Une belle maman amant

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L'amour toujours n'est pas réservé aux couples triomphants. Parfois, dans l'ombre d'une vie parallèle bien rangée, la passion vibre et pour longtemps.




Fanatic Studio/Gary Waters/SCIENCE PHOTO LIBRARY - getty images
























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J'ai 48 ans, je suis la femme, celle qui était dans la lumière. Mon conjoint a eu des maitresses pendant 22 ans. Un jour il m'a tout avoué. Il m'a dit sa souffrance d'être dans le mensonge, entre deux femmes qu'il aimait. Il était mon seul amour, ami, famille. Nous faisions l'amour tous les jours, des fois plusieurs fois par jour...je n'ai rien vu, tous les autres étaient au courant...je me suis battu contre moi-même pour le garder, lui pardonner; J'étais en milles morceaux...je le suis encore. Il ne cesse de me répéter que qu'il a eu tort et qu'il n'a jamais aimé que moi...je ne me suis pas pardonner d'avoir été bernée. J'ai tenu devant la souffrance de mes enfants. Je suis enfant de parents séparés, je ne voulais pas tomber dans la haine pour l'oublier. aujourd'hui, je me sens comme indifférente à tout et à tous; J'ai vécu 22 ans dans le mensonge social. J'étais heureuse et amoureuse...et j'ai appris que la famille, les amis pensaient que j'étais soit d'accord, soit la reine des idiotes; Je plains sincèrement ceux qui vivent dans cette double vie parce que quoi que l'on décide, on ne protège personne...ni le conjoint, ni les enfants. je sais que ce n'est pas simple; Mais je refuse de me mentir. Officiel ou officieux, l'amour est merveilleux à vivre. Il faut simplement avoir le courage de le vivre vraiment. Mes enfants m'ont servi de prétexte pour rester...J'aimai mon conjoint...aujourd'hui, ces aveux m'ont guéris de mes sentiments. je suis enfin prête à vivre pour moi et sans lui. Je n'ai pas envie de rencontrer quelqu'un. Dans la douleur, c'est moi que j'ai appris à aimer. les mensonges tuent plus que la vérité. Mon expérience n'est valable que pour moi, j'assume le choix que j'ai fait mais l'amour se vit aussi à deux...pas en sens unique ou entre parenthèse. Nous valons tous la peine d'être aimé(e) c'est encore un espace de liberté gratuit et ensoleillé.

Je me retrouve totalement dans ces histoires d'infidelités et dans cet article .
En couple depuis 18 ans avec mon homme,nous ne sommes pas mariés et n'en avons aucunement envie.
jamais je n'aurais pensé le tromper et pourtant je suis infidéle depuis 6 ans avec un homme de 10ans mon aîné...
comme dans les divers témoignages,avec mon "amant" je me sens revivre,j'ai l'impression d'etre une gamine qui vit ses 1er émois,j'ai l'impression d'être dans une bulle,de vivre dans 2 mondes différents qua je sois avec mon homme ou mon amant...
je sais tres bien qu'il n'a pas envie de quitter sa femme,je fais avec.

Comme le dit la psy "plus il y a d'obstacles,plus la relation en vaut la peine" je suis tout a fait d'accord car notre relation en a vecue beaucoup :
ma belle famille trop curieuse,ses collégues de boulot,nos enfants dans les mêmes établissements scolaires,les gens de ma commune....et il y a quelques mois notre relation a failli prendre fin à cause d'un de mes clients qui l'a vu venir chez moi (comme réguliérement avant d'aller travailler.)
Bien sur ce client n'a pas pu tenir sa langue et a tout fait pour rattraper mon homme sur le chemin du boulot et lui dire que bizarrement X etait chez moi,est ce normal ? et lui dire de se méfier car il avait la reputation de draguer tout ce qui bouge....
heureusement mon homme apres m'avoir demandé par sms et m'avoir tout raconté a son retour m'a cru lorsque j'ai joué les innocentes
bref apres un coup de fil a mon amant pour lui raconter et lui dire que moi je tenais a lui et n'avait aucunement envie de le perdre car il est mon oxygene,ma raison de vivre et fini par lui dire de faire comme il desirait les semaines se sont écoulées et j'ai eu la surprise de le voir dans mon couloir sans que je ne l'ai entendu ouvrir le portail et la porte d'entrée,je peux vous dire que j'ai eu un sacré choc en descendant,je suis restée figée dans l'escalier un bon moment avant de le rejoindre au bas des marches....je ne m'y attendais pas mais j'étais heureuse de voir qu'il n'avait pas l'intention d'arreter notre relation....
je crois qu'il est accro !!!! quand il me fait des surprises du genre prendre des demi journées pour venir me voir,ou alors faire demi tour sur la route du boulot quand il voit au loin la voiture de mon homme et qu'il sait que j'ai tout mon temps a lui consacrer entre autre.
je ne me vois pas vivre sans lui et si c'etait à refaire je n'hesiterais pas une seconde.



13 ans avec un homme en couple, 2enfants de mère différente. je suis au bout de tout ça, je l'aime vraiment mais elle est sa moitié ils partagent toutes leurs activités, ils ont leurs amis en commun, moi je ne me sens pas de taille, nous n'avons rien en commun, à part les yeux qui brillent. Il ne m'a jamais rien promis sauf depuis cette année, déclaration,... mais je ne veut pas y croire, j'abandonne. J'ai fait tourner ma vie autour de cet homme qui m'a sauvé quelque part d'un gros manque de confiance en moi à l'époque, mais au fond c'était illusoire, il m'a enlevé tellement d'autres choses,...! Je ne pense pas qu'un jour j'aimerais à nouveau avec de la confiance, je suis déchirée à l'intérieur

Bonjour je suis ou g t "en couple avec un homme marié" depuis 2 ans et j'avoue que les vacances sont toujours une véritable épreuves surtout pour moi en fait .Il est congé depuis 3 semaines et reprend fin août ..nous sommes à la bases très amoureux et fusionner quand nous ensemble mais la..Son dernier texto me disait qu'avec son second bb et le fait kil vois qu'il n'arrive plus à assumer notre relation et ne plus pouvoir s'occuper de moi kil pensais à éventuelle séparation..depuis plus de nouvelles..je ne lui en donne plus non plus du coup..je ne c pas comment réagir ni comment faire pour étancher ma peine...

Bonjour, j'ai connu l'amour de ma vie, il y a 22 ans, moi, célibataire, elle était mariée et me rendait bien cet amour. J'ai vécu 5 ans de folie avec elle, malgré le risque d'être surpris à tout moment, j''habitais chez eux. J'ai suivi 2 de ses grossesses. Je m'occupais de ses enfants, comme ci c'était les miens. Après quelques années et une tentative de divorce avortée, nous avons rompu. Je ne voulais plus partagé, sachant qu'elle ne l'aimait pas.
Aujourd'hui j'ai 50 ans, elle, 3 ans de moins. 17 ans après ce vide sentimental car je ne l'ai jamais oublié, elle a toujours été à mes côtés, dans toutes les situations, je sais, c'est dur pour ma défunte femme, mais elle le savait.
Il y a un mois, nous nous sommes de nouveaux contactés. La situation n'a pas changé, je suis toujours célibataire, enfin veuf, elle toujours mariée, mais toujours aussi amoureuse de moi, et moi toujours aussi fou d'elle.
Jamais oublié depuis tout ce temps, mais que faire, je n'accepte toujours pas ce partage, elle non-plus, mais elle a trop peur de lui de plus il y a d'autres enfants maintenant.
Nous nous voyons furtivement 1h ou 2, toutes les semaines. Quelle vie, je ne souhaite à personne de vivre la même histoire mais de vivre le même amour partagé.
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Sur Internet, les récits de relations adultères longue durée se multiplient, les forums consacrés à la thématique de la double vie aussi. Les langues se délient : beaucoup de femmes, mais aussi des hommes, se confient et échangent sur leurs histoires d'amour clandestines. Des témoignages sincères et émouvants, souvent douloureux, qui n'ont rien à voir avec la simple passade, ni avec la tendance actuelle qui tend à faire de l'infidélité un cynique marché.
A l'heure du couple jetable, des relations en CDD interchangeables et de l'adultère en vente sur la Toile, ces clandestins au long cours sont restés branchés sur le mode passion. 
Contre toute raison, contre toutes les conventions, et malgré les affres qui vont avec, ils sont reliés. Plus forts que la loi, plus forts que le temps et les intermittences du coeur. Philtre magique ou connexions inconscientes ? Impossible de résister. Mais pas question de tout envoyer bouler autour pour autant.
Quatre femmes racontent comment d'un impossible amour elles ont fait la passion de leur vie. Sans remords ni regrets. 
"Quand j'ai rencontré Gérard, j'avais 32 ans, une vie de couple très installée, une fille de 6 ans et un garçon de 18 mois, et un boulot prenant . Gérard est arrivé dans ma vie comme un cataclysme. Nous nous sommes rencontrés à un congrès de médecine. Lorsque, au bout de trois mois, je suis tombée dans ses bras, c'était l'euphorie. J'étais en couple depuis si longtemps (14 ans lors de la rencontre), j'avais l'impression de n'avoir jamais rien connu d'aussi fort.
Lui aussi était marié, père de deux enfants et avait quinze ans de plus que moi. Mais je n'éprouvais pas une once de culpabilité. C'était tellement bon que je ne me posais pas de questions. Il était gai, un peu "paternant", me regardait et m'écoutait avec tendresse et intérêt. Dans ses bras, j'avais retrouvé une libido de jeune fille, le plaisir... Bref, j'étais bien avec lui.
C'est parfois le grand chaos dans ma tête, mais je l'accepte. Je me dis que cette histoire est une belle histoire, un cadeau.
Lorsque, deux ans plus tard, il m'a quittée, je me suis retrouvée en mille morceaux. Mais j'en avais trop demandé. Dans mon égoïsme, je ne voyais que mes sentiments, je voulais qu'il m'épouse. Et je me croyais sincèrement prête à tout envoyer bouler. Mais est-ce que j'aurais survécu sans Frédéric et notre famille ? Ce sont eux qui m'ont tenue. Et le travail.
Peut-être que Frédéric s'est douté de quelque chose, je n'ai jamais rien avoué. Il m'a fallu des années pour sortir de ma dépression . 
Je croisais Gérard dans des congrès professionnels. Une fois, on s'est jeté l'un sur l'autre. Une évidence. Quelque chose de plus fort que moi me pousse vers cet homme. Au bout de trois ans, je l'ai appelé, juste pour lui parler : il me manquait. Je me croyais "guérie", mais on a replongé. Il a fait son mea culpa sur son attitude passée, mais m'a bien fait comprendre qu'il ne fallait pas que je m'emballe. Il se parlait aussi à lui-même. De fait, je n'ai pas l'intention de commettre les mêmes erreurs. Et je ne suis plus du tout convaincue d'être prête à sacrifier ma famille et mon lien avec Frédéric, même s'il est un peu effiloché. 
Gérard réveille une part de moi qui sommeille, quelque chose de très gai. Quand il est dans ma vie, tout est moins gris. Je suis plus calme. Depuis son retour, ma vie a repris un sens. "Tu as l'air plus forte", m'a dit une amie. Certes, je ne suis pas fière de moi : je n'imaginais pas ma vie comme ça. C'est parfois le grand chaos dans ma tête, mais je l'accepte. Je me dis que cette histoire est une belle histoire, un cadeau. Ce n'est pas : "Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants", mais, finalement, l'amour, c'est peut-être ça aussi.
D'une certaine manière, Gérard est l'homme de ma vie (ils sont aujourd'hui en couple depuis 9 ans). Avec Frédéric, les choses se sont apaisées. Je suis moins déprimée, moins agressive. On a acheté une maison. Sans lui je serais peut-être devenue folle. C'est l'autre versant de l'amour."
"C'est mon amant qui me permet d'aimer ma vie. Je suis mariée depuis trente ans, amante depuis vingt-trois ans.Cet amour clandestin, c'est ma bulle de bonheur, mon oxygène. Sans Rémi et notre histoire d'amour , qui dure depuis plus de 20 ans, je n'aurais jamais pu tenir après ce qu'il m'est arrivé. Nos rendez-vous , notre complicité et nos nuits irréelles m'ont aidée à trouver mon équilibre dans un quotidien qui a pu être tragique à certains moments ­quand Eric, mon mari, a eu son accident de voiture.
Lorsque nous nous sommes rencontrés, tout a tout de suite été différent. Je me suis découverte plus gourmande, plus femme. Je m'autorisais à être plus légère, plus entière et même, parfois, déjantée. J'avais l'impression de redevenir une jeune fille, voire une petite fille. Il était le seul homme avec qui je parvenais à me laisser aller. Sans doute parce que notre relation se moquait des conventions.
Lorsque mon mari s'est retrouvé à l'hôpital, il y a cinq ans, ma vie a vacillé. Mais j'ai réussi à être forte pour lui et, bien sûr, pour nos enfants. Avec cette épreuve, notre relation parallèle était vouée à disparaître. D'ailleurs, la passion des débuts avait laissé place à des rendez-vous de plus en plus distants. On avait toutes les raisons de s'éloigner. Rémi multipliait les aventures, et j'étais de moins en moins jalouse . Mais quand je l'ai retrouvé, alors que j'étais décidée à le quitter, je me suis soudain autorisée à craquer dans ses bras. J'ai compris que cet homme hors de ma vie était finalement mon roc, mon pilier. Je crois que c'est à cette période que notre histoire a évolué vers quelque chose de plus profond, plus solide. Et que notre amour s'est réellement révélé.
Aujourd'hui, l'état de santé d'Eric s'est beaucoup amélioré, et notre famille s'est retrouvée. Mais, quoi qu'il arrive, depuis, je sais que Rémi sera toujours là quand j'aurai besoin de lui. Ni lui ni moi n'avons envisagé de former un couple classique . Lui est bien trop indépendant, après un divorce catastrophique. Et moi j'aime mon mari et la vie que nous avons construite, je veille sur lui.
Et puis j'aime l'idée que Rémi et moi partagions nos vies en parallèle depuis tant d'années. Nous nous aimons, en secret, pour le meilleur et pour affronter le pire".
" Célibataire aujourd'hui, j'ai été l'amante d'un homme marié pendant trente ans. J'avais 15 ans quand ça a commencé, et je savais déjà que tout tournerait autour de lui. Seule ma soeur connaissait mon secret : j'aimais un homme marié, père de famille, de treize ans mon aîné. Elle me charriait, persuadée que ce n'était qu'une lubie. Mais moi je savais que cet homme allait devenir mon amant. Quelques mois plus tard, quand mon rêve de midinette s'est réalisé, j'ai tout gardé pour moi. Et ce qui aurait pu n'être qu'un amour platonique éphémère est devenu l'histoire d'amour de ma vie.
Aujourd'hui, plus de quarante ans plus tard, alors qu'il est mort, qu'il n'a jamais quitté sa femme pour moi et que j'ai failli en crever, je n'ai aucun regret. Il reste le seul homme de ma vie. Malgré sa lâcheté et tous ces moments de désespoir à l'attendre, à décrypter ses mensonges et ses trahisons. Je n'ai pas eu d'enfant, je ne me suis jamais mariée, et quand on me dit que j'ai gâché ma vie pour lui, je m'estime heureuse, même chanceuse, d'avoir pu aimer avec une telle intensité. Nos rendez-vous secrets étaient si excitants, pleins de rires et d'émotions. Je ne partageais pas son quotidien, j'en bavais, mais il me réservait ses meilleurs moments. Je sais qu'avec moi il était lui-même. J'étais la seule à le connaître sans son masque et sa carapace. 
Lui seul me faisait vibrer, me protégeait. Même dans l'ombre, j'avais besoin de savoir que j'étais dans sa vie, et lui dans la mienne.
Je l'ai quitté mille fois, j'ai fui notre région pour tenter de refaire ma vie. Mais nous nous sommes toujours retrouvés. On s'écrivait des lettres enflammées, que j'ai toutes conservées, je les relis souvent, en pleurant et en souriant... J'ai aussi conservé des photos, des petits mots, des objets récoltés lors de nos escapades, des trucs insignifiants, qui n'avaient de sens que pour nous. Je lui ai tout pardonné. Même d'avoir un troisième enfant, alors qu'il m'avait assuré qu'il ne couchait plus avec sa femme : une tentative de suicide et trois ans plus tard, je buvais de nouveau ses mots d'amour. J'avais tellement peur de le perdre. Lui seul me faisait vibrer, me protégeait. Même dans l'ombre, j'avais besoin de savoir que j'étais dans sa vie, et lui dans la mienne.
Bien sûr, j'ai essayé de vivre des relations plus classiques. Mais toute cette normalité ne me rendait pas heureuse. J'en voulais à ces hommes d'être disponibles et de m'offrir tout ce que lui était incapable de me donner. Je préférais une histoire clandestine sincère et passionnante à un faux couple, fade et bidon. Etrangement, quand je couchais avec un autre, j'avais le sentiment de lui être infidèle. Lorsque j'ai su qu'il était gravement malade, j'ai appris à vivre sans le voir, sans communiquer. J'ai préféré rester dans le silence et continuer à penser à lui en secret. Comme je le fais encore aujourd'hui. Maintenant que je sais que je n'aurai jamais d'autre homme dans ma vie."
"Le grand amour, je l'ai rencontré, il y a quinze ans. J'ai eu le coup de foudre pour cet homme pas vraiment beau mais tellement plus vivant que les autres. Plus drôle, plus intense, plus gai. Plus tout. Il m'a draguée ouvertement, ce qui a beaucoup fait jaser, d'autant qu'il était marié et père d'une petite fille. Je l'ai trouvé gonflé, et ça m'a plu. Le statut de maîtresse ne m'a jamais fait délirer, et j'étais convaincue que ce ne serait qu'une passade. Mais ce qui a commencé comme une blague, pour tromper l'ennui d'un week-end, s'est vite transformé en passion destructrice.
Pendant deux ans, David et moi, nous nous sommes adorés, déchirés, quittés, retrouvés. Et de nouveau séparés, le soir où j'ai compris qu'il ne quitterait pas sa femme. Je n'ai jamais douté de son amour pour moi, mais j'ai craint de lui en vouloir d'avoir gâché ma vie. J'ai coupé les ponts, le coeur brisé, avec la volonté de construire une vie "normale".
Un mariage, deux enfants et un divorce plus tard, je suis revenue vers lui. Il était libre. Mais épuisé par un divorce éprouvant. Et moi, curieusement, je n'avais plus envie de partager le quotidien avec lui. En me voyant fondre à nouveau, j'ai compris qu'à mes yeux David est irremplaçable. J'ai essayé d'aimer d'autres hommes, en vain. En le retrouvant, j'ai réalisé et accepté qu'il n'y aurait jamais de fin à notre histoire, que j'avais besoin de le savoir dans ma vie. Mais pas constamment. Nos caractères sont incompatibles. Et surtout, je crois que j'ai appris à l'aimer de cette manière hors norme.
Notre histoire ressemble à un tango : on se retrouve, on se manque, on s'étonne, on s'atten
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