Une blonde héroine violée et baisée par son ennemi juré

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Torturée, violée, humiliée, Ingrid Betancourt raconte son enfer










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L'ex-otage s’exprime après un an d’absence



Valérie Domain

|


mar. 21 septembre 2010


à 13h24



- Mis à jour le mer. 20 janvier 2016 à 14h45


Même le Silence a une Fin , c’est sous ce titre qui fait référence à sa réserve depuis la fin de sa captivité, que la Franco-colombienne révèle l’horreur des rapports avec ses ravisseurs et l’ambiguïté de leur relation, aussi…
déballe l’atroce vérité. «Le pire était la relation avec les êtres humains», a-t-elle confié hier au JT de TF1, «les gardes, surtout», modère celle qui préfère retenir «un grand apprentissage», «l'histoire de la fraternité» et parle des autres prisonniers comme de ses «anges». Pas de règlement de comptes dans le livre d’Ingrid Betancourt, portée aux nues puis éreintée par ses compagnons d'infortune. Mais, parfois, transparaissent sa forte personnalité, son assurance et la conscience de son «rang», qui irritaient ses codétenus, et a exaspéré jusqu’à ses partisans…
«Peur d'être seule. Peur d'avoir peur. Peur de mourir»: l'ex-otage des FARC raconte l’indicible. Pendant six ans et demi dans la jungle colombienne, elle a été violentée et menacée de mort. Elle a connu l’épuisement, l’animalité dans la promiscuité, la perte de l’intime, la vacuité des jours et l’atteinte à son intégrité de femme… mais elle trouvé la force de les surmonter.
L'ancienne candidate à la présidence colombienne s'est retirée du monde pendant 18 mois pour écrire au stylo et en français ses mémoires, 700 pages intitulées Même le Silence a une Fin (Gallimard).
Son témoignage, violent, sort aujourd’hui aux quatre coins du monde Pourquoi le français? Pour «garder une distance» et «faire remonter du fond abyssal de mes souvenirs un flot d'émotions incontrôlables», explique la miraculée.
Le récit débute par une scène terrible lors de l'une de ses cinq tentatives d'évasion. Punie, elle est enchaînée par le cou, battue et abusée sexuellement, elle confie: «Je me sentais prise d'assaut, partant en convulsions (…) Mon corps et mon coeur restèrent gelés pendant le court espace d'une éternité». «Mais je survivais», dit-elle, de retour dans la cage où elle est enfermée avec Clara Rojas».
L'auteur revient ensuite à ce 23 février 2002. L'escorte militaire prévue lui a été confisquée par ordre «de la présidence», assure-t-elle. Des hommes armés arrêtent sa voiture.
Cauchemar, ennui, détresse. Les conditions de vie sont épouvantables, les moments de découragement fréquents. «Nous étions condamnés à la peine la plus lourde qu'on puisse infliger, celle de ne pas savoir quand elle prendrait fin», écrit-elle.
Ses geôliers ont pour la plupart l'âge de ses enfants. Un jour, elle apprend la mort de son père adoré dans un journal vieux d'un mois, laissé sciemment entre ses mains… Certains guérilleros sont cruels. D'autres moins. Elle fait un gâteau pour les 17 ans de sa fille Mélanie, apprend à confectionner des ceintures. Un dictionnaire, des livres et surtout une Bible la sauvent de la folie.
Pour ne pas s’écrouler, elle songe à sa prochaine échappée. Après chaque échec, les brimades empirent.
Ingrid Betancourt évoque avec retenue les tensions avec Clara Rojas: «Il fallait être très fort pour ne pas se soulager des constantes humiliations des gardes en humiliant à son tour celle qui partageait votre sort», avoue Ingrid Betancourt. Elle analyse aussi, de l'intérieur, comment fonctionnent ces FARC.
Et cette «mission humanitaire» du 2 juillet 2008? «C'était la victoire sur le désespoir (…), une victoire uniquement sur nous-mêmes». Et le début d'une lente reconstruction.Car aujourd’hui Ingrid Betancourt doit faire face à de nouvelles attaques. Son entourage lui dépeint un nouveau visage et flingue la légende. La pasionaria peine à conserver son aura… et ses ressources!
En juillet, Ingrid Betancourt renonçait à sa demande d'indemnisation de 15 milliards de pesos (près de 6 millions d’euros), après avoir suscité un tollé en Amérique latine en estimant que la Colombie avait insuffisamment assuré sa sécurité le jour de son enlèvement sur la route San Vicente del Cagua, qu'elle avait pourtant empruntée en dépit de l'interdiction des forces de l'ordre.
En parallèle de ses démarches auprès des autorités de Bogota, Ingrid Betancourt bataillait secrètement pour obtenir également compensation de Paris. Elle aurait ainsi fait débloquer la somme de 450 000 euros, mais ne l’aurait pas empochée! Un volte-face qui s’explique par sa tentative désespérée de redorer une image largement ternie.
Le monde a d’abord idolâtré cette Pietà républicaine, héroïne, digne et humble. Puis les langues se sont déliées et ont sifflé comme des vipères sur la tête de notre rescapée. ?Pavé dans le marécage grouillant d’animosités, Captive de Clara Rojas, dresse un portrait peu reluisant de notre brune au regard emprunt de pardon et aux cheveux exagérément longs, définie comme une «femme mesquine et amère».
?Ce récit accablant fait suite à un autre brûlot: Hors de Captivité, dans lequel trois Américains égratignent «sainte Ingrid», en révélant ses tendances à chiper des rations de riz et à jouer les cheftaines. «Hautaine, arrogante et égoïste», «elle ne demandait rien, elle donnait des ordres», et «ne se gênait pas pour faire de la délation… »
?Une dessin au vitriol que corrobore le «libérateur» de la politicienne Verte. L'ancien émissaire chargé du dossier, Noël Saez, a déploré l’attitude méprisante de sa protégée. Elle a été «ingrate», a-t-il conclu.
?Couverte d’opprobre, notre idole aurait-elle trouvé du réconfort auprès de son
et tendre? Pas vraiment. Econduit, son (ex)mari, a lui aussi écorché la star. Après des retrouvailles inespérées, Ingrid Betancourt, n’a pas souhaité reprendre sa vie de couple et a préféré demander le divorce. Juan
Lecompte s’est «senti trahi» par un «être très calculateur».
Décriée de toutes parts, l’ex-figure adulée est tombée en disgrâce. Icône brisée par les témoignages de ses proches, la belle écolo a pris la plume. En livrant cette version, Ingrid Betancourt fait taire les critiques et perdurer le mythe. Elle ne sombre pas dans la facilité du fiel. La rédemption, «enfin»…
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