Une blonde corpulente transforme son monde

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par Natacha Rivalan
Créé le 10/09/2015 à 10:55 , modifié le 10/09/2015 à 10:55


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En plus d’un shooting ultra sexy, Caley Cuoco en a profité pour confier au magazine Shape ses astuces minceurs. Alimentation en solo ou avec son chéri, fitness, philosophie de vie, la blondinette nous dit tout.
Dans The Big Bang Theory , Kaley Cuoco incarne Penny, la blonde sexy, voisine d’une bande de geeks. Et pour avoir une aussi jolie silhouette, la demoiselle ne se tourne pas les pouces. C’est ce qu’elle a confié au magazine Shape en dévoilant sa routine fitness et sa routine alimentaire. Pour se maintenir en forme et avoir un corps ferme, Kaley mise sur le yoga : " Faire du yoga 5 fois par semaine a transformé mon corps. J’adore avoir un corps tonique et musclé. C’est si sexy et beau ", a-t-elle expliqué. Mais elle a aussi ajouté que cela lui avait pris de longues années avant de prendre conscience que ce qui marchait pour ses proches n’était pas forcément pour elle et de trouver enfin les exercices qui lui permettaient de sculpter son corps comme elle le voulait. Et elle a pris son temps pour se remettre en forme, sans devenir une accro du sport ou se laisser mourir de faim.
Côté alimentation, Kaley Cuoco a déclaré qu’après son mariage (célébré en décembre 2013) elle avait tenté d’adopter le régime alimentaire de son mari, Ryan Sweeting , un joueur de tennis pro, et pris certaines mauvaises habitudes. " Nous avions pris cette habitude que nous appelions le snack du coucher. Les tiroirs à côté du lit étaient remplis de bonbons. Finalement, je me suis rendue compte qu’on mangeait sans y penser ". Pas très bon pour la ligne tout ça ! Résultat : Kaley a fait un grand ménage dans son frigo et son garde-manger, supprimant sodas , paquets de chips et de céréales et autres cochonneries. " Nous avions des boîtes de trucs que seul un enfant de 4 ans mangerait ", a avoué la star. En ce moment, elle adore se faire des repas à base de pâtes sans gluten , de beurre végétarien et de légumes. Sans être végétarienne ni allergique au gluten, elle reconnaît ça passe mieux avec son estomac.
Si Kaley Cuoco fait donc aujourd’hui plus attention à ce qu’elle mange, la jolie blonde n’a pas pour autant renoncé à toutes ces douceurs. Une fois par semaine, elle s’autorise une journée pour "tricher" durant laquelle elle pourra manger de la pizza et boire un verre, ce qui l’aide à ne pas craquer le reste du temps : " Je vais être de mauvaise humeur tout le temps s’il n’y a pas de lumière au bout du tunnel ".
Et pour se motiver et conserver sa ligne de conduite plus saine, la jeune femme a aussi le regard du miroir et celui de son homme : " Maintenant, quand je regarde dans le miroir et que je vois tous ces changements positifs, je ne veux pas retourner en arrière et revenir à ce que je faisais. Surtout quand mon mari me dit : ‘Tu as l’air incroyable !’ ".
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Au début, c’était excitant. C’est comme si vous n’aviez jamais enlevé le film protecteur de l’écran de votre iPhone et que, tout à coup, vous découvriez ce qu’il y a dessous.
Peu de temps avant notre premier anniversaire, mon copain, Drew, m'a avoué être un fétichiste de la nourriture . Pour être plus précise, il me l'a annoncé par texto. Il était parti rendre visite à sa famille en Floride et j'étais seule dans notre appartement. À l'issue d'une journée de travail de 12 heures, j'avais décidé de me commander à manger et, après m'être empiffrée de nouilles sautées et d'une montagne de nems, j'étais allongée au pied du lit, incapable de bouger.
J'étais en train de lui dire que je me sentais gavée quand Drew a rompu notre dialogue habituel.
"C'est marrant parce que – je ne sais pas si tu l'as déjà compris – j'ai un penchant pour le " feeding " . Sexuellement parlant..."
Je suis restée interloquée, les yeux fixés sur les trois petits points dans la bulle à l'écran.
"J'ai hésité à t'en parler à cause de ce que tu vis en ce moment."
"Mais je pense que la communication est importante dans un couple , alors je voulais que tu le saches."
J'ai découvert, plus tard, que le "feeding" est une pratique au sein du "feedisme", une sous-culture sexuelle qui fétichise la suralimentation et la prise de poids. C'était bizarre venant de lui parce que je souffre de troubles alimentaires. Ma vie est ponctuée d'épisodes de boulimie, de purge et de restriction.
Mon obsession pour la nourriture a commencé il y a plus de dix ans et s'est manifestée par l'anorexie, une tentative malavisée de contrôler un environnement instable. Finalement, le pendule a basculé dans l'autre sens et je suis passée de la restriction au gavage, une manière de faire un bras d'honneur à celle que j'étais auparavant. Mais j'étais tellement angoissée que, pour compenser mes excès alimentaires, je suis devenue boulimique.
Quand j'ai commencé à fréquenter Drew, j'ai pensé que nous avions trouvé la parade. Je n'avais jamais été amoureuse, et c'était magique. J'étais émerveillée de notre monde secret. Nous avions créé quelque chose à partir de rien.
Tout était facile. J'avais trouvé un meilleur ami, avec qui j'adorais faire l'amour. Neuf mois après notre premier rendez-vous, nous avons emménagé dans un studio. Deux mois plus tard, Drew m'a révélé son penchant un peu spécial.
Au début, c'était excitant. C'est comme si vous n'aviez jamais enlevé le film protecteur de l'écran de votre iPhone et que, tout à coup, vous découvriez ce qu'il y a dessous. Et tout cela grâce à mon copain parfait, qui porte la même taille de jeans que moi et fait de la muscu quand on regarde la télé. Bien que je n'atteigne pas le poids des filles qui le font fantasmer, Drew prend un énorme plaisir à me voir manger. Cette vision de sa sexualité , le fait de penser à toutes les femmes qu'il désirait, l'a rendu plus masculin à mes yeux. Et pendant quelque temps, c'était tout beau, tout neuf.
Jeune diplômée, j'ai d'abord fait ce que je savais faire de mieux: des recherches. J'ai trouvé des sites, des articles et des vidéos sur le "feeding", un phénomène avec un nombre incroyable de sous-catégories. Le "feedisme" naît souvent du fétichisme du gras, mais les deux penchants peuvent exister indépendamment. Les "feeders" veulent nourrir leurs partenaires, les "feedees" veulent être nourris. Les "gainers" tirent un plaisir sexuel de leur prise de poids. Les "fat admirers" veulent simplement profiter de la beauté des BBW (Big Beautiful Women) et des SSBBW (Super-Size Big Beautiful Women). Il y a des jeux de ventre, des compressions, des gonflements...
J'ai regardé des vidéos de filles dans des chambres d'hôtel en train de manger des pizzas XXL, en train d'absorber des litres de Pepsi avant de roter bruyamment, pour le plus grand plaisir des internautes. J'ai demandé à Drew de me montrer ce qu'il aimait et il m'a envoyé la vidéo d'une blonde corpulente en sous-vêtements, à quatre pattes, qui jaugeait un gâteau sur le sol de sa cuisine en passant ses mains sur son ventre de façon suggestive avant d'enfouir sa tête dedans pour le dévorer.
J'étais béate d'admiration devant son côté féministe et provocateur. Elle faisait fi des cases dans lesquels les femmes sont censées entrer. Celles qui s'identifiaient au fétichisme me fascinaient: des femmes qui se vantaient de ne plus pouvoir rentrer dans leurs vêtements à cause du poids qu'elles avaient pris, dont le ventre débordait sur leurs cuisses. Je les regardais soulever la graisse de leur ventre et la relâcher de manière à ce qu'elle claque en retombant, la soulever et la déposer sur le comptoir avant de la masser comme si elles étaient en train de pétrir de la pâte.
Mais, derrière mon émerveillement joyeux, se cachait quelque chose de laid, une colère sourde, un ressentiment. Elles semblaient satisfaites, fières de leur corps. Elles pouvaient satisfaire leurs moindres désirs sans culpabilité. Je trouvais ça injuste.
Toute ma vie, ou presque, j'avais été otage de la culture des régimes. Le manque de confiance de mon adolescence m'avait tenue prisonnière et le syndrome de Stockholm avait assuré ma loyauté envers ce système. Je me complaisais dans cette fausse vertu. Mon ego paniqué s'est accroché au désordre mental qui me guidait depuis l'âge de 12 ans. Je souscrivais à la directive sociétale qui semblait être écrite partout à l'encre invisible: la maigreur est un impératif moral.
J'étais en colère contre ces femmes parce qu'elles me renvoyaient la vérité. Elles faisaient la lumière sur mon style de vie misérable. Les troubles de l'alimentation ôtent toute vitalité. Chaque impulsion de rage que je ressentais était une réaction à la dissolution des pensées toxiques qui étaient devenues une croyance.
Le destin m'avait conduite dans une communauté d'opposition. C'est un monde absurde, dans lequel mes insécurités les plus profondes sont placées sur un piédestal et sexualisées. Etais-je capable de transformer cette étreinte inconditionnelle du corps en réalité? J'ai décidé d'essayer.
Alors que Drew était encore en Floride, je lui ai demandé s'il voulait me nourrir.
"Affirmatif", ai-je répondu, avec un emoji en forme de cœur pour faire bonne mesure.
Une heure plus tard, une pizza énorme est arrivée devant ma porte d'entrée.
"Tu veux qu'on se FaceTime pendant que je la mange?"
"Pas vraiment. Tu veux bien (...) m'envoyer des photos de ton ventre avant et après?"
J'ai souri intérieurement. Ça ne me dérangeait pas. Fière de mon ventre plat, j'ai enlevé mon t-shirt et mon jogging.
Vingt minutes plus tard, je lui ai envoyé une photo de la boîte à pizza vide.
"Baby!" s'est-il aussitôt exclamé. "Ça t'a plu?"
"Oui!" ai-je répondu sans mentir. Je me suis levée et suis retournée devant notre miroir en pied pour la photo post-pizza. Pour une fois, je n'ai pas pensé à rentrer le ventre.
J'ai passé les journées qui ont suivi, jusqu'au retour de Drew, animée par la curiosité, essayant d'analyser ce penchant qui, par certains côtés, ressemblait au fétichisme du gras et, par d'autres, non. Les "feedistes" féminins s'affirment volontairement, souvent à la recherche de gratifications sexuelles. Elles se montrent comme des êtres sexualisés consentants, pas des objets, dans la vérité crue de leur forme physique. Pour lui, cette distinction est indispensable.
Lorsque Drew est rentré, nous avons repris la routine habituelle. J'étais moins gênée de me servir une deuxième fois à table, mais je ne l'attendais pas à la porte avec des bombes de crème chantilly à consommer à son signal.
Le jour de notre anniversaire est arrivé, l'occasion de me servir de mes connaissances fraîchement acquises. Nous sommes donc allés dans un restaurant italien assez cher. Je portais une petite robe noire sur un string.
Après les cocktails, nous avons commandé de la charcuterie, et j'ai mangé le prosciutto aussi vite que du pop corn. Je voulais satisfaire ses désirs. Tout ce que j'avais à faire, c'était me faire plaisir. J'ai enchaîné avec un risotto, un plat réconfortant, parsemé de délicats copeaux de truffes.
Nous avons quitté le restaurant dans des éclats de rire éméchés et j'ai dit à Drew que je voulais qu'il m'achète de la crème glacée.
"Tes désirs sont des ordres." Il m'a fait un sourire en coin.
Quand nous sommes arrivés à la maison, j'avais l'impression d'avoir avalé une boule de bowling. Mais je voulais voir ce que la nuit allait nous réserver.
Drew m'a déshabillée et il a caressé mon ventre gonflé. J'essayais d'ignorer les sirènes de l'insécurité qui résonnaient dans ma tête. Il pensait que tout mon corps était sexy. Alors, pourquoi pas moi? Nous sommes tombés sur le lit et je suis monté sur lui, me frottant le ventre comme les filles dans les vidéos, attendant que la simulation cède la place à l'excitation. Il a attrapé ma poignée d'amour et serré en gémissant de plaisir. J'ai essayé de rester concentrée, mais mon esprit tendait à se détacher de mon corps, content de l'observer de loin et de prendre des notes. Je n'avais pas l'impression de faire l'amour mais d'être une journaliste infiltrée, aux yeux plus gros que le ventre. Je n'étais pas à ma place.
Quand je me gave, mon corps ne m'appartient plus. J'en suis dessaisie. Et pas de manière sexy et soumise. C'est comme ça que je tiens les choses à distance. Ajouter du sexe au mélange s'est avéré aussi futile qu'embrasser quelqu'un après un rendez-vous chez le dentiste, la mâchoire anesthésiée.
En théorie, cette dynamique aurait dû fonctionner. En pratique, j'étais incroyablement mal à l'aise, comme dans un manteau en laine qu'on admire sur quelqu'un d'autre mais qui nous gratte comme du papier de verre et limite nos mouvements.
En me révélant son fétichisme, Drew m'a remis une sorte de sauf-conduit: "Tu sais ce que tu détestes le plus dans ton corps? L'excès de chair? La crainte de te laisser aller, de prendre quelques kilos et de devenir monstrueuse? C'est ce qui m'attire le plus. Voici une validation externe suffisante pour parer à toute insécurité."
J'espérais que ce serait la panacée mais, sans surprise, ça n'a pas été le cas. L'estime de soi ne vient jamais (consciemment) des autres. La mienne est ancrée au plus profond de mon ventre, un endroit où les opinions sont fortes et la logique, peu solide.
Drew et moi sommes toujours ensemble. Nous parlons de nous marier, en théorie, et d'adopter un chaton, concrètement. Entre le figuré et le littéral, nous parlons de plan à trois avec quelqu'un qui accepterait de jouer au "feedee". Nous avons envisagé la logistique d'une relation ouverte, mais cette perspective reste pour l'instant en suspens.
Nos secrets ne nous semblent plus très graves. Maintenant que je sais que je ne dois pas tout faire pour lui et qu'il ne doit pas tout faire pour moi, notre couple a de la place pour respirer. Certaines choses doivent rester du domaine du fantasme, et cela ne signifie pas pour autant que nous ne nous suffisons pas l'un l'autre.
L'amour de mon petit ami pour la graisse n'a rien réglé chez moi. Il n'a pas transformé mon miroir en acceptation de mon corps, ni en catalogue de Victoria's Secret. Mais les choses ont changé, presque imperceptiblement. J'observe la façon dont il traite mon corps et je tente de l'imiter: caresse, ne critique pas. Quand je me tourne sur le côté, je ne saisis plus la chair qui tombe de mon ventre avec l'envie de la couper avec des ciseaux.
Mon combat avec la nourriture n'est pas terminé, mais il n'est plus sans merci. Ces dix dernières années, mon trouble alimentaire a projeté une ombre sur le mur de ma chambre. Je ne savais pas d'où elle venait et je crois que ça ne m'intéressait pas. J'étais trop préoccupée par le culte du corps pour l'analyser objectivement. Formuler les choses à voix haute ne l'a pas fait disparaître, mais cela m'a permis d'éclairer cette ombre terrifiante, de la voir pour ce qu'elle était réellement: quelque chose de laid, de lourd, de gérable.
Ce blog, publié sur le HuffPost américain , a été traduit par Karine Degliame-O'Keeffe pour Fast ForWord .
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