Une chose qui fait l'affaire

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Une chose qui fait l'affaire
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Enseignant à Sciences Po et à l'INALCO, spécialiste de l'Europe
AprÚs l'empoisonnement de l'ex-agent double et de sa fille Yulia le 4 mars dernier, la façon dont les conclusions ont été tirées ne peut que laisser perplexe sur un certain nombre de points.
L'affaire Serguei Skripal pose un certain nombre de questions. AprÚs l'empoisonnement de l'ex-agent double et de sa fille Yulia le 4 mars dernier, la façon dont les conclusions ont été tirées ne peut que laisser perplexe sur un certain nombre de points.
Ce qui est sûr est que Serguei Skripal et sa fille ont été empoisonnés par une substance dont l'origine est incontestablement la Russie. Si cela peut penser à l'implication directe du Kremlin dans cette tentative d'assassinat, il n'a pas été porté à la connaissance de l'opinion publique les preuves de l'implication du gouvernement russe dans cette affaire.
Un poison présent en Europe depuis au moins vingt ans
Le poison en question est le Novichok (qui en russe signifie "le petit nouveau"), lequel est prĂȘt de dix fois plus puissant que le poison VX qui a Ă©tĂ© utilisĂ© pour assassiner le demi-frĂšre de Kim Jong-un. Il existe depuis plusieurs dizaines d'annĂ©es. Au moment oĂč l'ancienne Union soviĂ©tique s'Ă©croulait, des anciens apparatchiks pressĂ©s de s'enrichir, ont alors vendu cette substance Ă  toute personne qui en aurait l'utilitĂ©, notamment en Europe, ce qui fait dire qu'une telle substance peut en rĂ©alitĂ© ĂȘtre aujourd'hui stockĂ©e dans n'importe quel endroit en Europe. Il y a donc de fortes chances que le Novichok soit sur le territoire britannique depuis le dĂ©but des annĂ©es 1990.
Ainsi, est-il lĂ©gitime de se poser la question de savoir si ce poison n'aurait pas pu ĂȘtre utilisĂ© par d'autres personnes Ă  des fins personnelles.
Une enquĂȘte rĂ©alisĂ©e par un journaliste (mais s'agirait-il d'une fake news?) fait Ă©tat de ce que la fille de Serguei Skripal, Yulia, pourrait ĂȘtre la cible principale dans cette affaire. Ce journaliste fait Ă©tat d'un projet de mariage ou d'union avec le fils d'une ancienne espionne russe qui n'aurait jamais acceptĂ© la trahison de son pays par Serguei. Elle aurait donc dĂ©cidĂ© de se dĂ©barrasser d'une future belle-fille embarrassante. En le faisant avec le Nivichok, les regards se tourneraient inĂ©vitablement vers le Kremlin.
Car en effet, dans cette affaire il faut se demander Ă  qui profite le crime. Vladimir Poutine avait-il intĂ©rĂȘt Ă  assassiner Serguei et sa fille au moment oĂč il dĂ©veloppe ses relations dĂ©jĂ  tendues avec les pays occidentaux? Ce pays travaille afin que la coupe du monde de football soit un succĂšs. Par ailleurs, la tradition est que l'on n'assassine pas les doubles agents car ils ne reprĂ©sentent plus d'intĂ©rĂȘt d'une part et, d'autre part, il existe encore des agents secrets destinĂ©s Ă  ĂȘtre Ă©changĂ©s. On ne voit pas bien la cohĂ©rence.
Theresa May dit avoir des preuves de l'implication de la Russie dans cette affaire et dit les avoir communiquées aux dirigeants notamment Donald Trump, Emmanuel Macron et Angela Merkel qui ont publié un communiqué commun de soutien.
Ainsi, la Russie est-elle condamnée en l'absence d'"explication alternative plausible" sur les origines de cette tentative d'assassinat et parce que la Russie n'aurait pas donné de réponse crédible à ces accusations. Cela revient à dire clairement qu'il n'existe aucune preuve formelle de la responsabilité du Kremlin dans cette affaire.
La nécessité d'apporter des preuves
On ne pourra qu'ĂȘtre Ă©tonnĂ© par la procĂ©dure expĂ©ditive par laquelle le gouvernement russe a Ă©tĂ© condamnĂ©, en l'absence de toute preuve formelle donnĂ©e aux opinions publiques de l'implication de Vladimir Poutine dans cette affaire. L'enquĂȘte a Ă©tĂ© rondement menĂ©e sous la forme d'un ultimatum Ă©clair Ă  la Russie, sans que ce pays n'ait eu la possibilitĂ© de se dĂ©fendre.
Que l'on nous comprenne bien: si la responsabilitĂ© de ce pays est reconnue et dĂ©montrĂ©e, alors les sanctions devront ĂȘtre exemplaires. Mais Ă  ce stade, les preuves manquent dramatiquement.
Ce qui est certain en revanche est que les conservateurs et Theresa May ne sont pas Ă  l'aise avec les oligarques russes. Ces derniers ont ainsi versĂ© au parti conservateur plus de 820.000 livres sterling lequel ne les a pas refusĂ©s. La premiĂšre ministre veut crĂ©er l'unanimitĂ© nationale derriĂšre elle au moment oĂč elle est en perdition sur le Brexit. Il semble que cela marche, sauf que Jeremy Corbyn, leader travailliste, demande que les preuves formelles soient apportĂ©es sur la responsabilitĂ© du gouvernement russe.
Des failles dans le soutien des alliés?
Une chose est certaine: les pays alliés ne sont majoritairement pas favorables à de nouvelles sanctions collectives contre la Russie, au-delà de celles déjà prises dans le cadre de la violation de la souveraineté de l'Ukraine et l'affaire de l'annexion de fait de la Crimée
Enfin, Ă  supposer mĂȘme qu'il y ait responsabilitĂ© de ce pays, le Royaume-Uni lui-mĂȘme ne pourra aller bien plus loin, notamment jusqu'Ă  rompre ses relations diplomatiques avec un pays dont les entreprises britanniques ont un besoin vital pour leurs exportations, notamment aprĂšs le dĂ©part de l'Union europĂ©enne.
En tout état de cause, comme l'a souligné l'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin, personne n'a à gagner à la poursuite d'une confrontation directe avec la Russie, puissance nucléaire, qui reste un pays incontournable dans la gestion des affaires mondiales.
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VOL XXVII No. 6 Grande Place et plus
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On ne lutte radicalement contre l’imaginaire nĂ©olibĂ©ral qu’en s’attaquant Ă  son noyau dur mĂ©taphysique, c’est-Ă -dire son idĂ©e de l’homme.
Frédéric Lordon, La société des affects
Léo Pulance, personnage fictif, budgÚte raisonnablement, comme toutes personnes de son rang, un maigre revenu annuel de 160 000 dollars. Alain Digence, autre personnage fictif, dépense négligemment, comme tout individu de son espÚce, son généreux salaire annuel de 28 000 dollars.
LĂ©o occupe un noble emploi au sein d’une institution du savoir fictivement prestigieuse, dans un pays tout autant fictif. Alain travaille, dans le mĂȘme pays fictif, pour une rĂ©sidence privĂ©e fictive oĂč logent lucrativement des personnes improductives.
Lorsqu’ils ont des discussions sur leur revenu respectif, LĂ©o, dans un docte langage trĂšs esthĂ©tiquement soignĂ©, tente toujours de faire comprendre Ă  Alain que l’écart de leur revenu se justifie par le fait qu’il a complĂ©tĂ©, comme une minoritĂ© d’ĂȘtres qui se distinguent par leur superbe, des Ă©tudes supĂ©rieures. Il ajoute, altier et chiatique, qu’il a donc dĂ» assumer de pĂ©nibles sacrifices et qu’il lui a fallu investir beaucoup d’efforts pour en arriver si haut dans la hiĂ©rarchie Ă©lective.
Alain s’essaie alors Ă  exprimer, malgrĂ© un langage vernaculaire et presque inaudible aux oreilles d’un virtuose de la langue française comme LĂ©o, qu’il aurait vraiment aimĂ©, lui aussi, faire des Ă©tudes supĂ©rieures. Mais il balbutie, dans un dialecte plĂ©bĂ©ien, que pour diffĂ©rentes raisons, comme l’éloignement de sa rĂ©gion, la modeste condition Ă©conomique de sa famille, et plein d’autres contingences toutes fictives (ce qu’un ex-politicien fictif, Bucien Louchard, dĂ©signait promptement par de la fainĂ©antise), il a dĂ» assumer le sacrifice de se priver de poursuivre ses Ă©tudes. Il ajoute que ça lui a demandĂ© beaucoup d’efforts pour occuper divers petits boulots le jour et complĂ©ter une formation professionnelle de soir comme beaucoup d’autres malavisĂ©s.
Chaque fois que LĂ©o se voit contraint de souffrir la complainte d’Alain, surtout lorsqu’il daigne s’abaisser et se rĂ©signer Ă  l’écouter, il ne sait jamais trop comment rĂ©agir. Il se dit que lui ben y a c’qui mĂ©rite, bon!, qu’c’est parce qu’y a fait des bons choix, ok lĂ ! (lorsqu’il est Ă©motif, LĂ©o oublie son langage outrecuidant) pis qu’si Alain y est mal payĂ©, ben c’t’à cause qu’y est fictivement laid pis pas intelligent.
Ainsi, tous les quatre ans, LĂ©o Pulance vote sans hĂ©sitations pour un parti politique fictif qui reprĂ©sente ses intĂ©rĂȘts (les mĂ©chants communistes diraient un parti de la bourgeoisie libĂ©rale capitaliste). Un parti politique fictif qui considĂšre qu’il ne faut pas remettre en question l’ordre des choses naturel, un ordre des choses qui permet Ă  plein de LĂ©o fictifs de se trouver beaux et lucides, bien abris fiscalisĂ©s qu’ils se retrouvent dans leur chacun-pour-soi aseptisĂ©.
Alain, pour sa part, vote pour un parti politique fictif qui ose un tant soi peu remettre en question l’ordre des choses rĂ©ellement institutionnalisĂ© (les gentils nĂ©olibĂ©raux diraient un parti Ă  la candeur calimero-licornienne), un ordre des choses qui condamnent plein de Alain fictifs Ă  davantage de prĂ©caritĂ© et qui les fait se trouver dĂ©munis, laissĂ©s-pour-compte. Alain vote pour un parti politique fictif qui invite plein d’Alain Ă  se voir de plus en plus solidaires dans leur tous-ensemble-plus-fort diversifiĂ©.
Parfois, LĂ©o a peur. Il a peur qu’au-delĂ  des procĂ©dures Ă©lectorales structurellement patentĂ©es par et pour les dĂ©fenseurs de l’ordre des choses, les Alain s’organisent encore plus systĂ©matiquement et dĂ©cident de s’activer, dans un dĂ©ferlement citoyen, dans la mise en rupture de cet ordre. LĂ©o a peur car il sent qu’Alain croit de plus en plus qu’un mouvement en ce sens est en Ă©mergence malgrĂ© les appels aux compromis rĂ©signĂ©s, les exhortations retorses au consensus. LĂ©o a peur car il sait trĂšs bien, dans le fond de son ĂȘtre non-exclusivement consumĂ©riste, que l’ordre des choses actuel n’est pas viable et qu’il est nĂ©cessaire, pour la suite du monde, de le rompre.
Plus encore, et c’est lĂ  que germent les convictions rĂ©volutionnaires des Alain, LĂ©o Pulance commence tranquillement Ă  comprendre que s’il s’applique lui aussi Ă  changer l’ordre des choses, il ne perdrait que trĂšs peu de superflu superficiellement inessentiel pour que Alain Digence en obtienne suffisamment pour s’épanouir exponentiellement.
LĂ©o commence mĂȘme Ă  trouver Alain ontologiquement beau et brillant.
Alain trouve que Léo devient progressivement un trÚs bel humain.  
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Il est vrai qu’on a souvent tendance Ă  prendre pour soi ou sur soi ce qui nous arrive : remarques, critiques
 Mais quand on y pense, personne ne nous y oblige. Ce qui veut dire que si on le fait c’est que d’une façon ou d’une autre on y donne notre accord . Et souvent, plus l’importance qu’on se donne est grande (je ne parle pas ici de l’image que l’on veut donner aux autres, ni de celle que l’on aimerait voir de soi), plus on se prend au sĂ©rieux, plus on a tendance Ă  prendre les choses de façon personnelle , car c’est comme si on partait du principe que tout nous concerne, comme si on avait la responsabilitĂ© de tout.
Maintenant, s’il est vrai qu’on est responsable Ă  100% de ce qu’on envoie , et Ă  100% de la maniĂšre avec laquelle on reçoit, en aucun cas on est responsable de ce que les autres disent ou font : leurs actions et leurs paroles ne dĂ©pendent que d’eux-mĂȘmes. Ce qui va compter c’est comment on a dĂ©cidĂ© (en gĂ©nĂ©ral inconsciemment) de prendre et d’interprĂ©ter ce qu’on reçoit.
Chacun vit dans un monde totalement diffĂ©rent les uns des autres. Or quand on fait de tout une affaire personnelle, c’est comme si on partait du principe que l’autre savait ce qu’il y a dans notre monde, et qu’on essaie d’ opposer notre au monde au sien .
Si on pousse encore plus loin (et je reconnais que ce n’est pas toujours facile Ă  faire), mĂȘme par exemple lorsqu’on se fait insulter, on peut aussi dĂ©cider et considĂ©rer que ça n’a rien Ă  voir avec nous . Ce que les gens disent ou font, les opinions qu’ils Ă©mettent ne dĂ©pendent que des accords qu’ils ont conclus dans leur tĂȘte. Leur point de vue rĂ©sulte de toute la programmation qu’ils ont subie au cours de leur domestication. Et pareil pour nous.
Quand on fait une affaire personnelle de ce qui nous arrive, en gĂ©nĂ©ral, on se sent offensĂ© et notre rĂ©action consiste Ă  dĂ©fendre nos croyances , ce qui peut provoquer des conflits . Souvent on peut faire tout un plat d’un petit rien , parce qu’on peut sentir le besoin d’avoir raison et de donner tort Ă  l’autre, d’imposer notre opinion aux autres. Mais quand on y pense, ce que l’autre ressent, ce qu’il fait ou dit n’est qu’une projection de son propre rĂȘve personnel. Tout ça dĂ©pend des accords qu’il a conclus : ces opinions n’ont donc rien Ă  voir avec nous.
Oui mais
 l’autre peut dire des choses blessantes ! Là ça vient bien de lui, ça n’est pas moi

On a vu qu’on est responsable Ă  100% de la maniĂšre avec laquelle on reçoit les choses. Ce n’est donc pas ce qu’il dit qui nous blesse : ce sont nos propres plaies intĂ©rieures qui rĂ©agissent quand elles sont touchĂ©es par ses propos. Ce qui veut dire que (et c’est lĂ  oĂč c’est rassurant) c’est nous-mĂȘme qui nous blessons. Je dis « rassurant », car ça veut dire que comme c’est nous qui nous blessons, c’est donc nous et nous seul qui avons le pouvoir de dĂ©cider de ne plus se blesser avec ce qu’il nous dit. Tout est entre nos mains, rien ne dĂ©pend de l’autre.
Ce que l’autre pense et ressent, dĂ©pend de sa façon de voir le monde qui est liĂ©e Ă  son systĂšme de croyances . Donc ce qu’il pense de nous, en fait, ne concerne que lui. C’est sa vĂ©ritĂ© , rien d’autre.
Si quelqu’un vous en veut Ă  cause de ce que vous dites, il n’est en fait simplement que confrontĂ© Ă  lui-mĂȘme . Vous devenez un prĂ©texte pour qu’il se mette en colĂšre, et cette colĂšre est souvent provoquĂ©e par ses peurs. S’il n’a pas peur, il ne peut ĂȘtre irritĂ© contre vous, il ne peut vous haĂŻr, ĂȘtre jaloux ou triste.
En prenant les choses personnellement, on se programme Ă  souffrir . A mesure qu’on en prend conscience on se rend compte qu’on se ment Ă  soi-mĂȘme plus souvent qu’on le croyait. Par exemple, lorsque les gens disent une chose et en font une autre, quelque part, c’est se mentir que de ne pas Ă©couter leurs actes. Etre honnĂȘte avec soi-mĂȘme nous permet d’éviter de nombreuses douleurs Ă©motionnelles. Il est vrai que d’ accepter la vĂ©ritĂ© sur quelqu’un ou quelque chose peut ĂȘtre douloureux . A nous d’arriver Ă  nous dĂ©tacher de cette douleur. Si quelqu’un nous traite sans respect (Ă  la maison, au travail
), on peut prendre comme un cadeau qu’il nous quitte un jour . S’il ne le fait pas et nous non plus, on risque de passer un certain temps Ă  souffrir avec lui ou elle. La sĂ©paration sera douloureuse un moment, mais on finira par en guĂ©rir. Et petit Ă  petit on dĂ©couvre qu’il est moins utile de faire confiance aux autres qu’à notre propre capacitĂ© de faire les bons choix .
Ne pas faire une affaire personnelle de ce qui nous arrive, nous permet d’éviter de nombreux problĂšmes dans la vie, et mĂȘme de gagner Ă©normĂ©ment en libertĂ© . C’est aussi une façon de rompre des habitudes et des routines qui nous piĂšgent et nous font souffrir.
On n’est jamais responsable des actions des autres, seulement des nîtres. En comprenant ça et en refusant de prendre personnellement ce qui nous arrive, les commentaires et les actions des gens ne peuvent, pour ainsi dire, plus nous blesser.
Cet accord nous permet de ne plus craindre le ridicule ou le rejet, de dire oui ou non selon notre choix, sans culpabilitĂ© , ni crainte du jugement de l’autre ou de soi. On peut alors suivre son cƓur 


Olivier Charles
17 juillet 2015 @ 00:35

Merci pour cet article trÚs juste et qui peut bouleverser bien des préjugés que nous gardons en nous.
Une citation qui est tout Ă  fait de circonstance : « Personne ne peut me blesser sans ma permission. » – Mahatma Gandhi

Philippe Chevaux
17 juillet 2015 @ 21:33

Merci pour ton commentaire.
Bien vu pour la citation, et c’est tellement juste.
Cette citation de Gandhi rejoint un postulat de PNL qui dit que l’autre n’a pas de pouvoir sur nous (de la mĂȘme façon que nous n’avons pas de pouvoir sur l’autre). C’est Ă  dire que c’est nous qui avons dĂ©cidĂ© (bien sĂ»r pas forcĂ©ment consciemment) de nous blesser avec ce qui est dit, et non l’autre qui nous blesse

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