Une brune aux atouts considérables

Une brune aux atouts considérables




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Une brune aux atouts considérables

mag.qilibri.fr needs to review the security of your connection before proceeding.

Did you know some signs of bot malware on your computer are computer crashes, slow internet, and a slow computer?
Requests from malicious bots can pose as legitimate traffic. Occasionally, you may see this page while the site ensures that the connection is secure.
Performance & security by Cloudflare

jeudi 08 septembre 2022, Saint Adrien











De G à D.: Christelle Lacabane, responsable de l'Union départementale des offices de tourisme ; Pascale Miqueu, maire adjoint au tourisme ; Jacques Brune, président d'HPTE, et Isabelle Pélieu, directrice. Photo C.M.
DDM










Vie locale , Hautes-Pyrénées




Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous.

S'abonner



Oui, je veux suivre les réponses
Non, ça ne m'intéresse pas

Pour profiter pleinement de l'info, abonnez-vous !


Haute-Garonne
Ariège
Aude
Aveyron
Gers
Hautes-Pyrénées
Lot
Lot-et-Garonne
Tarn
Tarn-et-Garonne



Le Petit Bleu
d'Agen

S'abonner à la newsletter quotidienne

Mentions légales
Données personnelles
Cookies
Contactez-nous
Publicité
Plan du site
Charte de modération
Nous recrutons

Nous et nos partenaires stockons et accédons à des informations non sensibles sur votre appareil, comme des cookies ou l'identifiant unique de votre appareil, et traitons vos données à caractère personnel comme votre adresse IP ou un identifiant cookie, pour des traitements de données comme l'affichage de publicités personnalisées, la mesure des préférences de nos visiteurs, etc.
Vous pouvez faire un choix ici et modifier vos préférences à tout moment dans notre Politique de confidentialité sur ce site web.
Certains partenaires ne demandent pas votre consentement pour traiter vos données et s'appuient sur leur intérêt commercial légitime. Vous pouvez vous opposer à ces traitements de données en cliquant sur «En savoir plus».
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes en nous basant sur votre consentement et/ou vos intérêts légitimes:
Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit, données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal"
Les Rencontres du tourisme, organisées à la cité Saint-Pierre par Hautes-Pyrénées Tourisme Environnement (HPTE), l'instance départementale chargée de la promotion touristique, ont eu lieu jeudi dernier. Trois questions à son président et conseiller général Jacques Brune.
À quoi servent les Rencontres du tourisme ?
Elles servent à rapprocher les socioprofessionnels du tourisme (hébergeurs, offices de tourisme…) d'une instance départementale (NDLR : HPTE) qui a pour mission d'accompagner le développement touristique et de favoriser les échanges entre tous ces acteurs. Comme toujours, l'union fait la force. Notre maître mot est la qualité à tous les niveaux.
Organiser ces rencontres à Lourdes, dans un site voué à l'accueil des pèlerins, c'est un symbole ?
Lourdes était souvent isolée dans l'organisation départementale touristique. En 2008, à l'occasion du 150e anniversaire des Apparitions, nous avons passé une convention avec l'office de tourisme. Et dans notre communication départementale, nous utilisons l'image très attractive de la cité mariale. Il s'agit surtout de capter le pèlerin individuel pour qu'il reste plus longtemps dans le département à la découverte de ses sites. Avec la politique des Grands Sites initiée par la région, qui met en valeur des sites comme le pic du Midi, le cirque de Gavarnie et Cauterets/Pont-d'Espagne, s'ouvrent des perspectives de développement à l'international.
Avoir choisi une société grenobloise pour la campagne de promotion des Hautes-Pyrénées n'est-ce pas un paradoxe ?
Outre le fait que son directeur Philippe Gaillard a fait ses études au lycée Marie-Curie à Tarbes, nous avons choisi cette société pour son savoir-faire en matière de communication décalée. Par exemple, le jeu de mots « New Zen Land » nous est apparu très accrocheur pour vendre la destination. La qualité de l'environnement, des paysages, la convivialité, sont pour notre département des atouts considérables.
Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?

Les raisons de la guerre en Ukraine
La retraite, c'est la vie ! - Travailler au Futur N°10
Se nourrir : à quel prix ? - La Terre | N°7
Une belle endormie aux multiples atouts.
Plus d'articles sur les sujets qui vous intéressent : 
Journaliste syrien originaire de Raqqa, auteur d’enquêtes et de reportages publiés par des médias occidentaux, dont...
40 grands textes choisis et présentés par le philosophe Florian Gulli pour construire des solidarités antiracistes...
Quelles sont les enjeux derrière cette tragédie ? Patrick Le Hyaric propose des pistes d’analyses et de réflexions...
Dossier spécial travail et santé, quels métiers en 2030, les chemins de l’égalité, la justice au travail par Alain...
Notre dossier « Se nourrir : à quel prix ? », conjurer la malédiction de la sécheresse, paroles de jeunes...
Le quotidien et le magazine papier livrés chez vous.
L’accès à tous les contenus payants du site humanite.fr.
Le quotidien du vendredi et le magazine papier livrés chez vous.
L’accès à tous les contenus payants du site humanite.fr.
L’accès à tous les contenus payants du site humanite.fr.

Une gauche revivifiée devrait pouvoir mettre fin au pouvoir sans partage, depuis de longues années de la droite, et mettre fin à la préoccupante progression de l'extrême droite. Afin de mettre en ouvre de véritables projets.
" Nous voulons battre la droite. La gauche doit gagner et contribuer à l'émergence de choix nouveaux pour notre région. Depuis des mois, nous travaillons au rassemblement très large d'une gauche respectueuse de ses différentes composantes, et qui accueille ces femmes et ces hommes qui représentent le mouvement social, le mouvement altermondialiste, les divers mouvements progressistes. Nous avons rencontré les représentants de toutes les composantes de la gauche, et, après de longues discussions, sommes parvenus à un accord permettant, régionalement, que la place des communistes soit appréciée positivement par nos militants. Nous serons donc présents sur une liste commune PCF, PS et Mouvement républicain citoyen (MRC de Jean-Pierre Chevènement- NDLR) " : c'est en ces termes que Marie-Jeanne Gobert, secrétaire de la fédération du PCF du Calvados, conseillère municipale de Caen, et professeur d'éducation physique, nous résumait récemment la situation de la gauche en Basse-Normandie, à l'approche de l'échéance des élections régionales.
Une situation qui se présenterait relativement bien dans la Manche, et, en tout cas, plutôt mieux dans l'Orne, où en 1998, l'union n'avait pas été possible. Comment définir, à gauche, le reste du paysage politique dans cette région qui, à défaut de salaires corrects, possède un riche passé, des possibilités considérables et, ce qui n'est pas négligeable, des paysages magnifiques ? Réponse de Marie-Jeanne Gobert : " Les Verts, après avoir annoncé qu'ils feraient cavalier seul, ont choisi de constituer une liste, avec le Parti radical de gauche (PRG, conduit par Alain Tourret- NDLR). LO et la LCR ont maintenu leur décision de construire leur propre liste ; s'y ajoute l'éventualité d'une liste Association pour de nouvelles perspectives à gauche (ANPAG). On peut se demander si cette façon de se présenter en ordre dispersé profitera à une gauche qui aurait, pourtant, grand besoin, comme, du reste, l'ensemble de la région, d'oxygène. Les communistes de Basse-Normandie auraient préféré que les rangs soient plus serrés.
Quoi qu'il en soit, à droite, on ne peut pas non plus parler d'unité, puisque l'on compte une liste UMP, conduite par René Garrec, soixante-huit ans, ancien député UDF, sénateur élu en 1998 sous l'étiquette " républicain indépendant ", et président du conseil régional depuis 1986 ; une liste UDF menée par Philippe Augier, maire de Deauville, qui fait campagne sur le thème de la réunification des deux régions normandes ; une liste de chasseurs, et une liste du Front national ; liste qui, en 1998, avait obtenu plus de 10 % des suffrages. Le FN, qui, lui aussi, plaide pour la réunification, sans négliger ses " classiques ", dont, bien sûr, l'immigration. Mais la Normandie, au fil des siècles a connu bien des invasions, réelles ou supposées, et a toujours su les gérer.
La nécessité d'équilibrer le rapport de force apparaît, si l'on considère que la droite règne sans partage sur la région depuis dix-huit ans ; qu'elle a non seulement présidé le conseil régional sortant, mais qu'elle détient aussi la présidence des conseils généraux des trois départements (Manche, Orne et Calvados, dont, en outre, s'agissant de ce département, les six députés sont de droite). Cette nécessité n'est pas seulement mathématique. On ne peut pas dire que cette droite omniprésente ait fait preuve d'une exceptionnelle efficacité ; sauf, peut-être, dans le rôle de relais local de la politique gouvernementale. Ce qui s'est traduit, dans les années du gaullisme (les " années soixante "), par une décentralisation et un développement d'entreprises (CIT-Alcatel, Moulinex, COGEMA, Philips, Citroën, Renault), en particulier dans des secteurs à main-d'ouvre à forte majorité féminine. Qui ont, depuis, été durement touchées.
Toute la région, de fait, se trouve fragilisée. Pour la première fois, depuis la Seconde Guerre mondiale, le nombre des salariés au travail en Basse-Normandie a diminué, nonobstant les aménagements divers imaginés par le pouvoir en matière de précarisation. Elle a, aussi, cette caractéristique que la moyenne des salaires y est, à quelques exceptions près, inférieure de 18 % de la moyenne nationale. Les exceptions ont noms COGEMA et Direction des constructions navales (DCN), mais il est bien évident, s'agissant de cette dernière, que les pertes d'emplois successives de la récente période ne sont pas de nature à favoriser le développement de Cherbourg ou du département de la Manche.
À l'heure des bilans, il convient de relever les points négatifs. Un vieillissement de la population plus rapide que dans les autres régions, dû à l'afflux de retraités, mais aussi à un exode dramatique des jeunes, qui, non seulement boudent les universités de la région (en raison du manque de diversité des filières de formations proposées), mais, en matière de travail et du fait des fermetures d'entreprises, du chômage et des bas salaires, préfèrent aller tenter leur chance ailleurs, par exemple en Île-de-France ou en Bretagne. En matière de formation, en 1997, cinq académies avaient des résultats inférieurs à ceux de la Basse-Normandie, relativement au nombre de bacheliers d'une même génération. En 2000, elles n'étaient plus que trois. Autres aspects négatifs : le recul du nombre de créations d'entreprises ; le développement, a contrario, des emplois précaires et de l'intérim ; le fait que l'industrie automobile, notamment équipementière, ces derniers temps, ait subi des revers. Ce qui fait que la région a perdu quelque 4 000 emplois industriels, mais qu'aussi la nature des emplois s'est modifiée : les emplois disponibles le sont dans les secteurs du Commerce et des services. Enfin, parmi les handicaps, il faut noter l'enclavement de la région, en raison de retards en matière de maillage routier et ferroviaire. S'agissant du fer, on notera que le trajet Paris-Rennes dure une heure et demi, et qu'il faut environ deux heures pour rallier Caen à la capitale. Lorsqu'il était ministre des Transports, Jean-Claude Gayssot avait lancé un projet Normandie-Vallée de Seine, visant, notamment, à mettre Caen et Rouen à moins de deux heures de Paris et des grands aéroports internationaux. Mais on attend toujours la traduction, dans les faits, de ce projet.
Il ne s'agit pas de noircir le tableau. La Basse-Normandie dispose de plusieurs véritables atouts. Au premier rang, figure sa situation géographique. Avec 350 kilomètres de côtes donnant sur la Manche, la mer la plus fréquentée du monde, elle dispose d'un potentiel qu'il conviendrait de valoriser à tout point de vue, sans négliger les questions de sécurité. C'est aussi une région productive d'énergie. D'énergie nucléaire, notamment, et qui peut, si on l'adapte sans négliger de diversifier les sources, devenir, dans ce domaine, une région pilote. Elle possède aussi une bonne base agricole. En déclin quant au nombre des exploitations, mais qui n'est pas fatalement condamnée. Il est possible de développer une dynamique d'industrie agroalimentaire. Encore faudrait-il que tous les partenaires jouent le jeu. Ainsi, actuellement, les agriculteurs ont-ils des difficultés, par suite de la baisse du cours du lait à la production, qui donnent lieu à des manifestations autour des grands centres industriels de transformation. La Basse-Normandie n'est pas, non plus, dépourvue dans le domaine de la recherche scientifique : selon le rapport du CESR présenté au mois de juin dernier, elle se situe au quinzième rang national (sur vingt-deux), avec 797 chercheurs. Enfin, la qualité de la vie, la proximité de la région parisienne, pour peu qu'un effort supplémentaire soit consenti en matière de transport, s'y révèlent particulièrement attractives.
C'est sur toute cette gamme de dossiers qu'il conviendrait qu'une gauche revivifiée puisse prochainement intervenir de façon utile. Et c'est à quoi s'emploient aujourd'hui les communistes, dans la Manche, l'Orne et le Calvados.



Saisis un email valide afin d'être prévenu à chaque nouvelle publication de insee








Documents







Savoirs







Sciences humaines et sociales










Une opération aux enjeux considérables...





Saisis un email valide afin d'être prévenu à chaque nouvelle publication de insee



Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne



En savoir plus




Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne



En savoir plus




Les acteurs nationaux et locaux peuvent conduire dans de meilleures conditions leurs politiques économiques et sociales s'ils disposent d'information régulières et récentes sur les grandes caractéristiques des population concernées. La rénovation des méthodes du recensement de la population répond à ce souci. Chaque année, le nouveau recensement fournira la population légale des communes et des statistiques significatives sur tous les territoires d'application de l'action publique. En février 2004 aura lieu à La Réunion ce premier recensement d'un nouveau type.



Documents


Savoirs


Sciences humaines et sociales


INSEE Démographie Sociologie, société et politique

La pratique sportive des jeunes dépend avant tout de leur milieu socioculturel


Une forme discrète de pauvreté : les personnes logées utilisant les distributions de repas chauds


Les détenus et leur famille : des liens presque toujours m
Porno Complet
Inyouchuu Shoku Harami Ochiru Shoujo-Tachi
Telecharger Films Porno

Report Page