Une boss qui baise son employé

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Une boss qui baise son employé
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Publié le
20/02/2014 à 09:53







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Les victimes ont du mal à faire leur deuil d'une relation toxique.
C'est en surfant sur des forums consacrés au harcèlement que Salif a pu mettre des mots sur le calvaire qu'il a enduré pendant deux ans. "Mon ancien chef ressemblait trait pour trait aux pervers narcissiques que dépeignaient les internautes", raconte cet informaticien de 26 ans. Un "boss de rêve", qui offrait des cafés et n'était jamais avare de compliments. Un jour, pourtant, les critiques ont commencé à pleuvoir, insidieuses, jamais vraiment argumentées. Au fil des semaines, Salif a été de moins en moins convié aux réunions, jusqu'à ce que son nom finisse par disparaître complètement de la mailing list du service. Salif s'est retrouvé isolé, déboussolé... "Pendant un moment, mon chef est redevenu gentil, et puis ça a recommencé. Si je n'avais pas été muté, je serais au chômage, ou en dépression." 

Face à un pervers narcissique, avocats, psys et médecins du travail ont un seul conseil : fuir. Sauver sa peau. Partir le plus vite possible. Quand c'est possible... "Avec le chômage de masse, une sorte de précarité virtuelle intégrée s'installe chez beaucoup de salariés, qui se sentent coincés", constate Jean-Claude Delgènes , du cabinet Technologia, spécialisé dans la prévention des risques psychosociaux. Dommage, car le monde du travail est un terrain de chasse privilégié pour ces prédateurs modernes. Souvent flatteurs et beaux parleurs, dépourvus d'empathie et de tout sentiment de culpabilité, ils ont besoin pour s'épanouir d'"une relation d'emprise naturelle difficile à rompre", selon le psychanalyste Jean-Claude Bouchoux . Si le phénomène est difficile à quantifier, le management à la française leur semble particulièrement favorable : "Dans les enquêtes internationales, nos entreprises sont parmi les plus mal notées pour la qualité des relations avec la hiérarchie ou la reconnaissance au travail . Ce peu d'attention prêté à "l'humain" crée un contexte idéal pour ces déviants", souligne le psychiatre Patrick Légeron , fondateur du cabinet Stimulus. 

Que faire, alors, face à un collègue, un subordonné ou un chef "manipulateur destructeur" présumé? "D'abord, tenter de désamorcer et, surtout, ne pas accuser à tort, répond la psychiatre Marie-France Hirigoyen , célèbre pour avoir popularisé les concepts de harcèlement moral et de pervers narcissique. Ces mots sont aujourd'hui galvaudés. Il ne faut pas confondre la perversion narcissique avec un comportement pervers défensif, induit par une organisation du travail pathogène", ajoute la psy. Pour en avoir le coeur net, elle préconise un échange de bonne foi pour tenter de faire prendre conscience à l'autre du mal qu'il cause. Rien ne change ? Il ou elle rejette la faute sur vous ? Le danger est là, il faut se protéger. 

Quand les critiques et les coups bas ont commencé à alterner avec les "bouquets de fleurs, les déjeuners entre "copines'' et les confidences", Joëlle, cadre sup dans l'assurance, en a tout de suite parlé à son mari : "Il m'a rappelé l'essentiel : à 55 ans, j'avais toujours donné satisfaction, donc le problème ne venait pas de moi." Et quand sa supérieure hiérarchique, une coquette jeune femme en poste depuis un an, a essayé de la déstabiliser en racontant qu'une collègue de longue date se plaignait de son comportement, Joëlle a foncé voir celle-ci : "Elle est tombée des nues, bien entendu. Je résiste comme ça, en revenant à des faits objectifs, l'une des meilleures techniques pour contrer les manipulateurs, mais c'est usant. D'autres ici sont en arrêt maladie, sous antidépresseurs", soupire-t-elle. 

Souvent, les victimes ont du mal à faire leur deuil de la relation toxique. "Quand quelqu'un commence par vous dire que vous êtes le meilleur, c'est agréable", souligne Anne-Catherine Sabas , auteur de Triomphez des manipulateurs (éd. Bussière). Rémy, trader dans une grande banque, a été pris à ce piège. Il s'est suicidé. "Son chef l'invitait à dîner, ils sont même partis en vacances ensemble. Puis il s'est mis à l'humilier, à lui refuser des déplacements ou des congés, à l'installer à la place des stagiaires", raconte l'avocat de sa famille, Me Michel Ledoux, qui se rappelle ces Post-it où la victime écrivait à son bourreau : "Pourquoi tu me traites comme un chien ? Quel besoin as-tu de me tirer dessus?" 

La règle d'or, face à un "PN": en dire le minimum, car ils repèrent les failles de leurs victimes et s'y engouffrent. "Un de mes patients, employé dans un grand établissement financier, a dit un jour à son supérieur qu'il ne supportait pas les parfums d'ambiance. Le lendemain, l'autre a vidé une bombe de désodorisant d'intérieur dans son bureau, en faisant passer ça pour une blague. Et tout était à l'avenant", raconte le psychothérapeute Pascal Couderc . Dur, alors, de garder son calme. 

Et pourtant... D'un naturel posé, Frédéric a su rester flegmatique face à un boss "capable de vous hurler dessus pour des broutilles, puis de dîner avec vous en déplacement comme si de rien n'était". "Je savais que, si je répliquais, ce serait pire", se souvient cet auditeur, qui avait une stratégie simple : éviter son chef. "On peut aussi faire de la contre-manipulation, s'entraîner à répondre par des phrases courtes, feindre l'indifférence", insiste Isabelle Nazare-Aga, qui organise des séminaires sur l'art de faire face aux manipulateurs. 

Et, bien sûr, garder des traces écrites de tout - faire des mails, si possible avec plusieurs personnes en copie. Des documents précieux si la situation dégénère. "Malheureusement, entre aider quelqu'un en souffrance ou sacrifier un harceleur par ailleurs efficace au travail, certaines directions choisissent vite", constate Patrick Légeron . Car les pervers narcissiques savent se mettre la hiérarchie dans la poche. "Certains deviennent indéboulonnables", confirme Jean-Claude Delgènes, qui est intervenu dans un grand groupe de l'énergie, où un service d'audit connaissait un fort turnover. "Tout le monde connaissait le problème, mais le responsable du service était issu des Mines et protégé par son réseau. Il a juste été muté, et encore, cela a été compliqué", se souvient-il. 

Les entreprises, pourtant, devraient se méfier. Esprit d'équipe bousillé, démotivation, turnover, absentéisme : les personnalités toxiques pèsent sur la productivité. Quant au risque juridique, il tourne au casse-tête. "Un harceleur sanctionné sans preuves suffisantes peut se retourner contre son employeur. Ce qu'il fera d'autant plus qu'en bon narcisse il déteste l'humiliation. Et, en même temps, l'entreprise a une obligation de résultat en matière de santé au travail : en cas de harcèlement, elle sera toujours fautive", explique Me Ledoux. 

Manfred Kets de Vries , professeur à l'Insead, prône donc une solution radicale : "Eviter d'embaucher de futurs tyrans." Pour cela, multiplier les entretiens, croiser les réponses du candidat, et débusquer ses incohérences. Et, pour ceux qui passeraient entre les mailles, instaurer une organisation du travail qui les empêche de nuire : dire que les plaintes seront prises en compte, et laisser la place à la critique. "Mais c'est difficile en France, ajoute ce Néerlandais. Chez vous, tous les pouvoirs sont concentrés et, dès l'école, l'esprit d'initiative est découragé au profit de l'obéissance." 



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Je suis amoureuse de mon boss (et j'ai peur qu'il me vire)
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Cupidon joue les trouble-fête au bureau! Laurence, une jolie jeune femme bru ne, est tombée amoureuse de Jérôme. Problème n° 1: elle est mariée et mère de deux enfants. Problème n° 2: Jérôme est le patron de la société où elle vient d'être embauchée. D'ailleurs, à y regarder de plus près, si elle a accepté ce poste de DRH au sein d'une PME spécialisée en parapharmacie, c'est en partie parce qu'elle a été trou blée par le charisme de ce quadra. «Il dégage vraiment quelque chose de spécial», s'est-elle d'abord dit. Puis, au fil des journées passées à travailler ensemble, de la complicité entre eux est née, une proximité s'est installée et elle ressent à présent une véritable attirance sexuelle.
Flamme dévorante. Alors que, d'un côté, Laurence subit l'usure de son couple, de l'autre, elle côtoie au quotidien l'exact opposé de son mari: un homme au charme fou, calme, parlant facilement de ses problèmes personnels et mettant en avant ses capacités relationnelles plutôt que sa testostérone. L'attirance se transforme bientôt en amour et cela a le don de la mettre mal à l'aise. «Comme je prends plaisir à être au bureau où je sais que je vais retrouver Jérôme, j'y arrive très tôt le matin et, le soir, j'en repars le plus tard possible. Je me montre totalement disponible, y compris pendant les week-ends et les vacances, n'hésitant pas à le prendre au téléphone et à lui consacrer du temps. Quand mon mari râle, je lui explique que je n'ai pas le choix: je suis en période de prise de poste et bien payée de surcroît. Du coup, il se tait. C'est horrible, je me sens coupable, mais c'est plus fort que moi: plus je me dis que ce que je ressens est mal, plus j'éprouve des sentiments forts.» Elle se trouve toutefois dans une impasse: déclarer sa à Jérôme lui semble tout aussi impossible que de quitter son mari.
Besoin d'être rassurée. Laurence me raconte ses expériences passées avec les hommes. Au fil de ses propos, un élément récurrent apparaît en pleine lumière: «J'ai toujours voulu sentir que j'étais importante pour eux: avec mon père, avec mes petits amis successifs, puis avec mon mari. Et, à présent, avec mon patron.» Elle éprouve sans cesse le besoin d'être rassurée. «Auprès de Jérôme, ce besoin se trouve pleinement satisfait.» Bref, elle l'idéalise et c'est pour cette raison qu'elle en est tombée amoureuse.
Passage à l'acte impossible. Plutôt que de chercher une solution à ce problème, je demande à Laurence ce qui est important pour elle. Sans hésitation, la jeune femme me répond: «Je veux continuer à travailler dans cette entreprise et je veux pouvoir être honnête avec les gens que je côtoie.» Selon moi, elle n'a d'autre solution que de révéler ses sentiments à son patron. Si la situation actuelle perdure, elle risque de devenir malheureuse, irritable et angoissée, ce que ne manqueront pas de remarquer ses collègues. Cela risque de les faire jaser. Et si elle passe à l'acte avec Jérôme, les histoires d'amour interdites finissant mal en général, son avenir en tant que salariée de l'entreprise est compromis. Surtout, elle devra mentir à son mari et à ses enfants et cela lui serait insupportable. Mais voilà Laurence ne peut pas se résoudre à avouer son amour à Jérôme: «il va être terriblement déçu et penser que je suis une fille facile. Peut-être va-t-il me licencier pour se débarrasser du problème.»
Exigence de sincérité. Elle doit absolument sortir de ce mode de pensée dichotomique (c'est tout ou rien: si je parle, il va m'en vouloir, donc je me tais) et s'efforcer de développer sa flexibilité mentale. Je parviens à la persuader que, si elle s'exprime avec sincérité, elle sera non pas rejetée, mais comprise. Puis je l'aide à trouver les bons mots pour formuler ses sentiments.
Aveu libérateur. Lorsqu'elle se sent enfin prête, Laurence se jette à l'eau et avoue tout à son supérieur: «Jérôme, j'éprouve des sentiments très forts pour toi. J'ai été touchée par ta personnalité et il faut que tu saches que cela a beaucoup affecté mes relations avec mon mari. Je n'ai pas osé t'en parler plus tôt car j'avais peur que tu le prennes mal mais je veux rester dans l'entreprise, j'apprends beaucoup à ton contact.» Las, Jérôme ne partage pas ses sentiments. «Il m'a même assuré qu'il était très amoureux de sa femme et qu'il n'avait jamais cherché à me séduire, raconte Laurence. Bien sûr, cela a été une vraie gifle, mais, en même temps, je me sens soulagée, car il s'est montré positif. Il a trouvé cela flatteur et m'a juré que cela n'aurait aucune conséquence sur notre travail.»
Reconstruire sur des bases saines. Bien entendu, l'amour de Laurence pour son patron n'a pas cessé du jour au lendemain. Mais le fait de parler a permis à la jeune femme d'arrêter d'être tourmentée par ses sentiments. Et, avec le temps, la situation s'est apaisée. Elle a retrouvé une admiration purement professionnelle pour Jérôme, sa mise au point ayant même engendré un respect plus profond entre eux. Et elle en a profité pour appliquer la même méthode à son couple: elle a expliqué à son mari qu'elle ressentait un malaise, ils en ont discuté longuement et ils sont aujourd'hui en train de reconstruire leur union sur des bases plus saines et sincères. Quant à ses collègues, ils ne se sont jamais douté de rien: l'histoire avec Jérôme s'est arrêtée juste à temps et ils ont mis le zèle et l'enthousiasme de Laurence sur le compte de son arrivée dans un nouveau job.
Si 31% «seulement» des salariés français disent avoir déjà eu une aventure ou vécu une relation amoureuse au bureau (OpinionWay, 2011), leurs homologues américains semblent avoir les coudées plus franches: 54% avouent avoir succombé à la tentation avec un(e) collègue. Parmi eux, 14% disent avoir couché avec leur patron(ne) et 35%, avec un(e) subalterne (étude Business Insider, mai 2013). Retour dans l'Hexagone: 55% des salariés ayant eu une relation amoureuse sur leur lieu de travail considère que celle-ci a eu un impact positif sur leur carrière. Vive la promotion canapé!

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Une jolie ado se masturbe dans la salle de bain
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Dans le hall avec Kiara Lord

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