Une bombe avec qui monte une queue black

Une bombe avec qui monte une queue black




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Une bombe avec qui monte une queue black
Abonnez vous pour ajouter à vos favoris
EPOS I SENNHEISER ADAPT 130 USB-C II - micro-casque - 55,03€
SCHUBERTH INTERCOM SC1 Advanced C4 PRO CARBON/ C4 PRO/ C4/ R2 CARBON/ R2-SCHUBERTH - 249,00€
Pour réagir, je me connecte Connexion
L'Obs - Les marques ou contenus du site nouvelobs.com sont soumis à la protection de la propriété intellectuelle
Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de cookies, notamment ceux de publicité personnalisée. Nous respectons votre choix. Le contenu de ce site est le fruit du travail des 135 journalistes de la rédaction de l'Obs, qui oeuvrent chaque jour pour vous apporter une information de qualité, fiable, et complète. Nos revenus proviennent de l'abonnement et de la publicité. Afin de nous permettre de poursuivre ce service, nous vous invitons à vous abonner . Merci
Web + tablette + mobile à partir de 1€
Procès Colonna, acte II. La cour s’est penchée ce mercredi sur l’attaque de la gendarmerie de Pietrosella (Corse-du-Sud), en septembre 1997. Yvan Colonna est accusé d’avoir participé à l’attentat contre la brigade ainsi qu’à la séquestration de deux gendarmes.
Evidemment, ils ne l’ont pas reconnu. Pourtant, même dix ans après les faits, le souvenir reste tenace. Mais « cagoulé, de nuit, c’est très difficile d’identifier quelqu’un », reconnaît Daniel Herniaux.
Ce 6 septembre 1997, le gendarme et son collègue Didier Paniez patrouillent aux alentours de Pietrosella. Ils rentrent à leur brigade peu avant 1h00 du matin. Daniel Herniaux gare le véhicule derrière la caserne. À peine descendu de son Renault Trafic, il est maîtrisé par deux individus cagoulés et armés. L’un d’eux lui glisse : « Il ne va rien t’arriver. » En fait, si.
Il est désarmé, on lui demande les clés du bâtiment administratif puis on lui passe ses propres menottes. Il repère un troisième homme, armé lui aussi, qui monte la garde. Le gendarme remarque que l’un des malfaiteurs porte un sac à dos. Il comprend immédiatement. « Vous allez poser une bombe ? “, demande-t-il. ‘Oui.’ L’artificier pénètre dans l’édifice.
Resté seul avec son gardien, le gendarme Herniaux va à l’essentiel : ‘Où se trouve mon collègue ? Avec les autres, de l’autre côté du bâtiment.’ Il tente de cerner leurs motivations :
Des deux armes de poing dérobées ce soir-là sur les gendarmes, c’est la sienne qui a tiré sur le préfet Érignac cinq mois plus tard.
Quelques minutes après, le poseur de bombe est de retour. Deux autres membres du commando les rejoignent avec Didier Paniez. Bâillonnés, les mains liées avec du scotch, les gendarmes sont embarqués dans leur propre véhicule. L’opération n’a duré qu’une dizaine de minutes. ‘C’était pas des amateurs. C’était bien préparé’, remarque Daniel Herniaux. On leur couvre la tête avec ‘un sac en toile de jute qui sentait le saucisson’, se souvient-il.
L’odeur ne suffit pas à couvrir l’angoisse. ‘J’ai pensé qu’ils allaient nous descendre’, poursuit le gendarme. Les ravisseurs semblent hésiter : ‘On va les tuer ? Une voix tranche : Non.’
Pour se débarrasser de leurs otages, ils s’arrêtent en plein maquis. Les captifs sont priés de s’allonger par terre, on ressort le rouleau de scotch pour leur lier les chevilles. Les cinq malfrats incendient la voiture et prennent la poudre d’escampette. Les gendarmes parviennent à se dépêtrer de leurs liens rapidement, même si ‘dans ces moments-là, les secondes sont longues’, précise Daniel Herniaux.
Aujourd’hui, le gendarme affirme vivre sans séquelle. ‘Je l’ai pris sur moi. Il a fallu faire face.’ Avant lui, Didier Paniez avait confié sa détresse à la cour :
Daniel Herniaux officie désormais en Bretagne, où ‘il y a de l’activité, mais pas la même qu’en Corse’. Il assure qu’il ne ‘regrette pas’ son passage sur l’île, mais ‘de là à y retourner…’ Il le faut, pourtant, car on juge un homme.
Aussi loin qu’il remonte dans ses souvenirs, Yvan Colonna lui est étranger. D’ailleurs, il n’a ‘jamais entendu parler de lui’ avant sa mise en cause dans l’assassinat du préfet Claude Erignac. Et puis, il n’a pas vu les visages de ses agresseurs. L’avocat du gendarme, faussement naïf, lui demande :
On le voit venir. Maître Antoine Sollacaro, avocat de l’accusé, rappelle qu’on n’a jamais proposé aux gendarmes une présentation des suspects au cours de l’enquête. Yvan Colonna, resté muet jusqu’ici, est intransigeant :
‘Si vous trouvez la bonne cagoule…’, suggère l’avocat du gendarme Herniaux. Maître Sollacaro n’est pas vraiment d’humeur à plaisanter. Il reprend les déclarations du témoin, qui déclarait avoir aperçu, sous la cagoule d’un homme ‘au profil émacié, des sourcils broussailleux, qui se rejoignent au milieu du front.’ Ce qui, d’après lui, élimine son client et accablerait plutôt Joseph Versini (condamné à quinze ans de réclusion en juillet 2003, pour les mêmes faits). Le président Coujard recadre le débat, qui tourne à la pantalonnade :

Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».



Nouveaux messages
Rechercher un sujet




Partout
Discussions
Ce forum
Ce sujet



Comment faire une bombe avec detonateur a distance





Auteur de la discussion
bricbrac



Date de début
27 Mars 2011





Statut

N'est pas ouverte pour d'autres réponses.



Bonjour, j aimerais savoir ou je pourrais me procurer des charges explosive d une certaine puissance de quoi mettre un congélateur en piéce ou m'en procurer une toute faite avec un détonateur que je pourrais déclenché a une distance de 25 à 30m ou alors me donner un schéma ou une liste avec les produits qu' il me faut pour en faire une et pas une bombe que des enfants de 13ans s'amusent à faire a la sorti des écoles
une bouteil de coca 1l5, de l'acide... de laluminun tasser en barette pour kil puisse rentrée dans la bouteil. mettre lacide cloridrique dans la bouteil jusqu a 5 cm, glisser les barettes d'alu, secouer rapidement, jeté. a faire rapidemant et séloigné. de koi faire péter une boite au lettre mais je pensse pas assez pour un frigo
Bonjour,
juste pour que tu saches, l'usage d'explosifs est illégal. Seuls des artificiers professionnels peuvent en utiliser dans un espace public, et doit toujours obtenir une autorisation; ou des militaires dans un espace sécurisé prévu à cet effet.

Bref, comme vous vous en doutez, je clos le topic. Je te conseille d'arrêter là tes recherches, le risque de te rendre aveugle, sourd, handicapé physique (perte de doigts, mains, pieds, etc. ...) est beaucoup trop grand pour juste faire sauter un congel.



Statut

N'est pas ouverte pour d'autres réponses.




Partager:


Facebook



Twitter



Google+



Reddit



Pinterest



Tumblr



WhatsApp



Email



Lien



Total: 872 (membres: 2, visiteurs: 870)



Discussions
838 179


Messages
7 494 128


Membres
1 583 331


Dernier membre
red flag





Facebook



Twitter



Google+



Reddit



Pinterest



Tumblr



WhatsApp



Email



Lien





Largeur



Queries
13


Time
0.0972s


Memory
3.52MB







Play Mute Fullscreen Fluid Player 3.5.0
Pour laisser un commentaire vous devez vous connecter ! Cliquez ici pour vous inscrire

1


12

La buée au fenêtre, ça m’a fait direct penser à la fameuse scène dans Titanic...

0


2


1


8


1


12

La buée au fenêtre, ça m’a fait direct penser à la fameuse scène dans Titanic...
Les meilleurs contributeurs du mois



Mongolito :
Plouf la pouf


mansail :
et merde le portail ;il est fichu maintenant ,fallait sacrifier la tète


mansail :
Beau geste....des 2


madmac :
Le chapeau me semble vrai…


PHILOU77340 :
Ha une R8 compressé .


Mongolito :
Problème technique entre le siège et le volant


madmac :
il s'en sort. On le voit ressortir de l'eau et s'envoler sur la fin du clip.


polux68 :
video nul


p'tit zef :
c'est vraiment un sport de con


p'tit zef :
mais, mais c'est Poutine!!!!!!!





Sexe lesbien sauvage avec deux meilleures amies
Rêves mouillés
Fist amical après le sport

Report Page