rience, mais tout de mĂȘme, je mâattendais Ă quelque chose de plus entreprenant, plus dĂ©cidĂ©. Jâai bien appris depuis que jâavais raison de pouvoir espĂ©rer mieux. Mais ta fragilitĂ©, je crois que câest ce qui mâa plu au fond. A bien me souvenir, je sentais dĂ©jĂ le pouvoir quâelle me donnait sur toi et jâai aimĂ© cette sensation de dĂ©jĂ te maĂźtriser. Jâallais mâemployer Ă faire sauter petit Ă petit chacune de tes dĂ©fenses. Ce nâĂ©tait pas bien difficile mĂȘme pour la pucelle que jâĂ©tais pourtant. Et ces dizaines de capotes, mortes au champ dâhonneur et dont le seul contact suffisait Ă te faire jouir !
Tu as bien mis deux semaines avant de rĂ©ussir Ă en enfiler une jusquâau bout sans Ă©jaculer dans la seconde. Pourtant il suffit de baisser ton pantalon pour constater que « jusquâau bout », ce nâest pourtant pas grand-chose. Baisse-le donc que nous constations cela de visu tout les deux. Je suis sĂ»r que ta pathĂ©tique petite chose en frĂ©tille dĂ©jĂ dâexcitation. VoilĂ , ne rougis pas, dĂ©shabille toi, montre-toi. Quâavons-nous lĂ ? Peut-ĂȘtre douze ou treize centimĂštres ? Non jâexagĂšre, disons dix. MalgrĂ© tout, tu as tout de mĂȘme fini par rĂ©ussir Ă tâen servir et jâai la certitude que tu as fait de ton mieux. Jây ai mĂȘme pris du plaisir. Mais depuis il a bien fallu que je relativise. On ne peut pas dire que tu ne mâas jamais fait jouir, ce serait un peu dur. Mais un seul amant a suffit Ă me convaincre quâil y a orgasme et orgasme. Il y a lâorgasme bien gentil de son bien gentil mari, et il y a tous les autres.
Admet-le : un homme qui « mouille » ses capotes avant mĂȘme de les avoir enfiler en aurait fait fuir plus dâune. Mais encore une fois jâai aimĂ© ça. Je dois mĂȘme dire que ça mâattendrissait de voir cette si belle volontĂ©, ces soirĂ©es Ă te branler pour tâentraĂźner Ă les enfiler, ton acharnement sans faille pour tenir quelques secondes aprĂšs lâavoir mise. Cette dĂ©bauche de sueur et de sperme pour moi toute seule ! JâĂ©tais flattĂ©e ! Jâen rigolais toute seule, je peux bien te le dire maintenant. A lâĂ©poque jâeus Ă©tĂ© embarrassĂ©e de te castrer ainsi, mais aujourdâhui tu nâas plus besoin de me prouver ton ardeur, il y a bien longtemps que je ne peux plus me contenter de tes dix centimĂštres bien bandĂ©s.
Sais-tu, de tous les amants que jâai eu par la suite, aucun nâa jamais Ă©voquĂ© la moindre difficultĂ© Ă mettre un prĂ©servatif, du moins quand je leur demandais encore dâen mettre un. Ils ont bien ri de toi quand je leur racontais tes pathĂ©tiques tentative pour ne parvenir finalement quâĂ jouir Ă peine quelques secondes aprĂšs. Si la premiĂšre nuit avait Ă©veillĂ© mes soupçons, cet Ă©pisode me confirmait et aujourdâhui je peux te le dire : tu nâes pas un homme. Pendant quelques annĂ©es, ta petite chose a bien fait illusion. La taille ne fait pas tout câest vrai ! Encore faut-il la compenser par le talent. Et je suis au regret de te confirmer que tu nâen a goutte !
Tiens, goutte, ça te fera un joli petit nom comme animal de compagnie ! Jâen ai eu des amants pas beaucoup mieux montĂ©s que toi. Mais eux, au moins, savaient comment me faire jouir ! Tu as toujours Ă©tĂ© un laborieux en amour, nâest-ce pas ? Tu le sais. Quel soulagement quand tu mâas encouragĂ©e Ă prendre un amant ! Jâadmire ta luciditĂ©. A moins que ce ne soit par perversitĂ© ? A en voir ton « Ă©rection » comme on se plaisait Ă lâappeler au temps oĂč nous Ă©tions naĂŻfs, je vois que mes propos sont loin de calmer ce que tu osais nommer ardeur. Pourtant il va te falloir faire profil bas, mon cher mari⊠mon amour. Car pour cette petite chose somme toute, jâai dâautres projets.
Depuis combien de temps ne mâas-tu plus fait jouir avec ça ? Est-ce que ça mĂ©rite de bander librement ? Câest une petite bite bien inutile. Aussi me paraĂźt-il sage quâelle ne dĂ©tourne plus de ta dĂ©votion pour moi. Je te taquine, je mĂ©nage mon effet⊠Tu tâen souviens jâen suis sĂ»r, câest toi mĂȘme qui mâen avait parlĂ©. Et bien voilĂ ton cadeau, pour nos dix ans. Tu peux dĂ©baller, nâai pas peur. Jâai investi tu sais ? Rien nâest trop beau pour mâassurer ta totale obĂ©issance, mon amour de cocu ! Elle est belle nâest-ce pas ? Je te parlais tout Ă lâheure de ton comportement et mon amour pour toi. Et bien voilĂ le moment de me prouver que tu le mĂ©rites et de tâen assurer Ă tout jamais. Enferme ton petit oiseau pour moi, mais sache que mon amour sera tout aussi dĂ©finitif que ta condition dâencagĂ© Ă perpĂ©tuitĂ©. Je sais que ce choix nâest pas aussi difficile quâil nây paraĂźt.
Bien sĂ»r, un homme, un vrai, aurait rit aux Ă©clats. Mais tu nâes pas un homme. Tu es un bon soumis. Câest ta nature. Câest ta place. Ne fais pas celui qui hĂ©site, suis ton penchant. Tu mâaimes cruelle et je tâaime Ă terre. A moi les cimes, Ă toi les bas-fonds, pour notre plaisir. Mettons-y un peu de cĂ©rĂ©monie si tu veux bien : mets-toi donc Ă genoux. LĂšve les yeux, je sais la honte qui te parcours lâĂ©chine et te fais frissonner de plaisir. As-tu remarquer comme je suis belle ? Câest pour toi. Je vais tâaccorder une derniĂšre faveur : je te donne trois minutes pour vider une derniĂšre fois tes petites couilles molles. Et pour te prouver que je sais aussi ĂȘtre gĂ©nĂ©reuse, je tâordonne de jouir sur mes chaussures. Je les ai choisie spĂ©cialement pour lâoccasion, comme tu les aimes : regarde comme le talon monte haut. Branle-toi mon cocu, et savoure ces derniers instants de libertĂ© et ces premiers instants de ta soumission complĂšte, ta dĂ©faite ultime et la consĂ©cration de ta nature de lopette . Secoue-la avec conviction cette petite chose et profite de ton dernier orgasme de mĂąle.
DĂ©jĂ ? Pourquoi nâavoir pas mis Ă profit tout le temps imparti ? Tu nâas pas tenu⊠Je mâen veux dâavoir Ă©tĂ© si gĂ©nĂ©reuse, câest du gĂąchis. Allons, ça ne mâĂ©tonne pas en mĂȘme temps. Tu as sali mon bas ! Bravo, jamais je nâaurais cru que tu aurais pu Ă©jaculer si loin ! La perspective de ne plus jamais jouir tâexcite donc Ă ce point ? LĂšche ! Nettoie-bien le bas de ta MaĂźtresse, et nâoublie pas ma chaussure. Elle est neuve et toi tu la souilles ! LĂšche bien, montre moi qui tu es, et sois-en fier. Vois-tu Ă quoi me sert, maintenant, ta salive ? Tu verras que privĂ© de lâusage de ton sexe, ta langue deviendra une zone Ă©rogĂšne et tâen servir te procurera un plaisir immense. Peut-ĂȘtre apprendras-tu enfin Ă me lĂ©cher correctement !
MĂȘme pour ça tu nâes pas douĂ©. Jâai espoir que ton enfermement te fera un peu progresser. Ce nâest pas tant pour mon plaisir, celui-lĂ je saurai dĂ©jĂ le satisfaire de bien meilleure façon. Je dis ça pour toi. Il faudra bien que tu dissipes ton Ă©nergie sexuelle dâune maniĂšre ou dâune autre. Mais rassure-toi, dâautres options demeurent⊠Maintenant que ta misĂ©rable nouille y est apte, je veux que tu lâenfermes toi-mĂȘme. Ce sera ta façon de me montrer ta motivation. Un signe dâallĂ©geance en somme. Et puis elle est poisseuse de ton misĂ©rable sperme. Je ne lâai jamais aimĂ© ton sperme. Comme beaucoup de chose avec toi, jâai dĂ©couvert un peu plus tard que ce nâĂ©tait pas lĂ le fruit dâune aversion systĂ©matique.
Au contraire, je me dĂ©lecte du foutre de mes amants. Jâaime leurs goĂ»ts, leurs odeurs et ces petites gouttes de chaleur quand il vient sâĂ©craser sur ma peau. Mais le tiens, va savoir pourquoi, mâa toujours rebutĂ©. Sers bien la vis, nâai pas peur de la bloquer, je ne lâouvrirai pas de sitĂŽt. Peut-ĂȘtre mâassurerai-je de temps Ă autre que tu sais encore bander. Je ne voudrai pas te voir perdre totalement cette aptitude. Oh pas pour mes propres besoins, tu peux faire une croix sur ma petite chatte, cette sensation pour toi est Ă conjuguer au passĂ©. Mais te voir bander dans ta cage, te voir me supplier de te relĂącher. Je tâen ferai pleurer des torrents de remords et de supplication. Tu apprendras ce que soumission veut dire. Tu lâas maint fois fantasmĂ© mais je peux tâassurer que la vĂ©ritĂ© sera bien plus sordide.
Mâentends-tu ? Rend-moi la clĂ© maintenant. Je la glisse lĂ bien au chaud entre mes beaux seins, chauds et doux, pour quâen eux aussi tout te rappelle ta condition. Ne force pas ton regard, cesse de faire le chien battu. Toi et moi savons trĂšs bien que tu attendais ce moment depuis trop longtemps. Depuis le premier instant en fait. Peut-ĂȘtre mĂȘme depuis que tu sais ce que « jouir » signifie. Câest dans ta nature. Je te lâai dis, câĂ©tait dans nos yeux. Si je croyais en la destinĂ©e, je dirais que la tienne est pavĂ©e de frustration ; la mienne câest dâen jouir et de collectionner pour nous deux les orgasmes que tu nâaurais plus jamais. Car il est bien entendu, mais est-il nĂ©cessaire de le prĂ©ciser, que la chastetĂ© que je tâimpose ne dois en aucun cas avoir de consĂ©quences sur ma sexualitĂ©.
Tu sais que mes besoins sont consĂ©quents, raison pour laquelle il y a bien longtemps que je ne peux plus me contenter de toi. Jâirai jusquâĂ dire quâen la matiĂšre tu es devenu suffisamment anecdotique pour que je puisse me passer des « plaisirs » que tu mâoffres, du moins sur le plan strictement sexuel. Dans la compĂ©tition Ă la nullitĂ©, ton endurance nâa dâĂ©gale que ta compĂ©tence. Et comme tu te plais Ă me le rĂ©pĂ©ter, je mĂ©rite bien mieux que ça. Les autres savent me faire jouir, eux, comme une femme de mon rang peut y prĂ©tendre. Le seul fait dây penser mâĂ©moustille. Leur queue est fiĂšre, droite et dure, jamais elle ne tolĂ©rerait les barreaux dâune cage. La tienne sây fait dĂ©jĂ , regarde !
Oh mais voilĂ mĂȘme que tu bandes de nouveau un peu ? Comme ce doit ĂȘtre embarrassant de mâinfliger ce spectacle humiliant⊠Est-ce de mâimaginer entourer leurs sexes de mes lĂšvres qui tâexcite ainsi ? Câest la vue de ma salive sur leur manche quand je le sors du fond de ma gorge ? Le souvenir de la chaleur de ma langue gourmande sur ton tout petit gland ? Ou peut-ĂȘtre est-ce la seule image de ce sexe dâhomme? RĂ©jouis-toi, je nâai pas lâintention de te priver de vie sexuelle. Tu pourras user de ta bouche Ă toi ad libidum, de ton propre grĂ© ou non. Mais je sais que je nâaurai pas besoin de beaucoup insister. Il en va de mĂȘme pour ton cul, que tu as si petit et si mignon. Je suis sĂ»r quâil en ravira plus dâun. Et si il ne trouve pas preneur parmi mes amants, je saurai bien mâen occuper moi-mĂȘme.
Tu lâas bien compris, ta seule chance de jouissance viendra de ce cĂŽtĂ© lĂ de ta misĂ©rable personne. Quelques semaines seulement, et tu me supplieras de te vidanger. La privation a des vertus insoupçonnables⊠Je saurai aussi ĂȘtre aimante, je branlerai ton petit trou pour vider tes couilles molles, comme tu lâaimes tant. Un doigt ou deux dâabord, puis les autres, pour te remplir Ă souhait, doucement mais rĂ©solument. Ton cul sâĂ©cartera sur mon passage, jâen ferai le siĂšge et il se rendra. Puis tu couleras pour moi en rĂąlant de plaisir. Tu aimes ça plus que tout, ne te mens pas. Jouir comme un homme tâimporte peu en somme. Vois-tu ? Je ne fais que tâoffrir ce que tu dĂ©sires ardemment. Remercie-moi, car je tâoffre de rĂ©aliser ta nature.
Peu de gens ont cette chance, celle dâĂȘtre et de se sentir Ă sa place. Toi Ă genoux, et moi les jambes Ă©cartĂ©es, juteuse et jouisseuse sous les assauts de mes indĂ©fectibles amants. Ils me prendront sans fin, jusquâĂ ce que tu gĂ©misses de douleur de voir celle que tu chĂ©ris se donner Ă ce point. Chacun des orgasmes quâils mâoffriront te transpercera et le coeur et lâĂąme. Je veux te voir souffrir le martyre. Sentir ton regard sur mon corps offert sera pour moi la plus perverse des caresses. Mâentends-tu. Je tâavoue ma seule faiblesse, tes yeux posĂ©s sur moi catalysent mon plaisir. Sois fier de servir ainsi ta MaĂźtresse. Qui peut prĂ©tendre faire jouir sa femme dâun seul regard ?
Bien sĂ»r mon amant y est pour quelque chose aussi, mais en cas de doute, tu peux toujours te rassurer en te disant que je jouis si fort parce que tu me regardes. Et quand tout sera fini, que dix orgasmes auront eu raison de moi, tu viendras sucer les perles de sueur et de sperme quâil aura rĂ©pandu sur mon corps abandonnĂ© au vice. Je veux te voir lĂ©cher chacune dâelle, consciencieusement, avec une application religieuse tu me rendras un semblant dâinnocence. Par ce geste, tu acquiesceras mon adultĂšre et ta soumission. Je veux que tu me lĂšches, câest ta charge, ton rĂŽle, ta place auprĂšs de moi. Tu nâen perdras pas une goutte. Ils me rempliront et la chatte et le cul, et toi tu nettoieras bien sagement. Je frissonne dĂ©jĂ de sentir leur foutre chaud au fond de mon ventre en me disant quâil finira dans ta bouche.
Et si tu es bien sage, je te laisserai parfois le boire Ă la source. Mais il faudra le mĂ©riter, je tâen ferai sucer des kilomĂštres de queues, mon bon cocu. Et quand tu les auras bien faites bander pour mon plaisir, pour mes caprices, alors seulement peut-ĂȘtre, je te laisserai avaler leur foutre chaud Ă ma place. Car oui câest une faveur, tu ne le rĂ©alises pas encore, mais attends un peu de sentir lâenvie et le manque te « fourailler » les tripes. Tu mâimploreras de te laisser les sucer un peu. RĂ©flĂ©chis, ça te donnera lâimpression dâexister un peu, de me donner une maigre preuve de ton peu dâutilitĂ©. A bien y rĂ©flĂ©chir, ta virilitĂ© nâest une perte pour personne. A la gente fĂ©minine ? Allons, allons, soyons sĂ©rieux. Souviens-toi de cette unique maĂźtresse que je tâai laissĂ© avoir un jour. Quel souvenir ineffable as-tu pu lui laisser ? Crois-tu quâelle sâen soit remise ?
Tu Ă©tais si intimidĂ© que tu nâas pas rĂ©ussi Ă bander. DĂ©jĂ tu nâes pas trĂšs impressionnant quand tu y parviens, mais rester ainsi la bite dĂ©sespĂ©rĂ©ment molle devant une fille de si bonne volontĂ©, il faut le faire. Tu as beau rĂ©pĂ©ter que câest strictement psychologique, prĂ©tendant ainsi nier le sous-classement de ton organe, ça ne change rien : tu nâes quâun bon Ă rien, une petite bite, une couille molle. Un vrai mĂąle ne sây serait pas trompĂ©. Ta midinette, il lâaurait embrochĂ©e sans retenu et jusquâĂ la garde, il lâaurait fait hurler de bonheur la nuit durant, tout juste comme mes amant savent le faire. Câest pour ça que leur queue est dans ma bouche quand la tienne est en cage. Une preuve de plus que tu es loin dâappartenir Ă cette catĂ©gorie dâhommes, de ceux qui nous baisent.
Tu aurais pu tout au moins te raccrocher au fait de savoir au moins satisfaire ta femme, Ă moins que je ne tâimpressionne encore trop ? Mais jâaime autant que les choses soient claires. Il est hors de question que tu continues Ă vivre dans lâhorreur de ce ridicule mensonge. Tu es dĂ©finitivement incapable de me faire vĂ©ritablement jouir. Jâai longtemps cru que tu savais me donner du plaisir, mais Ă peine la queue de mon amant mâavait-elle pĂ©nĂ©trĂ©e, lâorgasme qui me dĂ©chirait de haut en bas vint nier des annĂ©es dâune sexualitĂ© finalement minable ! Les orgasmes que tu me donnais passent tout juste pour un soupir dâennui quand tu tâagites frĂ©nĂ©tiquement entre mes cuisses depuis fort longtemps rodĂ©es Ă des assauts bien plus vaillants.
Et toi ? Vas-tu la regretter ta virilitĂ© ? Ton encagement nâest-il pas en sorte un soulagement ? Tu nâas plus besoin de tâencombrer de ce mensonge, tu nâas plus Ă faire semblant. Tu crois que je tâenferme, mais en fait, je te libĂšre de toi-mĂȘme. Je vais te rĂ©vĂ©ler ta vraie nature : soumise et fĂ©minine. Tu vas aimer souffrir sous mes doigts. Petit Ă petit, je ferai de ton cul un gouffre Ă bites, de ta bouche une pompe Ă foutre. Tu apprendras trĂšs vite Ă apprĂ©cier la pĂ©nĂ©tration anale. Du moins je te le souhaite, car il me semble inutile de prĂ©ciser encore que ta sexualitĂ© se bornera à ça.
Si tu as la moindre chance de jouir encore une fois dans ta vie, câest bien sous les coups dâune queue ou de ma main. Ne rougis pas ainsi, tu es ridicule. On dirait une pucelle. Ne fais pas comme si je ne savais pas combien un bon coup de queue tâexcite, petite salope ! Tu vas devenir une petite lopette bien docile. Et non contents de sauter ta femme, les hommes de ce monde, je parle des vrais, te seront redevable dâavoir le plaisir de labourer ton petit cul. Je vois quâil est inutile de te demander ton acquiescement, ta petite bite parle pour toi, regarde ! Mais câest quâelle remplit sa cage! Câest encourageant. Tu bandes encore. Elle est bien gonflĂ©e, regarde comme elle se boursoufle contre lâacier de ta cage.
Lâanimal est fĂ©roce ! Mais bien muselĂ©e et pour longtemps. Je garde en rĂ©serve les pointes de discipline pour calmer ses ardeurs si elle devenait trop insolente. Pour le moment, je prĂ©fĂšre te voir endurer tes Ă©rections. Les premiers temps seront difficiles, mais Ă quoi es-tu prĂȘt pour me prouver ton amour ? Ne mâas tu pas toi-mĂȘme dis un jour que tu voudrais passer tes journĂ©es Ă ramper Ă mes pieds ? Câest le moment de le prouver.
Encore que je te facilite la tĂąche, câen est presque injuste. Tu nâauras mĂȘme pas de quoi ĂȘtre fier puisque je ne te laisse pas de
Les filles ne pensaient quâĂ cela
C'est notre amour secret
Brune débauchée veut la bite