Une bite pour son anniversaire
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Une bite pour son anniversaire
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Publié le 15 septembre 2018 à 20:54 par La rédaction
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© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Pour l'anniversaire d'un collĂšgue, une amie lui offre un sifflet sans-gĂȘne. Surpris par ce prĂ©sent, le collĂšgue va rapidement dĂ©couvrir le talent cachĂ© de cette femme surprenante qui est capable de jouer Happy Birthday avec ses fesses.
AprĂšs avoir fait une petite fĂȘte pour l'anniversaire de son collĂšgue en rĂ©unissant tous les employĂ©s de la boĂźte, une fois les invitĂ©s partis, cette femme est impatiente de lui offrir un cadeau trĂšs spĂ©cial.
Le cadeau le plus original du monde
Ces deux collĂšgues doivent ĂȘtre particuliĂšrement proches. La femme a d'ailleurs tenue Ă lui offrir son cadeau en tĂȘte Ă tĂȘte, une fois que tout le monde est retournĂ© Ă leurs occupations. En voyant cette vidĂ©o, on comprend mieux pourquoi ça ne pouvait pas se faire en prĂ©sence d'autres personnes.
De plus, cette sĂ©quence met tellement mal Ă l'aise que mĂȘme les internautes ont lâimpression d'ĂȘtre de trop face Ă cette scĂšne. Une fois totalement seuls, elle lui prĂ©sente son cadeau joliment emballĂ©. Lorsqu'il l'ouvre, son collĂšgue tombe sur une vulgaire langue de belle-mĂšre. Surpris, il se demande alors ce que ce cadeau peut bien vouloir signifier. Il souffle donc dans le sifflet en pensant que ça va lancer le point de dĂ©part du vrai cadeau.
Cet homme n'a pas totalement tort puisqu'aprĂšs avoir soufflĂ© dans le sifflet sans-gĂȘne, la jeune femme s'en empare pour lui montrer un de ses talents cachĂ©s. Contre toute attente, plutĂŽt que de le porter Ă ses lĂšvres, elle semble se l'enfoncer entre les fesses. Elle va ensuite soulever sa jupe, puis se positionner face Ă son ami et lui rĂ©vĂ©ler une culotte trĂšs particuliĂšre puisqu'il comporte le visage de la jeune femme et au niveau de la bouche, on dĂ©couvre le fameux sifflet. Elle va alors se commencer Ă lui jouer la chanson Happy Birthday de maniĂšre trĂšs originale, avec des pets uniquement.
Une fois le récital terminé, pour la remercier, le collÚgue va simplement lui souffler dans le derriÚre. Cette scÚne totalement loufoque est tirée de la série néerlandaise Toren C et s'inscrit dans l'univers absurde de ce groupe d'employés.
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Quand DĂ©borah reçoit de ses amies une enveloppe pour son anniversaire, elle nâa aucune idĂ©e de lâaventure (tarifĂ©e) quâelle contient ; ni mĂȘme si elle osera la vivre...
Tout est parti dâune plaisanterie. Avec Betty et Kris, mes amies de toujours, on sâĂ©tait fait une soirĂ©e de filles : cruditĂ©s, film et mojitos. Le film en question Ă©tait « Cliente », oĂč Balasko met en scĂšne Nathalie Baye, quadra sĂ©duisante et cĂ©libataire qui se paie des garçons quand lâenvie lui en prend... Jâai dit : « Ăa fait rĂȘver, un homme dans mon lit qui fait tout ce que je veux », et elles se sont fichues de moi en disant : « Ah, mais ce nâest pas comme ça que ça se passe pour toi ? » On sâest marrĂ©es, puis on a discutĂ© des rapports monnayĂ©s, de lâintĂ©rĂȘt de la chose, du fait quâon serait capables de le faire ou pas. Jâai dit que, un de ces jours, jâaimerais essayer. Puis jâai oubliĂ©. Jusquâau jour de mes 40 ans. Nous avons dĂźnĂ© toutes les trois et, avec le dessert, je recevais une enveloppe gris perle. Jâai tout de suite imaginĂ© la journĂ©e « papouilles » dans un super spa... Non ! CâĂ©tait un catalogue crĂ©Ă© par Betty, avec des photos de jeunes hommes. Elles avaient fait des recherches, appelĂ© les garçons pour leur expliquer leur plan, recopiĂ© leurs annonces... Et avaient ajoutĂ© un « Bon pour une nuit de plaisir. » « Vous nâavez pas fait ça ? ! » Eh bien, si. Je nâavais quâĂ choisir le monsieur et prendre rendez-vous, elles sâoccupaient du reste. On a bien ri, et jâai dit que jâallais rĂ©flĂ©chir.
Le dĂ©pliant est restĂ© quelques semaines sur ma table de chevet. Ce nâĂ©tait pas si simple : du fantasme au passage Ă lâacte, le chemin est long. Finalement, la curiositĂ© a pris le pas sur la pudeur. Jâai passĂ© un coup de fil Ă Exotyco. Pourquoi ce jeune homme ? Trois raisons : il se trouvait Ă Lyon, lĂ oĂč je travaille, il nâĂ©tait pas trop grand â je suis petite â et jâaimais la photo, mĂȘme si elle Ă©tait clichĂ© : il sortait de lâeau en jean, la peau mate et constellĂ©e de petites gouttes dâeau qui glissaient sur des muscles bien al dente... Lâannonce sur sa boĂźte vocale Ă©tait drĂŽle : une voix fĂ©minine sensuelle disait en gloussant : « Vous ĂȘtes sur la messagerie de... oh, comment il sâappelle dĂ©jĂ ? Que je suis bĂȘte, jâai oubliĂ© son nom. » Le pitre. Il mâa rappelĂ©e tout de suite. Il se souvenait de Betty et de Kris. Jâai aimĂ© sa voix, son naturel. CâĂ©tait une bonne prise de contact. Je lui ai demandĂ© si je pouvais lâappeler un autre jour, il a dit : « Evidemment. Essaie de me prĂ©venir Ă lâavance, mais câest quand tu veux. »
Betty et Kris Ă©taient excitĂ©es comme des gamines quand je leur ai racontĂ©. « Vous vivez votre trip Ă travers moi, trop facile ! », ai-je rĂąlĂ© pour la forme. Kris mâa fait un chĂšque en blanc, je paierais Exotyco en liquide, et je nâavais ensuite quâĂ remplir le chĂšque pour me rembourser. Bizarre, mais bon, tout Ă©tait bizarre. Deux jours avant de partir Ă Lyon, jâai donnĂ© rendez-vous Ă Exotyco en centre-ville, sur une terrasse, je nâimaginais pas le recevoir Ă lâhĂŽtel, je prĂ©fĂ©rais me donner le temps de le « sentir » avant de dĂ©cider. Jâavais une robe bleu marine avec une veste rose, une tenue qui me donne confiance. Je ne pouvais mâempĂȘcher de chercher Ă ĂȘtre sĂ©duisante, câĂ©tait bĂȘte, mais je voulais lui plaire. LâidĂ©e quâil puisse coucher avec moi Ă contrecĆur mâincommodait. Pourtant je me doutais que, sâil faisait ce mĂ©tier, câest quâil Ă©tait capable de mettre de cĂŽtĂ© ses prĂ©fĂ©rences personnelles. On a Ă©tĂ© tous les deux trĂšs ponctuels. Je lâai reconnu tout de suite, mĂȘme sâil portait des lunettes de soleil et affichait une expression sĂ©rieuse. Je me suis approchĂ©e, il sâest levĂ©, a enlevĂ© ses lunettes, mâa fait la bise alors que jâallais lui tendre la main. Il avait un sourire qui illuminait son visage. Jâai commandĂ© un Perrier, lui aussi. La conversation nâa pas eu de mal Ă dĂ©marrer : « Vous avez des copines trĂšs drĂŽles. » Je lui ai dit de me tutoyer, jâai racontĂ© comment ça sâĂ©tait fait avec les filles. Jâai voulu connaĂźtre son Ăąge â 32 ans â, et jâai appris aussi quâil avait un vrai mĂ©tier en journĂ©e, quâil avait commencĂ© Ă coucher pour de lâargent aprĂšs quâune femme rencontrĂ©e en soirĂ©e lui eut dit : « Normalement, je paie pour un homme comme toi. »
Il posait peu de questions, mais savait Ă©couter. Ăa aussi, ça faisait partie du mĂ©tier, jâimagine. Nous avons dĂźnĂ© sur place, il a fait mine de prendre la note, jâai dit : « Câest pour moi. » Nous avons pris un autre verre ailleurs, je lui ai demandĂ© sâil faisait de bons massages comme câĂ©tait dit dans lâannonce, « Bien sĂ»r, si tu veux, je te montre. » CâĂ©tait une invitâ discrĂšte. Allais-je oser ou pas ? Jâai pris le temps de finir mon cocktail avant de lâinviter Ă mâaccompagner Ă lâhĂŽtel. Au pire, ai-je pensĂ©, tout sâarrĂȘterait aprĂšs le massage si je nâavais pas envie dâaller plus loin. Tu parles... Il avait une sacoche de mĂ©decin, je lui ai demandĂ© : « Câest ta boĂźte Ă outils ? â Câest ma boĂźte Ă malices. »
Une fois dans la chambre, jâai vu quâil ne plaisantait pas : huiles, prĂ©servatifs, bougies, menottes... Jâai mis 200 euros dedans â comme ça, câĂ©tait fait â et jâai dit : « Je vais prendre une douche, tu viens ? » Il voulait mâaider Ă me dĂ©shabiller, mais je lui ai demandĂ© de se dĂ©shabiller pour moi. Je ne voulais pas un strip-tease dans les rĂšgles de lâart, jâavais juste envie de dĂ©couvrir son corps. Il Ă©tait joli garçon. Cerise sur le gĂąteau, il Ă©tait... comment dire⊠Il Ă©tait trĂšs bien montĂ©. Et il le savait, jâai vu son sourire entendu quand il a ĂŽtĂ© son boxer. On lâa prise, cette douche, je lui ai demandĂ© de me sĂ©cher... Câest vrai quâil savait masser. Ensuite je me suis allongĂ©e sur le lit, il a allumĂ© des bougies, il a continuĂ© le massage. Le dos, les Ă©paules⊠jusquâau bout des doigts. Et lorsquâil a remontĂ© le long des jambes et quâil sâest avancĂ© entre mes cuisses en me demandant : « Ăa va ? », je nâai pas dit non. Je lâai arrĂȘtĂ© avant dâĂȘtre trop excitĂ©e, je voulais faire durer le plaisir. Et profiter de son beau corps. Je ne saurais jamais si je lui plaisais, mais il semblait aimer. Sâil faisait semblant, il se dĂ©brouillait bien.
Je nâavais quâĂ suggĂ©rer, et il comprenait ce que je voulais. Je lui ai demandĂ© de mettre un prĂ©servatif. LĂ , je ne pensais quâĂ moi, et ça a marchĂ© Ă merveille. Contrairement Ă une relation « normale », oĂč chacun pense au plaisir de lâautre. On a refait lâamour, de façon plus classique⊠mais une grosse journĂ©e mâattendait le lendemain. Il est parti en me disant : « Quand tu veux », avec un baiser lĂ©ger. Je ne sais pas encore si je rĂ©pĂ©terai lâexpĂ©rience. Je nâai pas encaissĂ© le chĂšque de Kris, mais je compte le faire plus tard. Lorsquâelles liront cette histoire et quâelles sauront que leur cadeau mâa fait trĂšs plaisir.
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