Une brunette interviewée

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Une brunette interviewée

Société Faits divers Politique Monde Santé Justice


Publié le 01/07/11 à 00h00
— Mis à jour le 01/07/11 à 19h41



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Société Une salariée de France Télécom interviewée s'avère être une... communicante
L'interview dans le quotidien Métro d'une employée de France Télécom-Orange, très élogieuse sur le climat social, a suscité l'émoi des salariés lorsqu'ils ont découvert qu'elle travaillait à la communication du groupe, a révélé ce vendredi la CFE-CGC/Unsa à l'AFP.
L'article, paru lundi dans le quotidien gratuit et cité dans la revue de presse interne du groupe, est présenté comme un entretien de Louise Amara, «téléconseillère à temps partiel au centre d'appels d'Ivry-sur-Seine durant dix ans».
Interrogée sur le climat au sein du groupe, qui a connu une crise sociale entre 2008 et 2010 après une vague de suicides, elle dépeint un tableau quasi idyllique, affirmant que «depuis un an, il existe une écoute beaucoup plus active». Elle évoque une plus grande «tolérance» pour les retards, ou encore une meilleure gestion de la mobilité interne.
«Aujourd'hui, on n'est plus dans l'ambiance morose que l'on connaissait», assure l'interviewée, qui ajoute: «Notre centre d'appels a aussi été entièrement rénové en l'espace de six mois».
L'article est assorti d'une photo de la jeune femme, tout sourire.
Seul problème, cette même photo figure dans l'annuaire interne du groupe, transmis à l'AFP par la CFE-CGC/Unsa, pour présenter la «rédactrice en chef du webzine corporate» affectée à la «communication externe». Son nom: Louisa Amara.
Sa responsable directe est Béatrice Mandine, elle-même placée sous la tutelle de l'ancienne ministre de la Culture Christine Albanel , chargée depuis peu de la communication du groupe.
«On est sous le choc. C'est une manipulation», a affirmé Sébastien Crozier (CFE-CGC/Unsa), avant d'ajouter «nous demandons la démission d'Albanel».
La direction du groupe, sollicitée par l'AFP, a dit regretter «la confusion créée par ce témoignage, compte tenu des nouvelles fonctions de responsable du Webzine du Groupe exercées par Louisa depuis début 2011».
Cependant, insiste le groupe, «Louisa a été téléconseillère pendant 10 ans au centre d'appel d'Ivry-sur-Seine et la journaliste de Métro a bien sûr été très clairement prévenue avant l'interview des nouvelles fonctions que Louisa occupe depuis six mois».
«Cela rend son témoignage parfaitement valable, au même titre que la parole de n'importe quel salarié d'Orange», poursuit la direction .
Du côté de la rédaction de Métro , on indique qu'il s'agit «d'une erreur absolument involontaire, par omission et qu'à aucun moment on ne dit qu'elle est actuellement employée au sein du centre d'appels».

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Publié le
25/07/2012 à 14:30 , mis à jour le

05/11/2012 à 12:00







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JAZZ - Melody Gardot cultive le mystère.
Avec sa canne, ses lunettes noires et ses bas résilles, Melody Gardot, 27 ans, cultive l'art de la séduction et du mystère. Marquée par un terrible accident - renversée, à vélo, par une voiture - qui l'a laissée handicapée à vie à l'âge de 19 ans, cette jeune chanteuse et musicienne de jazz ensorcelle le public et les médias. 

Impostures, mystifications ou contre-fictions en jazz... C'est le thème d'une émission sur TSF Jazz, consacrée en partie au mystère Mélody Gardot. A écouter ici . 

Rencontrée dans un palace parisien, la chanteuse raconte avoir conçu son nouveau disque, The Absence , pendant un voyage d'un an. Une quête spirituelle qui l'a menée des favelas du Brésil au désert marocain. "J'ai passé quatre jours dans les dunes avec des Berbères, raconte-t-elle. Je suis comme eux : une nomade recherchant la simplicité." Désarmante Melody, qui affirme pouvoir "vivre avec 10 dollars en poche", mais qui adore accrocher ses tenues Lanvin dans sa suite du Claridge Champs-Elysées. 

Sur la pochette de l'album, la belle ne porte qu'un semblant de filet de pêche sur les seins et une bague à la main gauche. Pas de la pacotille, un bijou Piaget d'une valeur de 38 400 euros. "Melody Gardot est notre égérie, confirme le joaillier. Elle a enregistré pour nous La Vie en rose d'Edith Piaf." Cette version figure dans une édition de luxe de son album, où elle est photographiée parée de diamants. Cette relation avec Piaget, une première dans le monde du jazz, Universal et Melody Gardot se sont bien gardés de la mentionner pendant la promotion de The Absence . Il ne faudrait pas brouiller l'image de diva aux pieds nus qu'elle s'est façonnée pour l'occasion... 

Flash-back. En 2007, on la découvre au Cutting Room, un club de New York. Avec son chapeau d'homme et ses jambes à la Marlene Dietrich, Melody Gardot semble sortie d'un film des années 1940. En fin de concert, elle s'arrête soudain en pleurant : "Je ne me souviens plus de rien !" Elle raconte alors son terrible accident, ses pertes de mémoire incessantes. Un an plus tard sort Worrisome Heart , son premier album. Lors de l'une de ses premières prestations à Paris, au moment de la dernière chanson, la même scène se répète : amnésie, larmes, récit de l'accident... Comme une impression de déjà-vu. 

2002 Chante et joue du piano dans un restaurant de Philadelphie. 

2003 Est renversée à vélo par une voiture. 

2003-2005 Pendant sa convalescence, elle apprend la guitare. 

2007 Signature avec Universal Jazz. 

2008 Sortie de son premier album, Worrisome Heart . 

Qui est vraiment Melody Gardot ? Personne ne connaît son véritable nom. Elle est née quelque part dans le New Jersey. Impossible de récolter la moindre confidence sur sa vie avant son accident, qui a bien eu lieu, le 11 novembre 2003. La police de Philadelphie nous le confirme. Le récit de son destin miraculeux, lui, a fait le tour du monde. "Quand je l'ai prise en charge, en 2004, elle était dans un fauteuil roulant, souffrait de lésions de la colonne vertébrale et de graves troubles de la mémoire, se souvient le Dr Richard Jermyn, qui l'a suivie pendant deux ans et demi au NeuroMusculoskeletal Institute de Stratford, dans le New Jersey. Elle était déprimée, mais avait une volonté de fer." 

Avec l'aide du médecin, Melody Gardot débute une thérapie musicale. Avant le drame, sa carrière de chanteuse se limitait selon elle à des prestations dans un restaurant de Philadelphie. Pendant son hospitalisation, allongée à cause des douleurs, elle dit avoir écrit sa première chanson originale. Une version que contredit John Conahan, un pianiste qui l'accompagnait à l'époque dans ce restaurant, le Tiramisu : "Elle chantait très bien. Surtout ses propres compositions..." 

A l'instar du jeune Bob Dylan, Melody Gardot ne serait pas la première artiste à réécrire son passé - ce qui n'enlève rien à son talent. "Melody a besoin de combler ses trous de mémoire et elle recompose des histoires dans sa tête, explique le Dr Jermyn. C'est une artiste et son imaginaire est prolifique. Elle peut raconter quelque chose et l'oublier dix minutes plus tard. Mais elle y croit profondément." Dans l'espoir de résoudre le puzzle Gardot, L'Express a tenté de recontacter la chanteuse pour éclaircir avec elle quelques zones d'ombres. En vain. Melody est insaisissable, comme son regard, caché derrière des lunettes noires. La diva aime tenir les ficelles. Exemple avec Patrick Rapa, premier critique musical à avoir écrit sur elle dans le Philadelphia City Paper. "En 2005, elle m'a envoyé un long mail, se souvient-il. Elle me parlait de sa guérison grâce à la musique et de son souhait d'être interviewée." Le journaliste rencontre une brunette plutôt ronde, accompagnée de sa mère, photographe. "Il était évident qu'elle se servait de son histoire tragique. Mais, quand elle a chanté devant moi, j'ai été bouleversé : cette jeune fille avait une maturité d'interprétation impressionnante. Et elle possédait un charme fou." Au point parfois d'abuser des mêmes sortilèges. 

A l'Olympia, Paris (IXe), les 5, 6 et 7 novembre. 

Et ce corps meurtri ? Aujourd'hui, Melody l'aime : "La danse m'a aidée à l'accepter." Elle dit ne pouvoir se séparer de sa canne, mais prend des cours de tango... "Un jour, à Los Angeles, je me suis arrêtée devant une maison d'où venait une musique sublime. A l'entrée, un homme qui ressemblait à un pirate m'a proposé de le suivre. J'ai découvert des couples qui dansaient le tango. L'homme m'a invitée. Je lui ai dit que je ne pouvais pas. Il m'a dit : "Tu peux. Tu ne tomberas pas." Il m'a prise dans ses bras, c'était comme si j'avais toujours connu cette danse." La chanteuse aime les métamorphoses : "J'adore m'inventer des personnages, aller avec eux au bord du précipice." Troublante Melody, avec ses cent visages, ses parures et ses mélodies détournées. 

A l'Olympia, Paris (IXe), les 5, 6 et 7 novembre. 













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Christine Brunet interviewée par Bob Boutique

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Après ‘Nid de vipères’, ‘Dégâts collatéraux’, ‘Le Dragon bleu’, ‘E16’ et ‘Non Nobis Domine’, voilà qu’on nous annonce un nouveau Axelle de Montfermy qui s’intitulerait ‘Poker menteur’… Exact ? C’est vrai, oui. Déjà le sixième, je n’en reviens pas ! C’est le dernier avec mes héros récurrents, Axelle de Montfermy et Sean Sheridan. Ensuite, je passe à de nouveaux héros. Il est peut-être temps en effet ! Tu n’as pas honte de poursuivre cette pauvre petite de ta vindicte ? Elle a déjà frôlé dix fois la mort, subi les pires tortures sans parler des infidélités congénitales du grand amour de sa vie, l’infâme Sean Sheridan… et la voilà maintenant paraplégique, obligée de poursuivre ses enquêtes en chaise roulante ? Je ne la poursuis pas… C’est sa vie à elle. Elle fait des choix sans se préoccuper de sa propre sauvegarde. Mais est-ce que Sean est si infâme que ça ? La fin te donnera la réponse… Perso, je lis toutes ces aventures, avec l’écran de Google Earth devant les yeux. C’est une de tes spécialités ? Plonger l’action dans des environnements que tu connais à fond ? Londres et ses égouts dans ‘E16’… à propos tu es descendue dedans ? Tu vas rire, mais non… tout simplement parce que, à l’époque, tous les docklands étaient en cours de rénovation. En revanche, je me suis très largement documentée et j’ai regardé plusieurs reportages… mais qui dataient, malheureusement. Par ailleurs, seule une toute petite partie des 1.750 km de souterrains m’intéressait… … l’Auvergne dans ‘Non Nobis Domine’ et maintenant Marseille dans ‘Poker-menteur’. Pour être documentée, on peut dire que tu es documentée ? Je ne peux pas écrire sur un endroit que je ne connais pas. Très important, du moins pour moi, de baser le suspense sur des odeurs, des impressions alors que je découvre, ou re-découvre, les endroits qui vont me servir de toile de fond. Pour ‘Non nobis domine’, j’ai pris la voiture et je suis allée à l’aventure en cherchant le détail insolite qui pourrait tirer l’enquête, amener l’indice indiscutable que le lecteur curieux pourrait découvrir sur le terrain. 
Et pour ‘Poker Menteur’ ? Là, j’avais un avantage certain : je connais la région à fond. Pourtant, je suis allée en repérage, j’ai observé, humé, écouté pour retranscrire cela sur le papier et faire en sorte d’amener les lecteurs avec moi tout au long de l’enquête. Lorsqu’un auteur me dit que Google Earth suffit pour construire son univers, je suis quasi certaine de ne pas accrocher. J’ai besoin de réalisme en tant que lectrice pour être « alpaguée »… Je fais donc en sorte d’écrire ce que j’aimerais lire. Tu comptes encore secouer cette Axelle longtemps comme ça ? La pauvre doit approcher des quarante ans, elle a à peine le temps pour voir son fils… De commissaire elle est devenue la chef européenne de la police des polices. Ca suffit ! Ou alors va-t-on la voir poursuivre les bandits jusqu’à ses septante ans… ‘Poker menteur’ est le dernier épisode avec Axelle et Sean… Tu comprendras pourquoi à la fin… Après ‘Poker menteur’, je présenterai à mes lecteurs une autre héroïne, légiste entre autre activité. Le roman s’appellera ‘les fantômes de la D47’. Tes romans se lisent à du 200 à l’heure. C’est de l’action pure. Mais comme dans toutes les enquêtes il y a beaucoup de personnages, comment fais-tu pour ne pas tout mélanger et comment le lecteur doit-il procéder pour s’y retrouver ? Faire un plan ? Il y a les personnages principaux qui mènent l’enquête, et beaucoup de personnages secondaires qui donnent les indices, et font avancer, à leur manière, l’histoire. Ces personnages passent, meurent, dealent ; ce sont des feux de paille que le lecteur peut oublier. Je ne fais pas de plan, mes personnages s’imposent et disparaissent, ou sont là depuis des lustres. Ceux-là, impossible de passer à côté. Néanmoins, mes enquêtes ont besoin de rigueur comme toute enquête policière : j’ai donc un cahier où je note, jour après jour (temps dans mon livre, pas dans ma vie) les indices découverts, les hypothèses, etc. Tout est documenté, vérifié. Si mes infos sont exactes, tu as commencé en écrivant de la SF, tu vivais en Grande-Bretagne. Pourquoi et comment es-tu passée
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