Une bonne grosse queue et ça va mieux
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Une bonne grosse queue et ça va mieux
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Je crois que le fait d'être bi est à la fois formidable mais également, invivable car plusieurs options s'offraient à moi auparavant. Mais j'ai fait le choix d'être en couple avec une femme et de laisser tomber mon petit côté fif et l'attirance que j'avais pour les mecs. En fait, je ne suis pas réellement attiré par les hommes mais bien par leurs queues. Le côté tabou d'être bisexuel, d'être à la fois un mâle que les gens perçoivent comme viril et à la fois, un homme qui aime le goût d'une bonne grosse queue.
Bien que les choses se soient tassées avec le temps, ce désir fait encore partie de moi. Je le garde secret, je le garde pour moi. Je ne veux pas que cela se sache car l'aspect intimité et secret m'excite encore plus que l'acte lui-même. Juste penser à un beau gros gland luisant me donne l'eau à la bouche. La salive remplit ma bouche à la seule pensée de l'odeur d'une belle grosse bite dure.
Dernièrement, ce désir s'est accentué à un point tel que je devais me masturber tout en léchant mon doigt ou un objet long et dur. Personnellement, je trouvais cette situation intolérable et l'envie de sucer une belle grosse queue hantait mon esprit sans cesse. J'ai décidé de faire une recherche sur le web pour trouver un site de rencontre gay. Je suis tombé sur un site québécois de rencontres entre hommes. Je me suis enregistré sous un pseudonyme explicite et je me suis décrit comme ceci:
Mec de 29 ans, bisexuel, est à la recherche d'un homme entre 35 et 50 ans, équipé d'une grosse queue et d'un gros gland. Je suis pute à mes heures et tout ce que je recherche, c'est un homme mature qui aimerait se faire polir la queue. Je ne désire rien en retour, seulement le jus qui vient avec.
Les seules fois où j'ai eu du sexe avec un homme, c'était avec un copain d'enfance avec qui j'ai eu beaucoup de plaisir. J'ai pu expérimenter plusieurs trucs et découvrir les plaisirs de l'amour et du sexe entre gars: sodomie, fellation, bref, tout le kit. Alors oui, le goût de sucer un étranger avec un look de sugar daddy m'excitait vraiment beaucoup. Surtout un homme équipé d'une queue monstre avec un gland luisant et bien sûr, légèrement odorante. Le genre d'homme qui ne veut qu'une petite pédale pour le sucer, qui pourrait me faire sentir la petite slut que je suis à mes heures. Et finalement, l'homme qui voudra bien me remplir la bouche de sperme chaud et goûteux. Mais je dois être franc: ce genre de rencontre me gêne terriblement et souvent, je me décourage juste avant le rendez-vous. Surtout que je ne suis pas gay et que je fais tout cela en cachette.
Les jours passèrent sans que je n'aie de messages sur mon hotmail. Chaque jours, j'allais voir, avec la bouche pleine de salive à l'idée de lire une vieux cochon vicieux. Après deux semaines, je commençais vraiment à me décourager. Je décidais alors d'aller retirer mon profil du site et d'oublier ça. Mais quelle ne fut pas ma surprise de voir un message dans ma boite hotmail, juste au moment où je voulais supprimer mes fantasmes. Le vicieux en question se prénomait Yvan et avait 58 ans. Dans son email, il mentionnait qu'il aimait bien les mecs dans la vingtaine et qu'il était équipé d'une queue de 7 pouces, assez large, circoncise et bien sûr: un gland énorme. Il avait également joint une photo de sa queue. Je jetais un coup d'oeil à la photo et je suis resté bouche-bée! La queue était une oeuvre d'art. La forme de cette bite était vraiment parfaite. Longue, large, avec de belles veines. Pas de prépuce et un beau gland rosé, juteux et vraiment luisant. Bref, la queue irresistible, celle dont je rêvais depuis longtemps. L'homme avait le look typique de celui qui approche la soixantine. Grisonnant, quelque peu bedonnant mais avec un look de gros vicieux pervers. Dans sa description, il se disait gay et cochon. Il aimait regarder un jeune homme se mettre à genoux devant lui et de se laisser laver la queue.
Laver la queue? Cette dernière phrase eut un effet monstre sur moi. Je lui répondis aussitôt et lui proposai une rencontre dans les plus brefs délais. Quelques heures passèrent avant de voir un message d'Yvan intitulé: "Je suis toujours libre pour les petites putes affamées". Je ne me pouvais plus! Mais quel cochon cet homme! Je me mis à lire sa proposition. Il me proposait de le rencontrer chez lui, à Ste-Foy, dans son appartement. Il demeurait seul et pouvait recevoir avec discrétion ce soir même. Il me laissa son numéro de téléphone.
Je dois avouver que je suis très perplexe avec ce genre de réponse. Ce vieux cochon allait très vite en affaire. Mais l'excitation que j'avais ne faisait que chasser mes doutes. Je pris le téléphone et composai le numéro. Un homme répondit avec une voix quelque peu effiminée. Je lui dis qui j'étais et tout de suite, il me demanda si je pouvais me libérer. Je lui répondis que j'avais réellement envie de sucer ce soir et m'indiquer comment me rendre chez lui.
Les hivers au Québec, ils sont FROIDS, très froid. Et en plein mois de février, tout est glacé. Donc, je me suis vêtu tel un esquimau et embarquai dans ma voiture gelée. Je devais me taper une bonne heure de voiture avant d'arriver chez "Mr Bite" donc, je sentais que je n'allais pas tenir le coup! J'étais bandé comme jamais et le froid ne faisait qu'accentuer mon impatience. Une fois arrivé à Quebec, je pris la direction de Ste-Foy. Vire à gauche, droite. Lumières, petites rues fermées, détours. Bref, des petites pertes de temps qui me rendaient encore plus impatient. J'avais tellement faim et juste d'imaginer la chaleur d'un membre dur dans ma main me faisait carrément bander.
Enfin, je localisais le numéro d'immeuble. Je stationne la voiture, me dirige vers la porte et sonne pour l'appartement 802. Il est 1h35 AM. Personne me répond mais le déverrouillage électrique de la porte se fait sans que personne ne me demande qui j'étais. Pas très sécuritaire, Monsieur belle bite...
Bref, je monte les huit étages, toujours vêtu de mes fringues hivernales. J'ai chaud mais j'ai terriblement faim. Me voilà devant la porte 802. Je cogne quelques petits coups. On m'ouvre la porte et c'est bel et bien Yvan, l'homme de la photo qui se trouve devant moi, 5'10", grisonnant. Il est vêtu d'une robe de chambre et il me regarde avec un sourire de vieux vicieux. C'est là qu'il me balance: "Tu fais très masculin pour une pute je trouve!" Là, je ne sais plus si je dois entrer ou rester là et rebrousser chemin. Bref, je le regarde droit dans les yeux et lui dis: "Et bien, j'ai juste hâte de me mettre à table, puis-je entrer?"
Il s'écarte de la porte et me fait signe d'entrer. La première chose qui me frappe en entrant, c'est l'odeur. Une odeur d'encens, d'épices et de... sexe! Oui, ça sent la bite dans cette appart là. Je jette un coup d'oeil devant moi et je constate que c'est le salon. Je retrire mes bottes et mon manteau. Yvan me quitte pour se diriger vers la pièce devant moi. C'est le salon. Sur la table centrale, il y a du KY, des dildos de différentes grosseurs, des magazines pornos et des kleenex froissés. Là, je me rends compte que j'ai affaire à un vrai vicieux, un vrai pervers.
Il me demande si je veux boire quelque chsoe et je lui réponds que non. On se dirige tous les deux vers le salon. IL me demande de mettre à l'aise, ce que je fais. Je m'assoie sur le sofa. Il fait très chaud dans son appartement, on est très bien. Yvan s'asseoit sur son fauteuil, juste devant moi. Il retire sa robe de chambre pour laisser voir son torse et son pénis, dur et circoncis. L'homme est rasé partout, imberbe. Il écarte ses cuisses et prend sa queue dans sa main droite et commence à se masturber. Tranquillement, je m'approche de lui, à quatre pattes. J'approche mon nez de cette belle queue et je sens l'odeur, celle d'une queue qui ne sort pas de la douche. Cette queue est venue plusieurs fois depuis le début de la journée et c'est ce que j'aime. L'odeur d'une bite juteuse, l'odeur d'une queue qui est souvent astiquée par la main de son maître. J'approche mon visage encore plus du pénis et là, Yvan se met à flatter mes cheveux et le derrière de la tête. Il me dit: "J'aimerais vraiment que tu prennes ton temps. Je veux que tu laves ma bite, que tu lèches mes couilles ainsi que mon anus."
Lentement, j'approche le beau gand luissant de ma figure. Un petit filament de précum s'échappe de l'urètre lorsque je la prends dans ma main. Une petite odeur d'urine mélangée avec du sperme se dégage de sa queue. Je prends la peine de faire un tour complet de son gland avec ma langue. Hmmmmm! Que c'est bon! Sa queue est toute chaude, odorante et juteuse. Lorsque je lèche le pourtour de son gland, un bon goût salé me vient à la bouche. Je prends la peine de lever les yeux et de regarder Yvan en plein dans les yeux. L'homme me regarde, avec un sourire et il sait que je vais le sucer comme une putain. J'insère son gland ainsi qu'une partie de son engin dans ma bouche. Que c'est bon! C'est divin. Je commence à le masturber et à cracher de la salive sur son gland. Le gland est luisant, juteux de ma salive et du précum. Yvan lui, il jouit, il gémit. J'enfonce son engin un peu plus loin et je suis heureux de constater qu'il me respecte. Il ne presse pas ma tête plus sur son engin. Il prend son plaisir le vieux vicieux et il se laisse sucer. Un goût plus sucré se fait persistent. Je me rends compte qu'il avait du KY sur sa queue qu'il n'avait pas eu le temps d'essuyer avant que je n'arrive. Il devait s'en être enduit le pénis pour se faire une douceur.
Je continue ma pipe tout en sachant que je fais un travail de pro. Je sais que je suce bien. J'ai de belles lèvres gourmandes et pulpeuses, surtout celle du bas. J'aime y mettre beaucoup de salive et surtout: j'aime gémir comme si je me régalais. Je continue de le masturber tout en gardant son précieux pénis dans ma bouche. Il y a de la salive qui coule le long de ma main et l'odeur âcre de sa queue laisse place à l'odeur de précum et de salive. Je dirige ma bouche chaude et humide vers ses gros testicules. Ils sont beaux et gros. Quel bel engin, sérieusement. Le genre de queue que je sucerais toujours, matin, midi et soir. Je descends vers sa raie et une odeur de savon me vient au nez. Au moins, il a eu l'amabilité de se laver la trou du cul avant. Et le contact de ma langue sur son anus me fait réaliser qu'il s'est rasé il y a de ça quelques heures. Sa rondelle est très mignonne, toute rosée et très étroite. Il écarte de plus en plus ses cuisses en ramenant ses jambes vers lui. J'enfonce ma face dans sa craque de fesses et je commence à le bouffer. Lui, il se masturbe en poussant des râles de vieux cochons pervers.
Soudain, il me tire par les cheveux et me relève la tête. Je reste surpris et le regarde droit dans les yeux pour lui faire part de mon mécontentement. Il aborde un sourire de salaud et me dit: "Tu suces une queue et bouffe un cul comme une vraie petite chienne." Ne sachant pas trop quoi répondre, je me retire de sa queue et m'asseois devant lui. Yvan se lève en lachant mes cheveux. Oui, il m'a fait mal mais en même temps, il m'excite tellement que je ne lui en veux pas. Il prend sa superbe bite dans sa main gauche et l'approche de mon visage. Il commence à me la frotter sur les joue, le nez, les lèvres. Je suis tellement excité que j'en gémis tellement je trippe. Ma salive qui était encore sur sa queue s'étend sur mon visage. Sa queue dégage une odeur forte et j'adore ça.
Il pousse son glad vers l'ouverture de mes lèvres et j'ouvre grand. Je recommence une fellation digne de la pute que je suis. Je le suce tout en gémissant. Je sais qu'il aime ça. Je sens sa queue durcir dans ma bouche. Ma langue et mes lèvres sentent ses grosses veines le long de sa queue et des spasmes commencent à se faire plus persistants. Il va venir le vieux cochon. Alors je fais des succions plus prononcées et j'accentue mon gémissement. Je retire sa queue et crache le surplus de salive que j'ai en bouche et je lèche le bouillon avec ma langue, en prenant soin de le masturber. Il fait signe qu'il va venir alors j'approche mes lèvres de son gland et frotte celui-ci contre mes lèvres, ce qui accentue son excitation. Je me sens tellement femmelle, tellement pute!
Un premier jet vient se jeter sur mon visage, je prends sa queue et dirige le prochain jet dans ma bouche. Hmmmm! DIVIN! Il décharge, un deuxième et puis un troisième jet de sperme chaud dans ma bouche. Et un quatrième vient se loger sur mon menton. Je prends la peine de le regarder droit dans les yeux en léchant son sperme qui coule sur mes lèvres. Avec ma main libre, j'essuie le sperme sur ma joue et mon menton et mets le tout dans ma bouche gourmande, déjà pleine de sperme. J'avale tout, en prenant soin de gouter et humer l'odeur. Yvan, ne se pouvant plus d'être debout, s'asseoit sur son fauteuil. Sa queue commence à ramolir. Je m'approche de sa bite et je la lèche lentement pour nettoyer tout le sperme restant. C'est là qu'il me dit: "Merci, ma petite chienne."
Je lui fais un grand sourire et me retire de sa queue. C'était si bon, si goûteux. J'en aurais bu des litres! Yvan me regarde avec ce sourire de pervers; on voit qu'il est satisfait. Je lui demande s'il veut autre chose et c'est là qu'il me propose quelque chose d'assez inusité:
N'ayant pas prévu de me faire demander une telle chose, je reste gelé sur place, la bouche encore dégoulinante de sperme. Comme hypnotisé, je me lève en baissant mon pantalon. Je retire mon boxer et me mets à quatre pattes devant lui, les fesses en l'air. J'ai vraiment envie de me faire uriner sur le cul. C'est quelque chose que je n'avais jamais envisagé de faire. L'odeur de sa bite est encore imprégnée dans mon nez et le goût amer et salé de sperme envahit encore ma bouche. Mais quelle sensation et quel délice!
Yvan se relève et agite son engin. Il frotte son gland contre mon anus. Et soudain, je sens un liquide brûlant couler dans ma raie de fesses et sur mon anus. Je me masturbe en même temps et je viens instantanément! Sa pisse chaude coule sur mes fesses, sur mon anus. Je viens dans ma main et prends mon sperme et le goûte, le lèche. Je goûte terriblement bon! Je me retourne vers lui et il me dit: "C'est le temps que tu me laves la queue, petite chienne." Et c'est avec plaisir que je la prends en bouche et lèche le gland, luisant de pisse. Le goût du sperme, de la transpiration du gland et de la pisse me donne juste le goût de lui refaire une fellation...
Tout ça, j'en rêve encore! Tout le long du chemin du retour, je prenais la peine de sentir ma main qui était toujours imprégnée de l'odeur de sa bite. N'importe quand, je referais ce trip de fou. Et quelle belle queue...
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