Une coquine parfaite

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Une coquine parfaite
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le micro onde doit ĂȘtre en panne et c’est sĂ»rement pour la rĂ©chauffer


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avec la purée rien ne vaut une saucisse moule

bon appétit

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c'est du réchauffé cette vidéo

http://www.lesdebiles.com/une-saucisse-saveur-chatte-pas-fraiche-v43911.html

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le micro onde doit ĂȘtre en panne et c’est sĂ»rement pour la rĂ©chauffer

Les meilleurs contributeurs du mois



pawel :
Pourquoi y'a plus de nouvelles vidéos?


mansail :
elle attends pour mettre les saucisses Ă  cuire


mansail :
rigole pas le pépÚre


mansail :
pas mieux...


mansail :
cool ça a bien protéger la voiture ;j'espÚre qu'elle a rien


mansail :
une belle brochette de co.....d.;les passages cloutés se traversent à pied en poussant le velo


mansail :
passage Ă  niveau avec composants chinois......





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Paul organise une soirée surprise à Anaïs.
C’était un soir de printemps. Un soir oĂč le ciel Ă©tait clair et l’air pas encore lourd.

Le message de Paul Ă©tait simple: « Habille toi et mets du Champagne au frais, je passe te prendre Ă  vingt heures. On bois un verre chez toi et ensuite je t’emmĂšne dĂźner. »
AnaĂŻs savait bien ce qu’il aimait. Les robes, les talons hauts, et, le connaissant un peu, elle se doutait que l’endroit oĂč il l’emmĂšnerait dĂźner se prĂȘterait parfaitement Ă  ce genre de tenues.
Leur relation, un peu compliquĂ©e, Ă©tait encore timide et, jusque lĂ , aucun des deux ne se risquait en dehors des sentiers battus de peur d’effrayer l’autre ou de lui dĂ©plaire et de risquer, au mieux un fou rire, au pire de refrĂ©ner sĂ©rieusement les ardeurs.
Paul, lui, se disait que, puisque les sentiments Ă©taient lĂ  et qu’ils en Ă©taient certains, il Ă©tait peut ĂȘtre temps de tenter une approche plus « osĂ©e » tout au moins sur le plan de leurs Ă©bats. Il savait le risque qu’il prenait car, jusque lĂ , ses timides tentatives s’étaient soldĂ©es soit par un Ă©chec, soit par un abandon de sa part, trop inquiet de perdre sa perle rare. Il avait bien tentĂ© d’aborder le sujet sur un ton humoristique, mais, qu’il pensa ou non ce qu’il disait ou qu’il en eut ou non rĂ©ellement envie, la rĂ©ponse d’AnaĂŻs Ă©tait presque Ă  chaque fois la mĂȘme: « Tu ne penses qu’à ça ! »
Était-ce qu’elle fut trĂšs timide ou qu’elle n’eut pas besoin de ça ? Ou encore qu’elle prĂ©fĂ©rait improviser quand lui aimait imaginer ? Toujours est-il que, ce soir, Paul se lançait et tentait d’entraĂźner AnaĂŻs sur son territoire. Il avait, pour l’occasion, tout prĂ©vu. Il fallait que tout soit parfait et surtout que rien ne transpire de ses projets afin que la surprise soit totale, tout au moins pour elle.
AnaĂŻs se prĂ©parait donc comme il le lui avait demandĂ© et attendait l’heure oĂč retentirait la sonnette de sa porte. Ceci se produisit plus tĂŽt que prĂ©vu. Vers dix neuf heures trente, la sonnette se fit entendre. AnaĂŻs Ă©tait encore dans sa salle de bain en train de se prĂ©parer. Cela lui prit donc quelques minutes avant d’ouvrir la porte. Quand elle ouvrit enfin, personne
 Mais posĂ© sur le sol se trouvait une boite en carton, blanche, entourĂ©e d’un ruban dans lequel Ă©tait glissĂ©e un petite enveloppe. PosĂ© sur la boite elle trouva un bouquet de roses rouges qu’elle prit, ainsi que la boite avant de refermer en s’étant assurĂ©e que personne ne se trouvait alentours. Une fois Ă  l’intĂ©rieur elle ouvrit l’enveloppe. Elle en sortit un bristol sur lequel Ă©tait Ă©crit Ă  la main: « Je serai lĂ  dans une demi heure, j’espĂšre que ça te plaira
 Tendres baisers. »
Elle défit donc le ruban et ouvrit la mystérieuse boite en se demandant quel genre de délire Paul avait-il pu mettre à exécution.
Elle en sortit un joli ensemble de marque. Porte-jarretelles et soutien gorge, une paire de bas noirs ainsi qu’une paire de talons aiguilles vernis, mais, Ă©trangement, aucune culotte, string ou shorty d’aucune sorte. Était-ce un oubli de ça part ou plutĂŽt quelque-chose de volontaire ? Connaissant un peu le personnage, elle opta pour la seconde hypothĂšse. Allait-elle ou non satisfaire Ă  ses envies ? Il le verrait bien le moment venu

Elle acheva donc de se préparer.
À peine cinq minutes aprĂšs l’heure prĂ©vue la sonnette retentit Ă  nouveau. Cette fois-ci c’était bien lui. Elle ouvrit. Il se tenait lĂ , une bouteille de Champagne rosĂ© Ă  la main. Il portait un costume sombre et une chemise bleue dont le col, sans cravate, Ă©tait ouvert.
AprĂšs avoir dĂ©posĂ© un timide mais tendre baiser sur ses lĂšvres, il prit un instant pour l’admirer. Il la dĂ©tailla de la tĂȘte aux pieds et pensa qu’il avait vraiment de la chance d’avoir pour lui une si belle femme. Il constata avec plaisir qu’elle portait les chaussures qu’il lui avait offert. N’étant pas expert, il ne sĂ»t dire si elle portait des bas ou un collant mais, quoi qu’il en fĂ»t, le galbe de ses jambes magnifiques gainĂ©es des ces bas (ou collant, il ne savait toujours pas) accĂ©lĂ©ra lĂ©gĂšrement les battements de son cƓur. Ses yeux remontĂšrent jusqu’à mi-cuisses, lĂ  oĂč commençait la robe qu’elle avait choisie. Noire, pas suffisamment moulante pour qu’il puisse deviner si elle portait ou non l’ensemble qu’il avait dĂ©posĂ© devant sa porte plus tĂŽt et, encore moins si elle portait quelque chose en dessous. Ce serait sa part de surprise Ă  lui, ainsi probablement qu’une bonne partie du reste de la soirĂ©e, car, si il avait plantĂ© le dĂ©cor et fixĂ© les dĂ©tails, il aimait tout de mĂȘme l’idĂ©e qu’elle le surprenne.
Cette robe donc qui se resserrait Ă  la taille, arborait un dĂ©colletĂ© qui, mettant en valeur sa jolie poitrine, provoqua chez lui une nouvelle « émotion ». Son maquillage Ă©tait parfait et mettait en valeur ses jolis yeux et ses cheveux relevĂ©s et attachĂ©s dĂ©couvraient sa nuque parfaite. Il Ă©tait aux anges. La soirĂ©e s’annonçait bien. Il ouvrit finalement la bouche pour se risquer Ă  un timide: « tu es magnifique ! » qui, vu l’émotion qu’elle avait suscitĂ© en lui, ne manquait pas de sincĂ©ritĂ©.
Elle le remercia du compliment et ajouta: « Tu n’es pas mal non plus. »
À cet instant, elle se demandait si lui portait des sous-vĂȘtements Ă  la hauteur de ceux qu’il lui avait offert.
Elle prit donc la bouteille pour la mettre au frais et le fit entrer. Revenue de la cuisine, elle lui proposa de s’installer sur le canapĂ© et de servir le Champagne qui Ă©tait au frais sur la table basse, ce qu’il fit.
Elle s’installa elle aussi sur le canapĂ©, sur la partie perpendiculaire Ă  la sienne, Ă  une distance qui leur permettait de mutuellement bien se voir. Ils trinquĂšrent. La discussion alla d’un sujet Ă  l’autre Ă  mesure que le niveau de la bouteille descendait. Le Champagne aidant, les sujets se firent plus osĂ©s sans jamais devenir crus. Les jambes croisĂ©es d’AnaĂŻs ne lui laissaient toujours pas deviner ce qu’elle portait en dessous. Cette question commençait Ă  l’obsĂ©der et elle le savait. Pour toute rĂ©ponse Ă  son regard interrogateur, elle se contenta d’un sourire coquin. Il devrait se contenter de ça pour l’instant

Il ne finirent pourtant pas la bouteille entiĂšrement et, regardant sa montre, Paul donna le dĂ©part pour aller dĂźner. Une fois qu’elle fĂ»t prĂȘte Ă  partir, Paul l’enlaça. Elle vint coller son bassin au sien et lui administra un long et langoureux baiser, ce qui rassura Paul sur la suite de la soirĂ©e. Puis ils partirent.
Sur la route, leurs mains se caressĂšrent, caressĂšrent un genoux, une cuisse, et AnaĂŻs empĂȘcha Paul de s’aventurer plus haut. Elle savait garder le contrĂŽle. Elle par contre se doutait qu’il devait dĂ©jĂ  ĂȘtre excitĂ© et, comme pour vĂ©rifier, sa main remonta le long de la jambe de Paul jusqu’à son entre-jambes oĂč elle trouva ce qu’elle Ă©tait venue chercher
 S’il parvenait jusque lĂ  Ă  se maĂźtriser, cette caresse inopinĂ©e acheva de le faire durcir au point que cela en fĂ»t presque inconfortable pour lui. C’était pourtant tellement bon ! Il laissa Ă©chapper un court gĂ©missement et elle enserra son membre et accentua la pression Ă  mesure qu’elle le sentait grossir dans sa main. Paul n’en pouvait plus. Il sentait la chaleur de l’excitation sur ses joues. Quelques caresses de plus Ă  travers le tissus et elle retira sa main sachant l’effet qu’elle venait de provoquer sur son amant. Les quelques minutes de route restantes aidĂšrent Paul Ă  reprendre ses esprits et Ă  tenter de se maĂźtriser pour ne pas lui sauter dessus tout de suite. Il avait tout de mĂȘme prĂ©vu un peu plus que cela.
Il gara la voiture dans une ruelle parisienne non loin du restaurant oĂč il avait rĂ©servĂ©. Encore un long et profond baiser une fois sortis de la voiture et, main dans la main, ils marchĂšrent jusqu’à au restaurant.
C’était un petit restaurant parisien, discret d’extĂ©rieur et dont l’attrait principal, au goĂ»t de Paul, Ă©tait l’ambiance tamisĂ©e qui y rĂ©gnait. L’endroit idĂ©al pour un rendez-vous romantique. On les installa Ă  une table discrĂšte, dans un coin en leur tendant la carte.
Comme Ă  son habitude, Paul fĂ»t rapide Ă  choisir ce qu’il voulait. Il profita de ce petit temps pour plonger ses yeux dans ce regard qu’il aimait tant.
Une fois la commande passĂ©e, la bouteille de vin fĂ»t rapidement servie et les discussions reprirent. Elle ne furent pourtant pas aussi sages que prĂ©cĂ©demment, surtout aprĂšs ce qu’il s’était passĂ© plus tĂŽt et les quelques verres qu’ils avaient dĂ©jĂ  Ă  leur actif.
Paul se demandait toujours ce qu’elle portait ou ne portait pas en dessous et, aprùs un verre de plus, il se risqua à le lui demander.
– Je me demande toujours si tu porte tout ce que j’ai mis dans la boite.
– Tu veux vraiment le savoir ? Maintenant ?
Il eut un hésitation
– Au moins est-ce que tu as mis quelque chose en dessous ou pas ?
– Ça aussi ? Tu veux vraiment le savoir tout de suite ?
À cet instant, Paul eut une pensĂ©e perverse que je dĂ©crirait peut-ĂȘtre une autre fois. Il se retint de la divulguer et, aprĂšs une autre hĂ©sitation il se risqua :
– As tu envie de jouer ?
– Ça dĂ©pend Ă  quoi.
– Bien. Alors, accepterais-tu, pour moi, d’aller aux toilettes et de l’enlever puis, quand tu reviendras, de le glisser dans ma poche ?
– Ça t’exciterait ?
– Tu veux dire plus que je ne le suis dĂ©jĂ  ? Oui, ça m’exciterait beaucoup de savoir que tu ne portes rien en dessous.
Elle se leva en lui adressant un sourire entendu avant de se diriger vers les toilettes en prenant soin en chemin de se retourner pour vĂ©rifier qu’il lĂ  suivait bien du regard, puis elle disparut derriĂšre la porte.
À son retour, elle alla directement s’asseoir Ă  sa place sans rien dĂ©poser ni dans la poche de Paul ni sur la table en lui adressant un regard pour le moins coquin.
Ne portait-elle rien depuis le dĂ©but ? Ou bien n’avait-elle rien enlevĂ© ? Peut-ĂȘtre se moquait-elle de lui ? N’y tenant plus, il se risqua Ă  poser la question.
Elle se leva et s’approcha de lui. Elle se pencha vers lui pour l’embrasser tout en lui murmurant: « vĂ©rifie toi mĂȘme. »
DĂ©cidĂ©ment, elle savait le surprendre. Alors qu’il l’embrassait, il fit remonter sa main sur l’intĂ©rieur de sa cuisse. Il dĂ©couvrit au toucher le haut de ses bas, il se risqua plus avant jusqu’à son entrejambes et ses doigts ne rencontrĂšrent aucun tissus d’aucune sorte mais tombĂšrent directement sur ses lĂšvres lĂ©gĂšrement humides.
C’était plus qu’il n’en espĂ©rait. Non seulement, se pliant Ă  son envie, elle ne portait rien, mais elle Ă©tait comme toujours parfaitement rasĂ©e. Il entama quelques caresses et alla jusqu’à commencer Ă  y introduire son doigt. AprĂšs quelques secondes elle lui murmura: « Pas tout de suite quand mĂȘme. Gardes en un peu pour plus tard. »
Il dût se raisonner à reporter ses caresses à un moment plus propice et elle retourna à sa place.
– Alors ? Satisfait ?
– Plus que ça mĂȘme !
– Alors attend un peu, la soirĂ©e n’est pas finie.
Allait-il la laisser ainsi prendre le contrĂŽle de « sa » soirĂ©e ? Lui qui avait si bien pensĂ© tous les dĂ©tails se trouvait pris Ă  son propre jeu et l’excitation n’en Ă©tait que plus grande.
Ils dĂźnĂšrent en parlant de choses et d’autres. Les discussions se firent coquines. Il fut question d’expĂ©riences sexuelles, de jeux amoureux, de fantasmes et d’envies. Quelle bonheur pour lui que de s’apercevoir qu’à cet instant ils Ă©taient sur la mĂȘme longueur d’ondes, synchronisĂ©s dans leurs envies, ce qui, jusque lĂ , n’avait pas toujours Ă©tĂ© le cas.
Le cafĂ© fut pris, l’addition demandĂ©e, et Paul la rĂ©gla sans mĂȘme en regarder le montant. Peu lui importait Ă  ce moment lĂ . De toutes façons, pour lui, rien n’était trop beau pour elle et ce moment de complicitĂ© valait bien tout l’or du monde.
Puis ils sortirent de cet endroit et prirent la direction de la voiture. Paul pensait Ă  l’origine l’emmener boire un verre dans un endroit sympathique, mais il se ravisa se disant qu’une bouteille les attendait encore au frais chez elle. ArrivĂ©s Ă  la voiture, dans cette ruelle mal Ă©clairĂ©e, il prit le temps de l’appuyer contre la portiĂšre pour l’embrasser encore une fois, longuement. Il ne pĂ»t rĂ©sister Ă  l’envie de glisser encore une fois sa main sous sa robe pour profiter de ce fruit dĂ©fendu qu’il voulait sien ainsi que des formes d’AnaĂŻs qu’il aimait tant. Il voulait aussi enfin savoir si elle portait cet ensemble qu’il lui avait offert. La brĂšve caresse de tout Ă  l’heure, si elle lui avait confirmĂ© qu’elle portait bien des bas, ne le lui avait toujours pas renseignĂ© sur ce porte-jarretelles.
Ses mains enserrĂšrent ses jolies fesses, plongĂšrent dans ce magnifique dĂ©colletĂ© qui, si il ne possĂ©dait pas encore un minimum de retenue, l’aurait fait baver depuis un long moment dĂ©jĂ , puis finirent par remonter entre ses cuisses jusqu’à toucher cette intimitĂ© tant dĂ©sirĂ©e. Il eut l’impression qu’AnaĂŻs Ă©carta mĂȘme un peu les jambes afin de lui faciliter la tĂąche.
C’est dans un Ă©tat d’excitation indescriptible qu’il finit par lui ouvrir la porte et qu’il s’installa au volant. Ils prirent ainsi le chemin du retour.
Les caresses reprirent, comme Ă  l’aller, mais cette fois elles furent plus osĂ©es, plus avancĂ©es, plus appuyĂ©es

Paul aventura à nouveau ses mains sous la robe d’Anaïs et entreprit de la caresser.
Au bout d’un moment, alors qu’ils Ă©taient sortis de la ville, elle retira la main de Paul et la replaça sur le volant en disant: « Essaye de te concentrer un peu sur la route. »
Quand ce fut fait elle lui dit: « Alors ? C’est ça que tu voulais voir ? » et elle remonta doucement sa robe.
– Oui ! rĂ©pondit-il. J’adore !
Elle remonta encore un peu sa robe et dit: « Tu aimes regarder, non ? »
– Oui !
Elle acheva de remonter entiĂšrement sa robe et Ă©carta un peu ses jambes.
– Ca te plaüt ?
– Oh oui !
– Et ça ? dit elle en glissant une main entre ses cuisses et en commençant à se caresser.
– J’adore ! Paul avait beaucoup de mal Ă  fixer son regard sur la route tant ce spectacle lui Ă©tait agrĂ©able.
– Concentre toi ! lui rĂ©pĂ©ta-t-elle. Puis elle cessa de se caresser et redescendit sa robe.
Paul Ă©tait un peu déçu que ce fut terminĂ© si vite, mais c’était dĂ©jĂ  beaucoup plus qu’il n’en attendait et il fallait qu’il se concentre sur sa conduite. Mais AnaĂŻs ne semblait pas dĂ©cidĂ©e Ă  s’arrĂȘter lĂ  car elle glissa sa main directement sur la bosse du pantalon de Paul qui n’était plus discrĂšte du tout. Elle le caressa un peu Ă  travers le tissus puis, sans qu’il s’y attende, en dĂ©fit la fermeture Ă©clair et glissa sa main dans l’ouverture.
Elle fut contente de dĂ©couvrir qu’il avait entendu ses demandes rĂ©pĂ©tĂ©es concernant ses sous vĂȘtements.
EncouragĂ©e par ce qu’elle venait de trouver, AnaĂŻs s’aventura plus avant et glissa sa main Ă  l’intĂ©rieur du caleçon de Paul oĂč elle trouva rapidement ce qu’elle Ă©tait venue y chercher. Elle empoigna ce sexe bien dur et le fit sortir de son carcan de lycra. Elle dĂ©tendit la sangle de sa ceinture et se pencha pour venir embrasser Paul dans le cou et sur la joue tout en commençant un mouvement de va et viens de sa main dont elle accentuait la pression.
« Ça va ? Tu es toujours concentrĂ© ? » dit-elle avec un petit sourire provocateur.
Sans attendre de rĂ©ponse de la part de son amant elle se pencha encore jusqu’à toucher de ses lĂšvres le bout de ce membre gonflĂ© Ă  bloc. Elle sortit tout d’abord sa langue pour en lĂ©cher encore le bout puis, plus entreprenante, elle commença Ă  lui administrer une fellation dont elle espĂ©rait bien qu’il se souviendrait longtemps

De son cĂŽtĂ©, Paul faisait des efforts surhumains pour rĂ©sister au traitement qu’AnaĂŻs lui administrait. Heureusement pour lui, la conduite Ă©tait lĂ  pour le rappeler Ă  l’ordre et l’aider Ă  rĂ©sister sans quoi il eut probablement craquĂ© rapidement. Mais il avait d’autres projets. C’était trop tĂŽt.
Ils arrivaient au moment de quitter l’autoroute et AnaĂŻs arrĂȘta sa douce torture.
Il gara la voiture devant chez elle et ils sortirent. Une nouvelle fois, il vint enserrer sa taille de ses main et leurs langues s’entremĂȘlĂšrent. Puis AnaĂŻs ouvrit la voie et la porte d’entrĂ©e.
À peine l’eut-elle refermĂ©e qu’il la plaqua contre le mur. Une main sur ses fesses, l’autre sous sa robe. Il l’embrassa, la caressa, la souleva et elle passa une de ses jambes autour de lui. Son parfum, le toucher de sa peau, ses baisers lui faisaient perdre tout contrĂŽle. Il aurait Ă©tĂ© prĂȘt Ă  la prendre lĂ , dans l’entrĂ©e, contre le mur. Mais il se souvint de la bouteille qui les attendaient et se dit qu’aprĂšs tout, le plaisir Ă©tait aussi dans l’attente. Ils passĂšrent donc au salon et se servirent encore du Champagne. Tout cet alcool avait achevĂ© de lever les inhibitions de Paul et il espĂ©rait bien qu’il en Ă©tait de mĂȘme pour AnaĂŻs. Ils burent. Silence, regards appuyĂ©s, sourires. AnaĂŻs la premiĂšre rompit le silence. En posant son verre elle dit: « On en Ă©tait oĂč dĂ©jĂ  ? »
– Je ne sais plus
 mentit Paul.
– Ah oui. Je me souviens. dit elle en s’approchant de lui.
Elle posa la main sur sa ceinture qu’elle dĂ©fit avec une facilitĂ© surprenante, fit glisser la fermeture Ă©clair et plongea sa main sous l’élastique. Puis en empoignant Ă  nouveau cette virilitĂ© qui, si elle avait un peu dĂ©gonflĂ©, ne tarda pas Ă  reprendre de
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