Une colombienne excitée dans un plan à trois

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Une colombienne excitée dans un plan à trois

L’équipe de Colombie-Britannique célèbre une médaille d’or au relais mixte de triathlon aux Jeux d’été du Canada

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WELLAND, Ont.— La Colombie-Britannique a réussi à défendre son titre aux Jeux d’été du Canada au relais mixte de triathlon vendredi à Welland, en Ontario.
L’équipe de Sidney Clement (West Vancouver), Daniel Damian (Victoria), Trevor Laupland (Kamloops) et la double médaillée d’or des épreuves individuelles féminines cette semaine, Colette Reimer (Victoria), ont joint leurs forces pour réaliser un temps de 1:38.45. La Colombie-Britannique avait également été couronnée championne du relais mixte il y a cinq ans.
« C’était tellement amusant de faire le relais. Tout le monde y a été avec ses forces aujourd’hui, ce qui nous a permis de prendre une avance et de toujours l’augmenter, » dit Reimer, qui a complété son tour du chapeau en or aux Jeux d’été du Canada 2022.
Dans un relais mixte, chacun des quatre membres de l’équipe doit nager 300 m, rouler 8 km et courir 1,6 km. Les athlètes donnent le relais à un coéquipier après avoir terminé les trois disciplines.
Sidney Clement, 17 ans, a donné la cadence pour les athlètes de l’Ouest en prenant de l’avance sur le peloton en vélo avant d’ouvrir le moteur pour la course à la tête des autres athlètes pour la première partie de l’épreuve.
Daniel Damian, qui a terminé en deuxième place à ses deux courses individuelles à Niagara, n’allait pas laisser l’or lui échapper. L’athlète de 19 ans avait le vent dans les voiles au Welland International Flatwater Centre. Damian a créé un écart considérable sur le peloton avant de donner le relais à la vedette de la Colombie-Britannique, Colette Reimer, pour la troisième étape.
« Ça a vraiment bien été aujourd’hui. On a suivi le plan et je n’ai jamais été aussi fier de ramener la médaille pour la Colombie-Britannique, » se réjouit Damian. « J’ai eu deux médailles d’argent (épreuves individuelles), mais le relais est toujours le meilleur. Le plan de l’équipe était de prendre autant d’avance que possible et de rester en tête du début à la fin. Nous savions que le Québec allait avoir des bons coureurs, alors nous voulions attaquer dès le début pour rester en tête tout le long. »
C’est exactement ce qu’a fait Reimer : elle a donné un grand coup sur le reste des étoiles montantes du sport en natation, en vélo et en course.
« Je voulais continuer à travailler fort, parce que même si je savais que nous étions en avance, je voulais laisser la plus grande avance possible à Trevor. Au relais, on ne sait jamais ce qui va arriver, » ajoute Reimer.
Trevor Laupland a été fort à la nage, a bien continué en vélo et a profité d’un tour d’honneur de 1,6 km pour terminer le relais de Team BC.
« Le travail n’est jamais terminé tant qu’on n’a pas franchi la ligne d’arrivée, » dit Damian. « Trevor passait un bon moment et c’était super de l’encourager au bord du parcours. C’est probablement mon moment préféré des Jeux. »
L’équipe du Québec, composée de Béatrice Normand (Coteau-du-Lac), Nicolas Harvey (Québec), Sarah Hamel (St-Germain) et Mathis Beaulieu (Québec), a remporté la médaille d’argent, qui était la quatrième médaille de la province cette semaine, avec un temps de 1:40.08. Il s’agit de la troisième médaille de Beaulieu à ces Jeux. L’athlète de 18 ans a remporté l’or aux épreuves de sprint et super sprint.
L’équipe de l’Ontario, composée d’Alex Campbell (Kingston), Mahaylia Datars (Caledon), Tristen Jones (Peterborough) et Sage Sulentic (Dundas), ont marqué l’histoire des Jeux d’été du Canada après avoir remporté la médaille de bronze en 1:40.36.
Cette troisième place a fait de Jones le triathlète le plus décoré des Jeux d’été du Canada avec un total de quatre médailles. En plus de sa médaille de bronze lundi au sprint, l’athlète de 20 ans avait remporté deux médailles d’argent aux Jeux d’été du Canada 2017 à Winnipeg.
« C’est vraiment spécial. Lorsqu’on entend parler de tous les grands athlètes qui ont participé à notre sport, de savoir que je peux être à ce niveau, ça me rend très excité et c’est peut-être un record qui va rester invaincu pendant longtemps, » dit Jones. « C’est toujours un plaisir de courir devant une foule locale en Ontario. Je n’oublierai jamais avoir eu la chance de vivre cette expérience lors de deux éditions des Jeux. »
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Triathlon Canada est l’organisme directeur du sport au pays. Triathlon Canada compte plus de 22 000 membres, dont des athlètes, des entraîneurs et des officiels, de la base à l’élite. Avec le soutien de ses partenaires d’affaires – 94 FORWARD, 2XU Canada, TrainingPeaks, Subaru Canada – ainsi qu’avec la ville de Victoria, le gouvernement du Canada, le Comité olympique canadien, le Comité paralympique canadien et À nous le podium, Triathlon Canada développe des champions olympiques, paralympiques et mondiaux dans toutes les disciplines de compétition. Pour plus d’informations sur Triathlon Canada, visitez notre site au www.triathloncanada.com .
















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Édition


Emma Reyes est une peintre et écrivaine colombienne née en 1919 à Bogota et décédée en 2003 à Bordeaux. Son livre de mémoires posthume lui a donné une grande renommée. Cependant, elle reste plus connue comme narratrice que comme la grande peintre qu’elle a été. Afin de présenter son travail, j’ai rencontré Stéphanie Cottin, présidente de l’Association Emma Reyes et spécialiste de son œuvre.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
La plupart des commentaires relatifs à Emma Reyes portent sur sa vie, et non pas son œuvre. Vous avez voulu pallier à cette absence d’intérêt pour son œuvre, pourquoi ?
Emma se plaignait beaucoup que l’on ne s’intéresse pas assez à ce qu’elle faisait chaque jour au cœur de son atelier. Elle a été en effet victime de sa personnalité solaire et de sa vie extraordinaire. Ce que les gens dans l’ensemble attendaient d’elle c’était qu’elle les divertisse, qu’elle raconte les histoires de sa vie, ses aventures et celles des autres. Emma était un personnage hors-normes, qui a eu mille vies qui ont éclipsé son œuvre. Je vous raconte une anecdote exemplaire à ce sujet :
Lorsqu’il y a un peu plus de 15 ans j’ai essayé de reprendre mes recherches sur Emma, je suis allée rendre visite à Antonio Seguí, cet artiste argentin installé en France depuis 1963, qui, j’en étais sûre, l’avait rencontrée puisque j’avais trouvé dans un des calepins d’Emma son numéro de téléphone. Quelle ne fut pas ma surprise quand il me dit que oui, il la connaissait, mais qu’il se souvenait surtout qu’elle savait raconter des histoires comme personne, qu’elle était très drôle et qu'ils avaient passé des nuits entières à discuter politique. « C’est vrai -me dit-il-, elle était aussi artiste mais personne ne voyait vraiment son travail » « Ah… si ! Je me souviens maintenant vaguement qu'elle faisait des grands portraits de choux, elle peignait des fleurs… ». Or, je pense que le plus bel hommage que l’on puisse lui rendre est de parler de son œuvre, d’essayer de la comprendre et de la remettre dans la perspective de l’histoire formelle qui l’a vu naître.
Les Colombiens qui ont lu son récit et les articles dans les journaux ou qui ont vu la série télé qui lui a été dédiée, savent qu’elle a quitté son pays natal vers l’âge de 20 ans pour aller dans le sud du continent. Mais quand a-t-elle a commencé à peindre ? Comment était sa peinture à cette période ?
En 1943, à Buenos Aires elle travaille dans un cabinet d’architectes et c’est en allant acheter du matériel dans la galerie-librairie Peuser, quelle découvre le travail de Raul Soldi et qu’elle décide elle aussi de peindre, de devenir artiste.
Ses premières œuvres sont à la fois naïves et ce qu’on pourrait appeler primitives. Elles sont vraiment naïves quand elle représente des vues d’ensemble, des espaces, des places de marchés, à Montevideo en Uruguay ou à Caacupé au Paraguay, ou lorsqu’on la voit dans sa petite cabane à Montevideo au bord de la plage où elle habitait avec son premier mari Guillermo Botero, sculpteur colombien. Ses toutes premières œuvres sont naturellement primitives, car elle n’a pas dû désapprendre à dessiner, comme ont dû le faire de nombreux artistes du vingtième siècle à la recherche de formes nouvelles (on pense évidemment à Gauguin, à Picasso, Paul Klee, Georgia O’Keeffe parmi tant d’autres). Emma campe des personnages massifs, qui s’agglutinent pour affronter la vie, qui font corps face à l’adversité, face à la pauvreté, à la mort.
En 1947, elle obtient une bourse de trois ans pour étudier à Paris. Que se passe-t-il alors ?
Elle suit les cours d’André Lhote à la Grande Chaumière à Paris, mais celui-ci lui conseille d’arrêter les cours, de garder son identité colombienne et d’aller plutôt étudier les Primitifs au Louvre. Emma a toujours revendiqué d’être Colombienne, d’être métisse. Où qu’elle aille ceux qui se penchaient sur son travail lui conseillaient toujours de garder sa spécificité colombienne.
Paris est très importante parce que c’est dans cette ville, concrètement dans l’ascenseur des bureaux de l’Unesco, en 1948, le jour de la déclaration des droits de l’Homme, qu’elle rencontre German Arciniegas, cet important diplomate et intellectuel colombien. Ils resteront amis jusqu’au décès de ce dernier, en 1999. C’est à lui qu’Emma envoie ses lettres de 1969 à 1997, qui ont été publiées plus tard en Colombie sous le titre de « Memoria por correspondencia » et qui ont rencontré un immense succès. Ce livre été traduit dans de très nombreuses langues, y compris en français.
A-t-elle rencontré du succès en tant que peintre à Paris ? Comment évolue sa peinture à ce moment ?
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