Une coquine celibataire chauffe son voisin
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Une coquine celibataire chauffe son voisin
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"hihihi, ma mĂšre se fait dĂ©boiter... mais au fait, oĂč mon est p'tit ami ?... Brad ?!... BraaaaAAAAAd ?"
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hi shut up i can't hear your mom and don't laught it will be your turn with your boyfriend
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pfff mĂȘme si je trouve que la mĂšre aurait pĂ»t ĂȘtre plus discrĂšte, ça n'empeche que la fille fera surement la mĂȘme chose en live sur le net !!! donc bon...perso le mec me semble bien endurant lol ^^
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Moi je dirais plutÎt : "Elle entends sa mÚre se faire démonter !" :P
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@magnus , on peut avoir plus des explications sur cette vidéo , on comprend pas.
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BientĂŽt elles seront trois Ă Ă©couter !!! :D :D :D
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lundi matin:bonjour madame Dubonnet c'est votre fille qui était sur les débilles? euh je sais pas...pourquoi?oh rien mme dubonnet c est juste qu'elle est sympas leur petite video lol
Les meilleurs contributeurs du mois
belnea :
idem. faut que je ressorte l'orbitale.
p'tit zef :
qu'est-ce qu'il film, la mer ou l'orque?
pawel :
passe un coup d'aspirateur avant pour Ă©viter d'avoir le gros dans la gueule
mansail :
pas bon pour les sacs...ça va trop secher
mansail :
allez Ă la niche et gamelle d'eau froide
mansail :
bien sonné le pépÚre
mansail :
belle maitrise
a40132 :
idem
nene1602 :
je vais essayer ça de suite
nene1602 :
bien monté le bestiau :) :) :)
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Dimanche 2 juin 2013 pendant un barbecue en Belgique, Alex a eu la visite de sa voisine. Elle semble vouloir aller Ă la maison communale voir le coffre, mais le voisin lui rĂ©pond qu'elle est fermĂ©e le dimanche. La vieille dame ne comprend pas et commence Ă s'Ă©nerver et Ă insulter Alex et les autres personnes de Crapule. "Allez au diable !" "Nous irons de votre part", "Nom de dieu j'aurais votre peau !", "Salopard que vous ĂȘtes ! Vous ĂȘtes la pire crapule qui existe au monde", "Si vous ĂȘtes un chien ! Pire qu'un chien, un chien ne parle pas comme ça", "Vous ĂȘtes armĂ©nien, de la pire espĂšce", "Retournez dans votre pays". Cette vieille dame semble ĂȘtre atteinte de dĂ©mence.
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Bien-ĂȘtre
Publié le
19/05/2018 Ă 07:30
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Jamais Claire n'aurait imaginé faire l'amour dans un avion avec un parfait inconnu.
"Il y a deux ans, dans un vol pour New York, je me suis envoyĂ©e en l'air. Au sens propre, comme au figurĂ©. J'avais pris l'avion seule Ă cause d'un cafouillage avec mon amie Sophie sur nos dates de vacances. Nous avions prĂ©vu de passer une semaine sur place et je devais la rejoindre.Â
Cela ne me posait aucun problĂšme. Au contraire, j'adore voyager seule . Le temps est comme suspendu. On est injoignable, il n'y a rien d'autre Ă faire que de se distraire. Je profite Ă fond de ce moment : je m'achĂšte une tonne de magazines, je m'autorise deux ou trois verres de vin durant le vol et je regarde des comĂ©dies romantiques que je n'aurais jamais l'idĂ©e d'aller voir au cinĂ©ma.Â
Pour ce vol, j'Ă©tais Ă la place du milieu, coincĂ©e entre une AmĂ©ricaine d'une quarantaine d'annĂ©es cĂŽtĂ© hublot et un Français dans la trentaine, cĂŽtĂ© couloir. J'ai Ă©changĂ© quelques mots polis avec la dame au moment de m'installer mais Ă peine avions-nous dĂ©collĂ© que j'avais dĂ©jĂ le casque sur les oreilles, plongĂ©e dans un film quelconque avec Jennifer Aniston.Â
Au moment du passage de l'hĂŽtesse, j'ai enlevĂ© mes Ă©couteurs pour lui indiquer mon choix de boisson et que je prĂ©fĂ©rais les pĂątes au poulet pour le repas. C'est Ă ce moment lĂ qu'Ivan, mon voisin, a engagĂ© la conversation sur les mĂ©rites comparĂ©s des deux propositions.Â
Comme entrĂ©e en matiĂšre, on a vu mieux mais cela m'a permis de le regarder avec plus d'attention. Au premier abord, je l'avais trouvĂ© quelconque. LĂ , son physique plutĂŽt commun s'animait d'un sourire trĂšs attirant. Nous avons parlĂ© de la pluie et du beau temps pendant quelques minutes en mangeant nos repas insipides. La femme Ă cĂŽtĂ© de moi avait le regard fixĂ© sur son Ă©cran, les Ă©couteurs soigneusement vissĂ©s aux oreilles.Â
Peu Ă peu, nous avons abordĂ© d'autres sujets : j'ai appris qu'Ivan avait 29 ans, qu'il Ă©tait ingĂ©nieur, qu'il se rendait Ă New York pour retrouver une bande d'amis. Ils avaient prĂ©vu de passer trois semaines Ă voyager Ă travers les Etats-Unis. Nous avions pas mal de points communs : l'Ăąge, le goĂ»t du voyage, mĂȘme nos vies Ă Paris se ressemblaient beaucoup. Nous nous sommes rendus compte que nous sortions dans les mĂȘmes endroits et que nous vivions Ă quelques stations de mĂ©tro de distance.Â
A un moment, il a posĂ© sa main sur mon avant-bras pour appuyer son propos. MalgrĂ© son air de ne pas y toucher, il s'est attardĂ© une seconde de plus que la politesse ne le permet. Cela m'a mis la puce Ă l'oreille. Je me suis dit que sous cette conversation innocente se jouait en sous-texte quelque chose de bien diffĂ©rent. Nous avons continuĂ© Ă discuter. J'ai embrayĂ© innocemment sur le terrain de la vie sentimentale. Il m'a dit ĂȘtre cĂ©libataire. "Ăa t'intĂ©resse ?", a-t-il demandĂ©, goguenard.Â
Finalement, les lumiĂšres de l'avion se sont Ă©teintes. J'ai dit Ă Ivan que j'allais dormir un peu. J'ai toujours eu du mal Ă m'installer confortablement dans un espace exigu. Je n'ai jamais compris comment certaines personnes faisaient pour s'endormir toutes droites dans leurs siĂšges. Moi, je me contorsionne, je me tourne et me retourne. A cette place du milieu, je ne parvenais pas Ă caler ma tĂȘte. "Tu peux t'appuyer sur moi", a proposĂ© Ivan.Â
J'ai dĂ©clinĂ©e, gĂȘnĂ©e. Au bout d'une dizaine de minutes, j'ai fait semblant de m'ĂȘtre assoupie pour pouvoir tout de mĂȘme m'appuyer sur son Ă©paule sans ĂȘtre dĂ©masquĂ©e. J'Ă©tais Ă©lectrisĂ©e par cette intimitĂ© soudaine avec un total inconnu.Â
Son contact Ă©tait agrĂ©able. Au bout d'un moment qui m'a semblĂ© terriblement long, j'ai senti sa main me caresser les cheveux. C'Ă©tait trĂšs agrĂ©able. J'ai rĂ©alisĂ© que si je ne faisais rien, il risquait d'arrĂȘter. Prise d'une impulsion, j'ai posĂ© ma main sur sa cuisse. Comprenant que je ne dormais pas, il s'est penchĂ© vers moi et nous nous sommes embrassĂ©s. D'abord timidement, plus fougueusement ensuite.Â
Je jetais des petits regards Ă notre voisine mais elle semblait profondĂ©ment endormie, collĂ©e contre le hublot. RassurĂ©s, nous nous sommes caressĂ©s, cachĂ©s sous le plaid fournie par la compagnie aĂ©rienne.Â
" C'est hyper clichĂ©, non ?", s'est amusĂ© Ivan. "Tu sais ce qui serait encore plus clichĂ© ?, ai-je demandĂ©. Se retrouver aux toilettes du fond dans cinq minutes." Je ne sais pas oĂč j'ai trouvĂ© l'audace de lui faire cette proposition. La promiscuitĂ© imposĂ©e pendant de longues heures et l'alcool fourni ont sĂ»rement accĂ©lĂ©rĂ© les choses. Si nous avions eu un rendez-vous dans un bar Ă Paris, j'aurais Ă©tĂ© incapable de jouer Ă ce petit jeu. Le fait de relever un fantasme si courant a aussi jouĂ©. Je me suis dit : "Je me lance, ça fera une histoire dingue Ă raconter."Â
AussitĂŽt dit, aussitĂŽt fait. J'ai laissĂ© Ivan s'extraire de son siĂšge le premier. J'ai attendu cinq minutes exactement, vĂ©rifiant frĂ©nĂ©tiquement l'heure sur ma montre. Au moment fatidique, je me suis levĂ©e.Â
Dans la travĂ©e, je n'ai regardĂ© personne. Je me suis ruĂ©e jusqu'Ă la cabine dĂ©signĂ©e. J'ai frappĂ© un lĂ©ger coup. La porte s'est ouverte. Je me suis engouffrĂ©e dans les toilettes. Une fraction de secondes, je me suis demandĂ©e ce que je faisais lĂ , coincĂ©e entre le minuscule lavabo en plastique et la cuvette. Mais bon, puisque j'en Ă©tais lĂ , autant ne pas faire les choses Ă moitiĂ© !Â
Ivan a sorti un prĂ©servatif de sa poche - avait-il prĂ©vu son coup ?- Nous avons fait l'amour : moi, les fesses en Ă©quilibre prĂ©caire sur le rebord du lavabo, lui tĂąchant de se rester Ă la bonne hauteur. Nos deux pantalons baissĂ©s sur les chevilles ne nous aidaient pas franchement Ă ĂȘtre Ă l'aise.Â
L'acte en lui-mĂȘme n'a pas durĂ© trĂšs longtemps mais cela a Ă©tĂ© un bon moment. Les Ă©clairages froids de la cabine et la proximitĂ© des toilettes n'ont en tout cas rien gĂąchĂ©. D'ailleurs, contrairement Ă ce que l'on croit d'ordinaire, les toilettes d'avion sont mĂȘme plutĂŽt propres, en tout cas bien plus que certains lits de mes dates Tinder Ă Paris !Â
De toute façon, compte tenu de l'exiguĂŻtĂ© des lieux, on ne s'Ă©tale pas. Je me souviens aussi que le miroir devant le lavabo a jouĂ© un grand rĂŽle dans mon excitation. Il me suffisait de pivoter un peu pour nous voir en pleine action. L'adrĂ©naline, la peur de se faire surprendre et le fait d'ĂȘtre attentifs aux moindres bruits ont aussi contribuĂ© Ă rendre ce quickie trĂšs excitant .Â
Nous avons joui l'un aprĂšs l'autre, Ă quelques secondes d'intervalle. Ivan a ensuite enlevĂ© le prĂ©servatif et l'a jetĂ© aux toilettes. Je me suis rajustĂ©e et je suis sortie en premier. Personne ne m'a remarquĂ©e. Enfin, je crois.Â
Cinq minutes plus tard, Ivan Ă©tait de retour Ă sa place. Nous avons discutĂ© Ă mi-voix, nous confiant l'un Ă l'autre que jamais nous n'aurions cru une telle aventure possible. J'ai fini par fermer les yeux. Une maniĂšre de couper court Ă la discussion et de prendre un moment pour repenser tranquillement Ă tout ça. Je me suis vraiment endormie. Les lumiĂšres de l'avion se sont rallumĂ©es. Le petit-dĂ©jeuner a Ă©tĂ© servi.Â
Avec Ivan, nous avons discutĂ©, comme si de rien n'Ă©tait. Au fond, j'Ă©tais un peu mal Ă l'aise en repensant aux Ă©vĂ©nements de la nuit. Je sentais que lui aussi marchait sur des oeufs. Je crois que nous avons Ă©tĂ© soulagĂ©s quand l'avion s'est posĂ©. Nous avons Ă©changĂ© nos noms en promettant de nous ajouter sur Facebook. Je l'ai perdu de vue dans les allĂ©es de l'aĂ©roport mais il m'a envoyĂ© un message deux jours plus tard pour savoir si tout allait bien.Â
Prise dans le tourbillon new-yorkais, j'ai rĂ©pondu gentiment mais sans relancer. Par la suite, je n'ai plus jamais eu de nouvelles. Je l'avoue, il m'arrive tout de mĂȘme d'aller l'espionner sur Facebook. J'ai vu qu'il avait une copine depuis quelques mois et qu'ils Ă©taient partis en vacances au Mexique. Je me demande s'il a retentĂ© l'expĂ©rience..."Â
La Chatte Ă L'air
Alexxa Vice
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