Une bonne bite en prison

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Une bonne bite en prison
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Un homme a été victime de la nature en direct à la télévision. Alors qu'il participait à l'émission "Rencard tout nu", il a eu une soudaine érection. Non Stop Zapping vous montre les images.


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On me remit mon paquetage et je sortis de la prison. Il était très tôt le matin et l'air envahit mes poumons. Je respirai avec délices la brise de la liberté. Cinq ans, j'avais passé cinq ans dans une cellule surchargée sans un moment d'intimité. L'espace était conçu pour deux et nous y avions été trois au cours des deux dernières années. J'avais souvent serré les poings pour me retenir de frapper ce connard de Pierre Pérignon, un gangster de la pire espèce, qui joignait une bêtise épaisse à un physique répugnant. Quelquefois j'avais succombé et l'avais carrément rossé. Par chance il y avait eu Romain dont je reparlerai plus tard.
Je pris le métro à Glacière et me rendis à Montparnasse où habitait ma sœur Éliane. Elle voulait bien m'héberger en attendant que je travaille, contre l'avis de son mari qui ne m'avait pas pardonné d'avoir un jour braqué une banque et surtout d'avoir été pris. J'éprouvais du mépris pour lui parce qu'il était méchant, raciste, mais j'adorais son fils Nino. Il devait avoir bien grandi, ayant à peine passé onze ans lorsqu'on m'avait incarcéré. Je posai mon petit bagage et sonnai à l'appartement.
Ce fut Éliane qui m'ouvrit. Elle était en robe de chambre car il était 7h à peine. Elle m'étreignit longuement. Après la mort de notre mère elle avait été là pour moi, étant mon aînée de douze ans. J'en avais dix-sept à l'époque et notre père était inapte comme il l'avait toujours été, un homme sans volonté aucune, incapable de jouer son rôle, toujours geignant et mécontent. Un certain jour, exaspéré, je lui avais cassé la gueule et prenant mes cliques et mes claques, je l'avais quitté pour toujours et ma sœur m'avait recueilli.
— Tu es seule ?
— Oui, Emilio et Nino sont à Nemours depuis hier. Ils sont allés voir mon beau-père qui vient de se faire opérer. Ils ne rentreront que demain.
— Et Émilio, il est d'accord pour que je me pose chez vous ?
— Je ne lui ai pas donné le choix, tu es mon frangin et je t'aime. Et Nino est très excité à la pensée de te revoir. Tu es son tonton adoré.
J'étais son oncle par alliance, son père étant veuf au moment où ma sœur l'avait épousé. Nino avait alors huit ans et était affamé de tendresse. Il n'aimait rien autant que de se pelotonner contre moi et moi j'adorais son corps chaud, ses boucles blondes et ses joues lisses. Je le dévorais de baisers, il était comme mon petit frère. J'avais en commun avec lui d'avoir un père indifférent et une mère décédée, cela nous rapprochait beaucoup. Ma sœur avait à composer avec un époux pas commode qu'elle n'avait pas vraiment choisi. Après un problème aux ovaires, elle était devenue stérile et en épousant Émilio, elle avait surtout pris Nino. Je ne pouvais lui en vouloir.
— Je t'ai fait un lit dans la chambre de ton neveu. Vous allez être un peu serrés.
— Cela ne durera pas longtemps. Dès que j'aurai trouvé du boulot, je trouverai une petite piaule et je débarrasserai le plancher.
— Ne parle pas comme ça, Julien, il n'y a pas urgence, je t'assure. Et Nino sera si content !
À côté du lit de Nino, il y avait un lit pliant et je déballai mes affaires, peu de choses à la vérité : quelques Tee-shirts, deux pantalons, cinq slips, une douzaine de paires de chaussettes. Le pécule de la prison serait largement suffisant pour me permettre d'autres emplettes : je voulais changer de blouson, retrouver un look de trente ans. Je me regardai dans la glace : je n'étais pas encore trop moche même si la calvitie commençait à gagner le haut de mon front. Cinq années dans la salle de gym avaient fait de moi un athlète. J'avais toujours ma jolie gueule, noircie d'une barbe de trois jours, et une dentition parfaite.
L'après-midi fut consacré à discuter avec Éliane. Qu'avait-elle fait depuis cinq ans ? Je lui racontai mes journées interminables à la prison, les co-détenus, les matons, pourquoi à cause des bagarres je n'avais pas bénéficié de la moindre remise de peine. Je ne parlai pas de Romain. Romain était mon secret, mon amour.
Le soir, je regardai un film et me couchai à 23h. Seul depuis cinq ans dans une chambre, je savourai l'intimité, le silence et la liberté. Pourtant, il manquait quelque chose, la proximité de l'amant, sa bouche chaude sur mon sexe, ma langue qui fouillait son trou qui s'ouvrait pour prendre ma bite. Romain livré à Pérignon maintenant que j'étais parti, l'idée était insupportable. Moi j'avais su le protéger de ce gros type libidineux, de ce raciste, cet homophobe, cet homosexuel refoulé qui avait la haine des pédés tout en voulant les enculer.
Quatre années passées avec lui m'avaient édifié sur son compte. Il se prenait pour un vrai mec, faisant saillir ses gros biceps et tout fier de sa petite bite. Quand Romain nous avait rejoints, la beauté de ses dix-neuf ans avait très vite changé la donne. Nos masturbations solitaires ne suffiraient plus maintenant, car Romain avait introduit la possibilité du coït. Tatouée sur ses reins, une flèche se dirigeait droit sur son cul pommé, imberbe, café au lait, car Romain était quarteron. Il avait un aïeul malien.
Naturellement il était gay et ne s'en cachait nullement, mais être homo est une chose, se faire violer en est une autre et le garçon ne voulait pas qu'on le baise sans permission. Pérignon en fit l'expérience quand il essaya de soumettre l'adolescent à son plaisir. Il se dégagea prestement et dit en lui tordant la bite :
— Tu es pédé et moi aussi, mais on ne fera rien ensemble. J'ai l'habitude de choisir.
Le poing de l'autre s'abattit, renversant Romain sur le dos.
— Avoue que tu en meurs d'envie, dit Pérignon en l'écrasant de tout son poids. Les petits mecs avec une flèche qui se dirigent droit sur leur cul ne doivent pas faire les difficiles et j'en ai enculé plus d'un sans être pédé pour autant.
Il baissa les jeans de Romain et se positionna à son trou. J'observais sans intervenir, étant étranger à ces mœurs. J'étais un hétéro pur sucre et je n'avais eu que des femmes. Ma compagne était une vraie chienne et je l'avais sodomisée autant que je l'avais baisée, mais je n'aurais jamais eu l'idée de faire la même chose à un homme. D'où vient alors qu’à ce spectacle je bandais comme un forcené ? Tandis que Pérignon s'escrimait, je me branlai frénétiquement et bien avant qu'ils eussent fini je larguai six longs jets de sperme.
Lorsque Romain se releva, le cul dégoulinant de foutre, il alla droit au lavabo et nettoya son petit trou. Sa beauté alors me frappa. Sa silhouette adolescente faisait voir un torse évasé et des fesses fermes et rondes au-dessus de cuisses galbées. La flèche tatouée et suggestive accentuait son érotisme. J'oubliai aussitôt ma meuf.

Nino et son père arrivèrent le lendemain comme prévu. Nino se jeta à mon cou mais ce fut une surprise quand il me dit :
— Content de te revoir, Julien, tu m'as vraiment beaucoup manqué.
Il ne m'appelait plus tonton. Sans doute lui avait-on expliqué que je n'étais qu'un étranger, et puis j'avais cinq ans de plus. Il avait changé lui aussi, il était aussi grand que moi et mince jusqu'à la maigreur. Son visage était magnifique et devenu presque anguleux, quittant les rondeurs de l'enfance. Son père me tendit une main moite.
— Finalement, ils t'ont fait sortir, qu'est-ce que tu comptes faire maintenant ?
— Trouver un job et m'en aller. C'est très sympa de m'accueillir.
— C'est ta sœur qui a insisté. Du moment que c'est provisoire...
Il était toujours aussi con, et incapable de comprendre que s'il y avait eu des dégâts lors du braquage de la banque, j'avais écopé pour les autres. Je n'étais pas un meurtrier, juste un comparse un peu paumé, celui qui n'avait pas tiré mais qui n'était pas une balance. Le type qui avait morflé avait témoigné contre moi et ça m'avait coûté cinq ans. Tout ça, il faudrait le payer, je retrouverais ce salaud qui avait touché le gros lot et m'avait laissé me morfondre pendant un lustre à la Santé.
— Julien, c'était comment la prison ?
Nino, couché pas loin de moi, me fixait avec ses yeux mauves. Il était 1h du matin et ni lui ni moi ne dormions. On avait bavardé longtemps sans aborder le vrai sujet, maintenant Julien le posait.
— Des mauvais moments et des bons.
— Plutôt des bons que des mauvais ?
Si je voulais être sincère, il faudrait cracher le morceau, dire que jamais dans ma vie je n'avais éprouvé pour personne l'addiction au corps de Romain. Dire que toutes mes bagarres n'avaient qu'un but, ne pas sortir, rester avec lui dans la geôle et ne bénéficier jamais d'une libération anticipée. Convoqué par le directeur, j'avais joué le mauvais garçon, le taulard irrécupérable.
— Si vous continuez comme ça, adieu à la remise de peine. Ça vous plaît tant que ça, la prison ?
— Bof, on est logé, nourri, le travail n'est pas trop pénible et le directeur est sympa.
C'est vrai qu'il était sympathique, le taulier, plus que les matons. Aucun ne m'avait à la bonne, je n'avais pas l'air d'en baver même après trois jours de mitard. J'en sortais droit, le regard fier et je regagnais ma cellule tout en roulant les mécaniques. J'allais retrouver mon amant.
Car mon Romain m'avait choisi pour échapper à Pérignon et ensuite, au fil des semaines, nous étions tombés amoureux. Au début il m'avait fallu faire violence à ma nature, celle qui me portait vers les femmes, mais c'était tellement excitant de voir cet adolescent superbe soumis à la queue d'un gros mâle que, mon imagination aidant, j'avais éprouvé du désir, celui de m'enfouir dans son trou pour y lâcher des tonnes de sperme. J'avais résisté plusieurs jours, me contentant de me branler, mais un soir j'avais succombé. À peine ce lourd de Pérignon avait-il retiré sa bite que j'avais engouffré la mienne dans ce petit cul palpitant. Plus grosse que celle du gangster, elle avait provoqué des râles de bonheur chez l'adolescent et une horrible jalousie chez le co-détenu délaissé car à partir de cet instant Romain se refusa à lui. Il me fallut batailler ferme pour asseoir ma suprématie et un uppercut au menton pour qu'elle soit définitive. La haine entra dans la cellule.

Nino ne comprit pas vraiment quand je lui dis "de bons moments". Il m'aurait fallu expliquer ma relation avec Romain et je ne savais pas encore si je pouvais confier à ce garçon encore bien jeune ma nouvelle sexualité. Pourtant, à seize ans révolus, il devait bien en avoir une et au moins se branler la bite s'il n'avait pas de partenaire. Je me souvenais qu'à son âge je fourrais régulièrement une nénette du lycée, mais j'étais un baiseur précoce et la fille une bonne salope qui n'avait aucun état d'âme à se faire défoncer la chatte.
Le lendemain soir, dans nos lits, nous parlâmes de choses et d'autres et au bout d'un petit moment Nino me posa la question qui devait lui brûler les lèvres.
— Comment ça se passait la nuit ? On dit que c'est chaud en prison.
— Il te suffit d'imaginer trois mecs dans la force de l'âge, sevrés de femmes, toujours bandant.
— Oui, des branlettes en continu.
— Pas seulement.
— Que veux-tu dire ?
— Tu sais très bien de quoi je parle. Arrête de faire l'innocent. Tu as une queue et un trou.
Romain rougit jusqu'aux oreilles.
— Tu étais la queue ou le trou ?
— En l'occurrence j'étais actif, mais tout dépend des circonstances. Une prison est un chaudron, il y a de tout dans la marmite. Si j'avais eu dix ans de moins et dix kilos de muscles en moins, j'aurais sans doute été le trou. Je n'en aurais pas honte pour autant.
— Est-ce que les mecs sont consentants ? Est-ce que certains se font violer ?
— Les plus jeunes se font défoncer mais aucun d'eux ne va se plaindre. Être une balance dans une cellule, c'est signer son arrêt de mort, rarement physique, toujours sociale. Ostracisés et ignorés, méprisés, souvent maltraités, ils préfèrent se faire enculer et beaucoup y trouvent du plaisir.
— Ça doit être très douloureux, pourtant ?
— Peut-être au début, mais après ils ne donneraient pas leur place.
Nino demeura tout pensif. Je voyais qu'il réfléchissait, il lui faudrait un certain temps pour assimiler mes propos. Je me tournai sur le côté et m'endormis presque aussitôt.

La bagarre avec Pérignon me valut trois jours de mitard au cours desquels je me branlai pratiquement en continu. J'avais découvert la passion que peut ressentir un adulte pour le corps d'un moins de vingt ans, Romain n'en ayant que dix-neuf. Il m'avait fallu la prison pour entrer dans l'univers glauque et érotique en même temps d'une mini société d'hommes, avec son honneur et ses codes, sa sexualité envoûtante libérée de tous les tabous. Le confinement carcéral met en contact les phéromones issus de la testostérone qui doit trouver à s'exprimer dans onze mètres carrés de geôle. Les sous-vêtements noyés de sperme après les branlettes de la nuit diffusent le continuel élan du mâle en recherche du partenaire, lequel est nécessairement un mâle car les prisons ne sont pas mixtes et il faudrait être asexué pour ne pas ressentir l'appel. Seul dans mon cachot, la queue raide, je me représentais Romain subissant la loi du gangster avec tout ce que cela comportait de violences et d'humiliations.
Quand je revins dans ma cellule, Pérignon était triomphant et Romain, tel un chien battu, était avachi sur sa couche.
— Qu'est-ce qu'il t'a fait ?
— Tu le demandes ? Il m'a écrasé sous son poids et il m'a chié dans la bouche. C'est un pervers abominable et il te hait depuis le jour où tu lui as pété la gueule. Ne me laisse plus seul avec lui, c'est l'enfer.
J'allai direct à Pérignon et je lui fis une clé au bras. Il était lourd, assez costaud, mais rien qui put me résister car j'étais vibrant de colère.
— Écoute-moi bien, grosse ordure, si tu retouches à mon Romain je te jure que j'aurai ta peau. Toi tu es tombé pour un vol, moi je suis ici pour un meurtre. En attendant prends déjà ça.
Je donnai du genou dans ses couilles et il s'écroula comme une merde. D'une main je bâillonnai ses cris, de l'autre je lui tordis le bras à la limite de la rupture. Je le bourrai de coups de pieds et lui murmurai à l'oreille :
— Si tu vas te plaindre au maton, je te signalerai aux autres et tu sauras à tout jamais le sort réservé aux balances.
Je le lâchai, il s'écroula en poussant des gémissements. Je fis l'amour cette nuit-là comme je ne l'avais fait à personne, avec tendresse et volupté. Pour la première fois de ma vie j'eus une queue d'homme dans la bouche et me régalai de sa mouille, puis je glissai lentement la mienne dans ce cul qui m'obéissait, s'ouvrant sous mon gland impérieux et se refermant pour me prendre, toujours plus loin et plus profond. Après notre extase commune, Romain me dit avec sérieux :
— Toi et moi, c'est pour toute la vie. Ta bite vivra toujours en moi, soit dans ma chatte, soit dans ma bouche. Tu m'as révélé à moi-même car je croyais m'appartenir et je suis à toi corps et âme. Mes lèvres s'emparèrent des siennes et nos langues se mélangèrent. Nous fîmes une nouvelle fois l'amour.

Dans mon lit tout près de Nino, je bande en pensant à Romain et je me paluche lentement. Nino s'agite sous ses draps et exhale de longs soupirs. Depuis mes dernières confidences il dort mal, se réveille la nuit. Voilà qu'il éclaire sa lampe.
— Ça te dérange si je lis ?
— Non, est-ce que tu souffres d'insomnie ?
— Un petit peu en ce moment.
Je me tourne contre le mur, ma main étreignant mon gros chibre. Je me masturbe discrètement sans presque faire bouger le drap.
— Tu dors Julien ?
Je le regarde, il pose son livre et me dit :
— Julien, j'ai bien réfléchi à ce que tu m'as expliqué sur l'ambiance de la prison. Je ne sais pas pourquoi, ça m'excite et ça m'empêche de dormir. Je n'arrête pas de bander. Je me mets à la place des jeunes qui sont forcés et enculés et qui souvent en redemandent. Ça doit être drôlement bon.
— C'est un plaisir apparemment, mais je n'en ai pas l'expérience. Je me suis découvert actif, mon bonheur à moi c'est de mettre ma grosse queue dans un petit trou.
— Elle est vraiment grosse, ta bite ?
— D'après Romain, oui, elle est grosse, plus que toutes celles qu'il a eues et il en a eu un paquet. Plus grosse que celles de mes copains quand on se branlait à la piscine.
— Tu ne voudrais pas me la montrer ? J'ai peur que la mienne soit petite.
— Tu n'as jamais vu une queue d'homme ?
— Non, je n'ai jamais vu que la mienne, impossible de comparer.
Je poussai le drap à mes pieds et j'exhibai ma queue tendue. Nino regardait, fasciné, cette racine née de mon ventre et dont le gland décalotté avait le volume d'une grosse prune. Il poussa à son tour son drap et apparut sa bite à lui, d'une dimension respectable mais bien inférieure à la mienne. À seize ans, la verge a atteint sa configuration adulte et il est rare qu'elle évolue, c'est pourquoi on voit des ados au corps gracile et maigrichon arborer des queues monstrueuses.
— Je savais qu'elle était petite, dit Nino, l'air découragé. Et pourtant je la manipule tous les jours pour la faire grossir.
— Nino, ta bite est normale, même plus grosse que la moyenne. Compare avec des camarades et tu verras que je dis vrai.
— Des camarades ? Mais où, comment ?
— Ça, c'est à toi de te débrouiller. Dans les douches, dans les vestiaires. Tu es un nageur après tout.
— Les mecs se douchent dans leur speedo, c'est tout juste si on voit leurs poils sortir au-dessus de l'élastique.
— Ben, ils sont sacrément coincés. De mon temps, c'était a
Penche toi en avant pour te la prendre dans le cul
Ces belles femmes noires se font un baise ceinture hard
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