Une brune masturbe son homme

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Une brune masturbe son homme
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Le 26 juin 2019 à 15h09 , modifié le 27 juin 2019 à 06h15
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« Il ne faut pas que ça se reproduise, ça aurait pu être une petite fille en face. » Natacha Bras, jeune informaticienne de La Rochelle (Charente-Maritime), souhaite que sa mauvaise expérience serve au moins à améliorer le système d'alerte de la SNCF. Samedi, lors d'un trajet en train entre Paris et Poitiers, elle a assisté à une scène qu'elle juge « inadmissible ». Un homme, assis quasiment en face d'elle pendant 1h15, s'est longuement masturbé en la regardant. Elle a confirmé mardi au Parisien avoir porté plainte pour « exhibition sexuelle ».
« Pas de raison de ne pas l'afficher alors je mets la vidéo ici », a-t-elle d'abord partagé sur Twitter, en assurant poster « la plus soft » des vidéos réalisées. On y voit l'homme, non flouté, la main dans son pantalon. Selon son témoignage, Natacha assure avoir d'autres images, plus explicites encore, où le passager se « cale » dos contre la vitre en la regardant. « Il s'arrêtait quand des gens passaient dans le couloir et il n'y avait pas de contrôleurs », se souvient-elle.
Le service qui gère les réseaux sociaux de la SNCF lui a répondu le lendemain, sans la convaincre de l'efficacité du système en vigueur : « Bonjour, je comprends votre inquiétude et regrette ces conditions de voyages difficiles. Aussi, si cela venait à se reproduire, n'hésitez pas à le signaler au chef de bord ou à joindre le service d'urgence SNCF au 3117 ou au 31 177 par SMS. Bien à vous. » Un message au sujet duquel la jeune femme et nombre d'internautes ont ironisé.
Paris > Poitiers en TGV ( soit environ 1h15) avec un mec qui change de place et s’assoit en face de moi, me regarde et qui se masturbe... y’a encore du boulot! Pas de raison de ne pas pas l’afficher alors je mets la vidéo ici! (La plus soft des vidéos disons) pic.twitter.com/FUyPPAJ7ff
« La SNCF, à part son bon conseil pour la prochaine fois, n'a donné aucun signe de vie », s'agaçait-elle encore mardi auprès du Parisien. « Je ne connaissais pas ce numéro et je pense qu'il est trop peu diffusé », regrette-t-elle.
En parallèle, le compte Twitter TGV INOUI lui a également adressé un mot le dimanche : « Bonjour, nous tenons compte de votre tweet avec attention. N'hésitez pas à m'indiquer vos numéros de train, voiture et place(s) pour que je puisse faire intervenir le chef de bord ». Et la jeune femme de rétorquer : « C'est un peu tard, c'était hier soir dans le TGV 8393 voiture 5. Il a fait ça pendant 1h15 et m'a suivi vers les toilettes. Cet homme recommencera, c'est certain. »
Elle assure en revanche avoir été très bien reçue au commissariat : « J'ai déposé plainte et la police a été très à l'écoute. Ils ont été vraiment formidables, ils ont maintenant toutes les vidéos. »
Natacha espère que sa plainte aura une suite. « Je fais ce trajet une fois par semaine ou tous les 15 jours selon les moments. Avant cela, jamais je ne me suis sentie agressée et la plupart des hommes savent se tenir heureusement et sont respectueux. Je n'appréhende donc pas non plus les prochains trajets mais je trouve simplement qu'il ne faut pas minimiser ces faits qui se produisent trop souvent. Ça aurait pu se produire avec un enfant ou une jeune fille », s'inquiète l'informaticienne, qui attend toujours un mot de la SNCF.
Contactée par Le Parisien ce mercredi, la compagnie ferroviaire se dit « évidemment navrée et vraiment désolée » pour la jeune femme. Mais elle estime son dispositif d'alerte et de sécurité suffisant. « Le numéro du service d'urgence est affiché dans quasiment toutes les gares de France et des rappels vocaux sont faits régulièrement à bord des trains », explique la SNCF, qui précise qu'il est « malheureusement impossible de déployer une équipe de sécurité dans tous les trains ».
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Petit guide de la masturbation pour se faire plaisir


Après la lecture de ce sujet, vous saurez tout sur la masturbation. Et vous saurez aussi comment vous faire grandement plaisir. Parce que se masturber est plus que normal, suivez le guide !
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La masturbation, c’est la stimulation manuelle et solitaire des organes sexuels (pénis pour les garçons et clitoris et vagin pour les filles), dans le but de provoquer une excitation et éventuellement un orgasme. Cette pratique sexuelle existe depuis que l’humain est sur Terre. Se masturber est normal et naturel . Tout le monde ou presque s’est déjà masturbé ou se masturbe encore, jeune ou moins jeune, avec plus ou moins de fréquence.
Un petit point avant d’aller plus loin : non, la masturbation ne rend pas malade , ni obsédé, ni stérile, ni impuissant, ni sourd…et oui, même s’il est encore plus courant et facile pour les garçons de parler de ce sujet, les filles sont toutes aussi concernées… et actives !
Quand on débute sa puberté, le corps se transforme. Les organes sexuels (pénis ou vulve) se développent et la production d’hormones sexuelles (testostérone chez les garçons et estrogènes chez les filles) s’accélère. Sous l’influence de ces hormones, notre cerveau est stimulé plus ou moins en permanence par une excitation latente, que l’on qualifie de désir sexuel . Dans l’attente d’une certaine maturité sexuelle (physique et psychologique) et afin de réguler cette montée du désir, les garçons et les filles peuvent avoir recours une stimulation manuelle de leurs organes génitaux, appelée masturbation, plus pudiquement nommée « caresse », ou plus populairement « branlette » (quelle poésie).
Filles et garçons se masturbent tout simplement pour se faire plaisir. La masturbation fait du bien, elle apaise, elle détend … Elle aide aussi à dormir. Se masturber, c’est s’accorder un moment de bien-être !
Une autre vocation de la masturbation est celle de l’apprentissage et de la découverte de son corps . Les transformations physiques qui interviennent au cours de la puberté sont de grandes interrogations de la part des filles et des garçons qui n’ont pas été préparés à cela. Partir à l’exploration des organes et de leur fonctionnement joue un rôle très important à la préparation de la sexualité.
Les garçons utilisent parfois la masturbation, comme d’un régulateur mécanique de leur éjaculation. En effet, en se masturbant peu avant un rapport sexuel (une à deux heures avant), ils réduisent leur « potentiel d’excitation ». Ils retardent ainsi le moment de leur éjaculation , pour être capable de faire durer le plaisir de leur partenaire. Et les filles aussi font ça. Un orgasme solo avant un rapport sexuel retarde le prochain… (orgasme, pas rapport).
Il n’y a aucune règle pour commencer à se masturber. D’ailleurs, dans le ventre de sa mère, le fœtus semble véritablement s’adonner à des attouchements des organes sexuels , cette pratique paraissant se poursuivre durant toute l’enfance avec le tripotage du zizi par les petits garçons ou de la zézette par la fillette. Des études démontrent que l’âge des premières masturbations coïnciderait avec le démarrage de la puberté, vers 12 ans ; mais que le pic de masturbation interviendrait entre 13 et 16 ans… La masturbation subit des rythmes différents selon l’âge et la vie sexuelle des individus ; d’une fois par an à plusieurs fois par jour, le rythme semblant décliner avec la vie en couple et l’âge.
La masturbation n’est pas systématiquement une pratique solitaire destinée aux « célibataires ». Certes, l’absence de partenaire est souvent propice à la pratique de la masturbation . Mais il arrive souvent que des partenaires réguliers aient recours à cette pratique, pour évacuer un trop plein d’excitation sexuelle entre deux relations (éloignement géographique, rythme et besoins différents des deux partenaires,…) ou simplement pour le plaisir de se faire plaisir . Si vous surprenez votre partenaire en train de se masturber, pas de panique ; cela ne signifie pas que vous ne le satisfaites pas sexuellement ou qu’il ou elle ne vous désire plus.
La masturbation peut également faire partie de la sexualité de couple. Masturber son partenaire ou se masturber devant lui fait aussi partie des jeux érotiques et des préliminaires. Se donner du plaisir sous son regard accroît bien souvent la complicité et excite l’autre qui en plus de ça découvre les gestes que vous aimez.
Il n’y a aucune règle en la matière. Chacun se masturbe à sa guise. En général, on choisit un lieu calme où personne ne viendra nous déranger : lit, douche… Et on part à la recherche des zones les plus sensibles de notre corps : cuisses, seins, vulve, pour les filles et pénis pour les garçons qui ont souvent moins besoin de préliminaires.
La masturbation s’accompagne généralement de pensées érotiques, d’images virtuelles ou réelles associées à des personnes connues ou… pas. Les filles se concentrent plus souvent sur le clitoris , en posant leurs doigts dessus et en faisant des petits mouvements circulaires. Elles jouent aussi avec l’entrée de leur vagin et l’intérieur ; elles peuvent s’introduire un doigt ou un sextoy fait pour ! Les garçons placent leurs mains autour de leur sexe en érection et le caresse dans un mouvement de va-et-vient plus ou moins rapide. Ils stimulent également leurs testicules, zones érogènes.
Pour toujours plus de plaisir, vous pouvez vous amuser à changer de position (pourquoi toujours se masturber allongé ?). Vous pouvez avoir recours à des sextoys (et ça existe pour les hommes ; des sextoys qui simulent un vagin…), utiliser un lubrifiant (à base d’eau de préférence) pour davantage vous exciter.
La masturbation ne traduit aucun comportement pathologique, quelle que soit la fréquence de cette pratique. Ce qui peut poser problème est davantage l’impact d’une masturbation excessive sur la relation avec son partenaire. En effet, la masturbation est légitime et épanouissante quand elle contribue à l’équilibre sexuel d’un homme ou d’une femme. Elle ne doit être « surveillée » qu’à partir du moment où elle joue un rôle soit addictif (quand on ne peut plus s’en passer) ou qu’elle éloigne de son partenaire (lorsqu’on préfère la masturbation aux rapports sexuels « classiques »).
Si vous avez la sensation que c’est votre cas, il devient important pour votre équilibre et votre avenir affectif d’en parler avec un sexologue, afin qu’il vous aide à mieux comprendre les enjeux de ce comportement et qu’il vous accompagne dans le rééquilibrage de vos pratiques.
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