Une colombienne tres chaude

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5 recettes traditionnelles colombiennes


Les patacones, célèbre plat de la Colombie


La recette colombienne du fameux riz coco


L'arepa au fromage, l'incontournable de la gastronomie de colombie


La recette de l'ajiaco, le plat typique de Bogota


La recette du très populaire sancocho


Vous avez l'eau à la bouche? Venez déguster ces petits plats en personne!


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Pour un petit avant-goût de voyage au bout du monde, voici nos recettes traditionnelles colombiennes préférées . Nous vous proposons de cuisiner ces bons petits plats pour toute la famille. De quoi faire voyager vos papilles !
Retrouvez ci-dessous notre sélection de 5 recettes traditionnelles colombiennes !
Les patacones , bananes plantains aplaties et frites , accompagnent la plupart des plats colombiens. Ils ont l’aspect de petites galettes jaunes.
Couper chaque banane en 3 morceaux, les faire frire dans un bain d’huile ou friteuse pendant 3/4 minutes ( elles doivent s’attendrir).
Préparer un saladier avec de l’eau, de l’ail écrasé et un peu de sel. Passer rapidement les bananes dans le mélange, puis aplatir chaque morceau de banane á l’aide d’un rouleau á pâtisserie (environ 1cm d’épaisseur).
Replonger les bananes dans l’huile et laisser dorer.
Égoutter, saler et déguster à l’apéritif ou en garniture poissons et fruits de mer.
Spécialité de la côte caraïbe colombienne , le riz coco est un délicieux accompagnement pour vos poissons ou fruits de mer.
Mixer 1/2 coco (ou la moitié du lait de coco et la moitié de la coco râpée) avec 250ml d’eau. Passer au chinois.
Dans une casserole chauffer la panela ou le sucre avec le mélange obtenu su chinois. Laisser réduire et foncer (caraméliser légèrement).
Mixer l’autre moitié de la coco ( ou le reste de lait et de coco) avec le reste d’eau. Passer au chinois et ajouter à la casserole. Des petits morceaux de caramel (cocada) doivent se détacher. Saler.
Porter à ébullition et verser le riz.
Compléter avec de l’eau si nécessaire selon le riz utilisé.
L’ arepa est une sorte de pain à base de farine de maïs. C’est certainement l’aliment le plus consommé par les Colombiens, en particulier dans la Région du Café et à Medellín . Il existe une grande variation d’arepas: arepa de huevos (aux oeufs), arepa de choclo (à base de maïs jaune), etc… L’ arepa au fromage est très apprécié des français.
Émietter les fromages, les mélanger. Réserver.
Faire fondre le beurre dans le lait tiède. Dans un grand saladier, mélanger la farine avec le sel et le sucre. Verser l’eau, le lait au beurre. Mélanger et pétrir durant quelques minutes, de façon à obtenir une pâte lisse, légèrement collante. Ajouter de la farine si elle colle trop. Il ne faut pas s’attendre à une pâte type pâte brisée ou pâte à pain puisqu’il n’y a pas de gluten dans la farine de maïs.
Façonner des petits disques. Mettre le fromage au centre d’un disque. Recouvrir d’un deuxième disque de pâte en fermant bien les bords.
Chauffer une poêle huilée (à la plancha, c’est super!) et y faire dorer les arepas, 3 minutes de chaque côté. Déguster sans attendre.
Mi-soupe mi-ragout de poulet et de pommes de terre, l’ajiaco est le plat typique de Bogota , la capitale colombienne.
Dans une casserole, mettez les oignons, le coriandre, le sel et les poulets. Couvrez d’eau. Faites cuire à feu vif en écumant. Puis réduisez le feu et laissez cuire.
Quand le poulet commence à être cuit, retirez le coriandre et les oignons et ajoutez les bouillons-cubes. Poivrez. Mettez en plus la pomme de terre « sabanera » et laissez cuire à feu moyen pendant 30 min.
Quand les poulets sont cuits, sortir les pour les laisser refroidir puis les débiter en petits morceaux.
Mettez ensuite dans la casserole les pommes de terre « criolla » et « pastusa » et vérifiez l’assaisonnement. Ajoutez les feuilles de guasca et les épis de maïs. Poursuivez la cuisson pendant 15 min.
Quand les pommes de terre sont cuites, remettez les morceaux de poulet et laissez cuire 5 à 10 min encore.
Servez bien chaud, accompagné de crème fraîche, de câpres, de piment et de tranches d’avocat bien mûres.
Le sancocho , pot-au-feu colombien, est un plat copieux et délicieux.
Émincer l’oignon en fines lamelles et hacher 2 gousses d’ail.
Dans un grand fait-tout, faire dorer l’ail et l’oignon dans l’huile d’olive. Une fois que c’est bien doré, faire saisir la viande à feu moyen et dorer là de tous les côtés.
Recouvrer ensuite d’eau et laisser cuire au moins 1h30.
– Epucher le manioc et cassez le à la main pour retirez la tige dure au centre. Cassez le à la main (c’est beaucoup plus facile) et en gros morceaux.
– Eplucher les pommes de terre et couper les en gros morceaux
– Eplucher la banane plantain et casser là en gros morceaux
Ajouter dès maintenant une pomme de terre. Elle cuira plus que les autres et permettra d’épaissir le bouillon. Ecraser là une fois qu’elle est bien cuite.
Une fois que l’heure et demi est passée, plonger dans le bouillon la yuca (le manioc), puis 20mn plus tard les pommes de terre et 15mn plus tard la banane plantain.
Ajouter la gousse d’ail restante coupée en 2 juste pour le goût.
Ajouter du cumin en grande quantité pour un délicieux bouillon. Ajouter quelques cuillères de paprika.
Plonger 10mn avant la fin les épis de mais. Saler et poivrer encore une fois.
Ciseler la coriandre et la réserver.
Servir dans un plat (le seco ) du riz avec la viande boeuf et le maïs.
Il est aussi possible faire frire quelques bananes pour apporter un goût sucré, salé. Il est d’usage de manger de la salade ou un avocat vinaigrette avec le seco.
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A Cali, l'idée que la beauté est la clé du succès remonte à l'époque de Pablo Escobar et de ses dollars. Vingt ans après sa mort, la plastique et le look imposés par les narcos continuent de régner dans la société, banalisant l'aliénation de la femme. Marie Claire est allé à la rencontre de ses Colombiennes prêtes à tout pour sortir de leur quartier.























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L'entrée de la boîte de nuit, dans cette rue mal éclairée, à la sortie de la ville, donne une idée de la situation. Six colosses, ersatz de gilet pare-balle sur le dos, un panneau interdisant sacs bananes, casquettes, enfants et armes. Et une horde de jeunes femmes vêtues de robes moulantes aux dimensions surprenantes. Il y a surtout ces visages reconstruits, ces fesses aux proportions improbables, ces seins énormes, ces maquillages outranciers, ces chevelures félines. Entrer au Lolas Club, c'est approcher ce qu'on appelle en Colombie la « narco-beauté ».
Cette mode qui remonte à l'époque de Pablo Escobar, lorsque les barons de la drogue, le roi de la cocaïne le premier, s'affichaient au bras de femmes plantureuses et ne se gênaient pas pour leur imposer une petite chirurgie esthétique, histoire qu'elles correspondent à leurs critères de beauté – gros seins, grosses fesses, grosses hanches. Plus de vingt ans après la mort du parrain de Medellin, si le pays a amorcé une transition vers la paix entre les Forces armées révolutionnaires de Colombie, principale guérilla communiste de la région, et le gouvernement, les références à la narco-culture sont tenaces. Plus encore en matière de canons esthétiques.
Cali, 2,5 millions d'habitants, à l'ouest de la Colombie, considérée il y a encore trois ans comme la septième ville la plus dangereuse au monde. Entre-temps, la situation s'est légèrement améliorée – on peut désormais déambuler dans la rue sans se faire agresser –, mais il est toujours interdit aux hommes de rouler à deux sur un scooter, comme le font les « sicarios » (tueurs). Il y a quelques mois, conducteur et passager n'avaient même pas le droit de porter de casque. Aujourd'hui, les narcotrafiquants se font plus discrets, ne vivent plus dans des palais qui abritent des zoos, ils se sont embourgeoisés. 
 Mais une chose est certaine, affirme le travailleur social Yonny Rojas, ex-candidat malheureux à la mairie, même si la Colombie tente d'effacer ces années, Escobar, les narcos et leurs dollars ont laissé comme héritage l'illusion d'une vie facile. C'est un héritage difficile à changer. 
Et si les narcotrafiquants, depuis la disparition du patron, en 1993, ont mis de côté leur appétence pour le luxe ostentatoire, l'idée, un brin archaïque, que les hommes se font des femmes s'est répandue dans toute la société. Dans ce pays à la culture machiste, où la « telenovela » (série) longtemps la plus populaire s'appelait Sin tetas no hay paraiso (« Sans nichons, il n'y a pas de paradis »), elles se doivent d'être excessivement glamour. Et si quelques femmes osent enfin s'élever contre cette aliénation, beaucoup continuent de s'y plier. Car en Colombie, la beauté est un culte célébré en permanence, sans retenue, exacerbé. Dans les médias, à la télé, dans les clips, les chansons, la façon de danser, dans la rue.
A l'autre bout de la ville, ce samedi-là, Valeria, Maria et Diana se préparent pour les qualifications du plus important concours de beauté de l'année à Cali. En Colombie, les « reinadas », tradition populaire, se déclinent à l'infini : plus beau visage, plus belles fesses, plus beaux seins, celle qui danse le mieux… Il y en a partout, dans les écoles, à l'université, en prison, dans les quartiers. A tel point que certaines municipalités ont fini par les interdire, tant ils altèrent l'image de la femme. Cette fois, l'enjeu est d'élire miss Tourisme, manière (relative) de rompre avec la caricature.
Installées dans un bus qui sillonne la troisième ville du pays, elles se font des selfies , affichent fièrement les rondeurs de leur adolescence à peine passée et écoutent assez peu les explications touristiques données par leur guide. Elles sont âgées de 17 à 23 ans et – c'est unanime – veulent être connues. « J'aime les caméras », confirme Valeria, 17 ans, et déjà présentatrice sur Miami TV Colombia, persuadée que les filles n'ont d'autres choix, pour s'en sortir, qu'utiliser leur beauté. La beauté comme clé du succès, quitte à opter pour la chirurgie esthétique. Une culture historique qui sévit encore particulièrement dans les quartiers populaires et que les narcos ont banalisée.
Les Colombiennes ont été biberonnées à leur style de vie, bercées par les récits de ces femmes sublimes qui ont profité du faste de leur existence. La première : Virgina Vallejo, ex-présentatrice de télé, ultra-pin-up, était la maîtresse historique de Pablo. Les autres, en vrac : Yovanna Guzman, ex-reine de beauté qui a raconté sa vie dans un livre. Elle a vécu pendant huit ans avec Wilber Varela, alias Jabon, un des derniers barons, couverte de bijoux, voyages et voitures. Il y a aussi Maribel Gutierrez Tinoco, ex-miss Colombie, dont les opérations esthétiques ont été financées par la culture de la cocaïne. Et tant d'autres. Certaines d'entre elles ont fini en prison, d'autres tuées. « Les narcos et, aujourd'hui, les “pandilleros” (bandits, ndlr) voient les femmes comme des produits, confirme Yonny Rojas. A une époque, ils débarquaient dans les quartiers et sélectionnaient des filles. Aujourd'hui il arrive qu'ils les choisissent lors des défilés de mode. D'ailleurs, ils possèdent une partie des agences de mannequin. » Une information difficile à vérifier, tant leurs affaires sont opaques.
Mais ce n'est pas Anna, 38 ans, qui se plaindra de cette tradition. Elle vient très souvent danser au Lolas Club, et passe, du coup, un temps fou à se « faire belle » (selon ses critères). D'ailleurs, elle vérifie assez régulièrement dans son miroir si le maquillage est « OK », les ongles « OK », et en profite pour remettre en place ses longs cheveux lissés. Anna vend sur Internet des vêtements qu'elle va chercher en Equateur ou au Panama voisins. Objectif assumé de sa soirée : dégoter un fiancé. « Il faut que je trouve un mec qui me sorte de la pauvreté. » Alors Anna met toutes les chances de son côté, même si elle doit y investir tout son argent. « Les hommes aiment les culs, sans cul tu n'as pas de succès. » Du coup, elle a bien du mal à désigner un endroit de son corps qui n'a pas été refait. Seins, fesses, ventre, nez, bouche… Le tout en une seule fois.
Ainsi Cali est devenue une des capitales de la chirurgie esthétique . « C’est une des conséquences de la culture narco, confirme Yonny Rojas. Avant, les types disaient : “Je veux te voir avec plus de seins.” Aujourd’hui, ils n’ont plus besoin de le dire, les filles le font d’elles-mêmes. » Résultat : près de 200 000 opérations par an (400 000 dans tout le pays). Un peu partout dans la ville, des cliniques, une soixantaine, aux prix attractifs (1 500 € pour une paire de seins) et qui, pour certaines, accueillent même des mineures. Il n’est en effet pas rare de rencontrer des adolescentes qui, pour leurs 15 ans, le « quinceañera », demandent une nouvelle poitrine.
Le phénomène a pris une telle ampleur qu’une loi imposant l’autorisation des parents s’apprête à être votée. « Mais la pression sociale est telle que ce sont parfois les mères elles-mêmes qui poussent leur fille à se faire faire une plus grosse poitrine », déplore le chirurgien Jaime Roberto Arias, 68 ans, fondateur de la première clinique de Cali. Régulièrement, la police alerte sur les dangers de la chirurgie. Et les journaux se font l’écho d’histoires sordides de patientes mortes sur la table d’opération : quatre à Cali en 2015.
Il y a quelques années, on a découvert l’existence de cliniques clandestines, explique Manuel Francisco Villamil Zapata, membre de l’unité d’investigation de la police judiciaire. L’an dernier, vingt ont été fermées. On trouve à leur tête des infirmières qui ont travaillé auprès de chirurgiens officiels et qui voient là un bon moyen de gagner de l’argent, en cassant les prix. D’anciennes esthéticiennes et des c
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