Une bonne sodo dans la salle de bain

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Une bonne sodo dans la salle de bain

(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Cette histoire - véridique - a été écrite en 2005.

Pour bien me situer, j'ai 58 ans; je fais donc partie d'une génération moins chanceuse que l'actuelle au point de vue de la liberté des mœurs et quand, à 16 ans, j'ai dit à ma mère que j'étais homo, elle m'a envoyé chez le médecin de famille qui n'a rien trouvé de mieux à faire que me bourrer d'hormones pour me "guérir". Je suis évidemment resté homo en dépit de ses bons soins mais je me suis quand même marié à 19 ans parce que, ayant mis enceinte Patricia, la putain du quartier (je voulais quand même savoir ce que ça faisait de coucher avec une fille) j'ai été "obligé" – comme on disait à l'époque – de l'épouser. Et puis, il y avait aussi le qu'en-dira-t-on du début des années 1960... Cela n'a pas duré: quatre ans plus tard on se séparait et j'obtenais la garde de nos deux enfants. J'ai mis mon homosexualité "de côté", j'avais d'autres chats à fouetter. Je me suis remarié, j'ai eu un troisième enfant mais j'ai recommencé à avoir des relations homo et j'étais, je crois, un bi type.

Un jour, j'avais 28 ans, j'étais seul avec mes enfants dans une galerie commerçante du centre-ville et j'ai croisé le regard d'un beau blond et ce fut l'étincelle. J'ai dit à mes enfants que j'avais un coup de fil à donner et je me suis isolé un moment avec ce mec... Non, non, pas pour baiser, voyons! Juste le temps de se fixer un rendez-vous pour la semaine suivante, le premier jour de travail de l'année 1975.

Ce jour venu, j'avais bien préparé mon plan et conduit ma voiture à l'entretien de façon à être libre toute l'après-midi. Le gars, Jacques, est arrivé à l'heure au rendez-vous et m'a amené chez lui. Il était vraiment très beau. Plus petit que moi, certes, mais fichtrement plus musclé. Il vivait dans un appartement situé au dernier étage d'un immeuble de bureaux, immeuble qui se vidait - nouvel-an oblige - au fur et à mesure que nous discutions. Quand nous sommes passés dans sa chambre et qu'il s'est mis en slip, j'ai été sidéré par la musculature de ce gars: parfaite. Il m'a entraîné vers son lit, nous nous sommes d'abord amusés aux jeux habituels de la découverte: caresses, baisers puis il a enlevé mon slip et moi le sien, putain: quelle bite! Carrément une fois et demie la mienne! Je n'en avais jamais vu de pareille et j'en ai rarement vu, depuis, d'aussi imposante. J'avais pourtant décidé de franchir le pas ce jour-là et pour la toute première fois de ma vie, de me laisser sodomiser. Mais nous n'en étions pas encore là...

Nos caresses se sont faites plus audacieuses, la fellation, je la pratiquais déjà (vraisemblablement pas fort bien car j'en ai beaucoup appris, depuis lors, sur le sujet!) et je m'y attelai consciencieusement quand il s'est levé pour aller chercher une lotion pour le corps dans sa salle de bains. Je sentais que mon dépucelage du cul allait bientôt commencer et effectivement, il m'a fait écarter les jambes et m'a aspergé la rosette de sa lotion. Il s'en est mis dans la main aussi et à commencé à me masser la raie en s'attardant sur ma petite rondelle. J'étais aux anges: le fantasme de mes nuits allait enfin se réaliser grâce à ce superbe mec monté comme un baudet. J'allais vite déchanter!

Il m'a fait coucher sur le dos, m'expliquant qu'il voulait voir mon visage quand il me limerait. En cours de conversation, je lui avais dit que je ne m'étais jamais fait enculer et ça avait eu l'air de l'exciter très fort. J'allais comprendre pourquoi... à mes dépens! Il a d'abord introduit un doigt dans mon cul. Idiot, que j'étais: ça me faisait rougir! Mort de rire! Quand il a commencé à introduire son gland, je me suis demandé si je le supporterais tellement il était gros. Il m'a dit que la douleur disparaîtrait une fois que le gland serait passé et je l'ai cru. Son sourire en disait long en tout cas sur son plaisir. Nom d'un chien, ça faisait vraiment très mal! Quand le gland est passé, ce fut presque pire: vu la longueur de sa queue, j'avais l'impression qu'elle allait m'entrer dans l'estomac! Je lui ai demandé d'y aller doucement, "pas de problème" m'a-t-il répondu, "ça n'en durera que plus longtemps!" La douleur, loin de s'atténuer, ne faisait qu'augmenter et j'ai commencé à pousser des gémissements tant c'était insupportable. Au lieu d'arrêter un peu, le temps de me laisser souffler, il a intensifié ses mouvements. Je vous avoue que là, je me suis mis à gueuler tellement j'avais mal. Sa réaction me fit alors comprendre dans quel guêpier je m'étais fourré: c'était un sadique! Et sa force, de loin supérieure à la mienne à l'époque, m'interdisait tout mouvement de défense! "Vas-y, gueule! Il n'y a plus personne maintenant dans le bâtiment pour t'entendre!" Ses coups de bite me torturaient littéralement. Moi j'avais complètement débandé mais lui continuait à branler ma queue ramollie. Mécaniquement, par les va-et-vient qu'il faisait subir à ma bite, j'ai quand même éjaculé. Je m'en voulais d'avoir éjaculé sans jouir et ce pour son seul plaisir à lui. J'avais arrêté de crier pour ne pas lui offrir un amusement supplémentaire mais je me suis vite rendu compte que, moins excité par mon silence que par mes cris, il allait me limer plus longtemps encore. Je me suis donc remis à gueuler autant pour le mal qu'il me faisait que pour en finir au plus vite avec ce calvaire. C'était bien avant qu'on parle du SIDA, il n'avait donc pas mis de capote et c'est dans mes tripes endolories qu'il a balancé tout son foutre.

J'avais du mal à marcher pour me rendre à la salle de bain. Ce n'était pas que son sperme qui coulait de mon cul: plus rouge que blanc, c'était surtout mon sang. Je lui ai piqué un gant de toilette que je me suis mis entre les fesses pour empêcher que ces saignements salissent mon caleçon, mon pantalon et même le siège de ma voiture. Je suis allé récupérer celle-ci tout pantelant. Le garagiste m'a demandé si j'allais bien: j'étais livide! Rentré chez moi, il n'y avait encore personne, j'ai jeté ce gant de toilette au fond de la poubelle. Quand elle est rentrée, j'ai dit à ma femme que je me sentais très mal. Plus tard, j'ai dû aller aux toilettes et l'hémorragie a recommencé. Je n'ai pas voulu aller aux urgences à l'hôpital, ni déposer plainte à la police: maintenant encore certains disent que je ne me suis pas fait violer puisque j'étais consentant au départ. Alors il ne faut pas demander - à l'époque - comment j'aurais été reçu au commissariat! Avec de grands éclats de rire sans doute? Quelques semaines plus tard, il a fallu m'opérer.

J'avais 28 ans. Il a fallu attendre 28 ans de plus pour que j'accepte à nouveau d'être sodomisé. Cela n'a pas été sans peine. Heureusement, c'était un garçon très gentil - Rodolphe - avec un petit zizi mais dont il se servait bien. Et j'avais choisi aussi d'accepter parce que ce gars-là, s'il avait fallu me défendre à nouveau, je l'aurais écrasé sans peine car depuis le temps, je me suis fortement musclé aussi. Mais c'est surtout parce que j'aimais Rodolphe que j'ai accepté de le refaire à nouveau. Mon histoire avec lui est terminée aussi maintenant; j'ai rencontré d'autres mecs actifs, certains plus adroits que d'autres et le dernier en date – Fabrizio, âge de 26 ans à peine – est tout bonnement génial et il me fait ça très bien.

J'ai beaucoup de rancune envers "mon violeur". Non parce qu'il m'a violé (même si je n'ai rien oublié – la preuve en est ce récit) mais uniquement parce que, à cause de sa brutalité égoïste, moi j'ai perdu 28 ans de ma vie à vivre des relations incomplètes. Je suis plutôt passif mais je remplis les deux rôles selon le partenaire que j'ai devant (ou derrière) moi. Mais se mettre à la sodomie passive à 56 ans seulement (ça fait deux ans maintenant et je me rattrape, merci!) alors qu'on a toujours fantasmé à ce sujet, ce n'est pas chose facile. Est-ce parce que c'est moins élastique ou bien parce qu'il me reste encore quelque appréhension, je ne le saurai jamais.

En tout cas, merci de m'avoir lu jusqu'au bout. Et si je vous invite à prendre un maximum de plaisir dans votre vie sexuelle, ne le faites jamais au détriment de qui que ce soit. Pour moi, tous les plaisirs sont bons, même ceux qui ne m'attirent pas du tout comme le SM, la scato, etc, du moment que les partenaires sont d'accord. Pas besoin d'amour pour autant, du moment qu'il y a avant tout le respect de l'autre...



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Lorsqu'il s'agit de sexe, certaines personnes sont prêtes à tout pour assouvir leurs fantasmes. La preuve avec ce couple qui était en pleine action dans la piscine d'un hôtel. Une vidéo que nous proposons de retrouver sur notre site Non Stop Zapping.http://www.non-stop-zapping.com/actu/divers/un-couple-en-pleins-ebats-sexuels-se-fait-surprendre-video-50943


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