Une délicieuse asiatique dévore une bite

Une délicieuse asiatique dévore une bite




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Une délicieuse asiatique dévore une bite
Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».

Dein Browser wird nicht mehr unterstützt. Aktualisiere ihn, um YouTube und unsere neuesten Funktionen optimal nutzen zu können. Weitere Informationen

Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Analyser activement les caractéristiques du terminal pour l’identification , Créer un profil personnalisé de publicités , Créer un profil pour afficher un contenu personnalisé , Développer et améliorer les produits , Exploiter des études de marché afin de générer des données d’audience , Mesurer la performance des publicités , Mesurer la performance du contenu , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal , Sélectionner des publicités personnalisées , Sélectionner des publicités standard , Sélectionner du contenu personnalisé , Utiliser des données de géolocalisation précises
En savoir plus → Refuser Accepter & Fermer

Cannibalisme: le nouvel eldorado du sexe extrême?


L’actrice Anne Heche meurt à l'âge de 53 ans


Abonné
Livres


Abonné
Cinéma

Accédez à l’intégralité des Inrockuptibles
Publié le 5 août 2012 à 17h01 Mis à jour
le 5 août 2012 à 17h01

Béatrice Dalle dans "Trouble Every Day" de Claire Denis (2001)
Manger de la viande humaine peut-il constituer une pratique sexuelle extrême ? Dévorer, mais pas seulement des yeux, a-t-il encore à voir avec le désir ? Plongée dans l’esprit de cannibales réels ou fantasmés. Article extrait des Inrocks spécial sexe, actuellement en kiosque.
Il fait très beau ce 26 mai à Miami. C’est une journée à quitter le centre-ville et emprunter le pont qui mène à la plage. Un jour lascif et langoureux. D’ailleurs, à mi-distance, on peut deviner sur le bas-côté deux hommes nus allongés. De loin, on dirait qu’ils s’embrassent. Les promeneurs, gênés, hâtent le pas et détournent le regard. Soudain, quelque chose cloche. Sur les peaux blanche et noire des deux hommes, il y a du rouge, vif. Du sang. L’incompréhension fait place à l’horreur. Rudy Eugene, 31 ans, n’embrasse pas Ronald Poppo, sans-abri de 65 ans. Il lui dévore le visage, aux deux tiers.
Les autorités expliqueront plus tard que le « zombie cannibale de Miami » était sous l’emprise d’une drogue de synthèse qui déclenche une crise psychotique et augmente la chaleur corporelle. Mais, selon les prélèvements effectués, Rudy Eugene n’avait consommé que de la marijuana. Une question subsiste : pourquoi était-il nu et sa victime à moitié déshabillée ? La veille, au Canada, Luka Rocco Magnotta met en ligne sur bestgore.com une vidéo du meurtre de son amant, Lin Jun, attaché nu sur un lit. Magnotta, ancien acteur porno et escort-boy de 30 ans, le poignarde avec un pic à glace et l’égorge. Il le mutile, le démembre en partie et viole son cadavre. Les enquêteurs laisseront entendre qu’il aurait goûté sa victime.
Le « sauvage » contre l’homme « civilisé »
Qu’y a-t-il dans la tête d’un homme qui en mange un autre ? Eugene et Magnotta incarnent les avatars les plus contemporains d’une pratique ancestrale : le cannibalisme. C’est le premier mot à traverser l’Atlantique. Au XVe siècle, Christophe Colomb le ramène à bord de la Santa María après avoir rencontré un peuple mangeur d’hommes. Dès lors, les hommes et femmes cannibales ont incarné la figure de l’altérité absolue, du « sauvage » contre l’homme « civilisé ». A tort bien sûr, comme le moqua Montaigne dans ses Essais.
Des siècles plus tard, Freud n’a guère aidé à dissiper ce malentendu. Aveuglé par une idéologie évolutionniste, il explique dans Totem et Tabou que les « primitifs » sont cannibales par absence d’inhibition. Il les considère à l’égal des sadiques. L’anthropophagie est une phobie politique héritée des Grecs. Pour eux, se manger les uns les autres était un obstacle à la cité.
« Tout comme les amazones, ajoute l’anthropologue Georges Guille-Escuret. A chaque société cannibale découverte, on imaginera des sociétés de femmes à côté. Soit les deux horreurs de la société patriarcale. »
Ajoutez le caractère sacré de la chair humaine dans les monothéismes et nous voilà avec un tabou fondateur de la modernité.
Comme si l’inconscient mondial enviait ces goûteurs de chair
Les mangeurs d’hommes et de femmes et autres tueurs psychopathes suscitent l’horreur la plus totale. En même temps ils fascinent, intriguent. Comme si l’inconscient mondial enviait ces goûteurs de chair qui ont franchi l’interdit ultime.
A y regarder de plus près, c’est peut-être au coeur de la libido que se cache un désir cannibale universel. Dans son incarnation la plus violente, celle des tueurs sanguinaires, le cannibalisme est souvent le substitut d’une sexualité défaillante. Leur seule manière d’atteindre la jouissance ou d’aimer. Le passage à l’acte correspondant toujours, selon les experts, à une pulsion sexuelle et à un impératif : posséder l’autre et résoudre via l’anthropophagie « l’angoisse de la séparation inéluctable », écrit Martin Monestier dans Cannibales (Le Cherche-Midi). « La jouissance est interminable puisqu’on porte en soi l’objet de son amour (…), l’ingestion représente la possession la plus totale. » C’est ainsi que les tueurs cannibales justifient leurs actes abominables. Albert Fish, le plus grand tueur de tous les temps – on estime à 400 le nombre de victimes du « vampire de Brooklyn » – entrait dans « un état d’orgasme perpétuel » quand il mangeait le sexe, les reins et les fesses de ses petites victimes.
L’Allemand Joachim Kroll, « le cannibal de la Ruhr », tue et mange des femmes et des petites filles depuis qu’à l’âge de 22 ans il a eu la révélation de son impuissance. Andreï Tchikatilo, « le boucher de Rostov », s’attribue 55 assassinats. « Manger certaines parties de leur corps, c’est ma seule façon de prendre du plaisir », expliquait le psychopathe lors de son procès. « J’étais frustré de mes échecs sexuels depuis l’adolescence. Chaque fois que mon couteau pénétrait dans un ventre ou une poitrine, je me sentais, moi, capable de pénétrer moi-même, virilement ma victime. » Tchikatilo commençait souvent par la langue et les yeux, passait aux organes sexuels et aimait mâcher les utérus.
« Je voulais sentir en moi l’existence d’une personne que j’aime »

Tous les tueurs cannibales connus sont des hommes blancs. Depuis dix ans, 170 d’entre eux ont été arrêtés aux Etats-Unis et 100 en Russie. Les psychopathes cannibales commencent souvent par dévorer les mains et le sexe de leur victime. Il est fréquent qu’ils filment ou photographient les étapes du dépeçage. Certains mastiquent longuement la chair devant une glace pour graver à jamais cet instant de jouissance extrême.
Plus troublant est le cas du Japonais Issei Sagawa. En 1981, cet étudiant japonais rencontre, à la fac de Censier (à Paris), Renée Hartevelt, une Néerlandaise de 25 ans. Sagawa l’invite chez lui, la tue d’une balle dans la tête, la découpe et la mange. Surtout ses fesses. Lors de son procès, « le Japonais cannibale » qualifiait son acte d’ « expression comme une autre de l’amour. Je voulais sentir en moi l’existence d’une personne que j’aime, j’éprouvais son existence dans mon corps, c’est un grand plaisir ».
« Le cannibalisme fait disparaître l’individualité et la séparation des êtres au profit de la totalité de la communion des corps », écrit Julien Picquart dans Notre désir cannibale (La Musardine).
Le cannibalisme de Sagawa, derrière sa justification amoureuse, ne serait-il pas plutôt l’incarnation d’un fantasme de toute-puissance doublé d’une haine des femmes ? Quel rapport avec les pratiques cannibales des sociétés primitives observées par l’anthropologue Claude Lévi-Strauss ? Pas grand-chose. En surface, on pourrait voir un parallèle dans le fantasme d’acquérir les pouvoirs du mangé pour palier l’impuissance comme Joachim Kroll ; un autre parallèle dans le fantasme d’emprisonner à jamais sa victime comme chez Issei Sagawa. Les comparaisons s’arrêtent là. Au contraire des sociétés « civilisées » ultra hiérarchisées construites sur des rapports de domination, dans les sociétés cannibales, manger l’autre n’est pas l’humilier mais le considérer comme son alter ego. « C’est honorable d’être mangé par un guerrier », raconte Guille-Escuret. La plupart du temps, le cannibalisme se pratique de manière exceptionnelle, en groupe, dans un rituel encadré. C’est un rite de passage, un égalitarisme, alors que le néocannibalisme de nos tueurs en série, à l’image de nos sociétés, est violent, nihiliste et individualiste.
« Je m’offre à vous, le corps vivant, pour me laisser manger »
L’affaire d’Armin Meiwes et de Bernd Brandes pourrait s’en approcher. C’est le premier cas connu de cannibalisation consentante. En 2001, Armin Meiwes, informaticien allemand, poste une annonce sur le net : « Cherche homme prêt à se faire manger. » Il reçoit plus de 200 réponses, dont celle de Brandes, ingénieur de 42 ans. « Je m’offre à vous, le corps vivant, pour me laisser manger. » Brandes vide son appartement, vend sa voiture et écrit ses dernières volontés avant de se rendre chez Meiwes. Il insiste pour se faire couper le pénis et le déguster avec son bourreau. Meiwes prend soin de filmer le repas. Le couple flambe le sexe, le goûte et décide finalement de le faire sauter à la poêle. Une fois fini, Meiwes tue Brandes de plusieurs coups de couteau dans le cou, le pend dans sa cave par les pieds pour l’étriper avant de le découper en morceaux.
Le cannibale y a pris goût. Il cherche une nouvelle proie consentante. La journaliste Agnès Giard a rapporté sur le site de Libération un échange de mails attribué à Meiwes et un candidat au suicide. Franky, aka Meiwes, écrit :
« Si vous avez entre 18 et 30 ans, avec un corps normalement bâti, venez à moi. Je vous massacrerai et mangerai votre chair délicate. S’il vous plaît, envoyez-moi un mail mentionnant votre âge, vos mensurations et si possible en y joignant une photo. »
Stevo, qui va entrer en contact avec Meiwes, avait quant à lui posté ce message, qui « s’adresse à tous les mâles ou femelles qui aimeraient faire de moi le repas de leur rêve. J’ai 18 ans et j’ai une chair tendre et délicieuse qui supplie qu’on la dévore. Si vous pensez que vous aimeriez m’avoir dans l’estomac, alors envoyez-moi un message et je répondrai à tous ceux qui m’expliqueront de quelle manière ils me mangeront ».
Je veux enregistrer ce contenu pour le lire plus tard
Je n'ai pas encore de compte pour alimenter ma bibliothèque




Übersicht


Dein Unternehmen vermarkten


Intern kommunizieren


Gemeinsam an Videos arbeiten


Verwandele deine Videos in eine Geldquelle




Benutzertyp


Enterprise


Kleinunternehmen


Kreative Profis




Branche


Fitness


Glaube


Ausbildung


E-Commerce


Immobilien







DEMO-VIDEOS

Lerne alle Funktionen von Vimeo kennen, von denen dein Unternehmen profitieren kann.
Anschauen




Lerne dazu


Vimeo-Blog


Videoschule


Erfolgsgeschichten von Kunden


Investor Relations




Verbinden


Entwicklertools


Partnerprogramm


Creative community


Hilfecenter







Sprache:
Deutsch


Jugendschutzfilter: Kein

© 2022 Vimeo.com, Inc. Alle Rechte vorbehalten.

Femme excitée joue avec une bite géante
Sublimes et gros nichons
Grosse nana se prend des bites

Report Page