Une black a forte poitrine joue de ses atouts

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Descartes




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Descartes






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Descartes

Politique








Tennis : Perrine Seyler et Hugo Rignault en favori au tournoi de Ballan-Miré




LBE (préparation) : derniÚre répétition pour Chambray à Celles-sur-Belle




Les 14 effectifs du National 3 au crible




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Publié le

03/07/2014 Ă  08:38
| Mis Ă  jour le

22/02/2018 Ă  22:41



« To the people of Descartes, France, with best wishes from the crew of Appolo 16*. » Cette photo incroyable que tient le maire Jacques Barbier est dĂ©dicacĂ©e des astronautes John Young, Ken Mattingly et Charlie Dude qui ont aluni en avril 1972 dans le cratĂšre Descartes !



Descartes, ce n’est pas seulement un philosophe, c’est une ville industrielle qui a vĂ©cu pleinement les Trente Glorieuses
 Le maire Jacques Barbier nous sert de guide. Interview.
Comment présenter la ville de Descartes ?
Jacques Barbier : « De par sa situation gĂ©ographique, c'est une ville de Touraine qui n'est pas oubliĂ©e, mais mĂ©connue, malgrĂ© un nom porteur si on fait une comparaison avec Richelieu. C'est une ville charmante, hyperfleurie. Nous ne sommes que sept villes dans le dĂ©partement Ă  avoir une troisiĂšme fleur. On a une Ă©cole, un cinĂ©ma, deux pharmacies, quatre banques, un office notarial, une maison pluridisciplinaire de santĂ©. BientĂŽt va s'ouvrir une halte-garderie. Et notre tissu associatif est des plus performants, avec 84 associations. »
J.B : « Oui, c'est aussi la ville natale du philosophe RenĂ© Descartes, dont le « Discours de la mĂ©thode » est un Ă©lĂ©ment de rĂ©fĂ©rence philosophique. C'est la ville des trois René : Descartes, Boislesves, et de Buxeuil. Avec RenĂ© Descartes, la ville a un intĂ©rĂȘt touristique, mais cela peut aussi faire peur. Notre musĂ©e RenĂ©-Descartes est accessible Ă  tous. Il est le seul au monde consacrĂ© au philosophe. RĂ©cemment, la chaĂźne japonaise NHK est venue faire un reportage chez nous. C'est une personnalitĂ© qui nous sert de vitrine
 »
La ville donne l'image d'un riche passĂ© industriel qui n'est plus. Est-ce exact ?
J.B : « Si on remonte aux annĂ©es 1950 Ă  1970, Descartes a Ă©tĂ© le troisiĂšme pĂŽle industriel du dĂ©partement. La premiĂšre implantation remonte au XIX e siĂšcle avec les papeteries. On doit cela Ă  la Creuse et son niveau d'Ă©tiage constant. On y produisait du papier vĂ©lin de grande qualitĂ©, d'une blancheur extrĂȘme. AprĂšs la Seconde Guerre mondiale, les Ă©tablissements Barbot ont reconstruit beaucoup d'usines en France. Vers 1970, Barbot, c'Ă©tait 2.000 personnes dont 800 Ă  Descartes. Il y avait Everitube qui faisait vivre environ 1.000 familles. Avec la loi sur l'amiante, les 550 salariĂ©s se sont retrouvĂ©s sur le carreau. Il y a un quatriĂšme pilier : l'entreprise rototechnique BaugĂ© et ses 85 emplois, qui imprimait les catalogues Quelle, La Redoute. C'Ă©tait avant la vente en ligne
 Au moment des Trente Glorieuses, Descartes avait des moyens et s'est Ă©quipeĂ©e d'un vĂ©lodrome, d'un stade de bicross, et d'un centre aquatique avec cinq bassins ! »
" Tout le monde a travaillé aux papeteries ou chez Barbot "
Quel est le profil des entreprises actuelles ?
J.B : « Il existe un tissu artisanal fort. Le groupe Cap MonĂ©tique a 40 emplois ici sur les 80 du groupe. Pour capter les investisseurs, nous avons dĂ©veloppĂ© trois zones d'activitĂ©s prĂȘtes Ă  accueillir des industries lourdes. On vit avec plus de 50 ans de culture industrielle. Ici, tout le monde a travaillĂ© chez Barbot ou dans les papeteries, donc cela ne pose pas de problĂšme Ă  la population que des industries s'implantent. Notre avenir est d'ĂȘtre attractif. Je suis persuadĂ© que pour des raisons financiĂšres et fonciĂšres, les entreprises de la couronne tourangelle seront amenĂ©es Ă  dĂ©mĂ©nager. Les accueillir passe aussi par l'installation du haut dĂ©bit et de la fibre optique. La communautĂ© de communes a dĂ©jĂ  rĂ©servĂ© un million d'euros pour cela. »
Descartes attire-t-elle des retraitĂ©s ou des jeunes ?
J.B : « La dĂ©mographie stagne autour de 4.000 habitants. Les gens viennent y trouver de la quiĂ©tude et les services de proximitĂ©. C'est une population souvent composĂ©e d'agriculteurs qui, une fois Ă  la retraite et leur exploitation vendue, s'installe en ville. On a du mal Ă  garder une population plus jeune. Faire venir des ingĂ©nieurs est assez compliquĂ©. Mais une fois qu'ils sont lĂ , ils ne veulent plus repartir. »
Comment se sentir tourangeau quand la ville la plus proche est Chñtellerault dans la Vienne ?
J.B : « On a toujours vĂ©cu avec cette ambiguĂŻtĂ©. Il y a une Ă©vasion naturelle vers le Nord-Vienne. On le voit dans les rĂ©flexes de recherche de travail. Mais des gens du Nord-Vienne viennent ici pour trouver des services. On est Ă  Ă©quidistance entre Tours et Poitiers. Le plus simple pour nous est d'aller par exemple Ă  l'hĂŽpital de ChĂątellerault. »
Un Ă©lu descartois ne se sent-il pas loin de Tours ?
J.B : « Je suis parfois obligĂ© d'agiter un drapeau pour qu'on pense Ă  nous ! Quand je vais au conseil rĂ©gional Ă  OrlĂ©ans, c'est 360 km aller-retour ! »
* Aux habitants de Descartes, France, avec les meilleurs sentiments de l'Ă©quipage d'Appolo 16.

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« To the people of Descartes, France, with best wishes from the crew of Appolo 16*. » Cette photo incroyable que tient le maire Jacques Barbier est dĂ©dicacĂ©e des astronautes John Young, Ken Mattingly et Charlie Dude qui ont aluni en avril 1972 dans le cratĂšre Descartes !



Descartes, ce n’est pas seulement un philosophe, c’est une ville industrielle qui a vĂ©cu pleinement les Trente Glorieuses
 Le maire Jacques Barbier nous sert de guide. Interview.
Comment présenter la ville de Descartes ?
Jacques Barbier : « De par sa situation gĂ©ographique, c'est une ville de Touraine qui n'est pas oubliĂ©e, mais mĂ©connue, malgrĂ© un nom porteur si on fait une comparaison avec Richelieu. C'est une ville charmante, hyperfleurie. Nous ne sommes que sept villes dans le dĂ©partement Ă  avoir une troisiĂšme fleur. On a une Ă©cole, un cinĂ©ma, deux pharmacies, quatre banques, un office notarial, une maison pluridisciplinaire de santĂ©. BientĂŽt va s'ouvrir une halte-garderie. Et notre tissu associatif est des plus performants, avec 84 associations. »
J.B : « Oui, c'est aussi la ville natale du philosophe RenĂ© Descartes, dont le « Discours de la mĂ©thode » est un Ă©lĂ©ment de rĂ©fĂ©rence philosophique. C'est la ville des trois René : Descartes, Boislesves, et de Buxeuil. Avec RenĂ© Descartes, la ville a un intĂ©rĂȘt touristique, mais cela peut aussi faire peur. Notre musĂ©e RenĂ©-Descartes est accessible Ă  tous. Il est le seul au monde consacrĂ© au philosophe. RĂ©cemment, la chaĂźne japonaise NHK est venue faire un reportage chez nous. C'est une personnalitĂ© qui nous sert de vitrine
 »
La ville donne l'image d'un riche passĂ© industriel qui n'est plus. Est-ce exact ?
J.B : « Si on remonte aux annĂ©es 1950 Ă  1970, Descartes a Ă©tĂ© le troisiĂšme pĂŽle industriel du dĂ©partement. La premiĂšre implantation remonte au XIX e siĂšcle avec les papeteries. On doit cela Ă  la Creuse et son niveau d'Ă©tiage constant. On y produisait du papier vĂ©lin de grande qualitĂ©, d'une blancheur extrĂȘme. AprĂšs la Seconde Guerre mondiale, les Ă©tablissements Barbot ont reconstruit beaucoup d'usines en France. Vers 1970, Barbot, c'Ă©tait 2.000 personnes dont 800 Ă  Descartes. Il y avait Everitube qui faisait vivre environ 1.000 familles. Avec la loi sur l'amiante, les 550 salariĂ©s se sont retrouvĂ©s sur le carreau. Il y a un quatriĂšme pilier : l'entreprise rototechnique BaugĂ© et ses 85 emplois, qui imprimait les catalogues Quelle, La Redoute. C'Ă©tait avant la vente en ligne
 Au moment des Trente Glorieuses, Descartes avait des moyens et s'est Ă©quipeĂ©e d'un vĂ©lodrome, d'un stade de bicross, et d'un centre aquatique avec cinq bassins ! »
" Tout le monde a travaillé aux papeteries ou chez Barbot "
Quel est le profil des entreprises actuelles ?
J.B : « Il existe un tissu artisanal fort. Le groupe Cap MonĂ©tique a 40 emplois ici sur les 80 du groupe. Pour capter les investisseurs, nous avons dĂ©veloppĂ© trois zones d'activitĂ©s prĂȘtes Ă  accueillir des industries lourdes. On vit avec plus de 50 ans de culture industrielle. Ici, tout le monde a travaillĂ© chez Barbot ou dans les papeteries, donc cela ne pose pas de problĂšme Ă  la population que des industries s'implantent. Notre avenir est d'ĂȘtre attractif. Je suis persuadĂ© que pour des raisons financiĂšres et fonciĂšres, les entreprises de la couronne tourangelle seront amenĂ©es Ă  dĂ©mĂ©nager. Les accueillir passe aussi par l'installation du haut dĂ©bit et de la fibre optique. La communautĂ© de communes a dĂ©jĂ  rĂ©servĂ© un million d'euros pour cela. »
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J.B : « La dĂ©mographie stagne autour de 4.000 habitants. Les gens viennent y trouver de la quiĂ©tude et les services de proximitĂ©. C'est une population souvent composĂ©e d'agriculteurs qui, une fois Ă  la retraite et leur exploitation vendue, s'installe en ville. On a du mal Ă  garder une population plus jeune. Faire venir des ingĂ©nieurs est assez compliquĂ©. Mais une fois qu'ils sont lĂ , ils ne veulent plus repartir. »
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J.B : « On a toujours vĂ©cu avec cette ambiguĂŻtĂ©. Il y a une Ă©vasion naturelle vers le Nord-Vienne. On le voit dans les rĂ©flexes de recherche de travail. Mais des gens du Nord-Vienne viennent ici pour trouver des services. On est Ă  Ă©quidistance entre Tours et Poitiers. Le plus simple pour nous est d'aller par exemple Ă  l'hĂŽpital de ChĂątellerault. »
Un Ă©lu descartois ne se sent-il pas loin de Tours ?
J.B : « Je suis parfois obligĂ© d'agiter un drapeau pour qu'on pense Ă  nous ! Quand je vais au conseil rĂ©gional Ă  OrlĂ©ans, c'est 360 km aller-retour ! »
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