Une black sexy se fait plaisir avec un pote

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Article mis Ă  jour le 27/09/19 08:58


Caroline Michel

Mis à jour le 27/09/19 08:58



Il y a dix ans, Manon a croisé le chemin de Boris, ùgé de 17 ans, sans expérience sexuelle. Lors d'une soirée, ils ont couché ensemble. Avoir été la premiÚre fois de ce garçon laisse à la jeune femme, honorée et touchée qu'il la choisisse, un tendre souvenir et une dose de fierté. Confidences.
J'avais 27 ans (et ma valise d'expĂ©riences) quand j'ai connu Boris. A cette Ă©poque-lĂ , j'Ă©tais cĂ©libataire. Je vivais pas mal d'histoires sans lendemain. C'Ă©tait Ă  l'anniversaire de son pĂšre – qui Ă©tait un ex collĂšgue - que nous nous sommes vus pour la premiĂšre fois. Boris avait 17 ans. Je ne connaissais personne et je traĂźnais plutĂŽt du cĂŽtĂ© des "jeunes" et avec les enfants. L'ambiance Ă©tait plutĂŽt sympa. La soirĂ©e se dĂ©roulait Ă  l'extĂ©rieur, dans un grand jardin ornĂ© de lampions.
J'ai tout de suite senti que Boris me draguait et je trouvais ça plutĂŽt rigolo. Il Ă©tait en formation dans le bĂątiment et ne faisait pas son Ăąge. Grand, musclĂ©, blond, super beau. Il me lançait des regards, il tentait d'attirer mon attention. J'aimais bien. C'Ă©tait mĂȘme attendrissant. C'est quand je me suis levĂ©e pour aller chercher de l'eau Ă  l'intĂ©rieur de la maison qu'il m'a suivie. Et soudainement, il m'a plaquĂ©e contre le buffet et embrassĂ©e. TĂ©mĂ©raire le garçon. Surprise, je me suis laissĂ© complĂštement faire.
Nous avons regagnĂ© le jardin sans cesser de nous rouler des pelles
 devant sa famille. Je ne comprenais pas bien ce qu'il se passait. J'avais 27 ans mais l'impression d'en avoir 14. Je trouvais ça gĂ©nial. J'aurais adorĂ© sortir avec un mec comme lui Ă  14 ans, chose qui ne s'est jamais produite ! Quelque part, je me retrouvais et revivais ma jeunesse par procuration.
Boris. a proposĂ© que nous allions faire un tour. Nous avons marchĂ©. C'est lĂ  qu'il m'a dit qu'il avait trĂšs envie de coucher avec moi. VĂ©to : je lui ai dit que je ne pouvais pas faire ça car il Ă©tait le fils d'un collĂšgue. Il m'a alors demandĂ© si je lui plaisais. Bien sĂ»r qu'il me plaisait ! Il ne comprenait pas pourquoi je me prenais la tĂȘte. C'est lĂ  qu'il a murmuré : "En plus, ce serait ma premiĂšre fois". Et j'ai trouvĂ© ça trop mignon. Ce mĂ©lange d'envie, d'initiative et en mĂȘme temps cette candeur, cette innocence
Sans aucun doute, il m'attirait. Son petit look de surfeur, son charme
 Mais a priori, ce n'était pas mon genre. Je préférais les mecs plus ùgés. D'ailleurs, je n'avais jamais été attirée par les mecs plus jeunes. Toujours est-il qu'il y avait ce petit truc irrésistible dans ses yeux. Je pense que lui était séduit par mon cÎté un peu fofolle, et puis mon ùge, probablement.
L'alcool aidant assurĂ©ment, je n'Ă©tais pas stressĂ©e Ă  l'idĂ©e de faire l'amour avec un mec de dix ans de moins que moi. Et nous sommes donc passĂ©s Ă  l'acte. Dans le bois Ă  cĂŽtĂ© de la propriĂ©tĂ© de ses parents. Ce qui est fou, c'est que j'ai des souvenirs sans en avoir. Chose sĂ»re, ça n'a pas durĂ© trĂšs longtemps. L'Ă©motion, la fougue... Il Ă©tait dans la prĂ©cipitation. Et un peu perdu. Il voulait m'offrir du plaisir, il ne pensait pas qu'Ă  lui, mais je dois dire ne pas avoir ressenti grand-chose. Je n'ai pas eu d'orgasme et, Ă  un Ăąge oĂč je connaissais bien mon corps, je sentais bien que ça n'arriverait pas. La seule chose qui m'excitait, je crois, c'Ă©tait de savoir qu'il s'agissait de sa premiĂšre fois Ă  lui. C'Ă©tait le fait de lui donner une part de mon intimitĂ©, de satisfaire son dĂ©sir, de constater combien lui il aimait ça. J'essayais d'ĂȘtre la plus douce et la plus tendre pour lui. Nous n'avons pas Ă©changĂ© un mot.
Il avait la peau trÚs douce et ça, ça m'a marquée. Mais pour le reste, les détails, les caresses, ça ne me revient pas. Je me rappelle plus aisément de l'avant, de son jeu de séduction, du baiser dans la cuisine. Et de l'aprÚs aussi.
Quand nous sommes revenus Ă  la fĂȘte, il n'y avait plus personne, plus de lumiĂšre, plus de musique. Le rapport sexuel avait Ă©tĂ© court, mais nous avions beaucoup discutĂ© avant. Puisque la fin de soirĂ©e sonnait, je suis alors rentrĂ©e chez moi. Le lendemain matin, son pĂšre m'a appelĂ©e. J'ai un peu flippĂ© en dĂ©couvrant que c'Ă©tait lui. Il m'a dit sans dĂ©tour qu'il savait ce qu'il s'Ă©tait passĂ© la veille. Il a dĂ» sentir ma gĂȘne et ne m'a pas laissĂ© le temps de rĂ©agir. Il a ajoutĂ© : " J'aime autant que ce soit avec toi. Cependant on a un problĂšme, Boris. ne veut plus sortir de sa chambre et ne veut parler Ă  personne. Je pense que ce serait bien que tu viennes." Petit coup de pression tout de mĂȘme.
Je me suis rendue chez Boris. et lui ai parlĂ© Ă  travers la porte. Il a fini par ouvrir. Il avait beaucoup pleurĂ©. Beaucoup. En fait, il Ă©tait paniquĂ©. Il pensait que parce que nous avions couchĂ© ensemble, nous nous devions de dĂ©marrer une histoire. Je l'ai rassurĂ© en lui expliquant que non, nous n'Ă©tions pas obligĂ©s de commencer quoi que ce soit. Qu'un jour il referait l'amour avec une fille dont il serait fou amoureux et que ce serait mille fois mieux qu'hier. Que j'Ă©tais honorĂ©e et touchĂ©e qu'il m'ait choisie pour sa premiĂšre fois Ă  lui. Et qu'il y repenserait peut ĂȘtre un jour. Ou peut-ĂȘtre pas... J'ai senti que mes mots l'apaisaient. AprĂšs ça, soulagĂ©e aussi, j'ai filĂ©. Je n'ai plus jamais eu de ses nouvelles. Non plus de son pĂšre que j'ai perdu de vue.
C'est vrai, sur le coup, je trouvais ça chouette de lui offrir cette premiĂšre fois, mais je n'en tirais pas de fiertĂ© particuliĂšre. Quand je l'ai vu pleurer, j'ai mĂȘme lĂ©gĂšrement doutĂ©. Et failli regretter. Et puis aujourd'hui, avec beaucoup de recul, je trouve ça super mignon et je prĂ©fĂšre qu'il l'ait fait avec moi plutĂŽt qu'avec une pauvre fille. Je pense avoir Ă©tĂ© attentive pour lui... J'aurais aimĂ© vivre la mĂȘme chose Ă  sa place. Et j'avoue, j'aimerais bien le revoir ! Pour le plaisir. Parce que je n'oublie pas et que je ne pensais pas forcĂ©ment en garder un souvenir impĂ©rissable.
J'avais 27 ans (et ma valise d'expĂ©riences) quand j'ai connu Boris. A cette Ă©poque-lĂ , j'Ă©tais cĂ©libataire. Je vivais pas mal d'histoires sans lendemain. C'Ă©tait Ă  l'anniversaire de son pĂšre – qui Ă©tait un ex collĂšgue - que...
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SEXUALITÉ - Les coups d’un soir, c’est un peu la loterie. Parfois on tombe sur une perle, d’autres sur un·e partenaire qu’on aimerait bien oublier Ă  jamais. Et puis il y a aussi toutes ces anecdotes dont on se souvient en souriant, tant le contexte nous Ă©tonne encore. Le genre de plans qu’on se raconte aprĂšs deux verres pour faire marrer l’assemblĂ©e.
On a demandé à neuf jeunes femmes de nous confier leurs histoires éphémÚres les plus insolites, et le cru est juteux. Une chose est sûre, on ne pensera plus jamais au Quatorze Juillet comme avant.
“C’était en premiĂšre annĂ©e d’étude, via Tinder ou une plateforme du genre. Je parlais pas mal avec un mec et on a dĂ©cidĂ© d’aller boire un verre. En arrivant, dĂ©jĂ , il ne me plaisait pas du tout physiquement! Je me suis mĂȘme demandĂ© si je n’allais pas faire demi-tour. Et puis finalement je me suis dit ‘allez, vas-y!’.
Pendant tout le rendez-vous, j’étais persuadĂ©e que ça ne le ferait pas du tout. Mais au moment de partir, je ne sais pas... Il a un peu insistĂ© pour qu’on poursuive la soirĂ©e et moi comme ça faisait longtemps que je n’avais pas couchĂ© avec quelqu’un, j’étais partante. Je savais que je ne le reverrai pas alors pourquoi ne pas en profiter!
Sauf qu’en fait, il habitait loin, et moi je devais commencer les cours tĂŽt le lendemain. Du coup, on l’a fait dans sa Smart, la voiture. C’était complĂštement improbable. On a essayĂ© de trouver une rue pas trop passante dans Paris et on a fait notre affaire. Ensuite, je suis rentrĂ©e en RER. Mes collants Ă©taient trouĂ©s : une vraie Walk of Shame. On ne s’est plus jamais parlĂ© aprĂšs: emballĂ©, c’est pesĂ©!”
“C’était Ă  une soirĂ©e de boulot, oĂč on buvait beaucoup. C’était sympa, on rigolait bien. Et comme toutes les soirĂ©es de boulot, part une premiĂšre personne, puis une deuxiĂšme personne... Restent toujours ceux qui sont cĂ©libataires et qui aiment picoler. Donc je me suis retrouvĂ©e seule avec - on va l’appeler ‘Monsieur X’ - Ă  boire des coups. Quand, patatras!, il m’a embrassĂ©e. Pendant la soirĂ©e, j’avais dĂ» dire que je n’étais jamais allĂ©e Ă  la basilique de Montmartre, et que j’aimerais beaucoup la visiter.
Bonne pioche, lui avait Ă©tĂ© y faire du bĂ©nĂ©volat et adorait cet endroit. Nous nous y sommes rendus en moto (pas bien, je sais). Il devait ĂȘtre sept heures du matin. Je crois mĂȘme qu’on a posĂ© un cierge et fait un signe de croix. Et puis on est allĂ©s prendre un cafĂ© et on est rentrĂ©s chez moi. Absurde”.
“J’étais en voyage post-Ă©tudes Ă  Buenos Aires avec ma meilleure amie. Dans l’avion, on s’était promis de ne jamais se sĂ©parer ni de rentrer avec des inconnus. Le premier soir, on s’est sĂ©parĂ©es et on est rentrĂ©es chacune avec un inconnu. Le sien Ă©tait un JamaĂŻcain en vacances dans la mĂȘme auberge que nous, le mien l’un des employĂ©s de ladite auberge.
Le deuxiĂšme soir, je suis sortie en boĂźte avec lui, et au moment de rentrer dans son appartement, il me dit que c’est impossible car sa sƓur et son neveu y dorment, mais qu’on peut aller Ă  l’hĂŽtel. Pleine de confiance, je le suis. On arrive dans un hall Ă©clairĂ© au nĂ©on rose avec capotes sur le comptoir. Il demande une chambre pour deux heures: ça annonce la couleur.
On y entre et Ă  la place du papier peint, sur les murs, il n’y avait que des miroirs. Partout, mĂȘme au plafond. On a fait l’amour en levrette et je l’ai vu se mater sur la porte (aussi miroir) de la salle de bain. Je me suis endormie une demi-heure, et quand je me suis rĂ©veillĂ©e, il Ă©tait en train de renifler ma culotte. Je crois qu’on n’a pas recouchĂ© ensemble aprĂšs ça.”
“C’était une soirĂ©e sur la plage, lorsque je voyageais Ă  Mancora, au PĂ©rou. J’avais bu du Pisco dans une noix de coco. J’étais saoule, forcĂ©ment. Avec mes copines on avait rencontrĂ© une bande de surfeurs du coin, dont un, qui s’appelait Luis, il me semble. On a sympathisĂ©, et on a fini par coucher ensemble sur la plage. On est allĂ©s se baigner Ă  poil aprĂšs, mais rien de trĂšs romantique: je devais rester au sec au-dessus de la taille Ă  cause d’un eczĂ©ma attrapĂ© sur place.
Bref, je suis rentrĂ©e complĂštement saoule Ă  l’auberge de jeunesse oĂč je logeais, j’ai dormi en me disant que je n’en entendrai plus parler. Sauf que le lendemain, il a dĂ©barquĂ© au petit-dĂ©j’ en venant me chercher pour le cours de surf que j’avais apparemment acceptĂ© qu’il me donne la veille. Il m’a appelĂ©e ‘bĂ©bé’ devant tout le monde et j’ai cru mourir de honte”.
“J’avais rencontrĂ© ce mec Ă  une soirĂ©e d’échange linguistique et culturel - le genre d’évĂ©nement oĂč tu vas pour choper. Je le vois, il est brun, tĂ©nĂ©breux, il a la mĂšche, les tatouages. Il est beau, on a l’impression qu’il sort d’une scĂšne de film. Je le croise en partant alors que j’allais au vestiaire, on commence Ă  se parler, Ă  flirter. On s’écrit pendant plusieurs jours... Et je me rends compte que je ne sais pas quel Ăąge il a. J’avais 33 ans Ă  l’époque, il finit par me dire qu’il en a 23. Je me dis que c’est une trop grande diffĂ©rence d’ñge, je suis prĂȘte Ă  tout arrĂȘter; c’est un bĂ©bĂ©. Mais il me lance ‘tu vas voir Ă  quel point je ne suis pas un bĂ©bé’. J’ai des frissons d’excitation de partout, alors je lui laisse une chance.
On finit par se voir et par prendre un verre. Il me fait bien comprendre qu’il est fauchĂ©, donc je paye toutes les boissons. On boit, il est hyper tactile. Moi je n’en peux plus, j’ai envie de lui et qu’on aille chez moi. Je lui propose, comme il n’a plus de sous, qu’on poursuive la soirĂ©e dans mon appartement car j’ai de quoi boire Ă  la maison. On y va.
C’était trĂšs caliente. Il sentait bon, il avait mis du parfum, une chemise blanche : j’étais hyper motivĂ©e. On s’embrasse, et lĂ  je me dis: mauvais signe. Il m’embrasse... comment expliquer : comme une poule qui picore du maĂŻs. C’était atroce, je n’ai jamais eu pire baiser de ma vie. On dirait qu’il allait me pĂ©ter les dents, c’était juste pas possible.
On se retrouve dans mon lit, Ă  poil, et lĂ  je dĂ©couvre qu’il s’est rasĂ© de partout. Ça piquait sur le torse. Je commence Ă  l’embrasser un peu partout et Ă  lui tailler une pipe. Et lĂ , l’horreur: ça sent pas bon, une odeur de toilettes. J’essaie vraiment de l’occulter, mais je n’arrive pas Ă  me mettre dedans. Pour couronner le tout, il n’avait pas de prĂ©servatif, et le sexe Ă©tait nul. Il ne pensait pas du tout Ă  mon plaisir. Il a commencĂ© Ă  grogner, ça a durĂ© cinq minutes et c’était fini. C’était vraiment zĂ©ro.
ForcĂ©ment, j’avais envie qu’il parte, mais il voulait rester dormir, alors j’ai un peu cĂ©dĂ©. Grave erreur: il a pĂ©tĂ© toute la nuit j’ai mis 24 heures Ă  me dĂ©barrasser de l’odeur. Et en plus de ça, il n’a pas dĂ©campĂ© avant que je le dirige vers la porte Ă  13 heures le lendemain. Je ne l’ai Ă©videmment jamais revu, malgrĂ© ses relances”.
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