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Chercheuse au Centre Perelman de philosophie du droit de l’Université libre de Bruxelles
Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts Scènes
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Pour un jeune, la recherche d'un premier ou d'un nouvel emploi coïncide le plus souvent avec la découverte d'une réalité sociale mal perçue à l'école. Devant cette situation, les réactions peuvent être diverses, de l'écœurement à la révolte, de la résignation à l'angoisse. Du moins, différents " cas " présentés dans " le Monde " du 18 et du 19 mars étaient-ils ceux de jeunes qui, à défaut de conserver toutes leurs illusions, pouvaient encore garder espoir.Restent ceux qui n'ont plus guère d'espoir, ou ceux qui ont choisi un autre mode de vie.Pour un jeune, la recherche d'un premier ou d'un nouvel emploi coïncide le plus souvent avec la découverte d'une réalité sociale mal perçue à l'école. Devant cette situation, les réactions peuvent être diverses, de l'écœurement à la révolte, de la résignation à l'angoisse. Du moins, différents " cas " présentés dans " le Monde " du 18 et du 19 mars étaient-ils ceux de jeunes qui, à défaut de conserver toutes leurs illusions, pouvaient encore garder espoir.Restent ceux qui n'ont plus guère d'espoir, ou ceux qui ont choisi un autre mode de vie.
" Nous aimerions bien qu'on parle un peu moins du Larzac et un peu plus de nous. Nous comptons pour zéro. C'est vrai : nous sommes des zéros, dans un trou perdu, au bout du monde. Là-haut, sur le plateau, on va dépenser des millions pour l'armée. Ici, il n'y aura pas un sou pour nous. " Le pire chômage des jeunes, c'est ici qu'on le découvre, dans ce petit appartement situé à Millau, dans une ruelle large comme un ruisseau et inscrite au circuit touristique de la vieille ville. Autour d'une table, Josiane, vingt-quatre ans ; Claudine, vingt et un ans ; Francis, vingt-quatre ans. Tous les trois handicapés, donc tous les trois chômeurs et sans doute pour longtemps.
Francis est handicapé physique, de naissance. Un handicap relativement léger, qui ne l'empêche ni de marcher ni de se déplacer sur sa mobylette. Il est intelligent. Son itinéraire scolaire : l'école primaire, puis un centre de rééducation par l'aide sociale à Toulouse, où on lui propose d'apprendre un métier : la vannerie. Il y restera un an. " Pensez ! On s'est dit : handicapé, donc à orienter vers la vannerie. Mais c'est que cela ne me plaisait pas du tout. " Francis quitte le centre et trouve du travail dans un élevage agricole. Trois ans à ramasser des œufs et à garder les moutons, pour 500 F par mois, non logé, non nourri, non déclaré, mais en recevant une aide financière complémentaire de la mairie. Cette " situation " ne satisfait pas Francis.
" Les gens, dit-il, vivent dans l'absurde. Ils vont à l'école dans une boîte ; puis à l'usine, dans une boîte, puis au cimetière, dans une boîte. Moi, je veux un métier où je puisse me réaliser, n'exprimer. " Aussi, lorsque son patron se séparera de lui. Francis de-mandera-t-il à faire un stage F.P.A. de photographie à Pau, dans un centre pour handicapés. Demande acceptée. Après une période de formation de dix mois - période pendant laquelle il touchait le SMIC - Francis sort du centre, en fin d'année 1974, avec un C.A.P. de laborantin eh photographie. Inscrit à l'agence pour l'emploi, il se verra proposer d'abord une place correspondant à sa qualification, à Nemours (Seine-et-Marne) à 600 kilomètres de chez lui. Malgré la distance, Francis accepte d'y aller faire un stage. Pour rien. " Pour m'entendre dire que je ne fais pas l'affaire. Le patron, ajoute-t-il, ne savait pas, avant mon arrivée, que j'étais handicapé. "
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Livre 1 : Une maman en manque se fait démonter par un jeunot J’ai sonné ce jour-là. Mon pote n’était pas là et c’est sa mère qui m’a reçu. Parfois on se fit aux apparences et on n’ose pas. Pourtant, si j’avais su qui elle était vraiment... 44 ans, responsable rayon en grande surface et surtout la mère de mon pote, mais avant tout une mal baisée qui ne demandait que ça : une grosse bite de jeune... Sans oser me l’avouer vraiment... Peut-être à cause de notre trop grand écart d’âge... Il suffisait pour elle encore de franchir ce dernier tabou. Elle m’a aussi proposé de rester un peu. Puis elle s’est assise, ce jour-là, à côté de moi dans le canapé... Livre 2 : L’amie de maman est une nympho Maman s’est absentée et nous nous sommes retrouvés seuls. Puis ça se voyait. Rien que dans ses yeux, ça se voyait : que l’amie de ma mère n’était qu’une nympho. Alors j’ai sorti ma grosse bite et elle a d’abord hésité, comme une prude, puis s’est précipitée dessus... Elle prenait son pied comme jamais à me sucer... Et ce n’était que le début... Récits érotiques destinés à un public averti et majeur (+18 ans).
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Un « trou béant » dans la vie océanique
Un « trou béant » dans la vie océanique
Titre
La surpêche a infligé des pertes de plus 70 % sur la population de certains requins et raies au cours du dernier demi-siècle, laissant un « trou béant et croissant » dans la vie océanique, selon une étude rendue publique mercredi. Le déclin de certaines espèces, comme le requin-marteau ou la raie manta, est remarquable. Parmi les plus touchées se trouve le requin océanique qui est au bord de l’extinction. Prisé des pêcheurs pour ses ailerons, il est aussi victime de techniques de pêche non sélectives. Sa population a chuté de 98 % en 60 ans. « C’est un déclin pire que celui de la plupart des grands mammifères terrestres, et proche ou égal à celui de la baleine bleue » , explique le professeur Nick Dulvy, du département des sciences biologiques de l’Université canadienne Simon Fraser. L’étude pointe du doigt la surpêche et une faible protection de ces animaux, en appelant à des restrictions plus grandes et une meilleure application des règles existantes. Selon l’étude, il y a eu un doublement en cinquante ans de l’utilisation de palangres et filets de senne (un filet de surface) qui capturent la vie marine sans discrimination. Les chercheurs remarquent que le déclin des espèces n’est pas toujours irréversible si l’on engage des efforts de conservation.
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Publié le
29/01/2021 à 10:25
| Mis à jour le
29/01/2021 à 10:25
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Zapping Men's UP Epicurieux EP8 : Sur les traces de Dom Pérignon en Kia EV6
Tout commence lorsqu’un jeune britannique a fait croire à sa colocataire italienne que le mot « Gang bang » signifiait simplement « sortir avec des amis ». La naïve transalpine, heureuse d’ajouter ce nouveau terme à son vocabulaire, s’empressa le soir-même de poster une photo sur son compte Facebook (voir ci-dessous) avec la mention suivante : « Pre gang bang selfie with the house lads… » Un message et une photo immédiatement repris par son colocataire George Wescott (voir ci-dessus), responsable de l’apprentissage erroné du mot gang bang à la pauvre incrédule. L'insolent a immédiatement balancé la photo et le texte sur son compte Twitter . Évidemment, l'info a fait en quelques minutes le ctour de la planète, au grand dam, sans doute, de l’ingénue italienne qui elle, ne souhaitait qu’une seule chose : sortir avec des amis…
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L’histoire pourrait faire sourire, et même rire, si elle n’avait pas fait une victime « mondiale » sur Twitter.
Une jeune femme italienne a qui on avait fait croire que gang bang signifiait sortir avec des amis s'est mise dans de de beaux draps...
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Lancé en septembre 2007, mensup.fr est le premier portail français à s’être consacré à la thématique lifestyle au masculin. En 2010, Men’s UP TV investit le PAF avec ce même positionnement unique.
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