Une dance érotique qui dégénère

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Une dance érotique qui dégénère
Coprésidents du Mouvement Impact France
Ancien chef du département de médecine interne, hôpital Lariboisière (Paris), professeur émérite de thérapeutique, Université Paris Cité
Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts Scènes
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Maux étranges et inexpliqués, ces cas continuent de fasciner les scientifiques. Retrouvez l'intégralité de notre série d'été « Etranges épidémies ».
Strasbourg, été 1518. Dans les rues étroites de la ville et sur les places, des dizaines de personnes dansent frénétiquement au rythme de tambourins, violes et cornemuses. Mais l'atmosphère n'a rien de festif. Car les femmes, hommes et enfants atteints de cette étrange « manie dansante » crient, implorent de l'aide, mais ne peuvent s'arrêter. Ils sont en transe. Jusqu'à quinze danseurs succomberont chaque jour, selon un témoin de l'époque, victimes de déshydratation ou d'accidents cardio-vasculaires.
C'est un atoll paradisiaque du bout du monde, avec ses plages de sable fin bordées de cocotiers, son lagon aux mille nuances de bleu et ses couchers de soleil flamboyants. Mais beaucoup des 250 habitants de Pingelap n'en percevront jamais le festival de couleurs. Sur cette petite île de l'archipel des îles Carolines (Etats fédérés de Micronésie), en plein Pacifique, près d'un individu sur dix vit sa vie en noir et blanc.
Dans les années 1630, Loudun (Vienne) est devenue un site d'attraction. Des milliers de personnes se pressent dans ses églises pour y assister à des séances d'exorcisme. Au cours de ces « spectacles », les possédées, de jeunes religieuses du couvent des Ursulines, sont prises de spectaculaires crises convulsives. Elles balancent leur corps en arrière jusqu'à ce que leur tête touche leurs pieds, puis se mettent à marcher dans cette position impossible. Elles hurlent, et leurs propos et leurs gestes sont si indécents que les plus libertins sont scandalisés.
Dire que tout a peut-être commencé par une blague, ou un banal sourire et un échange de regards qui ont dégénéré. Plus de cinquante ans après, l'épidémie de rire la plus spectaculaire de l'histoire fait toujours fantasmer le public et passionne les chercheurs. D'autant qu'elle garde bien des zones d'ombre, à commencer par son facteur déclenchant. Cet incroyable fou rire a secoué le Tanganyika, aujourd'hui la Tanzanie, pays de l'Afrique anglophone au début des années 1960. Il est parti de trois écolières avant de se propager à des centaines de personnes, déstabilisant toute une communauté pendant six mois – dix-huit, selon certains.
En août 1951, les projecteurs sont braqués sur Pont-Saint-Esprit. En quelques jours, parmi les 4 200 habitants de cette petite bourgade tranquille du Gard, des centaines d'hommes et de femmes sont saisis d'étranges symptômes et des dizaines deviennent subitement fous. Face à ces cas qui se multiplient souvent au sein d'une même famille, les médecins évoquent une intoxication alimentaire. Le « coupable » est vite identifié : le pain de Roch Briand, boulanger. C'est d'autant plus évident que des animaux qui ont consommé celui de la fournée suspecte sont eux aussi touchés.
Dans les années 1980, une nouvelle et étrange maladie envahit l'Amérique : le trouble de la personnalité multiple. Ceux et surtout celles qui en sont atteints voient apparaître en eux des dizaines, parfois des centaines de personnalités qui se manifestent en alternance, indépendantes les unes des autres. Si, jusque dans les années 1970, moins de 100 cas avaient été observés, en 1995, les Etats-Unis répertorient 40 000 malades. Articles scientifiques et présentations se multiplient dans les congrès spécialisés, tandis que les patients se racontent dans des livres, des talk-shows télévisés, voire des productions hollywoodiennes.
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INTERNET - Vous ne connaissez ni le nom des acteurs, ni celui du réalisateur et encore moins la date de sortie de ce film mais vous voulez absolument le voir? Pas de panique, la plateforme Whatismymovie.com, créée par Valossa , a été conçue pour vous!
Doté d'une intelligence artificielle et d'un deep learning ce site permet de retrouver le titre d'un film, mais aussi d'une série, grâce à une brève description.
En renseignant les quelques infos dont vous vous souvenez, (soit par le biais du micro, soit en tapant les mots-clés sur le clavier) la plateforme réagit comme un moteur de recherche afin de trouver ce qui correspond le plus à vos attentes.
Facile à utiliser pour les films connus, il faudra tout de même tenter sa chance plusieurs fois pour les recherches les plus pointues.
Seul petit hic pour ceux qui ont du mal avec la langue de Shakespeare: le site est en anglais. Les recherches et les résultats devront donc se faire en version anglophone.
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L'affaire s'est déroulée en juin 2008, dans un bar tarbais. Des hommes jouent au billard. Quand l'un d'eux, ne voyant pas qu'un jeune spectateur, Kevin S., se trouve derrière lui, lui assène malencontreusement un coup dans l'œil avec la queue de billard. Il s'excuse mais aussitôt après, lui lance « si tu n'es pas content, c'est pareil ».
Pour toute réponse, ce dernier reçoit une gifle du jeune Kevin, âgé d'une vingtaine d'années. Qui sort pour se calmer quand le joueur de billard le suit « pour s'expliquer ». Et les coups pleuvent. Ce n'est pas fini. Alors que le joueur retourne à l'intérieur du bar, c'est sur le père du jeune homme qu'il tombe et, parce qu'il a porté atteinte à son fils, lui porte lui aussi « des coups ». Ce qui vaudra à la victime, en tout, neuf jours d'Interruption temporaire de travail (ITT).
« Je ne dis pas qu'il a fait exprès, mais il ne fallait pas qu'il me dise '' si tu n'es pas content c'est pareil''. Cela m'a énervé et je lui mis une claque », lance le jeune homme.
Mme Dasté, la procureure, parle « de blessures importantes qui témoignent d'une grande violence. Une réflexion et hop ! ça suffit pour mettre une gifle et s'ensuivre une altercation », constate-t-elle.
La « gravité des faits et la personnalité d'un jeune à peine âgé de 20 ans », qui possède un casier judiciaire déjà chargé avec une dizaine de mentions « pour de multiples condamnations, justifient une peine à hauteur de quatre mois de prison ».
Pour ce qui est de son père, au casier judiciaire vierge, non présent au tribunal, elle réclame 4 mois d'emprisonnement avec sursis.
L'avocat de la défense réclame un complément d'information en direction du père, des témoins attestant « qu'il n'a donné aucun coup à la victime », ou la relaxe au bénéfice du doute.
Concernant Kevin S., « s'il est un peu tête brûlée, il s'est mis du plomb à la tête depuis qu'il est emprisonné », indique son avocat. En effet, Kevin purge une peine de prison jusqu'à fin 2011, à la maison d'arrêt de Tarbes. « Il travaille, refait les douches pour apporter de l'aisance à ses codétenus. Ce n'est pas rien de se sentir utile quand on se sentait inutile auparavant. Il a même écrit à son ancien patron pour demander de l'embaucher. En retour, il lui propose un contrat de conducteur routier tout en envisageant un contrat d'apprenti. Kevin est libérable fin 2011. Dans quelque temps, je pourrais demander la pose d'un bracelet électronique », poursuit son avocat, avant de demander « la confusion des peines avec celle prononcée en juin 2008, dans l'intérêt de ce garçon qui fait des efforts pour se tenir bien, a recherché et trouvé un emploi pour sa sortie ».
Après en avoir délibéré, la présidente, Mme Khaznadar, a déclaré Kevin coupable des faits qui lui sont reprochés, le condamnant à deux mois de prison avec confusion avec la peine prononcée le 27 juin 2008. Quant à son père, il a été lui aussi reconnu coupable et condamné à deux mois de prison assorti du sursis simple.
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